Ukraine : dans quoi les Etats-Unis nous entrainent ? – Bistro Libertés avec Laurent Obertone – TVL

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Eric Morillot et les sociétaires de l’émission (Pierre Gentillet, Greg Tabibian, Olivier Piacentini et Mike Borowski) reçoivent le journaliste et essayiste Laurent Obertone, auteur de “Guerilla #3 – Le dernier combat”.

Au programme des débats :

1) L’auto-défense : seule solution face à une France Orange mécanique ? Quelles actions individuelles et politiques pour se protéger contre la montée de violences multiformes ?

2) Les États-Unis : entre changement et continuité – Quelles leçons tirer des Midterms ? Assiste-t-on à la fin du trumpisme ? Vers une évolution de la position américaine en Ukraine après l’affaire des missiles ?

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Châtenay-Malabry (92) : un bus visé par des tirs de mortiers, un policier qui tentait d’interpeller l’auteur des tirs a été frappé et étranglé, un mineur de 14 ans interpellé

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++ WEBTUBE : Quand on vous dit que la guerre contre nos institutions et notre pays a déjà commencé….. mais les français restent aveugles et sourds. Ils sont enfermés dans leur quotidien et leur petit confort. Quant aux politiques, n’en parlons même pas, ils sont aux abonnés absents depuis des décennies.

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Michel Houellebecq à propos du Grand remplacement : « J’ai été très choqué qu’on appelle ça une théorie. Ce n’est pas une théorie, c’est un fait »

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La chanson du jour, Hell Or High Water – Passenger

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Voici une chanson qui rafraichit la tête. C’est beau et simple avec une voix chaude et envoutante. Une chanson comme on en faisait avant. Les temps ont bien changé alors profitez bien de ce petit bonbon acidulé qu’on se repasse en boucle sans se lasser.

Here is a song that refreshes the head. It's beautiful and simple with a warm and captivating voice. A song like we did before. Times have changed a lot, so take advantage of this little tangy candy that you can watch over and over again without getting bored.
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Nanterre : le migrant congolais viole deux patientes de 78 et 68 ans dans un hôpital avant de violer une enfant de 12 ans

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Les hôpitaux français, c’est quelque chose.

Le Parisien :

La douceur de sa voix, son ton dépourvu d’acrimonie, sa retenue naturelle en feraient presque oublier, un instant, l’horreur de son récit. Elle qui, à 78 ans, pensait sans doute être à l’abri d’une telle effraction dans son intimité. En particulier au sein d’un établissement de santé…

Et pourtant. Ce 27 juillet 2022, voilà déjà deux semaines qu’Agnès (les prénoms ont été modifiés) est soignée pour une mauvaise chute à l’hôpital Max-Fourestier de Nanterre (Hauts-de-Seine), au rez-de-chaussée d’un des pavillons composant ce vaste ensemble hospitalier, qui comprend également un lieu d’accueil pour les sans-abri. Ce matin-là, il est environ 9h30 lorsqu’un homme — ni soignant, ni visiteur, ni patient — s’introduit dans la chambre qu’elle partage avec une autre patiente.

« Je lui ai demandé ce qu’il voulait, il a juste mis son doigt devant sa bouche, en signe de silence. J’ai commencé à avoir très peur », raconte la vieille dame. L’homme jette un œil derrière le rideau de séparation, « comme s’il choisissait sa proie », se penche sur le lit d’Agnès et tire violemment ses jambes vers lui. « Je répétais : Ah non ! Vous ne me ferez pas ça ! » raconte-t-elle.

Las, elle subit un premier assaut et une pénétration forcée. L’inconnu s’approche même une seconde fois, mais Agnès agrippe violemment son membre et le tord. « Je voulais qu’il reste des traces pour qu’on l’identifie », témoigne-t-elle, digne. Enfin alertée par les cris de deux dames, une infirmière accourt et se jette sur lui. Mais il la frappe et disparaît en courant au bout du couloir.

Sophie, la fille d’Agnès, n’est avertie qu’en début d’après-midi. « Votre maman a eu un petit souci, voilà ce qu’on m’a annoncé, se souvient-elle. Ce n’est qu’une fois sur place qu’on m’a parlé de viol. J’étais scotchée. » Instinctivement, Sophie demande s’il y a d’autres victimes. Silence. Elle apprendra finalement, « par des bruits de couloir » et des articles de presse, que l’homme en question a, en effet, récidivé moins de trente minutes après, en précipitant au sol une retraitée de 68 ans qui rejoignait son Ehpad, également situé dans l’enceinte de l’établissement… Celle-ci a également été violée.

« Ont-ils eu une réaction adaptée ? Ont-ils appelé immédiatement les policiers ? Comment a-t-il pu recommencer sans que personne n’entende crier, en plein jour, dans un lieu de passage ? » se demande aujourd’hui Sophie, très en colère, qui a décidé de porter plainte avec sa maman contre la structure pour « mise en danger de la vie d’autrui ». « C’est un lieu qui doit être sanctuarisé. Ce n’est tout simplement pas acceptable ! » résume-t-elle, pointant le défaut de sécurisation de l’hôpital.

Quelques jours avant les faits, Agnès s’était en effet plainte qu’on l’espionnait dans l’entrebâillement des fenêtres et avait insisté pour les garder fermées, en dépit des fortes chaleurs. Avait-il fait des repérages ? « J’ai eu le sentiment qu’il connaissait les lieux, il semblait à l’aise. C’est ça qui m’a fait le plus peur », témoigne encore la vieille dame, qui a entamé une psychothérapie pour surmonter son traumatisme.

Très vite, Sophie se rend également compte que l’issue de secours qui a vraisemblablement servi à l’agresseur s’ouvre très facilement de l’extérieur… Une défaillance déjà signalée à la direction par les infirmières. En vain. « Je leur ai dit : Il vient d’y avoir un viol, on ne peut pas laisser ça tel quel ! » Il lui est répondu que la porte est réparée. « C’était faux. Un mois après, tout ce qu’ils avaient fait c’était de placer une grande barre en bois pour empêcher la porte de s’ouvrir ! Y compris de l’intérieur… C’est n’importe quoi », s’agace-t-elle, clichés à l’appui.

« J’ai aussi appris que les soignants, par peur des agressions, réclamaient déjà depuis un moment d’être accompagnés d’un lieu à un autre. C’est bien la preuve que quelque chose ne va pas », poursuit Sophie. Dès le lendemain, sous la pression du personnel soignant, en colère, des vigiles supplémentaires sont embauchés, dont un posté à l’entrée du pavillon incriminé.

À l’époque, l’agresseur court encore. Ce SDF de 27 ans sera finalement interpellé le 9 septembre, presque par hasard, en train de frauder, gare de Lyon à Paris. Ses empreintes génétiques permettront de lui attribuer un troisième viol, commis deux jours après ceux de l’hôpital, toujours à Nanterre. L’homme avait repéré une fillette de douze ans depuis la rue, avait réussi à se glisser dans l’appartement par une fenêtre, l’avait enfermée à clé, étranglée, et lui avait imposé plusieurs actes sexuels avant de prendre la fuite. Un violeur en série présumé, qui a reconnu en garde à vue agir sous le coup de « pulsions » en ciblant des populations vulnérables. « C’est terrible, tout ça aurait pu être évité… », lâche Agnès en secouant la tête.

Contactée, la direction de l’hôpital, qui n’est pas informée du dépôt de plainte, fait valoir les mesures prises depuis les faits : contrôles d’identité systématiques, système de sonnette pour entrer dans les services, réparation de certaines caméras de surveillance et de toutes les portes… « On a énormément durci les conditions d’entrée, tout le monde a été assez traumatisé », reconnaît-on. Mais ces mesures, postérieures aux faits, sont sans incidence sur la plainte déposée fin septembre par Agnès et sa fille Sophie, contre l’établissement ainsi que sa directrice.

« L’hôpital a à sa charge des obligations de sécurité et de vigilance renforcées, compte tenu du public vulnérable qui y est accueilli, décryptent Mes Amelle Bouchareb, associée du cabinet Barok, et Ouadie Elhamamouchi, leurs avocats. Il a complètement failli à sa mission, en permettant un accès facilité et des intrusions, et ce alors même qu’il avait été alerté en amont. On a là des carences patentes et une inertie totale dont il va falloir répondre. » Sollicité, le parquet de Nanterre nous indique que la plainte « est encore à l’étude ». Une enquête pourrait être rapidement ouverte pour faire la lumière sur les dysfonctionnements dénoncés.

Pour Agnès, le mal est fait. Si elle refuse de s’épancher, par pudeur, l’expert psychiatre l’ayant examinée a relevé cauchemars, tristesse, culpabilité et honte. « Ma maman est devenue extrêmement anxieuse, alors que jusqu’ici, c’est elle qui me rassurait », dit Sophie. Mais leur souci est surtout altruiste : « On ne veut pas que ça se reproduise. » Quant à l’agresseur, des sentiments mitigés traversent la vieille dame. « Je lui en veux d’avoir bouleversé ma vie, la vie dont j’avais rêvé, qui était toute tracée. Cet homme-là doit se faire soigner. Mais en fait, je suis surtout en colère que ça ait pu se produire. Ça, ça ne passe pas », conclut-elle.

Le Parisien :

Il est 7h20 ce matin-là lorsque les fonctionnaires s’approchent d’un homme qui vient de franchir les tripodes sans titre de transport dans le hall du RER en direction de la ligne 1 du métro. Les gardiens de la paix décident de le contrôler. « Ils lui ont demandé ses papiers d’identité mais il n’en avait pas », explique une source proche de l’affaire. Également sans adresse, le SDF donne tout même son nom et une rapide vérification permet aux agents de l’identifier comme un ressortissant congolais sous le coup d’un mandat de recherche lancé par un magistrat du tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine).

Les autres arrivent.

Lu dans DP

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Aujourd’hui Mayotte, demain la France ?

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Plus de 8.000 kilomètres séparent Paris de Mayotte. Le département d’Outre-mer situé dans le très stratégique canal de Mozambique est aujourd’hui à feu et à sang. Ce lundi, le président du RN Jordan Bardella a appelé l’état à « reprendre le contrôle » à Mayotte au risque que la situation n’illustre « notre futur ». Mais que s’y passe-t-il et quelle est la réalité de la situation ?

L’insécurité explose

« Parfois, on coupe une main ou un pied ». Les échos donnés par la presse de la réalité des exactions commises par de véritables bandes armées qui sévissent en toute impunité impressionnent. A quelques encablures de la capitale Mamoudzou, les rues ne sont pas sûres et la peur est omniprésente. Tout serait parti de l’attaque par caillassage d’un bus le 16 novembre dernier. C’est dire à quel point la situation était déjà tendue. Plus de 200 jeunes cagoulés et armés de machettes sont alors descendus dans la rue pour caillasser des magasins, saccager des voitures, couper les routes et paralyser la circulation. Un jeune de 20 ans a été tué à la machette, un automobiliste poignardé, son pronostic vital engagé… En trame de fond, des guerres de bandes se disputant le contrôle de quartiers. Des rixes que la métropole connaît déjà avec ces agressions parfois mortelles impliquant des jeunes de 14 ou 16 ans. Une situation de « guerre civile » pour la députée mahoraise Estelle Youssouffa (LIOT) qui réagissait sur Télématin le 25 novembre.

L’immigration massive : facteur principal

« Ah non, c’est à Mayotte le kwassa-kwassa […] Mais le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien, c’est différent » La petite blague d’Emmanuel Macron en mai 2017 avait fait grincer des dents et particulièrement celles des Mahorais. Derrière cette saillie qui se voulait humoristique (et qui aurait au passage valu à n’importe quel autre homme ou femme politique un aller simple pour le bûcher médiatique), se cachait en réalité le fait que personne dans l’Exécutif n’ignore la sinistre réalité de Mayotte. Et c’est tout sauf amusant. Un habitant sur deux de l’archipel est étranger.

« 80% des affaires au tribunal à Mayotte concernent des étrangers en situation irrégulière. Oui, la violence qu’on subit est liée à l’immigration ! » Les propos de la députée de Estelle Youssouffa tenus ce mois-ci dans les couloirs de l’Assemblée Nationale ne souffrent d’aucune ambiguïté. Mayotte compte entre 250.000 et 300.000 habitants, dont 48 % sont étrangers. Et 95 % de ces étrangers sont des Comoriens qui ont embarqué pour la plupart depuis les îles voisines sur ces embarcations légères (Les fameuses kwassa-kwassa). « Ne serait-ce qu’au niveau hospitalier, c’est l’embolie, affirme un fin connaisseur de l’archipel. Les Mahorais qui en ont les moyens partent se faire soigner ou accoucher à la Réunion. Ici, les maternités sont remplies par les Comoriennes qui veulent faire naître leur enfant à Mayotte pour qu’il puisse profiter du droit du sol ». Une information confirmée par Europe 1 : “Ils sortent de leur pays pour venir ici, pour la plupart ce sont des Comoriens, expliquait à nos confrères en 2019 une cadre de Santé locale. Tout le monde vient chez nous car tout le monde connait la situation de Mayotte”. Même si l’Exécutif a rendu plus difficile les conditions du droit du sol à Mayotte, l’effort est insuffisant.

Dans ce contexte, autant préciser qu’on ne voit pas là-bas d’un bon œil la future loi Darmanin-Dussopt sur l’immigration de main d’œuvre. Daniel Zaidani, conseiller départemental RN de Mayotte le rappelait début novembre : « Ce serait un « appel d’air », il en veut pour preuve la régularisation des pêcheurs opérée il y a quelques années, « juste après ils ont changé de métier, et on s’est retrouvé avec de nouvelles vagues d’immigration » affirmait-il sur la chaîne de télévision 1ere. L’élu local a demandé que les deux députés de l’archipel joignent leurs voix à celles du RN en rejetant cette loi.

« Mayotte, c’est une REP géante » (REP, Réseau d’éducation prioritaire, ancienne Zone d’éducation prioritaire), soupire un habitant de l’archipel joint par téléphone. C’est ce qui devrait d’ailleurs inquiéter l’exécutif : si le numérateur de Mayotte est bien plus élevé, le dénominateur est le même qu’en métropole. Terrible fraction annonçant la fracture et un jour une addition sanglante.

Marc Eynaud dans Boulevard Voltaire

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Émeutes musulmanes : nos Tunisiens vont-ils imiter les Marocains belges ?

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Scènes d’émeutes à Bruxelles et dans d’autres villes belges, comme Liège. Pourtant, la Belgique avait eu l’élégance de perdre son match de football, en coupe du monde, contre le Maroc. Mais les Marocains ont tout cassé quand même !

https://www.fdesouche.com/2022/11/27/bruxelles-les-supporters-marocains-celebrent-la-victoire-de-leur-equipe-sur-celle-de-la-belgique-avec-des-emeutes/

https://www.fdesouche.com/2022/11/27/emeutes-a-liege-belgique-apres-belmar-une-cinquantaine-de-supporters-marocains-ont-attaque-un-commissariat-brisant-les-vitres-et-detruisant-des-vehicules/

Phénomène d’autant plus inquiétant que ce mercredi, les Français, déjà qualifiés, affrontent les Tunisiens, qui ont impérativement besoin de gagner pour avoir un mince espoir de qualification.

Il y a en Belgique, pour un pays d’à peine 12 millions d’habitants, plus de 500 000 personnes d’origine marocaine, soit 5 % de la population, et 8 % de moins de 18 ans.

Il y a en France, pour un pays de 67 millions d’habitants, plus de 700 000 Tunisiens, soit 1 % de la population.

Question : les Tunisiens de France se comporteront-ils comme les Marocains du Maroc ?

Cela dépendra de la volonté d’Allah, sachant qu’en France, on a Moussa !

Riposte Laïque

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Ce videur qui dégage les écolos du périphérique, c’est ma nouvelle idole

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++ WEBTUBE : Ca donne la pêche le matin de regarder ce type d’images. On se sent libérer après les avoir visionnées.

C’est aussi « ma nouvelle idole ».

C’est un fait indiscutable, nous avons en Europe et donc en France, les écolos les plus débiles.

On constate régulièrement dans les médias les actions que ces dégénérés mènent, et le relais consciencieux de leurs exploits dans les médias.

Ainsi, on ne compte plus les œuvres artistiques majeures vandalisées par ces tarés dans les musées.
Est-ce que balancer de la sauce tomate sur un tableau, se coller la main sur un autre ou toute action de ce type va régler quoi que ce soit au problème climatique dont ils se disent préoccupés ?

Évidemment que non. Et pourtant toutes ces actions vont crescendo. Mais pourquoi ?

En premier lieu, parce que l’Éducation nationale bourre la tête des gamins, matin, midi et soir de slogans « écologistes » dont la conclusion est invariablement : « il faut sauver la planète ». Ils sont donc des millions à avoir la tête farcie de ces débilités, pendant leurs années de scolarité. Pas étonnant que la première préoccupation des jeunes, selon les sondages, soit : « il faut sauver la planète ».
Le tout étant largement repris par les médias et dans la quasi-totalité des pubs qui passent à la télévision. Personne n’y échappe.

En conséquence, tous ces jeunes au QI de poisson rouge récitent du matin au soir « il faut sauver la planète » comme un mantra.

En second lieu, parce que le système – gouvernement en tête – est très content de voir ces actions être menées. D’ailleurs, avez-vous vu des sanctions prises contre ces activistes ?
Pourtant ce serait facile d’arrêter ces âneries. Une main collée sur un tableau, 2 ans de prison automatique et les frais de restauration à la charge de l’auteur. Blocage de la circulation sur le périphérique ou l’autoroute, idem automatiquement 2 ans de prison. Et si ces actions de blocage occasionnent accidents ou dégâts, allez hop… à la charge des responsables.
A mon avis, ça calmerait l’immense majorité de ces jobards qui aujourd’hui bénéficient d’une impunité totale.

Tous ces jeunes couillons qui mènent des actions de ce type sont les alliés du gouvernement qui est engagé dans une politique de « transition énergétique » afin de nous faire passer du nucléaire aux énergies « renouvelables » (éolien, solaire et méthanisation).
Vous savez… faut faire baisser la quantité de CO2 produite.
Pourtant le nucléaire est l’énergie la moins chère et la plus décarbonée.
Mais alors, pourquoi adoptent-ils cette politique ?
Parce que les Allemands ne supportaient pas que la France ait un énorme avantage sur l’Allemagne qui a décidé en 1998 d’abandonner le nucléaire.

Les Allemands ont obtenu deux choses de l’Europe, qui s’imposent donc à la France : obliger EDF à vendre 25 % de l’électricité produite à des « producteurs » qui ne produisent rien mais se contentent de revendre cette électricité plus cher et d’encaisser la différence.
D’autre part, l’Allemagne a obtenu de l’Europe que le prix de l’électricité soit couplé à celui du gaz dont l’Allemagne est absolument dépendante.

Les gouvernants français ont capitulé lamentablement devant l’Allemagne.

Résultat, on paye notre électricité beaucoup plus cher qu’on ne devrait, et en plus, avec la guerre en Ukraine et la flambée du prix du gaz, avoir de l’électricité et se chauffer devient un luxe que les Français vont découvrir quand le bouclier tarifaire va s’arrêter à la fin de l’année.

En parallèle, après ces décisions injustifiables qui contribuent à la ruine de notre économie, le gouvernement amplifie sa campagne pour les énergies renouvelables qui coûtent une fortune, sont inefficaces et de plus une catastrophe au plan environnemental et pour les populations.

Ajoutons qu’un certain nombre de villes – comme Paris, Bordeaux, Lyon, Strasbourg et d’autres – ont commencé à mettre en œuvre une politique d’agressions contre la population en interdisant l’entrée de ces villes aux véhicules qui « polluent ». Ce sont bien sûr les couches les plus modestes de la population qui seront les premières victimes. Ceux qui ne peuvent pas changer de véhicule pour faire plaisir à la doxa et sa dictature anti CO2. Alors que les diesels actuels ne polluent quasiment pas.

Mais au fait, est-ce que tout ce battage anti CO2 est bien crédible ?

Je vais donner quelques éléments qui vont permettre de répondre à cette question.

La théorie du CO2, responsable du dérèglement climatique, émane du GIEC (réunissant tous les pays membres de l’ONU qui le souhaitent).
D’abord, cette théorie est contestée par un nombre considérable de scientifiques.
Ensuite, il est de notoriété publique que le GIEC s’est fait prendre la main dans le sac à trafiquer les chiffres afin qu’ils disent la conclusion attendue.
Ceux qui s’intéressent au sujet peuvent rechercher les éléments concernant par exemple la polémique sur la courbe en forme de « crosse de hockey ».
Au final, la théorie du GIEC est très loin d’être évidente, et même sujette à une fort légitime contestation.

Second élément, la France produit moins de 1 % du CO2 mondial. La Chine c’est 29 % et les USA 15 %.
Pourquoi tous ces écolos ne vont-ils pas en Chine manifester ? C’est là-bas qu’il faut agir pour « sauver la planète ». Si elle doit l’être.
Mais non, c’est nous qu’ils persécutent. Alors que rien ne se joue en France sur ce plan.
On peut même dire que si tous les pays en étaient au niveau de la France, la question ne se poserait tout simplement pas.

Troisième élément, pour compenser son abandon du nucléaire et l’explosion du prix du gaz, l’Allemagne a décidé de rouvrir 27 centrales à charbon. Sans aucune réaction de nos écolos cinglés alors que c’est une catastrophe sur le plan du CO2.
Pour ceux qui l’ignorerait, 1 MGWh d’électricité produit par une centrale nucléaire c’est 3gr de CO2. Avec une centrale à charbon c’est 850 gr.

Quatrième élément, lorsque tout le parc éolien maritime sera opérationnel – et aura au passage défiguré notre littoral français et ruiné un certain nombre de marin pêcheurs – quelle quantité d’électricité sera produite ?
Cela représentera une quantité minable, équivalente à 13 % de la production de la centrale de Fessenheim !
Centrale fermée par Macron, pour honorer un misérable accord électoral entre Hollande et les Verts en 2012 !

Cinquième élément, vous vous souvenez sans doute de la polémique sur les jets privés.
Agressé sur ce point, Christophe Galtier – entraîneur du PSG – avait répondu que son équipe préparait le prochain déplacement en « char à voile ».
Il avait d’ailleurs rapidement battu en retraite et présenté ses excuses devant la bronca suscitée chez les bien-pensants.
Et pourtant… il avait mille fois raison. Vous en voulez la preuve ?
La seule centrale à charbon de Jänschwalde, en Allemagne, produira 25 millions de tonnes de CO2 par an. Et comme il y en a 27, cela fera 650 millions de tonnes de CO2 par an. Une paille…
La totalité du transport aérien en France produit, en une année, 22 millions de tonnes de CO2.
Les jets privés ne représentant qu’une infime minorité de ces 22 millions de tonnes de CO2.
Aucun écolo ne hurle au scandale pour la réouverture des centrales à charbon en Allemagne… et en France, mais ils sont au bord de l’apoplexie à propos des jets privés qui pourtant n’ont qu’un impact insignifiant.

Tout cela pour dire que tous ces activistes écologistes ne sont que des ignorants et des incultes.
Leurs théories sont basées sur des mensonges ou des contre-vérités.
Ils n’ont aucun argument étayé et se contentent de répéter des slogans prêts à porter sans même prendre une minute pour vérifier ce qu’ils affirment.

D’ailleurs, leurs arguments ne résistent pas une seconde à la critique la plus élémentaire.

Alors, oui, il est temps, plus que temps que les Français se réveillent et, sur la base d’éléments évidents que chacun peut connaître, refusent ces actions irresponsables des activistes écolos.
Et comme par ailleurs, ces actions nous pourrissent la vie alors que nous ne sommes nullement responsables de ce qu’ils dénoncent, il faut arrêter de se laisser impressionner par ces abrutis et leur faire comprendre que leur mascarade, ça commence à bien faire.

L’attitude de cet homme, dans la vidéo, qui vire manu militari ces énergumènes afin de nous laisser vivre en paix… c’est cette attitude qui est la bonne.
Il faut que partout cela se passe de cette manière.
Que ces tordus intoxiqués aux théories du GIEC aillent sévir ailleurs… en Chine par exemple !
Mais qu’on nous foute la paix en France.

Ce gars, sur la vidéo, c’est ma nouvelle idole.

Bernard Germain, Riposte Laïque

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Corse. Nicolas Battini : « Nous sommes la génération du 11 septembre, de Charlie Hebdo, du Bataclan, de l’assassinat d’Yvan Colonna par un islamiste » [Interview]

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Le grand public dans l’hexagone l’a découvert récemment suite à une interview donnée au journal VA+. Les militants défenseurs des patries charnelles connaissaient toutefois depuis de nombreuses années déjà Nicolas Battini, militant nationaliste corse condamné en 2016 à huit ans de réclusion pour une tentative d’attentat à la voiture bélier commis en 2012 à Corte contre la sous-préfecture.

Il y a quelques années, nous avions interviewé Jean-Guy Talamoni, qui nous exposait sa vision du nationalisme corse et des luttes de libération. C’est une vision toute autre de ce nationalisme corse que défend aujourd’hui Nicolas Battini. Une vision profondément ancrée dans notre époque, un nationalisme du 21ème siècle qu’il porte, loin d’un certain régionalisme et/ou nationalisme tiers mondiste porté, durant de nombreuses décennies, par les principaux acteurs des mouvements bretons, corses, basques…

Nous vous proposons ci-dessous un entretien que nous avons réalisé avec un homme qui lutte, depuis sa tendre jeunesse, pour son pays, et qui a mis sa peau au bout de ses idées, ce qui lui confère une légitimité supplémentaire pour évoquer le nationalisme corse, son actualité, les problèmes identitaires auxquels est confrontée la Corse comme le reste de l’Europe, les luttes de libération nationale….

Breizh-info.com : Pouvez vous tout d’abord vous présenter à nos lecteurs ?

Nicolas Battini : Je m’appelle Nicolas Battini, je suis corse. Militant nationaliste depuis mon adolescence, incarcéré en 2013, condamné à huit ans de réclusion en 2016 pour des actions politiques qui s’inscrivaient dans un contexte d’affrontement entre le nationalisme corse et les institutions de la République. Ayant purgé la totalité légale de ma peine, à savoir six ans, j’ai été libéré en 2019. Tout en continuant mes études et en travaillant, j’ai alors tenté de fonder une exploitation agricole, que je ne désespère pas de voir aboutir un jour, dans une région reculée du Centre-Corse dont je suis originaire, le Boziu, constituée de villages perchés à flanc de montagne et berceau des deux grandes révolutions de la Corse, celle de 1358 et celle de 1729. J’ai aujourd’hui 29 ans, je suis père de famille et doctorant en Langue et Culture Régionales à l’Université de Corse.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui vous a amené au nationalisme corse ? Et à devenir un acteur important au sein des jeunesses nationalistes corses, mais aussi de Femu A Corsica ?

Nicolas Battini : Sans hésitation aucune, le sentiment d’appartenir à une communauté humaine en passe de disparaître. C’est, pour ce qui me concerne, le grand moteur de mon engagement. Refuser cette disparition. Conceptualiser et soutenir les perspectives politiques qui lui permettraient de se régénérer et de ne pas connaître la fin irrémédiable de son continuum historique. Telles sont mes grandes motivations politiques. C’est ce qui m’a poussé à devenir un cadre lors de la refondation de la Ghjuventù Indipendentista en 2012. Par la suite, en rupture avec la ligne tiers-mondiste majoritaire chez les cadres indépendantistes et après avoir fait un certain nombre de constats quant aux failles structurantes de cette pensée, notamment suite à l’émergence de l’islamisme criminel qui invalide totalement l’idée d’une Corse qui devrait fraterniser avec les peuples du Tiers-monde, mon nationalisme s’est déporté sur une ligne clairement autonomiste. Bien moins exigeante sur les questions institutionnelles, mais tout aussi farouche sur les questions identitaires. Mon engagement au sein de Femu a Corsica dès 2019 s’explique ainsi. J’y ai incarné, avec mes amis, une tendance conservatrice et très ferme sur les questions relatives à l’identité traditionnelle, l’héritage chrétien de la Corse, le prisme civilisationnel, le refus des revendications importées par la gauche parisienne woke et le souci de la question migratoire. Ce fut une période très stimulante intellectuellement et source de nombreuses controverses en interne. Jusqu’à notre rupture en mars 2022, alors que l’on prétendait nous imposer une consigne qui consistait à taire la question islamiste dans l’assassinat d’Yvan Colonna afin d’adopter exclusivement une ligne accusatoire dirigé contre l’Etat. Je me suis opposé à ce narratif là et ainsi ai-je décidé d’en assumer les conséquences en démissionnant de mes charges d’attaché parlementaire et de membre de l’Exécutif de Femu a Corsica afin de me consacrer à la structuration d’une association ethnoculturelle, identitaire, patrimoniale, historique source de réflexion et d’élaboration doctrinale.

Breizh-info.com : Vous avez payé votre engagement nationaliste par six années de prison, à 19 ans. Comment est-ce que l’on fait face à cela, surtout en étant éloigné de son pays, et de ses proches ?

Nicolas Battini : L’engagement militant tel que je le concevais, et tel que je le conçois encore aujourd’hui, était un engagement total. J’entendais déjà dépenser l’intégralité de mon existence au service du combat qui était le mien. Par conséquent, je n’ai jamais eu le sentiment de consentir à d’immenses sacrifices. Tout ce qui m’arrivait était la perspective logique du positionnement de vie que j’avais adopté.

Breizh-info.com : Dans quel état avez-vous trouvé les prisons françaises dans lesquelles vous avez été enfermé ?

Nicolas Battini : Sans trop m’étaler sur l’insalubrité évidente des prisons françaises, c’est le constat de la situation démographique du milieu carcéral qui est tout à fait parlant.

Breizh-info.com : Les Corses, qui étaient en nombre dans les années 70 avec basques et bretons dans les prisons françaises, sont-ils désormais de petites minorités ?

Nicolas Battini : Le terme de minorité pour les Basques, Bretons et Corses est un euphémisme en prison. Il est même difficile, dans la plupart des établissements pénitentiaires de la région parisienne, alors qu’on se réveille tous les matins au son de la Salat de Fajr, la prière du matin, de se souvenir qu’on est en Europe occidentale. Surtout lorsqu’on y connaît un séjour de plusieurs années comme ce fut mon cas.

Breizh-info.com : Votre discours nationaliste corse a évolué ces dernières années, notamment du fait de votre long séjour en détention. Mais pas que (vous avez évoqué dans une interview les attentats contre Charlie Hebdo ou au Bataclan, qui ont été un élément déclencheur d’une réflexion chez vous). Comment est-ce que l’on passe d’un nationalisme tiers mondiste à un nationalisme identitaire ?

Nicolas Battini : Le tiers-mondisme consiste à considérer que la Corse est un pays colonisé et qu’à ce titre elle se doit de converger et de fraterniser avec les autres peuples de ce que l’on avait coutume d’appeler le Tiers-monde. C’est une pensée qui nous permettait de tracer des perspectives de lutte d’une part et, d’autre part, de trouver des débouchés politiques au niveau international en étendant les réseaux corses à travers les autres luttes tiers-mondistes. Néanmoins, cette pensée a été élaborée en Corse dans les années 70 et est désormais vieille d’un demi-siècle. Elle est usée et portée essentiellement par des soixante-huitards sur le déclin qui n’arrivent pas à renouveler leur système global de pensée. Elle empêche de facto de s’opposer à l’apport démographique provenant du Sud de la Méditerranée et à son corollaire de revendications communautaires et religieuses en ce que la solidarité internationale entre peuples opprimés prévaut sur tout autre considération. Les héritiers du tiers-mondisme corse, la sociologie de l’époque aidant, sont largement issus des classes bourgeoises et urbaines et ne se préoccupent guère d’idéologie. Qu’ils maintiennent des positions aujourd’hui ridicules issus du tiers-mondisme d’alors ou qu’ils insèrent des revendications provenant directement de la nouvelle gauche décoloniale (écriture inclusive, théorie du genre…), la conceptualisation d’une identité intellectuelle propre ne les intéresse plus.

Tout cela explique les rapprochements idéologiques de plus en plus flagrants entre les cadres de l’autonomisme, de l’indépendantisme, et la base revendicative de la gauche parisienne. C’est une connexion sociologique entre bourgeois urbains qui lisent les mêmes auteurs et côtoient les mêmes salons. J’évoque évidemment les cadres, très peu les militants, encore moins les électeurs. Le tiers-mondisme a accouché aujourd’hui d’un indépendantisme d’extrême-gauche caricatural et d’un autonomisme de centre-gauche très bien-pensant. Ces deux forces n’ont pas les outils capables de répondre à la question islamiste et sont soumis de fait au logiciel nouveau qu’importe le wokisme dans les classes aisées et urbaines, très réduites mais présentes également en Corse. Charlie Hebdo, le 13 novembre 2015, les coups de couteaux dans la prison de Borgu contre deux surveillants corses en 2018, l’assassinat d’Yvan Colonna et j’en passe. Tout ceci est le fait d’individus issus de peuples anciennement colonisés qui justifient leurs actes au nom d’une idéologie purement théocratique, certes, mais enrobée d’un narratif tiers-mondiste, victimaire et anticolonial.

Face à cela, nous sommes des milliers de nationalistes à réagir en occidentaux de culture chrétienne, instinctivement, spontanément. Ce qui nous pousse à renouer avec l’élément essentiel de tout nationalisme, le linceul tiers-mondiste étant caduc, c’est-à-dire avec une pensée résolument identitaire.

Breizh-info.com : Votre cheminement est le même que le mien. N’est-ce pas finalement une affaire de génération ?

Nicolas Battini : Absolument. Nous sommes tous le fruit d’une génération.

Les nationalistes corses des années vingt étaient principalement de droite, ils venaient d’une société très rurale, très catholique et beaucoup d’entre eux ferraillent contre la République jacobine, clairement de gauche, après leur retour des tranchées de 14. Ce contexte structura les cadres nationalistes d’alors qui furent très à droite, A Muvra étant un journal emblématique de ce que j’évoque.
Cinquante ans plus tard, Mai 68 produisit énormément de cadres de gauche qui trouvèrent dans le nationalisme corse un moyen de vivre leur propre épopée révolutionnaire, s’appuyant sur une base militante et un embryon électoral déjà très identitaires mais qui acceptaient bon gré mal gré la phraséologie socialisante, pourvu que l’identité de la Corse fût mise en avant et défendue à travers la promotion de la langue et l’affirmation de l’existence de notre peuple.

Un demi-siècle plus tard, une autre génération émerge. Nous sommes la génération du 11 septembre, de Charlie Hebdo, du Bataclan, de l’assassinat d’Yvan Colonna par un islamiste, des questions migratoires et sociétales, des débats sur la virilité autour d’un barbecue ou sur les hommes enceints. La lecture et les positionnements qui en découlent sont donc nécessairement différents de ceux de nos aînés.

Breizh-info.com : Le problème dans nos terres sous domination républicaine française n’est-il pas justement que les nationalistes des années 60-80 dominent encore finalement la scène politique locale, au moins par leur propension à définir quels sont les champs de bataille principaux et ceux qui doivent être exclus ?

Nicolas Battini : Certes. Comme les nationalistes basques résolument traditionnels et spontanément conservateurs dominaient le nationalisme basque des années cinquante avant qu’une jeune génération marxiste et antifranquiste ne prenne le pouvoir par la production intellectuelle et le coup de force structurel. Aucune génération n’est éternelle. En cela, le travail idéologique et l’action partisane au sein de la jeunesse annonce toujours les recompositions prochaines.

Breizh-info.com : La question de la lutte contre l’immigration semble par exemple être totalement passée sous silence par des responsables comme M. Talamoni ou M. Simeoni, pourquoi ?

Nicolas Battini : La seule question migratoire qu’aucun est autorisé à évoquer sans subir les foudres de la bien-pensance locale est l’apport démographique continentale en Corse. Le tiers-mondisme autorise la critique du Français, il interdit dans le même temps celle du descendant de colonisés. Aussi, d’aucuns nous expliquent que la Corse ne peut pas recevoir des dizaines de milliers de Continentaux supplémentaires chaque année, en cela ils ont tout à fait raison et, du reste, nous convergeons sur ce point. La Corse n’a pas vocation à devenir le camp de retraite des boomers fortunés. Néanmoins, les mêmes se refusent au même discours concernant les populations du Sud de la Méditerranée. La classe parisienne de gauche et ses relais locaux ne l’accepteraient pas et ne manqueraient pas de marquer du sceau de l’infamie toute évocation du sujet.

Breizh-info.com : A ce propos, quelle est la situation migratoire en Corse ?

Nicolas Battini : En 2018, selon les chiffres du recensement de l’INSEE, les personnes nées étrangères à l’étranger et ayant acquis ou non la nationalité française représentaient 9,9 % de la population de l’île. 33 600 immigrés en Corse au total. À environ 23%, ces immigrés viennent du Portugal, à hauteur de 12% de l’Italie. Mais c’est bien le Maroc qui est le pays le plus représenté, avec près de 30% des immigrés de Corse.

La Corse est la 3ème région de France recevant le plus d’immigrés proportionnellement à sa population. Il s’agit d’ajouter à cela, bien évidemment, un flux constant en provenance du Continent comprenant nombre de boomers à la retraite qui alimentent un phénomène déjà avancé de dépossession foncière, de hausse des prix et de prédation héliotropique.

Breizh-info.com : Comment avez-vous reçu les déclarations de M. Simeoni se prononçant, une fois de plus, pour l’accueil des migrants amenés en Europe par les bateaux des ONG complices des passeurs ?

Nicolas Battini : Comme la suite logique de tout un logiciel bien-pensant et soumis à l’élite de gauche parisienne. Le ressenti populaire est extrêmement sévère à ce sujet. Le président Simeoni, que je connais personnellement et qui a tout mon respect sur un plan personnel, est un homme extrêmement intelligent. Il sait ce qu’il fait, il comprend les signaux qu’il envoie. Ces signaux ne s’adressent pas aux Corses qui, au second tour des présidentielles, votent Marine Le Pen à hauteur de 58% des suffrages.

Ce sont des signaux progressistes adressés aux états-majors d’Emmanuel Macron et de Jean-Luc Mélenchon. Le président Simeoni a fait le pari de la respectabilité pour atteindre l’autonomie, même s’il doit avancer contre l’avis populaire, même s’il aggrave tous les facteurs de décorsisation de la Corse au nombre desquels compte évidemment l’immigration incontrôlée. C’est une conception autonomiste devenue folle après avoir perdu de vue l’objectif historique du nationalisme : la défense de l’identité culturelle des Corses.

Breizh-info.com : Est-ce qu’il existe des mouvements nationalistes corses émergents, non groupusculaires, qui souhaitent en quelque sorte renverser la table d’un nationalisme corse resté dans les années 70-80 pour l’orienter vers de nouveaux paradigmes : et notamment la lutte pour la survie civilisationnelle qui va, à mon sens, de pair avec la lutte contre la République française et pour l’autonomie des patries charnelles ?

Nicolas Battini : Toutes les conditions sont désormais réunies pour l’émergence d’une telle force en Corse : une génération nouvelle, une sociologie qualitative qui souhaite s’impliquer, une démobilisation généralisée dans le mouvement nationaliste, une rupture toujours plus importante entre la jeunesse nationaliste et le vestige tiers-mondiste, le vieillissement d’une génération passée et son incapacité à renouveler sa vision d’ensemble, la fin de l’élan de 2015 et de son cortège d’illusion, la dynamique internationale favorable à une lecture civilisationnelle des rapports de force. Je pense, pour paraphraser Hugo, qu’il n’est rien de plus fort qu’une idée dont l’heure est venue.

Breizh-info.com : Vous expliquez notamment dans la grande interview à VA+ que les responsables nationalistes corses seraient en profond décalage avec le peuple corse… qu’est-ce qui explique qu’ils soient encore aux affaires dans ce cas ?

Nicolas Battini : Pour deux raisons essentielles.

La première : le facteur clanique. Celui qui détient le pouvoir politique en Corse détient également la capacité à distribuer emplois publics locaux et avantages. Un bon tiers de l’électorat corse se détermine en fonction de ces considérations. C’est une donnée essentielle à comprendre et à intégrer dans toute réflexion politique relative à la situation de notre île afin de relativiser les adhésions au pouvoir en place en même temps que le potentiel de renouvellement qui, tous deux, sont soumis à ce facteur népotiste et clientéliste.

La deuxième : la polarisation institutionnelle. La vie politique corse a vécu au rythme de l’opposition entre partisans de l’autonomie d’une part et jacobins républicains d’autre part. Ce paradigme d’opposition écartait de fait les considérations sociétales voire même les divergences d’ordre économique et social. Or, cette période prend fin pour la simple et bonne raison que la question institutionnelle n’entraîne plus les mêmes antagonismes qu’autrefois. L’autonomie de la Corse ainsi que la reconnaissance de l’existence de son peuple sont aujourd’hui admises par la grande majorité du paysage politique comme des positions raisonnables et acceptables. La polarisation des débats, nous en sommes convaincus, se fera désormais autour des questions suivantes : L’autonomie, pour quelle société ? Qu’est-ce que le peuple corse ? Alors, s’accomplira nécessairement, d’années en années, la recomposition du spectre politique insulaire autour des mêmes questions qui agitent l’Occident tout entier.

Breizh-info.com : La société corse actuelle, et notamment sa jeunesse, est-elle pénétrée par le wokisme, par un certain gauchisme distillée dans les universités, par les questions de genre…mais aussi, comme cela peut l’être en Bretagne, par un attrait qui mériterait parfois des études psychologiques, pour « l’autre » du moment qu’il n’est pas Français et surtout si il vient d’une autre continent ?

Nicolas Battini : La société corse connaît la même situation que le reste de l’Occident. D’une part, une classe bourgeoise urbaine et aisée qui se fait le relais des nouvelles trouvailles progressistes élaborées à Boston en constituant localement le bloc élitaire, d’autre part les périphériques, les ruraux et les déclassés,  » les petits Blancs « , qui sont hermétiques à la radicalisation woke des élites et sont essentiellement structurés autour de ce qu’il reste de nos valeurs traditionnelles (la famille, le village, les ancêtres, les processions…) tout en étant sensibles aux problématiques qui impactent leur niveau de vie (immigration, sécurité, prix de l’essence…). Comme souvent dans l’Histoire, l’élite a une longueur d’avance. Elle est éduquée, produit des cadres, a accès aux médias, tient l’Education Nationale. Elle s’est déjà recyclée dans l’autonomisme dirigeant, jusqu’à le vider de sa substance identitaire initiale et historique, n’en tolérant que quelques slogans en langue corse.

Néanmoins, il existe une différence essentielle entre la Corse et la Bretagne : le niveau de richesse et d’urbanisation. La Corse est un pays pauvre, vieillissant, encore très rural, peu urbanisé. Son substrat populaire est essentiellement conservateur et périphérique, son élite de centre-ville très limitée quantitativement et opérationnellement. Ce qui rejoint d’ailleurs ce qu’expliquent Jérôme Sainte Marie et Jérôme Fourquet quant aux territoires qui votent pour Marine Le Pen aux présidentielles.

Breizh-info.com : Quelles perspectives pour le nationalisme corse au 21ème siècle selon vous ?

Nicolas Battini : Un nationalisme nationaliste. Basé sur l’héritage, l’appartenance familiale, la culture, l’histoire des ancêtres, les traditions communautaires. Une pensée organisée sur une proposition autonomiste, soucieuse des réalités économiques et considérant le Corse moyen tel qu’il est, avec l’acculturation due à nos sociétés modernes, avec la périphérisation qu’entraînent les grandes espaces urbains, avec les mélanges d’origines qu’induit le développement des transports et des communications, mais sans rien renier de notre passé, de nos racines et de notre continuum historique. Sans se soumettre aux injonctions du progressisme radical.

Breizh-info.com : Doit-il se chercher des alliés, y compris dans l’hexagone, y compris parmi d’autres peuples d’Europe, ou pensez-vous qu’il doive se cantonner à une lutte et une seule, en Corse ?

Nicolas Battini : Dès lors que les nationalismes autochtones d’une part renoncent au tiers-mondisme et à son corollaire indépendantiste et que, d’autre part, les nationalismes d’État tournent la page du jacobinisme issu historiquement de l’extrême-gauche républicaine, s’ouvrent d’infinies perspectives d’entente et de partenariat. C’est du reste ce qu’il se passe en Sardaigne depuis 2019, à travers l’alliance de la Lega et des nationalistes sardes du PSA. Face au délitement civilisationnel, pour résister à cette pression commune qu’exerce le wokisme de l’intérieur et l’islamisme de l’extérieur, le temps est à la convergence de ceux qui veulent défendre ce qui dure, dans le respect et la considération de nos identités communes ou respectives.
 Breizh-info.com

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Dans vos commentaires cette semaine : « Que font-ils donc pour la France ? »

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On a les stars qu’on mérite. « Ce 19 novembre : Emmanuel Macron a rencontré la chanteuse Yseult, écrit notre chroniqueur Arnaud Florac dans son article . La chanteuse qu’il a désignée comme… marraine de la francophonie pour l’année 2024 ! Une série de photos, postées sur le compte Twitter du chef de l’État, rendent compte de cette belle initiative ». Cette promotion d’une chanteuse tout ce qu’il y a de plus wokiste a interpellé Johnny Croipa : notre lecteur a étudié le personnage et les paroles de ses chansons. Il en est revenu armé pour deux exécutions : « Même coiffure qu’Assa Traoré, même mentalité qu’Iquioussen, on peut comprendre que notre président déconstruit adore, ironise-t-il. Pour suivre le conseil redoutable d’Arnaud Florac, j’ai plongé dans la lecture des paroles de l’œuvre de cette artiste remarquable, béatifiée par une victoire de la musique. J’y ai effectivement pris une violente bouffée de vide sidéral. On plane comme on peut ». Macron et Yseult, même combat ? Pour Cidcampeador, « Macron n’en est plus à une “indignitude” de plus ». Et notre fidèle lectrice Josée Perlaut tire avec lucidité la conclusion qui s’impose : « Macron fait le job pour lequel une partie des votants l’ont élu, c’est-à-dire détruire le pays et le ridiculiser ». De quoi donner un espoir à Zebulon qui croit à la justice, la vraie : « J’espère que ce Macron paiera un jour tout le mal qu’il aura fait à notre pays ».

Et ce jour-là, pour Macron, la facture sera lourde, encore plus lourde que les frais pharaoniques, payés par les Français, d’une immigration devenue folle. Notre journaliste Clémence de Longraye en donne la preuve point par point dans son article Cinquante mille euros par mineur isolé : quand l’État finance sa propre submersion migratoire« Cette question – certes cruciale – de la minorité parfois factice des jeunes migrants cache un autre sujet de taille, écrit-elle : le coût réel de leur prise en charge. Chaque année, la France dépense ainsi des milliards d’euros pour subvenir aux besoins de ces mineurs dits isolés ». Clémence de Longraye fait le détail, point par point, de ce gouffre. Notre lecteur Julien 65 a pourtant d’autres idées pour utiliser cet argent : « Pendant que ces milliards s’envolent et partent dans les poches d’associations et d’organismes dédiés par exemple… à l’accroissement de l’invasion, il n’y a plus d’argent pour aider nos enfants à travailler mieux à l’école.. ». Et oui, l’Etat macroniste a ses priorités. Marie-Odile Stouff pose d’ailleurs la bonne question : « Tous ces soi-disant mineurs non accompagnés, obtiennent-ils ce statut à vie ?, demande-t-elle. Je me suis toujours demandée ce qui arrivait le jour de leurs 18 ou 21 ans, dans leurs propres pays ? » Mais face au déluge, notre lecteur San Antonio n’est guère optimiste : « Nous pouvons en parler autant que nous le voulons, nous ne pouvons rien faire ! C’est pour eux la loi “européenne” qui s’impose, si ces prétendus mineurs mettent le pied en Europe ils sont “intouchables” ». Même tonalité fataliste chez Jean Des Entamures : « Une fois que l’on a dit cela, et on le sait depuis déjà plusieurs années puisque nous l’avons dénoncé durant la campagne présidentielle, on fait quoi ? On dit quoi, tous les jours, à tous ceux qui sont autour de nous et qui votent Macron, NUPES ou LR ? »BV a la réponse : on leur recommande de s’abonner d’urgence ! Incitez vos amis à s’abonner en masse ! Diffusez-nous pour aider les Français à ouvrir les yeux !

Car Amélie de Montchalin ne fera campagne ni pour BV, ni pour son pays. Dans son article (Amélie de Montchalin est recasée : enfin !), Georges Michel ne lui présente guère de cadeaux, alors même que Noël approche. « On apprend en effet que celle qui fut battue aux législatives dans l’Essonne par le socialiste Jérôme Guedj hérite d’un poste prestigieux. Celui de représentante permanente de la France (autrement dit ambassadrice) auprès de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), une organisation internationale qui compte une petite quarantaine de pays développés. Un poste qui devrait aller comme un gant à l’ancienne secrétaire d’État chargée des Affaires européennes, tout juste âgée de 37 ans ».

Nos lecteurs rivalisent d’ironie. A l’image de Scandella : « Eh oui, Amélie. La crise, c’est pour tout le monde, c’est trop dur ! » Ou de Candide : « République des copains et des coquins, aurait dit Michel Poniatowski ». Bernard, lui, s’attarde sur cette (décidément) étrange politique de nomination : « Ce qui est bien avec Macron, c’est que qui perd gagne ! Soyez mauvais et vous serez récompensé ! ». Une méthode qui a fait ses preuves ?

Dans cet océan de nullité crasse alimenté généreusement par le macronisme, un homme vous a redonné un peu de peps, c’est le nouveau président du Rassemblement national. Car « en bonne logique, ces instances supranationales devraient s’auto-congratuler bruyamment, remarque Nicolas Gauthier dans son article Anniversaire au Parlement européen : Jordan Bardella met de l’ambiance à StrasbourgSoixante-dix ans de Parlement européen, trente de traité de Maastricht et vingt d’euro, ce n’est pas rien. Et pourtant, grande est l’impression que tout cela a, non point été fêté, mais à la va-vite commémoré ».

Crusader applaudit : « Bon discours de Bardella. Les Français ont-ils voté pour cette Europe ? Je ne pense pas. Une Europe des nations serait préférable à cette U.E. qui veut impose sa loi. Une loi qui se substitue à la nôtre et fait qu’en matière d’immigration, nous ne pouvons pas prendre les mesures qui s’imposent, surtout avec un Macron, qui préfère l’U.E. à la France ». Mais Bernard s’agace : « Nous avons élu des “députés” à Bruxelles ! Que font-ils donc pour la France ? » C’est par un feu d’artifice ininterrompu que vous saluez cet anniversaire européen. Un feu d’artifice de critiques résumées par Larouille : « Il faut en finir au plus vite avec cette prétendue “construction européenne” qui n’est, en réalité, que la source d’une idéologie politique contraire à ce qu’attendent la plupart des pays concernés ». Laissons à Coeurvert le mot de la fin : « La construction européenne est purement idéologique. (…) Cette idéologie a construit le cadre d’une dictature qui musèle ses oppositions et brime les peuples. Comme toute construction idéologique elle conduit au désastre. La Norvège et la Suisse qui ont choisi d’échapper à cette chimère montrent bien qu’une autre voie était possible. Et meilleure ». 

Marc Baudriller Boulevard Voltaire

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