Joe Biden, otage de ses minorités ethniques : ça commence à coincer, à la Maison-Blanche…

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

Du temps de Donald Trump, les choses étaient finalement plus simples, avec l’Amérique du milieu contre celle des côtes. Avec Joseph Biden, ce n’est finalement guère plus compliqué : les USA tournés vers le lointain ont pris leur revanche sur l’enracinement incarné par son prédécesseur. Seulement voilà, autant le bloc électoral ayant soutenu Donald Trump demeure à peu près homogène, non point d’un point de vue ethnique – nombreux sont les Afro-Américains et les Hispaniques à lui avoir apporté leurs suffrages -, autant la coalition ayant permis la victoire de Biden est autrement plus fluide, puisque addition de minorités pas toujours friendly entre elles.

Car après l’union de façade contre le Grand Satan trumpien, on constate sans surprise qu’une minorité opprimée trouvera toujours plus opprimé et minoritaire qu’elle. Ainsi, au grand bal multicolore, il est des invités auxquels les instances progressistes de Washington ont oublié d’envoyer le carton d’invitation : l’AAPI, par exemple, soit l’« Asian Americans and Pacific Islanders », se sentant stigmatisée d’avoir dû se contenter des restes du banquet.

Pourtant, Joe Biden avait mis les petits plats dans les grands : une Amérindienne à l’équivalent de notre ministère de l’Intérieur, un Cubain dans les proches dépendances du ministère en question, un homosexuel aux Transports et un transgenre indéterminé à celui de la Santé. Mais l’AAPI, dont les enfants sont déjà discriminés à l’entrée des universités, commence à renauder, surtout depuis le massacre d’Atlanta, perpétré le 16 mars dernier ; lequel aurait été perpétré en raison de l’origine asiatique des employés de ce salon de massage, théâtre du carnage, où six femmes et deux hommes auraient pu être abattus pour des motifs susceptibles d’avoir eu trait au Covid, là-bas surnommé « virus chinois ».

Résultat ? Tammy Duckworth, sénatrice d’origine thaïlandaise mais ayant vu le jour en Illinois, forte du soutien de Mazie Hirono, originaire d’Hawaï, ont menacé de bloquer toute future nomination au Sénat. Ce qui n’est pas exactement de la dinde pour Thanksgiving, sachant qu’en cette enceinte, les élus démocrates regardent autant d’édiles républicains en chiens de faïence. Pour trancher le nœud gordien, la Maison-Blanche fait donc valoir les origines asiatiques de Kamala Harris, sa mère étant née en Inde. Mais l’AAPI rétorque aussitôt : « C’est insultant ! Dirait-on aux Noirs que Kamala Harris est noire et qu’il n’y a pas besoin d’autres Afro-Américains au sein de l’administration ? »

Le problème, c’est que Kamala Harris n’est pas vraiment noire, son père étant né en Jamaïque, pays hautement métissé – même le père de Bob Marley était un officier britannique bon teint –, tandis que sa mère indienne, malgré la proximité géographique, ne participe en rien de la sphère culturelle asiatique : de New Delhi à Pékin, il y a loin.

On ajoutera encore que les parents de la 49e vice-présidente des USA n’ont, d’un point de vue sociologique, que peu de chose à voir avec le ghetto de Harlem : papa est économiste et professeur émérite à Stanford, là où il rencontre maman qui, elle, est doctorante en endocrinologie. Si l’on met de côté les considérations raciales pour en revenir au champ social, on admettra que Kamala Harris a toujours évolué dans la haute société, contrairement aux ploucs votant pour Donald Trump. Salaud de pauvres !

En attendant, l’AAPI exige que leurs compatriotes soient mieux représentés. Plus facile à dire qu’à mettre en œuvre : avec un seul représentant sur 23 dans le cabinet Biden, les Asiatiques représentent 4,5 % du cabinet en question alors qu’ils pèsent 5,5 % de la population. Une seconde nomination ferait donc grimper leur représentation à 18 % et provoquerait la colère d’autres minorités données pour être « discriminées » mais qui, une fois arrivées au pouvoir, ne font jamais rien que de s’entre-déchirer.

À la place de Donald Trump, on se claquerait les cuisses de rire.

Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire

Après Vincent Bolloré, Éric Zemmour et Pascal Praud : Sonia Mabrouk, ça fait du bien !

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

À l’occasion de cette Semaine sainte, les chaînes KTO et CNews programment ensemble la retransmission de la messe du Jeudi saint en direct de Notre-Dame de Paris. Avec la participation, entre autres, de Sonia Mabrouk. Une journaliste qui tranche dans le paysage médiatique. Par sa classe, son anticonformisme, sa parfaite diction de la langue française et son extrême courtoisie, Sonia Mabrouk, c’est un peu l’« anti-Cyril Hanouna ». Issue, comme lui, de Tunisie, elle a choisi la France grâce à une rencontre. Celle d’un professeur de français au lycée de Tunis qui a su lui transmettre avec passion la langue, l’histoire, la culture et le patrimoine de notre pays.

Après des études à la Sorbonne, Sonia Mabrouk revient en Tunisie, son pays natal, pour enseigner à l’IHEC de Carthage, dont elle est également diplômée. Un peu par hasard, elle intègre, quelques années après, le milieu journalistique comme rédactrice au journal Jeune Afrique. Mais c’est Jean-Pierre Elkabbach qui, en lui proposant la présentation du journal à Public Sénat, la décide à faire ses valises pour Paris. La suite, pour elle, ce sera Europe 1 avec d’abord le « Débat des grandes voix » et CNews (« Les Voix de l’info »), et depuis la rentrée de septembre, l’entretien politique au journal de 8 heures d’Europe 1, ainsi que “Midi News”(CNews). 

À l’aise avec le monde politique dans lequel elle a toujours baigné (elle est nièce et petite-fille de deux ministres tunisiens), Sonia Mabrouk manie charme oriental, éducation raffinée, impertinence et parole incisive. Ses invités font parfois les frais de sa lutte contre les conformismes et le prêt-à-penser. Comme des coups de pied dans une fourmilière, elle rafraîchit les mémoires et rappelle à BHL son soutien à Cesare Battisti, à Jack Lang les complaisances d’une certaine gauche pour la pédophilie, au Défenseur des droits les illogismes des « zones de non-droit », à la responsable de l’UNEF le racisme des réunions non mixtes et à Alice Coffin le traitement médiatique de ses opposants.

Alors, bien sûr, Sonia Mabrouk a ses détracteurs. Éric Dupond-Moretti lui reproche « de faire dans la surenchère populiste » et certains de ses confrères s’inquiètent de la montée en puissance de cette autre conception du journalisme qui vient bouleverser la quiétude des médias habituels. Sur le site Acrimed, on trouve cette remarque de bon augure : « Quant à l’avenir de Sonia Mabrouk au sein d’Europe 1 (en passe de tomber dans l’escarcelle de Vincent Bolloré) ou de CNews (où elle présente « Midi News »), on gage qu’il s’annonce radieux. »

Toujours cette ombre de Bolloré… Et ce n’est pas la programmation de cette messe de Jeudi saint qui devrait les rassurer. La présence à l’antenne de Sonia Mabrouk, qui se dit musulmane, pourrait sembler paradoxale. Mais ce serait oublier que celle-ci, à longueur d’ouvrage (Douce France, où est (passé) ton bon sens ?), en appelle au sursaut des valeurs chrétiennes et au retour de la spiritualité pour cette France qui ne veut pas disparaître.

Sabine de Villeroché, Boulevard Voltaire

Marseille : le salarié musulman a refusé de me livrer une bière

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Une histoire qui reflète bien le chemin que nous prenons en France…

Ayant commandé sur une plateforme dédiée (Uber Eats) un sympathique menu composé d’un canard laqué, de nems aux crevettes et d’une bière, je m’attendais à être livré dans des délais normaux.

Trois quarts d’heure plus tard, toujours rien et soudain, un message de la part de la plateforme m’informant que la commande avait été annulée.

Tiens donc, quel est l’incident qui a bien pu causer une telle privation, aussi soudaine qu’inexpliquée ?

Un appel au restaurant plus tard, la sanction tombe dans toute sa splendeur. Une personne, aussi gentille que consternée par cette histoire, me confirme que le livreur de ladite plateforme, de confession musulmane, ce qui en soi n’est pas un problème, a purement et simplement refusé de prendre la livraison au prétexte que la commande contenait de l’alcool… Là, oui, nous avons un problème.

Je serai donc privé, non seulement de mon canard laqué mais aussi de la livraison de cette  boisson impie que la céleste pureté du livreur – qu’Allah l’inonde de ses bienfaits – a pu, dans sa grande sagesse et son immense piété, empêcher.

Ce qui m’amène aux conclusions suivantes :

  • Un livreur a libre accès au détail d’une commande qu’il est supposé livrer et non pas de contrôler, et encore moins d’arbitrer,
  • Un livreur, exerçant sur la voie publique, dans un pays laïque, a la possibilité de refuser une livraison en avançant un prétexte religieux,
  • Qu’un tel comportement amène les gens à généraliser et ce sont ceux qui s’intègrent qui vont finir par payer pour les idiots sus-mentionnés,
  • Que l’islam commence désormais à régir des pans entiers des vies non musulmanes,
  • Et que tous ces fanatiques, car il s’agit bien de fanatisme, commencent, pardonnez-moi l’expression, à me faire chier sérieusement
  • Que ce sont désormais les musulmans qui décident de ce qui est acceptable ou non et que ce soit accepté !

Rigolons un moment et imaginons que je sois livreur et refuse de livrer un couscous, des tajines ou je ne sais quoi au prétexte que ces plats sont, comme ma malheureuse bière, impurs.

Pour finir, la plateforme de livraison, contactée et mise au fait de cet incident dans les moindres détails, préfèrera mentionner un « incident technique pendant la livraison ».

Ainsi, pour certains, le fanatisme religieux est parfaitement admissible, pourvu que nous restions officiellement dans le politiquement correct.

Islam 1, Nous 0

On n’est pas dans la m….

Marc Paringaux, dans Riposte Laïque

LOT : des femmes accouchent sur les routes faute de pouvoir atteindre l’unique maternité du département.

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

Occitanie : une femme accouche seule dans sa voiture au péage en se rendant à l’unique maternité du Lot

[…]

Une femme a été contrainte d’accoucher seule dans sa voiture dimanche 28 mars alors qu’elle tentait de rejoindre la maternité de Brive (Corrèze). Elle a donné naissance à une petite fille au niveau du péage de Gignac (Lot).[…]

Cette belle histoire illustre surtout un phénomène inquiétant dans le Lot. Des femmes accoucheraient sur la route faute de pouvoir atteindre l’unique maternité du département, située à Cahors. La Dépêche du Midi s’était penchée sur sujet le 8 mars dernier. Désormais, les pompiers sont formés et assistés par trois sages-femmes. De plus, les futures mères de famille peuvent se préparer à devoir affronter des accouchements surprises sur le chemin.[…]

L’article dans son intégralité sur Midi Libre

Face au Covid, l’ivermectine: médicament miracle bientôt reconnu?

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/sante/202103301045418389-face-au-covid-livermectine-medicament-miracle-bientot-reconnu/

Déjà mis en avant au début de la pandémie pour son éventuelle action contre le virus, l’antiparasitaire revient sur le devant de la scène. Bien qu’il n’ait jamais été officiellement reconnu comme bénéfique par les autorités sanitaires, de nouveaux signaux encourageants incitent politiques et scientifiques à attirer l’attention de l’OMS. Décryptage.

Les messages de soutien se multiplient comme par génération spontanée. Depuis le début de la semaine, une foule d’internautes prônent le recours à l’ivermectine face au Covid.

Cet antiparasitaire est usuellement prescrit contre la gale. Deux éléments déclencheurs expliquent la virulence du débat dont il fait l’objet. D’une côté, la publication, le 10 mars, d’un article attestant l’efficacité du vermifuge contre le Covid-19. Parmi les quatre scientifiques japonais signataires du texte figure le découvreur de l’ivermectine en personne, Satoshi Ōmura, prix Nobel de médecine 2015. De l’autre côté, un rapport de l’Agence européenne des médicaments, cette fois publié le 22 mars, déconseille l’utilisation préventive ou curative de l’antiparasitaire.

«De plus en plus d’articles sortent ainsi que des méta-analyses –dont une française. Et il y a un consensus, ce qui n’était pas le cas avec la chloroquine. Il y a près de quatre-vingt-douze études et elles ont toutes le même résultat: une mortalité divisée par quatre voire par cinq et des symptômes qui disparaissent deux fois plus rapidement, en à peine plus de quarante-huit heures. Enfin, il n’y a aucun effet secondaire grave. Qu’est-ce que ça nous coûterait d’essayer?» s’interroge le docteur Gérard Maudrux.

Le chirurgien cache difficilement son incompréhension face aux réserves de l’Agence européenne. Ainsi, un an après les premiers résultats vantés par des chercheurs australiens et relayés avec enthousiasme par le laboratoire MedinCell en France, ou encore après les effets surprenants surprenants obtenus dans un Ehpad traité en amont de la pandémie, l’action de l’ivermectine contre le SARS-CoV-2 n’est toujours pas validée.

Regain d’intérêt et guerre de lobbying

En réalité, le débat autour du médicament revêt des enjeux précis, concède notre interlocuteur. L’engouement actuel risque de s’avérer insuffisant pour infléchir les autorités sanitaires.

Le hashtag #BeBraveWHO, qui a inondé la toile récemment, prend pourtant de l’ampleur. «C’est l’opinion publique qui fait changer l’avis des politiques», reconnaît l’ancien président de la caisse de retraite des médecins et de la caisse maladie des professions libérales. Avant de se montrer plutôt sceptique quant à la décision de l’ANSM (l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) qui doit être rendue dans les prochains jours.

«Les décisions sont politiques et financières, elles ne sont pas médicales. C’est un médicament totalement inoffensif, il y a moins de quinze morts en trente ans sur 4 milliards de prescriptions. C’est 100 voir 1.000 fois plus avec le doliprane, tout le monde le sait. Je défie d’ailleurs Olivier Véran d’ingurgiter dix boîtes de doliprane et moi dix d’ivermictine. Il sait très bien qui risquerait d’en mourir.»

En France, les profils des partisans du vermifuge commercialisé sous le nom de Stromectol présentent au moins un point commun: une certaine méfiance à l’égard de la politique vaccinale et une hostilité envers les manœuvres de Big Pharma. Présentés par L’Obs comme «controversés» et taxés par d’autres de «complotistes», ces défenseurs français de l’ivermectine vont de Marine Le Pen à Nicolas Dupont-Aignan en passant par Jean-Frédéric Poisson ou encore Florian Philippot. Ils regroupent également des figures devenues célèbres du domaine de la santé, comme le biologiste Jean-Pierre Changeux, l’avocat Fabrice Di Vizio ou encore la «vaccino-sceptique» Alexandra Henrion-Caude.

Si certains pro-ivermectine sont donc connus pour être des figures de l’opposition à la stratégie sanitaire actuelle, les anti-ivermectine ne s’intéresseraient que de manière partiale aux études, selon le docteur Maudrux.

Le singe vert africain n’est pas d’accord

Farouchement opposée à ce traitement, l’épidémiologiste Dominique Costagliola, directrice de recherches à l’Inserm, argue régulièrement de l’inefficacité du traitement sur des cellules Vero (cellules cultivées en labo à partir de cellules prélevées chez le singe vert africain, sur lesquelles sont menées nombre d’expériences en virologie).

«Elle est restée un an en arrière avec ses cellules Vero. Ce qui est intéressant, c’est ce qui se fait chez l’homme. Parfois, vous avez de très bons résultats in vitro et pas chez l’homme. Parfois, c’est l’inverse, car des tas de molécules interviennent. Dominique Costagliola se focalise là-dessus parce que cela lui évite de parler des études qui ont été menées sur l’homme et qui fonctionnent», tempête le docteur Maudrux.

Animateur d’un blog sur l’actualité liée à la pandémie, notre intervenant déplore toutefois des enjeux trop importants pour que ce traitement du Covid soit officiellement reconnu. Bien qu’il soit d’ores et déjà utilisé aux quatre coins du monde.

Hydroxychloroquine bis?

En définitive, le praticien pense que l’ivermectine risque fort de connaître le même sort que l’hydroxychloroquine. Comme l’antipaludique cher au professeur Raoult, l’antiparasitaire convainc de nombreux médecins et patients, études à l’appui. Il se voit donc toujours recommandé par certains scientifiques et reste prescrit malgré l’absence d’aval de l’OMS.

«Une seule étude se suffit à elle-même, celle qu’a menée le docteur Carvallo en Argentine sur 1.200 soignants au contact du Covid, dans quatre hôpitaux différents ne communiquant pas entre eux. 800 ont reçu de l’ivermectine, 400 non. Sur les 800 il y a eu zéro cas et sur les 400, 237 cas, soit plus de 50%. […] Les trois ou quatre études qui invalident son efficacité ont, quant à elles, été menées sur des sujets de 28 ans qui, pour la plupart, guérissent tout seuls. Donc, forcément, les résultats son biaisés», poursuit le docteur Maudrux.

Ces arguments finiront-ils par être entendus? Aux États-Unis, le National Institutes of Health (NIH) a récemment modifié sa recommandation, passant de négative à neutre. Un premier pas timide. Pas de quoi décourager notre interlocuteur: l’essayer ne coûterait rien, si ce n’est «de l’argent aux laboratoires qui produisent les vaccins»… Il est convaincu que des médicaments à 5 euros ne seront jamais assez rentables pour être reconnus utiles. «L’ivermectine serait vendue à 1.000 euros, des tas de labos présenteraient des dossier à l’ANSM… En attendant, des gens meurent», constate-t-il avec amertume.

La chanson du jour, VALE – BICEP

Retour à la musique du 21ème siècle. Bicep est un groupe de musique électronique Nord-irlandais. L’atmosphère est totalement actuelle avec une touche des années 90. Ce morceau sonne juste et ravira les inconditionnels de la musique électronique.

Castaner, chef de LREM à l’assemblée, soutient le principe des réunions interdites aux Blancs

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

Vous avez toujours des gens qui comptent le nombre de personnes dans un mouvement militant pour le réduire – ou non – à un groupuscule.

Les majorités sont toujours formées par une petite minorité d’activistes déterminés à imposer leurs vues au reste de la société. […]

Aujourd’hui, c’est la ségrégation raciale portée par la gauche radicale qui est désormais normalisée et, depuis hier, au plus haut niveau. Christophe Castaner, le chef du groupe parlementaire macroniste à l’Assemblée, a tranché en faveur de l’apartheid.

Le Point :

Mais le patron des députés LREM, Christophe Castaner, s’est voulu plus nuancé: tout en reconnaissant des propos de Mme Pulvar « a minima maladroits », ce macroniste historique et ancien PS a refusé de « contribuer à la chasse contre elle », rappelant que « ce type de réunions sont parfois nécessaires pour libérer une parole pour un groupe qui se sent victime« .

« On le pratique très couramment sur les violences faites aux femmes, par exemple, et c’est nécessaire. L’essentiel c’est d’accompagner les victimes », a-t-il ajouté sur BFMTV, en faisant valoir que « le vrai sujet, c’est qu’aujourd’hui il y a des femmes et des hommes qui sont victimes de racisme, de stigmatisation, de rejet ».

C’est évidemment une excellente nouvelle.

La dynamique raciale ne fait que s’intensifier et les politiciens les plus établis misent sur la démographie extra-européenne. Castaner a évidemment consulté Macron sur le sujet et fait savoir aux racisés qu’ils n’avaient rien à craindre : pas de dissolution, ni d’arrêts des transferts de fonds gouvernementaux pour leur syndicat.

C’est Manuel Valls qui a le mieux résumé les conséquences de ce qui se passe : la victoire par procuration du racisme blanc.

[…]

La balkanisation de la France va pouvoir se déployer tous azimuts sans aucune espèce de résistance, sauf dans les zones de peuplement blanc où la conscience raciale sera sur le pied de guerre.

Extrait de Démocratie Participative

Des médecins de plateau passés au crible

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

Le Pr Jean François Timsit sur BFMTV : «  Les réanimations des hôpitaux en Ile-de-France étant débordées par l’afflux des malades du Covid, 80 % des opérations prévues seront reportés. »

Libération l’affirme : ces annonces anxiogènes reposent sur des chiffres truqués ! Les communications officielles jouent sur les mots. Le terme « patients en réanimation » désigne les patients atteints du Covid-19 placés dans les services de réanimation, mais aussi en unités de soins intensifs (SI) ou en unités de surveillance continue (SC). 

Exemple : Franceinfo titre sur la création en Ile-de-France de 2 200 lits de réanimation, par rapport à 1 577 lits de soins critiques dédiés aux seuls malades du coronavirus.

Logiquement…

1. les patients en soins critiques n’auront pas forcément besoin de réanimation.

Dans Touche pas à mon poste, jeudi 18 mars, Fabrice Di Vizio dévoilait la supercherie du comptage des lits : « Qu’on m’explique aujourd’hui pourquoi les 46 % des patients qui sont en réanimation sont en réalité en soins intensifs. »

2. si les lits de réanimation qui vont être créés sont réservés aux malades du Covid, pourquoi déprogrammer des opérations ? L’explication serait qu’on ferme des blocs opératoires pour les transformer en lits de réanimation. Or, en 2018, l’AP-HP avait 50 blocs opératoires, avec plus de 316 salles d’opération. On est loin des 2 200 lits supplémentaires annoncés.

€€€ – Le Pr Jean-François Timsit a reçu 124 269 € des laboratoires (Eurosfordocs).

Allez, un autre médecin, le Dr Gilles Pialoux, lui aussi nous informe à sa manière, sur CNews : « Les jeunes sont en souffrance, mais il y a eu moins de suicides en 2020 qu’en 2019. »

Sylvie Tordjman, professeur de pédopsychiatrie, cheffe du pôle de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent à l’Université de Rennes 1, déclare sur France Inter que les hospitalisations des jeunes de moins de 15 ans pour motif psychiatrique sont « en hausse de 80 % » depuis octobre.  On a assisté à un nombre de crises suicidaires — à savoir des tentatives de suicide, mais aussi des jeunes qui présentent des idées suicidaires, en particulier pour les moins de 16 ans — qui a été multiplié par deux fois et demie.

La Fondation Jean-Jaurès a mené une enquête sur le suicide : parmi ceux qui ont envisagé de se suicider, 25 % ont entre 18 et 24 ans. Le lien entre le risque suicidaire et les crises économiques et sociales est connu, notamment depuis la crise de 1929.

Logiquement…

1. quand on sait que le premier pas vers le suicide est la dépression, il semble difficile d’affirmer que les suicides régressent.

2. comment affirmer une baisse du nombre de suicides en 2020 quand on sait que les statistiques de suicides les plus récentes mises en ligne datent de 2016. Celles de 2017 seront publiées en septembre 2021.

€€€ – Le Dr Gilles Pialoux, a touché 22 783 € du laboratoire MDS France (Transparence Santé) sans compter de nombreux autres laboratoires (faites l’addition, car chaque versement étant déclaré séparément, ça prend du temps).

Écoutons autre son de cloche avec Sud Radio. Le Dr Bernard Kron nous dit : « Les chiffres qu’on vous donne sont faux ! Selon l’ARS Ile-de-France, 50 % des malades en réanimation ne sont pas des Covid et les 50 % autres qui ont le Covid ne sont pas intubés. Et quant aux 110 % d’occupation des lits en réanimation : il suffirait d’ouvrir des lits à l’Hôtel-Dieu et au Val de Grâce qui ont été fermés. »

Media en 4-4-2

Taïwan, prochaine étape de la guerre USA-Chine

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

C’est une nouvelle course aux armements qui se profile entre les États-Unis et la Chine. Mais elle est loin d’être gagnée par le leader du camp occidental.

On se souvient que Ronald Reagan avait fini par mettre l’URSS à genoux en se lançant dans une fabuleuse “guerre des étoiles”, que les Soviétiques avaient été incapables de poursuivre bien longtemps. En 1989 Reagan sortait grand vainqueur de la guerre froide sans avoir tiré un seul coup de fusil. L’URSS, ruinée, allait se désintégrer.

Mais avec la Chine, la partie s’annonce des plus difficiles.

En 20 ans, Pékin a consenti un effort gigantesque pour augmenter sa puissance militaire dans tous les secteurs…

Mais c’est dans le domaine maritime que l’effort est le plus spectaculaire, la Chine ayant triplé sa marine de guerre en 20 ans.

Elle possède dorénavant 360 bâtiments, soit 60 de plus que l’US Navy, et elle en aura bientôt 400.

Jamais depuis 1945 les États-Unis n’avaient vu leur suprématie navale contestée. L’US Navy est même en passe d’être surclassée.

Certes, en termes de tonnage, la marine américaine dépasse encore celle de la Chine et la capacité opérationnelle de l’US Navy reste très supérieure à  celle de la marine chinoise qui n’a pas l’expérience de l’âge. Mais les Chinois apprennent vite.

Trump avait lancé un vaste plan de réarmement naval, confirmé par Biden qui reste particulièrement attentif à la menace chinoise.

La construction navale est devenue la priorité de la Maison-Blanche.

En 2045, l’US Navy devrait aligner entre 382 et 446 navires de combat avec équipages et entre 143 et 242 bâtiments sans équipage. La révolution technologique va modifier  l’art de la guerre, qu’elle soit terrestre, aérienne ou navale.

Vus depuis la frileuse Europe, dont les armées sont déclassées et paupérisées, ces chiffres américains sont impressionnants.

Pourtant, pour armer les navires et les moderniser, pour entraîner les équipages, il faudrait 40 milliards de dollars supplémentaires afin d’assurer la mise en œuvre des 300 bâtiments actuels. Le budget marine est de 160 milliards, alors qu’il en faudrait 200.

L’US Navy aligne 11 porte-avions gigantesques, avec une permanence opérationnelle sur toutes les mers du globe. La France, quant à elle, a fait le choix d’un unique porte-avions opérationnel à mi-temps !

En fait, c’est Taïwan qui représente le plus grand risque d’affrontement entre Pékin et Washington et qui cristallise les tensions entre les deux pays.

Après avoir mis Hong-Kong au pas, au mépris le plus total des contestations internationales, Pékin entend bien récupérer l’île rebelle.

D’où les multiples provocations en mer de Chine méridionale pour tester les réactions de Washington. On est bien loin de l’époque où l’écrasante supériorité de l’US Navy calmait les ardeurs chinoises dans la zone. Une agression contre Taïwan devient chaque jour plus crédible.

Attaque d’îlots isolés, blocus naval et aérien ou débarquement massif sur l’île, tous les scénarios sont envisagés.

On évoque un possible affrontement armé dans les cinq ans. Pour l’heure, c’est la dissuasion qui prévaut, en montrant ses muscles des deux côtés.

Mais jusqu’à quand ? Car il serait bien naïf de croire que Pékin renoncera à l’arrimage de Taïwan à la Chine continentale.

Quand Pékin aura assuré sa suprématie navale dans la zone, pas certain que les États-Unis acceptent de payer le prix d’un affrontement très coûteux.

À mon avis, Taïwan, tout comme Hong-Kong, n’échappera pas à la réunification. Les Chinois savent que ce n’est qu’une question de temps.

(source Figaro), Jacques Guillemain (dans R.L.)

La double peine des Français : séquestrés par Macron, submergés par les migrants

Articles  : Mar. 2021 –  Fev. 2021 – Jan. 2021 – Dec. 2020 

Italie, malgré le confinement local, des colonnes ininterrompues de migrants envahissent les trains jusqu’à la frontière française. Aucune information dans la presse française, les Français envahis sont manifestement tenus dans l’ignorance. Il faut donc qu’on l’apprenne par le journal Die Welt qui en informe les Allemands. C’est ainsi qu’on découvre que malgré des restrictions sévères de circulation pour les Italiens, quotidiennement la gare Tibutina de Rome est envahie de migrants venus du monde entier, qui prennent le train direction Vintimille et la France. On remarquera que cette noria n’est pas dirigée vers le col du Brenner, l’Autriche et ensuite l’Allemagne, non, elle l’est dans son intégralité vers Vintimille et la France.

Séquestrés à l’intérieur de leurs frontières, les Français envahis de plus belle. Alors que la sortie de France est quasi interdite par tous les pays limitrophes : Allemagne, Belgique, Grande-Bretagne, Espagne et Italie, alors que les Français sont bouclés à l’intérieur de leurs frontières, alors que les résidents des Alpes-Maritimes et d’une quinzaine d’autres départements ne peuvent pas s’éloigner de plus de 10 kilomètres de leur domicile, des envahisseurs venus d’Afrique et du Moyen-Orient entrent à jet continu dans notre pays, toutes frontières ouvertes.

Aucun contrôle sanitaire. Cela se passe bien entendu sans aucun contrôle sanitaire ni pour le Covid, ni pour les multiples pathologies polyrésistantes qu’on connaît massivement dans ces pays et qu’on importe depuis des années maintenant : tuberculose, gale, dengue, lèpre, paludisme, rage, trachome, filariose, leishmaniose, maladie du sommeil, zika, choléra, bilharzioze, fièvre jaune, fièvre hémorragique, ébola, fièvre du Nil, liste non close…

C’est l’ONG italienne Baobab Experience qui accompagne les envahisseurs vers la France, depuis la Méditerranée et depuis la route des Balkans. Elle le revendique elle-même. Cette ONG dit se substituer aux passeurs à travers l’Italie ; aussi bien au débarquement dans les ports qu’à travers la route des Balkans, qu’à la frontière Croate, qu’à la gare de Rome et jusqu’à qu’à Vintimille. C’est elle qui les rassemble et les accompagne vers la frontière française. C’est elle qui paye les billets sous le regard des autorités italiennes. 

https://baobabexperience.org

Une implantation permanente à Vintimille. Cette ONG dispose d’une implantation permanente à Vintimille où des activistes venus d’Europe entière assurent la logistique du trafic et le passage vers la France. Notamment par la vallée de la Roya. C’est ainsi que le rapport d’activité de 2018 indique que Baobab Experience a subventionné le nommé Cédric Herrou pour qu’il gère le passage par la vallée de la Roya. 

Baobab a Ventimiglia

Vous vous demandiez pourquoi les résidents du département des Alpes-Maritimes étaient séquestrés chez eux. Et bien maintenant, vous le savez. Preuve de la volonté délibérée du Gouvernement français, tout cela est parfaitement connu des services depuis des années, sans que rien ne soit fait pour y mettre un terme. Tandis qu’on nous boucle chez nous, que tout nous est interdit, que toutes les oppositions sont muselées, de toute l’Afrique et du Moyen-Orient des étrangers sans droits ni titres sont conduits vers la France pour la coloniser.

La soi-disant pandémie, instrument de mise sous tutelle des Français. Alors que les soins disponibles et connus sont refusés aux Français, alors que des lits de réanimation ont encore été supprimés, alors que tout est fait pour gérer et faire perdurer une soi-disant pandémie qui, sans toutes ces manipulations, n’existerait pas, la politique de destruction massive de notre peuple par la submersion migratoire se poursuit avec plus d’intensité que jamais.

On nous ment sur les chiffres de l’immigration, comme on nous ment sur tous les sujets.  Je peux le mesurer quotidiennement de là où je suis. Alors que jusqu’à il y a un an on n’en voyait jamais, je ne peux plus me rendre au village voisin de moins de 3 000 habitants sans voir des migrants, installés là à titre permanent. Même la France rurale est envahie, preuve que les villes sont saturées et qu’ils ne savent plus où les mettre.

Chacun de là où il est peut mesurer l’invasion, pas besoin de statistiques, l’œil nu suffit.

La situation est bien pire que ce qu’on nous dit. 

Pendant qu’on nous boucle, on nous submerge.

Martin Moisan, Riposte Laïque