La Racaille de France : Appellation d’Origine Contrôlée

Spread the love

Articles  : Juil. 2022Juin. 2022 – Mai 2022Avr. 2022 –

Facebook : https://www.facebook.com/ORTF-News-107572991571884

+ Webtube : un petit mot dont ne parle pas cet article, tout cela se fait à nos frais avec nos impôts et autres CSG. D’ailleurs cela fait longtemps qu’on n’a pas eu une nouvelle taxe pour financer tout ce gâchis …. à quand la création d’une taxe banlieue pour financer cette fuite en avant ?

Il est un fait établi sur notre planète que l’introduction d’espèces allochtones d’un continent à un autre, végétales ou animales, conduit le plus souvent à des catastrophes irréparables.
L’Australie fourmille d’exemples de la sorte. L’invasion de crapauds-buffles en est un exemple criant. Dans les années 30, ils furent importés depuis Hawaï dans la région du Queensland dans le but de combattre les scarabées qui décimaient les plantations de cannes à sucre.

Cette créature monstrueuse pèse près de trois kilogrammes, a une espérance de vie de plusieurs dizaines d’années et présente plusieurs caractéristiques terrifiantes. En effet, il est venimeux et son venin est capable de paralyser un mammifère de la taille d’un chien en quelques minutes. Il dévore tout ce qu’il trouve (oiseaux, reptiles, insectes, petits mammifères, ordures ménagères à l’occasion) et surtout n’a que peu de prédateurs naturels. Pire encore, ses têtards se trouvent être toxiques pour les poissons qui auraient la malheureuse idée de les ingurgiter.

Bien entendu, cette espèce de crapaud s’est très vite échappée des plantations et a commencé à pulluler dans son nouveau biotope, devenant ainsi un nuisible que l’on estime maintenant responsable à travers tout le nord de l’Australie de la disparition de dizaines d’espèces de reptiles, d’oiseaux ou de mammifères. Il s’est avéré que non seulement le crapaud-buffle n’a pas donné satisfaction quant à la mission qu’on lui avait confiée, mais qu’en plus il s’est reproduit exponentiellement, atteignant une population d’environ deux cents millions d’individus, qui met en danger l’écosystème du nord de l’Australie.

Par ailleurs, la théorie darwinienne de l’évolution, paradigme communément admis dans la communauté scientifique, nous explique que l’homme est une espèce animale comme une autre à laquelle les règles de la biologie s’appliquent. Alors nous sommes en droit de nous poser naïvement la question suivante : pour quelle raison ce qui est valable et vérifié par l’observation pour de nombreuses espèces animales ne le serait pas pour les différentes espèces d’humains ? Qui a décrété par exemple que l’introduction de Subsahariens en France, dans un biotope qui n’est évidemment pas le leur, serait sans conséquences sur ce même biotope ainsi que sur les espèces autochtones que nous sommes ?

À la fin de la Deuxième Guerre mondiale, nos dirigeants, sous la pression du patronat, eurent la riche idée de faire venir des travailleurs immigrés africains, car paraît-il, la main d’œuvre manquait pour faire tourner nos usines. C’est ensuite que survint un malentendu concernant le statut de ces gens. En effet, il n’était nullement question de l’installation définitive de ces derniers sur le territoire français, et encore moins qu’ils soient naturalisés. Nous devons à ce grand homme qu’était Valéry Giscard d’Estaing la première loi sur le regroupement familial qui permit à ces travailleurs de faire venir leurs familles en France. Giscard venait ainsi de signer purement et simplement notre arrêt de mort.

Dans les décennies qui suivirent fut mis en place, par nos dirigeants, un pipeline continu d’immigrés en provenance d’Afrique, sans aucun lien avec nos besoins de main-d’œuvre.  Ils sont originaires des zones les plus misérables de la planète, dans lesquelles règnent le sous-développement économique et culturel, l’ignorance et l’obscurantisme. La majorité d’entre eux sont bien entendus musulmans. Une grande partie plus ou moins analphabète. Depuis, ces gens se sont multipliés et leur descendance ne montre aucune appétence pour le travail en usine ou dans les champs. En réalité pour toute forme de travail.

Chaque pays est connu pour un produit ou une marque emblématique. L’Allemagne a Mercedes, l’Italie Ferrari, et nous, en France, nous avons La Racaille. Célèbre dans le monde entier, elle mériterait d’être protégée par des copyrights ou au moins par une AOC (appellation d’origine contrôlée) : « La Racaille de France », produit de notre terroir.

Je rappellerai d’ailleurs qu’à ce propos, nos racailles sont tellement célèbres à travers le monde qu’une agence de voyage chinoise avait envisagé de faire visiter aux touristes certaines de nos cités à bord de bus blindés afin qu’ils puissent prendre des photos de la faune locale. Une sorte de safari péri-urbain. Il faut dire que cette faune est unique au monde. La Racaille de France est une espèce d’humanoïdes d’origine nord-africaine ou subsaharienne, dont l’habitat naturel est la banlieue des grandes villes françaises. Cette espèce s’est parfaitement adaptée à son nouveau biotope administratif, mais tout en conservant son mode de vie originel ainsi que sa religion.

La Racaille de France s’exprime dans une sorte de sabir incompréhensible, mélange de dialectes africains et de français, qui n’est plus compréhensible par le commun des mortels. On ne peut pas vraiment dire que les Racailles parlent, ils éructent plutôt. Ils sont extrêmement violents et vindicatifs à la fois. Il n’est pas possible aux autres espèces de coexister avec eux au sein d’un même écosystème. Nourris, logés et soignés gratuitement par l’État français, certains spécimens importés ont cependant continué à se reproduire dans les mêmes proportions que dans leur biotope d’origine et sont donc très rapidement devenus une espèce invasive et nuisible. Bien nourris, les descendants de troisième ou quatrième génération sont dotés d’un physique impressionnant, qu’ils ne destinent malheureusement pas au travail.

Le biologiste et géographe américain Jared Diamond, dans son célèbre ouvrage « Le singe nu », explique le sous-développement des populations africaines par le fait que les animaux qui les entourent (éléphants, rhinocéros) ne sont pas domesticables et n’ont par conséquent pas pu être utilisés pour l’agriculture ou le transport. Visiblement il en est de même pour La Racaille de France, que personne n’est jamais parvenu à mettre au travail, malgré tous les efforts et les milliards qui ont été dilapidés, en particulier par Borloo, dans les banlieues françaises. Il est avéré que même l’État islamique, pourtant peu regardant sur la marchandise, ne veut pas d’eux comme combattants, sauf éventuellement comme kamikaze.

Dans la société racaille, les rôles sont parfaitement établis. Arrivée à maturité sexuelle, la femelle racaille se marie soit avec une racaille locale, soit avec un individu venu directement du biotope d’origine, afin de procréer au plus vite. Les mâles, eux, sont des prédateurs. La nuit, le plus souvent, ils se regroupent en meutes, repèrent des proies sans défense, puis ils les détroussent en les massacrant ou les tuant au passage. La Racaille de France possède une parfaite connaissance de son biotope administratif et judiciaire. La femelle connaît toutes les arcanes de la Caisse d’allocations familiales et sait comment optimiser les différentes aides sociales.

Le mâle Racaille, lui, est un fin connaisseur du système judiciaire. Il a parfaitement conscience qu’il n’a rien à craindre de la police, et surtout il apprend dès son plus jeune âge que tant qu’il est mineur, il peut tout se permettre sans crainte de quelque conséquence que ce soit.  Le mâle racaille est soumis à des rituels initiatiques dignes des guerriers Massaïs. Dès l’âge de douze ou treize ans, il est initié par les mâles plus âgés au vol en réunion avec violence ou à la portière. Ensuite, si ses capacités sont reconnues par la meute, il pourra d’abord être utilisé comme sentinelle de point de deal, puis livreur.

Les plus valeureux d’entre eux, ayant dépassé l’âge de la majorité, se lanceront dans les braquages. Les plus ambitieux monteront leur propre réseau de trafic de drogue, mais pour ce faire, ils devront d’abord dessouder un mâle alpha et s’approprier son territoire. Même à l’âge adulte, la Racaille de France a parfaitement conscience qu’il bénéficiera toujours du soutien inconditionnel de la gauche française, ce qui le confortera dans l’idée qu’il n’y a aucune raison de modifier son comportement.

Les plus tocards parmi les mâles, ceux qui ne seront pas parvenus à vraiment percer dans le trafic de drogue, le braquage ou le homejacking, termineront leur carrière comme « éducââteur de quartier ». On s’inquiète des insectes, on construit des ponts pour que les grenouilles puissent traverser les autoroutes en toute sécurité, on veille à la conservation du biotope des Indiens d’Amazonie, mais personne ne semble s’inquiéter de notre biotope à nous, nous les pauvres cons autochtones européens. Il ne viendrait à l’idée de personne d’introduire des hyènes dans nos forêts. Tout le monde a bien conscience que la faune locale n’y survivrait pas.

C’est pourtant exactement ce que nous avons fait dans nos villes. Nous y avons introduit et favorisé la multiplication de hyènes assoiffées de smartphones, de bijoux en or, de vêtements de marque et de violence.
Notre système social est lui aussi un écosystème extrêmement fragile, qui ne survivait déjà que péniblement avant l’arrivée de ces parasites. Maintenant il est à peu près certain qu’il va exploser. Plus la peine de s’inquiéter pour la retraite, la question est entendue.

Même la Gôche ne peut plus nier la réalité du problème et continue de s’entêter dans des solutions sans avenir telles que le « vivre-ensemble » ou « l’éducation », comme si un dealer qui gagne des dizaines de milliers d’euros chaque jour allait se reconvertir gentiment en vigile de supermarché ou en gardien de parking smicard. La première mesure d’urgence consisterait déjà à parler à ces gens dans un langage qui leur soit familier et compréhensible. Il est permis de douter que leur tenir des discours sur l’État de droit ou l’affectio societatis au sein de la société française trouve le moindre écho en eux.

En revanche des phrases comme « Si toi voler, toi aller en prison pour 5 ans et famille à toi plus d’allocs et plus de HLM », ou « Si toi tirer avec mortier sur policier toi te faire fumer comme un chien » seront parfaitement comprises et intégrées.

Comme le disait Jean Dutourd : « Pour être entendu il faut parler le langage de son interlocuteur ».

Alain Falento dans Riposte Laïque

AddFreeStats.com Free Web Stats! Ecoutez DJMusic.fr

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *