Changement d’heure. Nous passons à l’heure d’hiver ce week-end, pour la dernière fois ?

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Dans la nuit du samedi 30 au dimanche 31 octobre, nous allons passer à l’heure d’hiver. Un changement d’heure qui aurait pu être le dernier si les pays européens s’étaient accordés sur la suppression de ce système. Mais la perspective d’une entente demeure encore lointaine.

Le changement d’heure, c’est ce dimanche !

En cette période de Toussaint/Samain, outre les vacances scolaires et les visites sur les sépultures des aïeux, c’est aussi le moment de regarder nos horloges. En effet, comme chaque année, c’est à l’occasion du dernier dimanche d’octobre que s’effectue le passage à l’heure d’hiver.

Ainsi, dans la nuit du samedi 30 au dimanche 31 octobre, il faudra reculer sa montre d’une heure et, quand les aiguilles afficheront 3 h, il ne sera en réalité que 2 h du matin.

Toutefois, ce passage à l’heure d’hiver aurait dû être le dernier si le calendrier initialement prévu n’avait pas été bousculé par la pandémie de coronavirus. Tandis que chaque pays membre de l’UE avait jusqu’au 1er avril 2020 pour choisir le régime horaire lui convenant le mieux, le dernier changement d’heure devait intervenir le 27 mars 2021 pour les États ayant opté pour l’heure d’été, et le 30 octobre 2021 pour ceux voulant vivre en permanence à l’heure d’hiver.

La suppression de ce système de changement d’heure saisonnier avait été votée en 2019 par le Parlement européen mais, du fait de la crise sanitaire, les négociations entre les différents États membres sur le sujet ont pris du retard. Si, d’un point de vue pratique, l’adoption par l’ensemble des pays d’un même créneau horaire semble plus judicieux, la situation n’a que peu évolué depuis deux ans. Par ailleurs, 20 Minutes précise même que le Conseil européen « n’a pas abouti à une position commune ».

Toujours des changements d’heure en 2022 ?

Au rythme où vont les choses, dans l’hypothétique cas où l’ensemble des états concernés parviendraient à se mettre d’accord, le dernier changement d’heure serait le passage à l’heure d’été le 27 mars 2022.

Mais d’autres voix évoquent déjà la possibilité de reporter à 2023 (voire plus) la suppression de ce système. Ainsi, l’eurodéputée écologiste Karima Delli confiait il y a quelques jours au quotidien Sud Ouest que la situation était « au point mort ». Même écho du côté de la Commission européenne qui, questionnée par Le Figaro, indiquait que cette suppression ne devrait « sans doute même pas intervenir en 2022 ».

À l’origine, c’est en 1917 que la France avait adopté l’heure d’été puis l’avait abandonnée en 1945. Après le choc pétrolier de 1974, le changement d’heure reviendra en 1976 dans l’optique de réaliser des économies d’énergie. Au niveau européen, les années 80 ont vu les pays membres harmoniser leur changement d’heure, le passage à l’heure d’hiver s’effectuant le dernier dimanche d’octobre et celui à l’heure d’été le dernier dimanche de mars.

Cependant, la suppression de ce changement biannuel entraînerait la création de nouveaux fuseaux horaires en Europe. Il n’est pas certain que cette nouvelle complexification soit la priorité des États membres tandis que l’UE possède déjà trois fuseaux horaires différents.

Des effets néfastes sur la santé

Quant aux impacts du changement d’heure sur la santé humaine, ils ont aussi fait l’objet d’un rapport, cette fois rédigé par l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV). Le document, publié le 22 mars 2019, affirme que « le changement d’heure semestriel nuit à la santé ». Et ajoute que « la littérature scientifique montre une réduction du sommeil (augmentation de la latence d’endormissement et du nombre des réveils nocturnes) dans la semaine qui suit le changement d’heure, aussi bien au printemps qu’à l’automne ».

De plus, tandis que nos anciens indexaient leur horloge biologique sur l’heure solaire, le développement de la lumière artificielle via l’électricité a changé la donne : c’est désormais sur notre montre que se synchronise notre horloge biologique. Mais, comme le rappelait la neurobiologiste Joëlle Adrien au quotidien Sud Ouest en 2019, cette horloge biologique, située dans le cerveau, « n’est pas faite pour changer brutalement de synchroniseur tous les six mois ». Aurait-on tendance à limiter son rôle ? « Elle agit comme un chef d’orchestre qui règle la partition des différents organes : intestins, cœur, foie, reins, mais aussi la pression artérielle, la digestion, la température corporelle, la veille, le sommeil etc. »

 Breizh-info.com

À Nantes, les antifas sèment la terreur avant la visite de Zemmour

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En France, on peut donc placarder sur les murs d’une ville, sous une mire de tireur de précision, le visage d’un journaliste, auteur d’un livre à succès et probable candidat à l’élection présidentielle, qui ne cache pas par ailleurs son appartenance à la communauté juive. Surmontée du mot « Wanted », la mire s’accompagne d’un appel à manifester « contre le fascisme », évidemment. Accuser Zemmour de fascisme : ce mur de la bêtise n’avait été franchi brièvement et « pour rire » que par l’humoriste de France Inter Charline Vanhoenacker qui avait cru drôle de dessiner des moustaches de Hitler sur une affiche du polémiste. Record désormais pulvérisé par l’extrême gauche nantaise. Cet appel au meurtre très peu subliminal salue la venue d’Éric Zemmour au Zenith Nantes Métropole à Saint-Herblain, ce 30 octobre. La boucle est bouclée. Nos vaillants défenseurs de la liberté d’expression, sûrs de leur fait et habitués de la violence, franchissent encore une marche. Sans troubler le moins du monde, pour l’instant, ni la corporation journalistique qui se serait soulevée d’horreur si ce dérapage avait eu lieu aux confins du monde, ni des autorités trop occupées à pourchasser quelques originaux qui se revendiquent d’extrême droite.

Il en faudra plus pour faire reculer Zemmour. À la question de savoir s’il craignait pour sa vie, l’homme qui bouscule cette présidentielle répondait à Boulevard Voltaire, le 5 octobre dernier : « C’est une question que je ne me pose pas, sinon je ne ferais rien. Cela fait longtemps qu’on me pose cette question, cela fait longtemps que je ne veux pas la voir, je suis protégé, j’ai la protection des personnalités. D’ailleurs, je remarque que tous les gens protégés en France, aujourd’hui, c’est parce qu’ils parlent de l’islam. Cela devrait nous faire réfléchir quand même, cela prouve qu’il y a quand même une question qui se pose. Mais cette question ne me taraude pas. Je dors très bien la nuit, ne vous inquiétez pas ! »

Ces charmants activistes appellent aussi à réserver les places sans se rendre à la conférence nantaise. Objectif : que Zemmour s’adresse à une salle à demi vide. « En juin 2020, un meeting de Trump avait eu lieu dans une salle quasiment vide après que des centaines de personnes avaient réservé des places sans se rendre au rendez-vous », écrivent les plus pacifiques sur le réseau Twitter. « Il est possible de faire de même. À vous de jouer. » Ce n’est pas tout. Selon Ouest-France du 28 octobre, des élus ont demandé l’interdiction de la réunion « au vu du risque de troubles à l’ordre public ». La CGT, la FSU, la Ligue des droits de l’homme et le MRAP considèrent qu’il « attise les peurs à l’égard de nos compatriotes ». Pour Solidaires 44, « il est nécessaire de s’organiser contre la montée des fascismes et des racismes pour défendre une autre vision de la société ». Plusieurs manifestations sont prévues. Vive la démocratie et l’expression libre des opinions interprétées par l’extrême gauche ! Où sont ceux qui se feraient tuer pour que leurs adversaires puissent exprimer leur opinion ? Silence dans les rangs.

Dans cette démocratie à l’envers, rien ne sera donc épargné aux candidats de la France. L’extrême gauche n’est pas avare des paradoxes qui font le charme de ces idiots utiles du système. Il leur suffit de croire à leurs oukases pour justifier la terreur. La violence physique et l’outrance verbale déployées contre ce qu’ils ont décidé d’appeler « fascisme » se justifie donc d’elle-même. Mettre une cible sur un candidat potentiel à l’Élysée relève de la défense de la démocratie. Empêcher des Français d’assister à un meeting devient une œuvre de bienfaisance. Intimider ou molester les participants à une réunion publique leur semble utile à l’expression de leurs idées. Un autoritarisme sans frein dûment placé sous la bannière de… l’antifascisme ! Mais voilà, en invitant la terreur physique dans le débat, les Black Blocs et autres antifas, si minoritaires soient-ils, tordent et faussent la course à l’Élysée, empêchant les Français d’étudier avec sérénité les choix à faire et les enjeux d’avenir du pays.

Dans ces conditions, une campagne électorale est viciée. Et une démocratie devient une coquille vide dans laquelle les mots n’ont plus de sens. C’est au pouvoir de mettre hors d’état de nuire ces zélateurs du chaos qui semblent bénéficier d’une étrange impunité.

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

Un antifa breton : que les bougnoules Zemmour-Messiha ferment leur gueule!

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GROTESQUES

Magnifique ! A Pleurtuit, en Bretagne, les crasseux se sont surpassés ! Et on attend Nantes avec impatience ce jour ! 

Nantes. Zemmour. Cible. Enfin des réactions à hauteur de la menace. 

Complices, via les antifascistes et autres mérules gauchislamiques.

L’extrême droite en rangs serrés derrière Zemmour – La Horde (samizdat.net)« Des dizaines d’articles ont été publiés sur Eric Zemmour : Zemmour par-ci, Zemmour par-là… Cette surenchère d’informations fait qu’il est parfois difficile de s’y retrouver. On vous propose, modestement, un petit bilan de l’attitude des mouvements nationalistes à l’égard du polémiste raciste, ainsi qu’un exemple local pour illustrer la façon dont les ralliements se font tout azimut, rassemblant les ennemis d’hier ».

Rappel : en France, il est des menaces qui sont mises à exécution (thereligionofpeace.com).

LA GUERRE EN FRANCE.

Nécrophages ! Bataclan : on avait échappé à Médine, on aura Yseult. Il paraît que ce sera une fête de la Liberté. Celle d’insulter la France, les hommes et les Blancs, sans doute. Pantomime sur cadavres en tas. https://www.bvoltaire.fr/pour-la-fete-de-la-liberte-au-bataclan-avec-la-chanteuse-yseult-education-citoyenne-a-la-diversite-au-menu/?

La fondation Jean Jaurès décortique le phénomène Z. Ils ont l’air inquiets. Un petit stage à Nantes, citoyens ?

Marine à Alençon. Darmanin la qualifie de menteuse, et nous fait le coup de la République. Pauvre République et pauvre Moussa.

La droite macroniste, mérule dans toute sa splendeurhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/antisemitisme-darmanin-fustige-zemmour-et-les-voix-qui-attaquent-la-republique-20211028

Moussa a encore trouvé une très dangereuse association d’extrême droite à dissoudre. Et pour les mosquées salafistes, les écoles coraniques clandestines et autres militants du Milli Görus Erdogan-compatibles, on fait quoi ? https://www.leparisien.fr/faits-divers/gerald-darmanin-veut-dissoudre-alvarium-une-association-dultra-droite-basee-a-angers-29-10-2021-4QGMXNUDGNAZDAGPCLVQC4BXNI.php  

Rochedy bloqué à chaque fois qu’il passe la frontière française. Il gueule parce que tout le monde rentre librement en France… sauf les Français comme lui, coupables de trop aimer leur pays.

Concours de pronostics. De quoi le Zem est-il le nom? (fin octobre 2021). – YouTube

« 20mn Les jeunes vont s’affronter pour/contre immigration. Les boumeurs dégagés.Z est réveil de la droite jeune, retour France tradi.De quoi le Zem est-il le nom? (fin octobre 2021).Les jeunes droitards avec Z contre les jeunes gauchistes racisés pro muzz pro woke Les muzz CPF Chances Pour la France vont phagocyter les gauchos woke racisés28 oct. 2021″

Couteaux-Zemmour. Des rappels historiques sur le conservatisme et des formulations intéressantes. Notamment que les conservateurs d’aujourd’hui sont ceux qui, au pouvoir, se battent pour conserver les valeurs 68tardes.

L’horreur : https://oaba.fr/abattage-sans-etourdissement-femelles-gestantes-oct21/?fbclid=IwAR0GwBG_f6LVLSEqXkbgAL5SwN-LHVMTPd4zpuqth-1slebPpckbe-7mgzk

https://oaba.fr/stop-abattage-sans-etourdissement/?fbclid=IwAR0hWoDBYIqLb-tLV444oYjBvxZztFgpFjb1EXi428xeDsdQquuIvGd9P9o

Grandiose, 15 ans que nous nourrissons et logeons en HLM cette ordure djihadiste, avant de trouver les moyens de le renvoyer à son roi Momo VI. Ne pas manquer cet article emblématique de notre faillite judiciaire : « Un Chartrain de 63 ans, de nationalité marocaine, condamné par son pays pour avoir commandité l’attentat terroriste de l’hôtel Atlas-Asni, à Marrakech, en 1994, a été expulsé vers le Maroc, mercredi. Il vivait depuis quinze ans à Chartres, malgré une interdiction de résider sur le territoire français. »https://www.lechorepublicain.fr/chartres-28000/actualites/un-terroriste-interpelle-a-chartres-et-expulse-vers-le-maroc_14037013/

Un an après l’attentat musulman de Nice, c’est bien pour le déchet djihadiste car il « n’aura pas la haine » du mari d’une des victimes. Le reportage officiel (vidéo BFMTV) ne nous donne pas le sentiment des deux autres familles…  « Un an après l’attentat terroriste perpétré à Nice, le jeudi 29 octobre 2020, en la basilique Notre-Dame de l’Assomption, qui a coûté la vie à trois personnes, une journée dédiée à la mémoire des victimes sera organisée le vendredi 29 octobre 2021. » https://twitter.com/BFMTV/status/1453947536494903301

Un clando viole une femme de 84 ans en pleine rue. Candide a des pulsions de vengeance absolument incorrectes : https://actu17.fr/coulommiers-un-homme-interpelle-pour-le-viol-dune-octogenaire-en-pleine-rue/

Merci à tous ceux qui ont permis à ce passant de rester en France. Ça fait du monde !

INVASION-SUBVERSION-ISLAMISATION. Comme un sentiment de ….

Où l’on apprend qu’il y a encore et toujours 1500 « exilés » à Calais (la photo des trois militants pro-clandos grévistes de la faim, vaut son pesant de couscous…)https://www.leparisien.fr/faits-divers/migrants-situation-bloquee-a-calais-on-attend-un-courage-politique-appellent-les-grevistes-de-la-faim-28-10-2021-XZWNRDQX65CHLH5UOUT4ULIGV4.php?ts=1635491593877

Toujours Utopia 56 dans ses oeuvres : « La police n’a pas laissé les migrants s’installer sur le parvis de l’Hôtel de ville (IVe) ce jeudi après-midi. Encadrés par l’association d’aide aux exilés Utopia 56 qui indique qu’ils étaient 250, ces sans-abri, principalement des familles originaires d’Afrique subsaharienne, ont commencé à monter des tentes à partir de 13h30. Dès 14 heures, la préfecture de police est intervenue « pour empêcher l’installation d’un campement illicite » Préparez vos mouchoirs, c’est du lacrymal :

« Les policiers sont intervenus avec violence, des enfants ont été bousculés, les tentes que nous espérons pouvoir récupérer, ont été confisquées. 85 personnes ont été emmenées à bord de deux bus vers un gymnase où elles seront hébergées quelques jours. Mais il reste plus d’une centaine d’exilés sans solution, qui dorment sous des tentes dans la rue depuis plusieurs semaines Notre réseau d’hébergement solidaire, constitué de chambres chez l’habitant et de locaux mis à disposition par les paroisses, soit 50 places chaque soir, est submergé », constate Kerill Theurillat, coordinateur d’Utopia 56 à Paris.

Née à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) il y a 24 ans, Sarah, Française d’origine égyptienne, a participé ce jeudi après-midi avec sa mère qui marche avec une canne, à l’opération coup de poing organisée par Utopia 56 sur le parvis de l’Hôtel de Ville. « Ma mère, mes 5 frères et ma sœur (dont deux mineurs) avons été expulsés par des policiers armés, vendredi 22 octobre à 7 heures du matin, du F 4 que nous louions à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine). Nous avons toujours payé notre loyer – plus de 700 euros par mois – mais les voisins ont fait une procédure contre nous parce que nous faisons trop de bruit. Depuis, nous dormons sous une tente à Bercy », confie la jeune femme qui travaille comme « barrista en CDI dans une entreprise où je n’ose pas parler de ma situation ».

https://www.leparisien.fr/paris-75/paris-la-police-empeche-linstallation-dun-camp-de-migrants-sur-le-parvis-de-lhotel-de-ville-28-10-2021-3DEYV5UOVRCH7JRHI5N3RRF5SE.php

Il est intéressant de constater qu’Utopia 56 est financée à hauteur de 20% par de nombreuses entreprises et associations dont la Fondation de France et le Barreau de Paris : http://www.utopia56.com/fr/devenir-partenaire

Par ailleurs les dons des particuliers sont éligibles à une réduction d’impôts de 75 %, pourquoi s’en priver ! https://www.helloasso.com/associations/utopia56/formulaires/7

Documentaire ARTE : Big Pharma, labos tout-puissants

Articles : Oct. 2021Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021

Plus riches et plus puissantes que jamais, les firmes pharmaceutiques orientent la recherche et le remboursement des soins. Enquête sur une industrie hors de contrôle, dont les intérêts ne coïncident pas toujours avec les impératifs de santé publique.

On les surnomme les « Big Pharma » : à eux seuls, les suisses Novartis et Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments. Pour conserver leur monopole, ces grands laboratoires minimiseraient, voire occulteraient, certains effets indésirables causés par leurs produits.

En Europe, la Dépakine, un antiépileptique responsable de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux chez des enfants exposés in utero, est au cœur d’un retentissant scandale. Soupçonné d’avoir tardé à alerter les autorités sanitaires et les consommateurs sur ces risques pourtant connus, Sanofi a été mis en examen pour « tromperie aggravée », « blessures involontaires » et « homicides involontaires ». Aux États-Unis, où la crise des opioïdes fait des ravages (plus de cent morts par jour), les multinationales pharmaceutiques sont accusées d’avoir encouragé la prescription massive de ces antidouleurs en dissimulant leur caractère hautement addictif. En 2019, Johnson & Johnson a ainsi été condamné à payer 572 millions de dollars à l’État d’Oklahoma pour avoir mis en danger la vie de ses citoyens. Alors que l’industrie pharmaceutique bénéficie largement des innovations de la recherche publique, les prix des médicaments atteignent des sommets : facturé 84 000 dollars aux États-Unis, où la tarification n’est pas encadrée, le traitement contre l’hépatite C coûte 24 000 euros en France, quand la nouvelle thérapie génique contre la leucémie commercialisée par Novartis avoisine les 300 000 euros. Entre intense lobbying et ententes illicites, les laboratoires déploient d’efficaces stratégies pour préserver leurs exclusivités, à l’instar du même Novartis, qui est parvenu à imposer sur le marché un médicament contre la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) quarante fois plus coûteux que son concurrent.

Course au profit

À l’heure où la lutte contre le Covid-19 alimente les mastodontes pharmaceutiques, Luc Hermann (Starbucks sans filtre) et Claire Lasko éclairent le nouveau paradigme à l’œuvre dans le secteur, entre concentration, financiarisation et course effrénée aux profits. À l’aide d’exemples documentés et de nombreux témoignages (de médecins, patients, journalistes, victimes et avocats, ainsi que d’un représentant de Sanofi et de l’ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine), leur enquête met en lumière la puissance démesurée des Big Pharma – « comparable à celle d’un État« , selon le professeur François Chast –, les menaces qu’ils font peser sur les systèmes de santé publique, mais aussi les élans de résistance qu’ils suscitent, entre multiplication des procédures judiciaires et constitution de collectifs de médecins luttant contre la corruption dans le domaine de la santé.

Cinq étapes simples pour assurer votre sécurité en ligne

Articles : Oct. 2021Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021

Le mois d’octobre est reconnu comme le Mois européen de la cybersécurité, l’occasion de réfléchir à l’importance croissante de la cybersécurité et aux moyens de rester en sécurité en ligne. Il n’y a guère de meilleur moment pour rafraîchir certaines de nos compétences les plus essentielles en matière de cybersécurité. Voici quelques conseils de base pour rester plus en sécurité en ligne.

Connaissez les risques ! Tout commence par la prise de conscience des risques et la prise de conscience que chacun est une cible potentielle. Une grande partie de ce que nous faisons tous les jours implique Internet d’une manière ou d’une autre. D’autre part, le monde numérique est également habité par des criminels qui ne manquent jamais une occasion de voler les données ou l’argent de leurs concitoyens. Tout d’abord, il vaut donc la peine d’avoir l’esprit clair face aux risques pour la sécurité et la vie privée. Les attaquants déploient des outils et des techniques de plus en plus avancés pour attaquer leurs cibles. Bien que nous n’exercions aucune influence sur les capacités et les motivations des attaquants, nous pouvons leur rendre la tâche plus difficile.

L’erreur est humaine, mais… En parlant de nos faiblesses, les attaquants en sont également très conscients. Vous êtes trop confiant, curieux ou prêt à aider, vous êtes enclin à paniquer et à prendre des décisions irréfléchies, et ainsi de suite : ce sont là certains des traits les plus courants du comportement humain qui sont exploités par les campagnes d’hameçonnage.Ces campagnes sont conçues afin de voler vos données sensibles ou votre argent au moyen d’e-mails, de sites Web ou de SMS malveillants qui ont l’apparence et l’aspect des communications officielles d’entreprises légitimes. Ne faites jamais confiance aveuglément à un message que vous recevez. En effet, il est préférable de ne pas cliquer sur quoi que ce soit dans les messages qui arrivent à l’improviste car un simple clic peut avoir des conséquences d’une portée considérable.

Maintenez vos logiciels et appareils à jour. Les logiciels ne sont pas non plus exempts de défauts. Installer des mises à jour et des correctifs pour tous vos logiciels dès que ceux-ci sont disponibles est un moyen assez simple de réduire le nombre portes ouvertes que les attaquants peuvent utiliser pour compromettre vos systèmes. Qu’il s’agisse de votre système d’exploitation ou de la myriade d’applications avec leurs plugins et compléments.Si elles ne sont pas corrigées, les vulnérabilités peuvent représenter un accès facile à vos périphériques. La méthode la plus simple est d’activer les mises à jour automatiques.

Faites preuve de prudence sur les médias sociaux. Internet nous offre un moyen de communiquer avec des gens, y compris ceux que l’on voit rarement dans la vie réelle, ainsi qu’avec de parfaits inconnus. Il est tout à fait naturel qu’un tel réseautage implique généralement le partage de renseignements en apparence inoffensifs et personnels. Sur les médias sociaux, nous sommes souvent enclins à relâcher notre vigilance.Cependant, le partage excessif de détails de notre vie sur les médias sociaux peut se retourner contre nous si l’information se retrouve entre de mauvaises mains. Les plateformes sociales constituent une mine d’informations précieuses pour les arnaqueurs.

Verrouillez vos identifiants de connexion. Les mots de passe constituent souvent la clé de votre identité en ligne. Choisissez des mots de passe ou des phrases de passe forts et uniques, en particulier pour les comptes qui contiennent des informations sensibles vous concernant, comme vos médias sociaux ou vos comptes bancaires. Évitez de réutiliser vos mots de passe, car cela met en danger d’autres de vos comptes. Si vous êtes victime, par exemple, d’une attaque d’hameçonnage et que l’un de vos comptes est pris en charge, un mot de passe unique et complexe pour chaque compte renforce considérablement vos défenses contre le credential stuffing.

Les technologies de l’information étant de plus en plus intégrées au tissu social, il est presque impensable de vivre nos jours sans Internet. Voilà donc une raison suffisante pour vous assurer que, chaque fois que vous naviguez sur Internet, la sécurité est – et demeure – votre première préoccupation.

Benoit Grunemwald, Breizh-info.com

Série “demain nous appartient” : Le bingo de la déconstruction, c’est exceptionnel.

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Et toujours dans la série : l’école de la vie :

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Toulouse : la préfecture intervient pour expulser les occupants d’une maison squattée

Articles : Oct. 2021Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021

Depuis le 19 octobre, un homme de 84 ans voit sa maison squattée pour la troisième fois. La préfecture est intervenue, ce mardi, pour accélérer l’expulsion des occupants, rapporte 20 Minutes.

De nombreuses personnes ont témoigné leur soutien

En deux ans, c’est la troisième fois que Georges a sa maison squattée par plusieurs occupants. Ceux-ci ont changé les cadenas, ainsi que le nom sur la boîte aux lettres. La maison étant en passe d’être vendue, ce nouveau squat risque bien de faire casser la transaction.

Un voisin a averti le propriétaire et sa fille, Marie-Ange, qui a immédiatement lancé un appel à la mobilisation sur les réseaux sociaux. L’affaire a été médiatisée et de nombreux amis et riverains se sont rendus, ce mardi, devant la maison pour pousser les squatteurs à quitter les lieux. Un fait qui n’est pas nouveau, puisque des mobilisations avaient également eu lieu, en février, pour soutenir Roland, un retraité de 88 ans qui se trouvait dans le même cas.

La préfecture a dû intervenir

Devant cette mobilisation, menée par des riverains mais également par des élus, le préfet Étienne Guyot, saisi par la famille, a déclenché la procédure d’expulsion accélérée, annonce Actu Toulouse. Celle-ci peut conduire à l’évacuation des lieux par décision administrative. À compter du déclenchement de la procédure, les squatteurs ont 24 heures pour quitter les lieux, ils devraient donc être partis ce mercredi soir.

Boulevard Voltaire

Élections 2022 : les canassons et l’étalon

Articles : Oct. 2021Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021

Grande nouvelle : Xavier Bertrand est rentré dans le rang. Le matamore qui devait terrasser Macron se voit distancé par Zemmour. Du coup, Sa Suffisance a besoin de toutes les voies républicaines pour essayer de s’imposer en évinçant Pécresse et Barnier qui, eux aussi, caressent la même illusion.

À six mois des élections, chacun entonne son couplet, énumère les promesses pour séduire la clientèle, une langue de bois aussi généreuse que creuse, et qui se garde bien de parler de financement. Mais comment restaurer une confiance qui a du plomb dans l’aile, comment entourlouper un électorat qui ne croit plus au père Noël macroniste, malgré la propagande des médias, dans leur quasi-totalité au service du pouvoir, notamment le service public, France Télévisions et Radio France, et dont les journalistes brillent par leur souplesse et leur bonne conscience ? Convaincre, s’imposer, rassurer, mais entreprise épineuse tant on a vu de ténors de droite comme de gauche répondre aux appels d’En Marche, ce qui en dit long sur leurs convictions politiques. Carriéristes sans vergogne, ils n’ont d’autre choix, s’ils sont battus, que de faire allégeance au vainqueur. À cet exercice, les politiques excellent, cela fait partie du métier.

Dignes successeurs des chefs d’État qui, depuis Giscard, ont été les artisans sinon les complices du déclin de la France, nos candidats d’aujourd’hui feignent de durcir le ton. On a même vu Bertrand, devant le succès des thèmes défendus par Zemmour, les reprendre, et lui qui, hier encore, ostracisait le polémiste, évoque le spectre de la guerre civile, mais en refusant de faire « l’amalgame entre les musulmans et les islamistes », lesquels se réclament pourtant de l’islam, version salafiste ou Frères musulmans.

La décomposition touche tous les partis et si les Républicains sont à la ramasse, la gauche, elle, est en coma profond. La liste PS, conduite par la passionaria hidalguense bien connue, hélas ! des Parisiens dont, sous prétexte de modernité de pacotille et d’écologie primaire, elle défigure la ville, est dans les choux. Anne ferait pire que Benoit en 2017 et ne franchirait pas la barre des 5 % !

Le camarade Mélenchon, notre Trotski hexagonal, promet aussi à tout va, sauf que ses élucubrations, ses surenchères échevelées, ses flirts sinon ses collages avec l’islamisme, le rendent de moins en moins crédible. Son face-à-face avec Zemmour le 23 septembre sur BFM TV, a souligné son côté tribun de fête foraine qui n’hésite pas à glorifier une France créolisée, à réciter les traditionnelles litanies sur l’islam religion de paix et d’amour, à mettre sur le même plan le voile imposé aux femmes musulmanes et le fichu que nos grands-mères plaçaient sur leur tête pour se rendre à l’église ! Selon lui, toutes les religions se valent, affirmation gratuite mais utile au leader maximo qui, à l’assimilation républicaine, préfère l’arlequinade communautariste. Notre batteur d’estrade a même prétendu que Zemmour voulait supprimer les prénoms musulmans qui aujourd’hui fleurissent partout au détriment des prénoms du calendrier républicain, (obligatoire du début du XIXe aux années 1990 où, sous le règne de Mitterrand, la loi fut abrogée), alors que Zemmour y voit seulement une grille de lecture pour mesurer l’islamisation du pays.

Toujours dans la mouvance gauchiste, EELV qui surfe sur son fonds de commerce écolo en jouant la carte apocalyptique, en se proclamant fer de lance de la lutte contre le dérèglement climatique et la pollution (seuls les écolos patentés seraient-ils conscients des menaces qui pèsent sur la planète ?), épouse bien d’autres causes : « immigration heureuse », remise en cause de la société et de la culture occidentales, mais aussi de l’hétérosexuel blanc prédateur inné, adhésion aux combats des minorités sexuelles et racialistes… autant de combats ayant peu de chose à voir avec l’engagement écologiste. Démagos, les Verts prônent le tout électrique et la suppression du nucléaire sans dire comment répondre à une demande énergétique exponentielle. Quant aux énergies alternatives proposées, éoliennes et panneaux solaires, quid de leur faible rendement ? Quid de la défiguration irrémédiable des paysages et du patrimoine qu’entraînerait la prolifération des éoliennes ? Quid de la pollution engendrée par l’extraction des métaux rares qu’elles réclament ? Quid enfin des bornes de charge pour les voitures électriques qui devraient être les seules autorisées en 2035 ? Actuellement, on en dénombre 41 000 sur l’espace public, il en faudrait 11 millions en 2030 ! De joyeuses files d’attente en perspective…

Avec le choix de Jadot pour porter les couleurs à la présidentielle, on a échappé à deux extrémistes : Éric Piolle, maire de Grenoble dont les habitants dénoncent la dangerosité et Sandrine Rousseau selon laquelle notre système économique, social et sociétal prendrait, utiliserait et jetterait « le corps des femmes, le corps des plus précaires, le corps des racisés ». Encore une fanatique peinte en vert, une féministe extrémiste, woke, qui lance à la cantonade des mots d’ordre compulsifs visant à effacer la « souillure française » et à jeter à bas notre identité et notre culture. À déconstruire l’homme. La jeunesse verte shootée au catastrophisme, et dont la culture politique et la culture tout court ne sont pas la tasse de thé, semble apprécier les outrances et les anathèmes des Khmers verts, surtout quand ils s’attaquent à la France. Un écolo-hybride, Rossignol, maire socialiste de Rouen, qui coiffe une majorité vert-rose-rouge, féminise la ville à marches forcées, débaptisant et rebaptisant à tour de bras. Son adjointe, Laura Slimani, n’y voit que du bien. Rossignol veut aussi déboulonner la statue de Napoléon pour la remplacer par celle de Gisèle Halimi. Dans le monde d’Ubu, c’est à qui sera le plus déjanté et le plus dangereux ? Aux dernières nouvelles, Jadot, pour ne pas s’aliéner les militants écolos-radicaux, nommerait la pétroleuse Rousseau présidente de son conseil politique de campagne…

En Macronie, le Président sortant tente de redorer son blason en distribuant, « quoi qu’il en coûte », un argent qui vient gonfler la dette abyssale du pays. Parallèlement, le champion du « En même temps » demande pardon aux harkis, eux dont les parents avaient choisi la France et qui, en 1962, ont été abandonnés aux mains du FLN qui les a torturés et massacrés ; et, quelques semaines plus tard, il rend hommage aux quelques quarante morts algériens de la manifestation (interdite) du 19 octobre 1961, victimes, selon lui, d’un crime inexcusable. Mais plutôt que de criminaliser l’histoire de France, il faudrait rappeler le climat de guerre qui régnait alors en France, notamment dans la capitale, le FLN ayant étendu à la métropole sa stratégie d’attentats, le même FLN qui avait massacré de nombreux militants du Mouvement Nationaliste Algérien, concurrent du FNL. Rappeler aussi que 22 policiers avaient été tués la même année, ce qui peut expliquer la violence de la répression lors de la manifestation. Pourquoi ne pas saluer leur mémoire et pourquoi passer sous silence le massacre de juillet 1962, à Oran, de plusieurs centaines de pieds-noirs ?

Déjà, en 2017, le même Macron, en campagne électorale, avait, à Alger, accusé la France de crime contre l’humanité. N’était-ce pas une façon de se rappeler au bon souvenir des banlieues qui reçurent le message 7 sur 7 et votèrent Macron à 97 % ? C’était là approuver le pouvoir algérien, corrompu, qui, depuis 60 ans, se fonde sur la haine de notre pays et qui n’en a jamais assez de repentance et de génuflexions. Le Président algérien ne vient-il pas d’inviter les Algériens de France à peser sur la politique française ? Comment interpréter autrement la candidature aux présidentielles d’Anasse Kazib qui se dit syndicaliste communiste et se présente sous l’étiquette Mouvement communiste Révolution permanente mais qui a banni le drapeau tricolore de sa campagne ? Curieuse attitude pour un candidat aux hautes fonctions de la République.

Macron déploie également son « en même temps » dans le domaine énergétique en promettant et les éoliennes et les réacteurs nucléaires. Même tartuferie face à la colère populaire liée à la hausse des carburants impactant les Français modestes auxquels Castex propose une aumône de 100 €, alors que les taxes sont le fait de l’État qui pourrait les diminuer au lieu de jouer les bons samaritains. Malgré tout, son image n’est pas trop dégradée, covid oblige, une aubaine pour infantiliser et anesthésier la population, tant au museau qu’au ciboulot.

Marine a voulu se refaire une vertu en se recentrant dans l’espoir de séduire la droite qui la boude, mais c’est en s’écartant de ses fondamentaux : immigration, islamisation, insécurité, pour se coucher devant Bruxelles et accepter les diktats de la Commission européenne. Mauvaise donne qui laisse le champ libre à Zemmour lequel, dans les sondages, la dépasse.

Trouble-fête, celui-ci crédité de 17 % des suffrages avant même de s’être déclaré candidat, menace les camps aussi bien ennemis que complices. Nul doute que la droite encore sans programme et sans candidat officiel, sera défaite. Qu’en sera-t-il de Marine, opposante idéale pour Macron, car battue d’avance tant par son manque de crédibilité auprès des électeurs que par les ralliements à Macron de la gauche et de la droite soucieuses, diront les ténors, de barrer la route à la peste brune, pendant qu’ils ouvrent les écluses à l’immigration et reculent devant les bandes armées qui incarnent la véritable menace fasciste ?

Quant à Zemmour, il nomme les ennemis de la France, ce qui oblige les candidats à se définir par rapport aux problèmes essentiels et non plus à les esquiver. Zemmour met en garde contre une disparition programmée de notre pays, de notre civilisation. Que l’on soit d’accord ou non avec ses idées et ses propositions, reconnaissons-lui le mérite de troubler le jeu et de mettre au grand jour ce que taisent les politiques, que ce soit par incompétence ou, plus souvent, par lâcheté. D’où leurs attaques imbéciles et leur sempiternelle réduction ad hitlerum. Ainsi le bouddha du Sénat se croit malin quand il identifie Zemmour à Radio-Kaboul, tandis que le président républicain de la région Grand Est identifie ses partisans à la « France moisie ». L’obscur marcheur Morello parle d’un « venin fasciste », Hidalgo se dit « écœurée jusqu’à la nausée » et Schiappa « horrifiée ». Bourlanges, un MoDem macronisé (par ailleurs, excusez du peu, président de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, député des Hauts-de-Seine, ancien député européen, conseiller maître honoraire à la Cour des comptes, itinéraire exemplaire d’un politique cumulard) décrète que « Zemmour n’est pas gaulliste mais pétainiste ». Dans son déni de la violence intercommunautaire qui pourtant est partout en augmentation, il prétend que Zemmour veut exclure « de la fraternité républicaine des millions de fidèles d’une grande religion ». Salafistes et terroristes inclus, sans doute…

Ces misérables écrans de fumée sont impuissants à masquer une réalité accablante :

Comment ressusciter une industrie qu’on a liquidée sans état d’âme ?

Comment reconstruire une école qu’on a sciemment détruite ?

Comment récupérer les territoires perdus de la République abandonnés à l’islamisation ?

Comment freiner la libanisation de la France, alors que depuis quarante ans nos six présidents de la République ont ouvert les frontières à une immigration sans cesse grandissante présentée comme une « chance pour la France », en méprisant le refus massif de la majorité silencieuse ?

Comment retrouver notre souveraineté qu’ils ont cédée à la communauté européenne, fossoyeuse des nations et avant-garde de la mondialisation ?

Comment sauver notre indépendance énergétique sacrifiée à des utopies écologistes?

Comment lutter contre l’appauvrissement des classes populaires et des couches défavorisées quand on a, depuis des décennies, tout fait pour enrichir les riches ?

Comment lutter contre la pollution et le dérèglement climatique si l’on ne désigne pas les vrais coupables au lieu d’exercer une écologie punitive contre notre pays ?

Comment éradiquer les vols, violences, crimes, trafics sur lesquels on a longtemps fermé les yeux et qu’une justice partisane encourage ?

Comment lutter contre les courants gauchistes extrémistes acharnés à détruire les valeurs nationales quand on tolère leurs manifestations au sein de l’École et de l’Université, encensées par les intellectuels branchés et les médias courbettes ?

La tâche est immense, résultat de plus de 40 ans de laxisme, de permissivité, de couardise dont la gauche comme la droite sont responsables. Ce n’est pas elles qui pourront faire le ménage, pas plus que les Verts et autres gauchos islamistes. Qui donc osera s’attaquer au sauvetage et à la reconstruction de la France ?

Il est en effet grand temps d’agir, car partout l’islamisme radical est en marche : en Afrique, au Moyen-Orient, au Liban à nouveau au bord de la guerre civile. On l’a vu en Afghanistan où la fuite d’un Biden froussard et démagogue est une faute politique majeure. Faute stratégique aussi car abandonner ses armes à l’ennemi, c’est encourager partout le radicalisme islamique qui, avec une poignée de talibans, peut se targuer d’avoir vaincu la première puissance mondiale. C’est affaiblir l’Occident tout entier.

Comment ne pas voir dans le destin des femmes afghanes qui, après vingt ans de démocratie où elles s’étaient épanouies, étaient devenues professeurs, juges, médecins, députées… ont été, du jour au lendemain, enfermées, voilées, interdites d’exercer leur métier, molestées, parfois exécutées, une image de ce qui attend les Occidentales : la fin de leur liberté et de leur autonomie, fruit d’un combat de plusieurs siècles pour l’égalité. Pourtant, face au danger qui menace la démocratie et les femmes particulièrement, nos féministes sont réservées : il ne faudrait pas en effet ostraciser l’islam et risquer d’être accusées d’islamophobie, de racisme et de connivence avec l’extrême droite, increvable épouvantail pour museler toute critique, alors qu’aujourd’hui l’extrême droite n’a guère de victimes sur les bras quand le radicalisme islamique est comptable, lui, d’innombrables massacres.

Qu’ont donc à voir pareils aveuglement, pareils reniements avec le courage des femmes afghanes qui, après la prise du pouvoir par les talibans, ont osé manifester pour revendiquer leurs droits ? Avec le sacrifice des femmes kurdes et yézidies dans leur lutte contre Daesh ?… Au moment où l’islam avance inexorablement et annonce son but de domination mondiale, au moment où les pays européens sont submergés par un flux migratoire ininterrompu qui nourrit une cinquième colonne soutenue par les gauchistes collabos, futurs dhimmis, l’Occident se préoccupe de sujets dérisoires (par exemple, comment emmener « la trop mignonne Chouquette » en vacances à travers l’Europe ?) sinon indécents, tel le couturier Balenciaga qui présentait, le 13 septembre, à New-York, un modèle en combinaison-robe noire intégrale, couvrant le visage et le corps, à l’image du niqab que les talibans imposent aux Afghanes.

Un Occident lâche, inconscient, décadent, dont l’atmosphère rappelle celle qui régnait à Constantinople à la veille de sa prise par les Turcs Ottomans le 29 mai 1453, signant la fin de l’empire byzantin qui avait duré 1000 ans.

Max Chaleil, Riposte Laïque

Petite-Rosselle (57) : un homme de 44 ans agressé de cinq coups de couteau par une bande de mineurs, qui caillassaient sa maison depuis des semaines

Articles : Oct. 2021Sept 2021Aout 2021 – Juil.2021 – Juin 2021Mai 2021

Huit mineurs ont été interpellés suite à l’agression au couteau d’un quadragénaire, ce dimanche 24 octobre, à Petite-Rosselle, près de Forbach. Le suspect principal, qui a poignardé la victime, est âgé de 17 ans. L’homme de 44 ans est hors de danger mais toujours hospitalisé.

Le principal suspect dans l’agression d’un Rossellois de 44 ans, dimanche 24 octobre, a été placé en garde à vue au commissariat de Forbach, ce lundi. Âgé de 17 ans et domicilié à Petite-Rosselle, il a reconnu, durant son audition, avoir asséné plusieurs coups de couteau à sa victime, et a confirmé aux enquêteurs les circonstances de son implication.

(…) Le Républicain lorrain

Dimanche soir vers 20 h 30, un habitant de Petite-Rosselle, près de Forbach, âgé de 44 ans a reçu cinq coups de couteau, après avoir poursuivi plusieurs jeunes individus qui venaient de lancer des projectiles sur sa maison. Grièvement blessé, il a été transporté à l’hôpital de Mercy à Metz.

(…) Le Républicain lorrain