« Fin du sacré, fin de la civilisation ? » avec Michel Onfray et Patrick Buisson

Articles : Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.202

Éric Morrilot dans son émission « Les Incorrectibles » sur Sud Radio reçoit Michel Onfray et Patrick Buisson à l’occasion de la sortie de leurs nouveaux livres respectifs L’art d’être français et La fin d’un monde.

Dans Revue Elements

Le Pr Didier Raoult constate un taux de mortalité chez les vaccinés et les non-vaccinés identique

Articles : Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Dans ce bulletin d’information scientifique de l’IHU, le Pr Didier Raoult constate que le taux de mortalité chez les vaccinés et les non-vaccinés est le même et souligne, encore une fois, que les gens qui en meurent sont des sujets très âgés, qui ont une espérance de vie très faible. « Cette maladie tue des gens de plus de 65 ans qui ont des facteurs de risques associés ou des gens de plus de 75 ou 85 ans qui ont une espérance de vie très faible. ce n’est pas une maladie qui va tuer des enfants. »

Le Pr Raoult rappelle que « 1- ça ne mérite pas un tel affolement. 2 – il faut soigner en particulier les personnes âgées, 3 – il faut tester les molécules anodines comme l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, en particulier dans les Ehpad […] Si vous voulez vraiment diminuer la mortalité, il faut se préoccuper de cette population avec des médicaments connus, sans risques. »

« Il y a une distorsion d’information dans les journaux anglais qui amène à ce que c’est eux qui en sont les premières victimes. Là où il y a le plus de victimes, c’est là où il y a le plus de journaux scientifiques, le plus de moyens financiers pour les soins, le plus de corruption et le plus d’industrie pharmaceutique. Ça montre qu’il y a un paradoxe au fait que c’est devenu un inconvénient d’être le pays qu’on pensait être le leader. »

« La politique extrêmement active de vaccination n’aura pas donné les résultats escomptés comme on nous le présentait […] les choses ne sont pas si simples, encore une fois il n’y a pas de baguette magique. »

Media en 4-4-2

La planète financière se noie dans la fausse monnaie – Politique & Eco 305 avec Pierre Jovanovic

Articles : Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Ultimes conséquences de la planche à billet, les banques en situation précaire, l’or acheté en masse par les états et voilà l’inflation qui pointe. Olivier Pichon reçoit Pierre Jovanovic pour sa revue de presse internationale financière et monétaire. DES TRILLIARDS DE FAUSSE MONNAIE ONT ETE IMPRIMES DEPUIS L’EXPLOSION DU 29 SEPTEMBRE 2008

« On voit parfaitement que les banquiers centraux sont devenus fous, et que cela va obligatoirement se terminer dans une méga-catastrophe . De plus, tout cet argent n’a profité qu’aux ultra-riches ».

On observe, par ailleurs, une véritable frénésie d’achat d’or par les Banques Centrales, ce qui montre à nouveau l’incroyable instabilité du système financier mondial, totalement noyé par les trilliards de fausses monnaies imprimées depuis 2008. Par l’effet de rachat des actifs aux banques commerciales, Holger Zschaepitz a constaté, qu’à la mi-juin 2021, le bilan de la BCE a atteint les 80% du PIB de l’Euro zone ! Et pendant ce temps Emmanuel Macron veut donner l’or de la France aux Etats-Unis et à l’Afrique ! Fragilisées, les banques, surtout en Europe, n’en continuent pas moins à tricher.

L’Union Européenne a prononcé une amende de 172, 4 millions d’euros contre UBS, 129,5 millions contre Nomura et 69,4 millions contre UniCredit. Ces trois établissements sont les seuls à écoper d’une sanction financière, même si la Commission européenne a constaté que 7 banques s’étaient entendues pendant plusieurs années afin de fausser la concurrence sur le marché obligataire. Les clients sont les premières victimes parmi les nombreux exemples l’affaire Pouzin. Le génial inventeur s’est vu dépouillé par les banques, tandis qu’un azuréen a découvert que son livret d’épargne a été clôturé et que son argent avait disparu. D’autres banques s’effacent tout simplement et ferment leurs agences ou les vendent comme HSBC, LCL. La presse américaine annonce la perte de 200.000 postes dans le secteur bancaire au cours des 10 prochaines années. Pour parfaire le tout, l’inflation commence logiquement à poindre.

Breizh-info

EXCLUSIF : Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »

Articles : Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

La une de Libération, attaquant CNews et le projet de rapprochement avec Europe 1 avec, pour titre, « Le spectre de la bande FN », démontre, si c’était nécessaire, à quel point certains médias et certains journalistes se pensent détenteurs et gardiens de la seule vérité, depuis des années. La réalité est tout autre : plus sectaires qu’eux, tu meurs. Sous couvert d’anonymat, pour éviter les représailles démocratiques, un de nos confrères, qui au cours de ces trente dernières années a travaillé pour les plus grands médias, nous dévoile le dessous des cartes.

« Comment parler du Front national sans inviter un de ses représentants ? »

En 1998, encore jeune journaliste, cette question lancée à la cantonade par le directeur de la rédaction d’une radio périphérique lors de la « conf du matin » m’a tétanisé. Sans aucune précaution oratoire, sans justifier à un seul moment ce choix éditorial d’une gravité, quand on y songe, extrême, un « faiseur d’opinion » décidait qui avait le droit ou non de passer sur son antenne. À l’époque, déjà, c’était les régionales. Personne n’a moufté, chacun y allant de sa solution : faire parler les associations antiracistes, inviter un politologue ou un démissionnaire critique du parti de Jean-Marie Le Pen. Finalement, après quelques minutes d’échanges surréalistes, seul le chef du service politique osera dire que « tant que ce parti est autorisé, nous sommes en démocratie, il faut recevoir ses candidats ». L’intervieweur attitré refusant l’exercice, comme tous les anchormen et présentateurs, il s’y collera à sa place

Phillippe Ballard, ancien journaliste vedette de LCI et, aujourd’hui, tête de liste du RN à Paris, me racontait récemment avoir vécu exactement la même chose à plusieurs reprises, au cours de sa carrière. Et avoir été le seul à accepter, lui aussi, de réaliser l’interview de Jean-Marie Le Pen sur une autre radio nationale, dont les journalistes étaient eux aussi adeptes du boycott démocratique. En réalité, cet épisode a été rejoué 100 fois dans la plupart, ou plutôt,dans toutes les rédactions, au cours des vingt à trente dernières années.

Un mot de travers dit ou écrit par un journaliste de droite, et c’est la porte

À France Inter, le grand chroniqueur judiciaire François Foucart, chevalier de la Légion d’honneur, du Mérite, et croix du Combattant, se faisait bâcher des jours durant par ses confrères avant et après un passage à l’antenne de Le Pen. Un autre journaliste, soupçonné de sympathies pour « l’extrême droite » par le chef du service politique de son média, qui recevait sans états d’âme au bureau la prose du PS dont il était adhérent, passait dans son dos en lui glissant à l’oreille « Nous, les fachos, on leur coupe les couilles ».

Plus sournoisement, que ce soit en « conf de rédac », que ce soit dans les brèves, papiers, flashs radio, le choix du mot juste, entendez du mot politiquement correct, est un impondérable depuis que je fais ce métier. Une fois, en 48 heures, j’ai vu comment toute une rédaction pouvait se mobiliser pour faire virer un pigiste qui avait parlé de « manifestants pro-vie » pour désigner des manifestants anti-avortement ! La doxa, c’est de dire au minimum « les opposants à la loi Veil »« des militants d’extrême droite », des « adversaires du droit des femmes à disposer de leur corps ». Mais pas des « manifestants pro-vie ».

90 % d’apprentis journalistes se disent à gauche, dans les écoles

Bien évidemment, dans les rédactions « mainstream », cette autocensure est permanente. Et si un pigiste a le malheur de mettre un pied de côté, soyez certains que la Société des rédacteurs et les syndicats ne se battront pas pour lui sauver sa place mais pour exiger son départ !

Le plus fou, c’est la présidentielle, à chaque fois. À ce moment-là, il faut redoubler de vigilance pour ne pas se faire « cramer ». Et quand on organise un simulacre d’élections à la cafèt’, le résultat est connu d’avance. Quelques rares voix se portent sur le candidat de la droite parlementaire, mais l’essentiel vote à gauche, à l’extrême gauche ou écolo. Une fois, un bulletin Front national a été glissé dans l’urne. Tout le monde a traqué celui qui était derrière ce vote. Démasqué, il a été sauvé par le fait qu’il était de notoriété publique homosexuel et que son lynchage pour des raisons politiques aurait pu être transformé en lynchage homophobe. Pour se justifier, il a expliqué que c’était ce que votait sa famille. Dans les écoles de journalisme, qui organisent aussi des élections pour s’amuser, les scores sont sans appel. 90 % pour les candidats de gauche.

Alors, aujourd’hui, que les « gardiens du temple » agonissent d’injures sans plus aucune retenue leurs confrères dévoile leur vraie nature. Et au final, la sanction, c’est l’audience. Libé n’a plus de lecteurs depuis longtemps, ses journalistes sont payés à la fin du mois par le grand capital qu’ils feignent de détester mais qui remplit leur frigo. Le BFM TV de Fogiel dévisse. Souhaitons longue vie à Europe 1, qui va manifestement revenir bientôt à ses origines : une radio impertinente, libre et populaire !

Témoignage, dans Boulevard Voltaire

Michel Drucker apporte son soutien à CNews : vers la fin du politiquement correct

Articles : Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Il ne manquait plus à CNews que la bénédiction de l’archevêque de l’audiovisuel… c’est chose faite. Dans une interview, Monseigneur Michel Drucker a oint de son cirage miraculeux quelques figures incontournables de la chaîne. Au cours de l’émission « L’Instant Deluxe », d’un geste auguste, l’inamovible animateur a procédé à l’élévation de Pascal PraudSonia MabroukJean-Marc Morandini et Éric Zemmour au rang de bienheureux. Quittant ainsi le camp des pestiférés, les journalistes concernés se voient coiffés d’une auréole lumineuse à faire pâlir tous les saints de BFM.

Le vent tourne et Michel Drucker en est l’indicateur de direction. De son flair infaillible, il fait ainsi passer ces personnalités du statut de « maudit » à celui de « normal ». Les voilà admis autour du feu de bois sur lequel brûle le conformisme figé de France Télévisions. La vieille télé n’est plus et c’est l’un de ses piliers ancestraux qui, paradoxalement, le proclame implicitement.

En ce monde pétri de bien-pensance et de chasse aux sorcières, être admiré de Michel Drucker est un passeport, un viatique pour la rencontre avec la vraie popularité. Sur le revers de veste des heureux élus, le label « testé et approuvé par M.D. » est désormais apposé. Éric Zemmour, fier comme Artaban, Pascal Praud, rose de confusion, Sonia Mabrouk « Ah non, fallait pas »…

« Vivement dimanche », sur France 2, ou « Vivement Zemmour », sur CNews ? Michel Drucker n’aurait nul besoin de sortir de son canapé rouge. Des déménageurs se chargeraient du transfert. Dans la nuit. Ni vu ni connu. Dans son sillage, des millions de téléspectateurs retrouvant le simple bon sens dont on les avait privés. Une fuite massive du politiquement correct. L’exode. Ah, monseigneur, est-ce une apparition ? Je le vois comme si vous y étiez.

Jany Leroy, dans Boulevard Voltaire

La France a totalement perdu le contrôle de ses finances

Articles : Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Les électeurs s’intéressent peu à l’économie. Ils ont grandement tort, car notre pays s’autodétruit d’année en année par une ahurissante gestion de Pieds nickelés, unique en Europe.

“La France a totalement perdu le contrôle de ses finances.”

Ainsi s’exprime Nicolas Baverez, qui analyse le bilan du “quoi qu’il en coûte”, cette irresponsable “politique du n’importe quoi” qui ruine le pays.

Nous savons tous que Macron mène la France vers l’abîme avec ses délires immigrationnistes qui désintègrent la nation, mais au plan économique c’est pire.

L’ex-banquier de Rothschild dépense sans compter l’argent qu’il n’a pas, faisant de la France le pays le plus ruiné de l’UE avec l’Italie.

“Emmanuel Macron, lui, a choisi de creuser le trou de la dette de plus belle, au risque d’en faire le tombeau d’une France déclassée et ruinée”, ajoute Baverez.

Et tout va empirer avant l’échéance de 2022, Macron pratiquant une fuite en avant qui nous mène au désastre.

La France a engagé 424 milliards d’euros de dépenses supplémentaires pour les années 2020-2022, ce qui se traduit par un endettement égal à 118,2 % du PIB.

Du jamais vu en temps de paix. Depuis des décennies, la France s’endette massivement pour financer le fonctionnement d’un État omnipotent et pour donner au peuple l’illusion d’un accroissement de son niveau de vie.

La France vit à crédit et s’endette toujours plus pour rembourser ses dettes antérieures. Un cycle infernal qui empire d’année en année.

La dépense publique atteint 61 % du PIB !!

En 2021, le déficit public atteindra 9,4 % du PIB. Et la hausse des dépenses publiques sera deux fois supérieure aux pertes de richesse sur la période 2020-2023.

Aucun pays au monde ne peut supporter une telle gabegie, un tel délire dépensier sans faire faillite et finir sous la coupe du FMI.

Chaque famille de quatre personnes est endettée de 160 000 euros. Un fardeau qui va peser pendant des décennies sur les générations futures.

C’est l’irresponsabilité totale au niveau de l’Élysée, Macron n’agissant que pour sa réélection, quitte à détruire le pays.

Le seul fonctionnement courant des administrations engloutit 45 milliards par an.

En 2024, la France du banquier Macron affichera le plus important déficit de la zone euro.

Les taux d’emprunt sont au plus bas, ce qui aurait dû être l’occasion de désendetter le pays puisque la charge de la dette est allégée. Bien au contraire, l’argent facile a incité nos paniers percés de Bercy à engager des centaines de milliards de dépenses supplémentaires.

Et que constatons-nous ? Que l’inflation repart vers 5 % aux États-Unis, avant d’arriver en Europe. Une inflation qui va se traduire mécaniquement par une hausse des taux d’intérêt. Un désastre pour la France.

Si les taux d’intérêt deviennent supérieurs à la croissance nominale, une dette à 120 % du PIB devient vite insoutenable.

Or, depuis des années, la croissance française tourne autour de 1 %. Elle sera de 5 % cette année par un effet de rattrapage après l’effondrement de 2020, mais notre économie étant écrasée d’impôts, elle ne sera jamais compétitive. La cancer va donc se propager.

D’ailleurs, depuis 2002, avènement de l’euro, notre balance commerciale n’a jamais été positive. Elle est encore déficitaire de 70 milliards.

Macron est bien le pire fossoyeur de la France. Ses délires mondialistes nous mènent non seulement au chaos racial, mais aussi à la faillite totale.

Chaque bébé naît avec une dette de 40 000 euros dans son berceau. Et tout va empirer avec le retour de l’inflation et la hausse des taux d’intérêt.

En 2022, chaque électeur devra avoir ce chiffre en tête en déposant son bulletin dans l’urne.

La France est non seulement ruinée par l’immigration, mais aussi par la gabegie délirante de ses dirigeants.

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

Trafic de stupéfiants en France: «La guerre contre la drogue est perdue, les policiers le disent»

Articles : Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Le business de la drogue est-il devenu totalement hors de contrôle? Le journaliste Frédéric Ploquin a enquêté sur les dessous du trafic de stupéfiants en France et dans le monde. Son constat est sans appel: les autorités sont bien souvent complètement dépassées.

«Le marché de la drogue est aujourd’hui quasiment incontrôlable, probablement parce qu’il y a beaucoup trop de consommateurs. La drogue est acheminée au consommateur jusque dans le moindre petit village!», s’exclame Frédéric Ploquin devant les caméras de Sputnik.

Depuis plus de trente ans, Frédéric Ploquin enquête dans les milieux de la police et du banditisme. Dans son livre Les Narcos français brisent l’omerta (éd. Albin Michel), le journaliste retrace les tout débuts du trafic de drogue en France et dans le monde.

Si le business des psychotropes a pu être relativement circonscrit jusqu’aux années 70, Ploquin estime qu’«on en arrive désormais à une forme de métastase du trafic de stupéfiants».

«À ce stade, on peut considérer que la guerre contre la drogue est perdue, les policiers le disent», tranche notre invité.

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/international/202106241045783809-trafic-de-stupefiants-en-france-la-guerre-contre-la-drogue-est-perdue-les-policiers-le-disent/

I-Média n°354 – Élections régionales : abstention record, le RN à la peine

Articles : Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

00:00 Introduction

02:06 L’image de la semaine En allant voter pour les élections régionales et départementales, Jordan Bardella a émargé devant une femme voilée. Une image qui a créé la polémique.

07:22 Élections régionales : les Français veulent du changement ! L’événement le plus commenté médiatiquement ces derniers jours, c’est bien entendu le résultat du vote aux élections régionales. Entre une abstention record et des déceptions pour le Rassemblement national, il y a effectivement beaucoup à dire…

24:14 Revue de presse

34:16 Europe 1 : un média peut-il être de droite ? Les journalistes d’Europe 1 sont vent debout contre ce qu’ils appellent la transformation de la station en « radio d’opinion ». Comprenez en « radio de droite ». Une opposition à un rapprochement avec CNews évidemment soutenue par de très nombreux journalistes d’autres antennes.

Xavier Bertrand : « Il vaut mieux être avec les communistes qu’avec les identitaires »

Articles : Juin 2021Mai 2021Avr. 2021Mar.2021Fev.2021

Note Rutube.fr : Maintenant vous savez à quoi vous en tenir avec Xavier Bertrand. Il joue contre la France. Pour les prochaines élections oubliez ce “traitre”. Ne vous déplacez pas pour un tel “politicard”.