Pourquoi la langue arabe n’a pas sa place en France

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Publié le 1 mars 2020 – par Christine Tasin (RL)

Ça fait un moment que Jack Lang et ses pareils, les Belkacem et les Blanquer font campagne pour imposer l’arabe comme seconde langue en France, avant d’en faire une langue officielle de notre pays, aux côtés du français. Ce jour-là ces traîtres auront réussi, auront accompli la mission qui leur a été confiée par l’OLP, les Frères musulmans et l’UE.

C’est un dossier sur lequel nous nous sommes penchés moult fois tant il nous tient à cœur. Voici une synthèse de nos contributions.

D’abord, en quelques mots, pourquoi ce serait une faute lourde que de généraliser l’enseignement de l’arabe en France

  • l’arabe enseigné n’est pas l’arabe parlé dans les familles, qui est un arabe dialectal. L’arabe qui serait enseigné serait donc l’arabe du Coran, enseigné… par des enseignants du Coran qui a présidé à la naissance de la langue arabe comme notre ami et contributeur linguiste David Belhassen l’a magistralement démontré. L’arabe est une arme de guerre pour répandre l’islam et le djihad partout.

Le Coran n’est pas une langue, mais une sorte « d’esperanto », un idiome artificiel composé et fabriqué ad hoc à partir de 3 langues : le himyarite, l’hébreu, et l’araméen (dans sa variante « syriaque » tardive). Au vocabulaire de ces 3 langues sur lesquelles sont forgés 99 pour cent de « l’Esperanto coranique », il faut ajouter quelques emprunts au grec, au persan, et à l’éthiopien.

Même les traducteurs du Coran en français sont tombés dans ce travers. Ils mettent un point d’honneur à immiscer dans leurs traductions une richesse de langage comme s’il s’agissait d’un chef-d’œuvre littéraire à la Victor Hugo, alors que le Coran est d’un niveau linguistique et littéraire déplorable, un véritable navet comparé à bien d’autres créations de la littérature préislamique.

En réalité, cet idiome hybride a servi d’arme de guerre pour lancer le grand plan d’invasion prévu et programmé par l’islam.

De quelle manière ?

En s’accaparant l’hébreu et l’araméen, l’esperanto coranique a induit l’idée que le Coran était en fait la « vraie Torah de Moïse » et « l’authentique Évangile », que les juifs et les chrétiens auraient respectivement falsifié et que Muhammad (donc l’islam, donc les musulmans) « aurait rétabli dans l’intégrité et l’intégralité du message originel ». De plus, cet idiome coranique est déclaré « antérieur » à l’hébreu et à l’araméen.

Et au XVIIIe siècle après J.-C., les Européens sont tombés dans le panneau en forgeant la terminologie factice de « langues sémitiques », qui fit la part belle à la pseudo-langue arabe  (en vérité l’idiome coranique). Pire ! Ils lui octroyèrent tout le prestige et l’ancienneté (qu’elle n’a pas) qui revenaient de droit à l’hébreu et à l’araméen.

L’idiome du Coran n’est pas une langue « innocente » mais une arme de guerre pour répandre le panarabisme islamique !

– On sait que intégration et assimilation sont des gros mots, pour les gauchos comme pour l’abominable Zekri, celui qui trouve normal que Mila se fasse insulter et menacer. Or, renforcer le développement d’une communauté refusant l’intégration en l’isolant avec sa langue, sa culture… c’est développer le « séparatisme » contre lequel Macron prétend lutter.

Si on vit en France, c’est a priori pour peu à peu devenir français et faire sienne la culture française, faire sien l’héritage occidental, l’héritage indo-européen… et anglais, allemand, espagnol… toutes langues européennes sont bien plus utiles que l’arabe pour cela. Sans compter que la nature a horreur du vide. Les élèves qui prendront l’arabe au lieu de l’allemand ou de l’italien… concourront à la disparition des offres de langue européenne dans les lycées… permettant à l’arabe d’exister partout, de s’imposer partout.

  • Le terrorisme parle arabe…

Magistrale démonstration de Jean Lafitte s’appuyant sur le discours du conventionnel Bertrand Barère à la tribune du Comité de Salut Public le 27 janvier 1794.

« Citoyens, les coalisés tyrans ont dit : l’ignorance fut toujours notre auxiliaire la plus puissante ; maintenons l’ignorance, elle fait les fanatiques, elle multiplie les contre-révolutionnaires ; faisons rétrograder les Français vers la barbarie ; servons-nous des peuples mal instruits ou de ceux qui parlent un idiome différent de celui de l’instruction publique. »

Enfin je vous invite à réécouter l’extrait ci-dessous d’une superbe (mais un peu longue, avec une autre intervenante très bavarde…) émission de Radio Courtoisie sur le sujet datant de 2016, animée par le si regretté Gérard Marin. J’y avais participé, je vous prie d’écouter le petit montage extrait ci-dessous avec l’essentiel de mon intervention.

II Expérience des autres pays. Ceux qui imposent l’arabe à l’école sont tous, sans exception, des gauchos détestant leur propre pays et utilisant l’arabe – et l’islam qu’il véhicule – pour tuer leur langue maternelle, et, partant, leur pays.

– Catalogne : en 2016, le gouvernement de l’indépendantiste Artur Mas propose au Maroc d’introduire l’arabe dans les écoles de Catalogne avec le même horaire que celui consacré à l’étude de l’espagnol (le catalan étant pour lui la première langue, langue officielle de Catalogne). source

  • Belgique : la flamande Axel Red pense qu’on supprimerait le djihadisme (carrément ! ) en remplaçant l’étude de l’allemand par l’arabe. Source

III Les pro-arabe en France sont tous, absolument tous des anti-France, des traîtres désireux de faire disparaître notre pays dans une société multiculturelle où tout se vaut, où l’arabe vaudrait le français, où l’identité arabo-musulmane serait supérieure à l’identité gréco-romaine (traduisez occidentale), où l’arabe n’est qu’un moyen de faire disparaître la France, encore plus radicalement dans l’invasion d’une culture complètement opposée à la nôtre.

Ils ne peuvent pas ne pas savoir que la généralisation de l’enseignement de l’arabe est dans le programme du « parti « islam  » français, l’UDMF et dans le contrat Isesco entre les pays exportateurs d’immigrés musulmans et la France.

Quant à l’enseignement de l’arabe à l’école, il fait partie des textes fondamentaux de l’Isesco (Unesco musulmane, intitulé Stratégie de l’action islamique culturelle en Occident). Il s’agit de dire clairement aux pays d’immigration musulmane ce qu’ils doivent faire et ne pas faire pour que les musulmans ne soient pas contaminés par la lèpre occidentale. Le titre est clair comme de l’eau de roche. On peut le consulter ici en français :

http://resistancerepublicaine.com/wp-content/uploads/2016/07/Isesco-Stratég-occident.pdf

Extrait : Les pays musulmans doivent obtenir que l’arabe devienne une option d’enseignement parce que c’est le langage du saint Coran. « To firmly secure and reinforce identity language inevitably needs to be considered as « an effective proprietor of identity », which is, in this case the Arabic language, the language of the holy Quran. » (p.39-40).

  • Qui se souvient que Peillon, nommé ministre de l’EN par Hollande  (Peillon, ministre !!!!!!!) avait décidé de mettre plus de postes d’arabe au concours, d’ouvrir moult classes « orientales  » où on étudierait langue et civilisation (sic !)… pour « mettre fin à une injustice, l’arabe étant peu enseigné, comme l’allemand. Alors pourquoi ne pas revaloriser l’allemand, riche en histoire, en philosophie, en sciences, ? Source

– Et l’ineffable Belkacem qui a tout fait pour faire disparaître le latin et le grec, y compris en faisant disparaître les concours spécifiques de lettres classiques, qui voulait par contre que tout le monde parlât arabe, histoire de plaire à son maître le roi du Maroc ? Elle voulait nous faire croire qu’enseigner l’arabe au collège éviterait aux familles d’envoyer leur enfant l’apprendre à la mosquée. Mauvais prétexte, Belkacem. Ils ne vont pas apprendre l’arabe, mais l’islam, à la mosquée… Quant à apprendre l’arabe ou le sabir régional de chacun qui tient lieu de dialecte arabisant, ils le parlent tous, puisqu’à la maison on ne parle pas français chez ces gens-là. Avez-vous jamais entendu les Portugais, les Espagnols et les Italiens demander à ce que leur langue soit enseignée partout en France du temps de leur immigration massive en France ? Que nenni. Les enfants apprenaient naturellement la langue de leurs parents qui la parlaient, voilà tout. Mais les Arabo-musulmans seraient si inférieurs aux autres qu’il faudrait que tout un pays vienne à leur secours pour qu’ils apprennent la langue de leurs parents ? Tu dis ça à un cheval de bois, il te donne un coup de pied.

  • Inutile de parler du repoussant Jack Lang qui réclame depuis au moins 5 ans que l’arabe ait le même statut que l’anglais dans nos établissements. Pour avoir envie de vomir, il me suffit de voir et d’entendre celui qui, depuis des années, milite pour que la France devienne le Maroc.

Tiens, sa tronche d’il y a 5 ans, avant qu’il soit botoxé, lifté, opéré avec les sous que lui donne le contribuable… Son poste à l’IMA, ses repas qui coûtent des millions au contribuable, son militantisme nihiliste ne suffisent pas à son bonheur, il faut que chacun aime ce qu’il aime… Au fait, je doute que le précieux, vaniteux, occupé de lui-seul Lang ait pu un jour essayer d’apprendre l’arabe… Inutile pour lui, il aime déjà l’islam et les pays arabes. Mais rendre l’apprentissage de l’arabe obligatoire, afin d’obliger les rances, les sans-dents amoureux de leur civilisation à oublier celle-ci en préparant leur statut de dhimmi… ah! ça oui, c’est un combat pour l’ordure Lang.

  • Quant à l’homme de Macron, Blanquer, qui incarne si bien la méthode « Macron », puisqu’il fout en l’air nos fondamentaux, nos examens nationaux entre autres et, « en même temps » s’arrange pour que ses « petites phrases » non suivies d’effet le fassent passer pour un rétrograde rassurant pour les parents. C’est bien la même ordure que les 3 autres.

IV Pendant que, en France, on veut arabiser… des pays arabes francisent !

C’est le cas du Maroc qui a réintroduit le français à la place de l’arabe dans les enseignements scientifiques (ben non, aucun rapport possible entre les sciences, interdites ou niées par le Coran et l’arabe, langue dudit Coran) et on introduit l’enseignement du français dès la maternelle. Mais aussi pour lutter… contre le fondamentalisme véhiculé par l’arabe et ses enseignants :

Une décision qui remonte au mois de février 2016. Au nom de la laïcité, pour échapper à l’Allahicité :
« « Pour eux [les islamistes], arabisation et islamisation vont de pair car la langue est liée à la pensée », se félicite Ahmed Assid, un professeur de philosophie aux positions laïques. « Ce retour aurait dû se faire depuis longtemps. Nous avons perdu trente ans à cause de petits calculs idéologiques. Avant d’arabiser, l’État marocain aurait dû d’abord réformer la langue arabe dont le lexique et les structures n’ont pas varié depuis la période préislamique », ajoute-t-il. » […]
« À partir des années 1960, le Maroc a commencé à « importer » des enseignants d’Égypte et de Syrie afin de conduire le processus d’arabisation. C’est à cette époque que le wahhabisme et la pensée des Frères musulmans se sont progressivement introduits dans le royaume », souligne l’historien Pierre Vermeren. […]

Ce pauvre Tahar Ben Jelloun n’a décidément rien compris…

En Algérie, les Kabyles entrent en résistance contre l’arabe imposé ! Après le lycée des At Zmenzer, la campagne de boycott de la langue arabe, conduite sur les réseaux sociaux, s’étend à présent dans la wilaya de Tizi Ouzou rapporte le site Obser Algérie.

Alors encore un grand merci à Éric Zemmour qui a si bien su mettre minable le dégénéré Lang en montrant ce qu’est la langue arabe…

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