Omerta à Clermont-Ferrand : qui peut m’aider ?

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Publié le 20 août 2018 – par Camille Defrance (source Riposte Laïque)

J’habite Clermont-Ferrand, sanctuaire gauchiste depuis des décennies et où l’omerta règne en maître s’agissant des décisions arbitraires d’un groupe d’élus activistes, immigrationnistes et pro-palestiniens (des manifestations de soutien sont régulièrement autorisées par eux), élus circonvenus et infiltrés, au sein même des fonctions régaliennes de l’exécutif local, par une démographie arabo-africaine en croissance exponentielle dont, bien sûr, aucun média n’a pu témoigner objectivement à ce jour, car alors immédiatement recadré par un discours local convenu et trompeur.

Ma vie est devenue une souffrance quotidienne, car vécue dans l’indifférence médiatique et sous la chape de plomb de l’omerta. Dans le centre-ville, comme dans nombre d’autres quartiers, une personne sur quatre est musulmane (avec ostentation) ou africaine (et flanquée d’une progéniture innombrable et incontrôlée).

Comme dans toutes les métropoles gérées par la gauche ou LREM, certains quartiers sont devenus des zones « hors statistiques » avec un taux de population immigrée qui frôle probablement les 90 %. Ce qui caractérise ces individus, c’est la défiance et/ou l’indifférence qu’ils manifestent à l’égard de la civilisation occidentale, le mépris – même – avec lequel ils regardent les autochtones, communiquant à tue-tête dans leur dialecte d’origine, ne respectant que rarement les règles communes, sans même parler, bien sûr, de leur impolitesse et des insultes qui fusent si l’on a le malheur de manifester sa désapprobation, fût-ce seulement du regard, devant leurs incivilités permanentes et leur refus de se plier à nos usages citoyens.

Les musulmans, et leur très claire volonté de conquête, ont trouvé dans cette ville un eldorado inespéré, avec le soutien angéliste d’une horde d’activistes gauchistes, et prospèrent en toute quiétude grâce au traditionnel « je-m’en-foutisme nonchalant » des Africains, éternels écervelés assistés, matrices à allocations familiales, totalement indifférents à notre culture et même à l’islamisation galopante de cette ville.

De fait, le peu qu’il reste de nos racines culturelles, largement mises à mal depuis des décennies par ce que les élus de gauche appellent le « polyculturel », n’est plus qu’une image pour livre d’Histoire ; il vous suffit de vous connecter sur les sites de la ville pour constater qu’en ce moment même se déroulent expositions et manifestations promouvant l’immigration. De même, un plan d’urbanisme a été mis en place, uniquement destiné à « l’accueil » et certains quartiers ont été sacrifiés, vidés de toutes leurs références culturelles, et les derniers résistants n’ont eu d’autre choix que l’exil, pour laisser la place aux kebabs, au trafic de drogue, aux mosquées et centres culturels africains ou musulmans (dissimulés habilement par les élus locaux complices) venus remplacer les services et les commerces de proximité.

Tout cela semble se dérouler dans l’indifférence médiatique nationale et se trouve, bien sûr, totalement occulté par la presse locale, elle-même déja récupérée et infiltrée depuis des décennies par des gauchistes péremptoires et aujourd’hui, en outre, par des arabo-africains, mais surtout par des prosélytes musulmans habilement camouflés (comme d’habitude) et toujours à l’affût de la moindre possibilité de s’introduire dans les médias.

e ne peux pas, pour le moment, fuir cet enfer pour une autre ville moins immigrationniste (commme vous le savez, il en subsiste encore, mais probablement plus pour très longtemps) et je me sens bien isolé au sein d’une population clermontoise qui semble tout à fait s’accommoder de la situation. Dans les faits, les arabo-africains proliférent (aucune statistique ethnique n’est, bien sûr, possible) au milieu d’autochtones gauchistes qui, tous, ne cessent de voter en faveur de la pérénité de ce système. Dès lors, les rares personnes qui souffrent de cette dramatique situation se trouvent complètement isolées, ne communiquent pas entre elles et sont ainsi exclues de toute la vie sociale locale qui n’est vouée qu’à perpétuer cet état de fait.

QUI PEUT OU QUI VEUT S’INTÉRESSER À LA SITUATION PARTICULIÈRE DE CLERMONT-FERRAND ? QUI PEUT M’AIDER À ME FÉDÉRER ?

Camille Defrance




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