Calais (62) : un camion s’embrase en forçant un barrage enflammé installé par 40 migrants, le chauffeur a également été agressé

Un poids lourd a pris feu dans la nuit de lundi à mardi sur la rocade portuaire (échangeur 47) de Calais, après avoir tenté de forcer un barrage enflammé installé par des migrants.

Le camion aurait tenté de forcer un barrage de palettes en feu installé par une quarantaine de migrants, et se serait embrasé.

Selon une source, le chauffeur du camion aurait par ailleurs été agressé. Très légèrement blessé, il a été conduit au centre hospitalier pour soins.

(…) France 3

Union Européenne. Charia et CEDH : « Soumission » programmée

Source :
Breizh-info.com

Avant la parution du nouvel ouvrage de Michel Houellebecq, Sérotonine, il est instructif de relire certains passages clés de son précédent roman, Soumission.

Sur un ton neutre et impassible, l’écrivain raconte en parallèle l’ascension politique de Mohamed Ben Abbes, président du parti « la fraternité musulmane », et la conversion religieuse du personnage principal, qui trouve plus confortable de croire à l’Islam que de rester dans un athéisme angoissé. Le message fort du livre est celui-ci : le relativisme consumériste dans lequel baigne actuellement notre société est le terreau idéal pour le développement de l’islam et la mise en application de la Charia. L’actualité nous montre combien Michel Houellebecq est un écrivain aussi brillant que visionnaire.

La CEDH vient de rendre un arrêt qui va dans le sens de ce relativisme servant l’Islam politique. En bref, une grecque musulmane n’est pas éligible à l’héritage de son défunt mari en raison des dispositions de la Charia appliquée historiquement pour certaines communautés de Thrace – région proche de la Turquie. Elle conteste cette décision auprès de la CEDH. Cette dernière condamne, heureusement, l’application forcée de la charia. Cependant, les motifs invoqués n’ont pas fini de susciter notre inquiétude.

En effet, la Charia n’est pas rejetée par principe, mais par son application forcée. Aux yeux de la Cour Européenne des droits de l’Homme, censée représenter les idéaux démocratiques Européens, la Charia en tant que pratique juridique n’est pas rejetée de facto. Elle peut être appliquée, au sein d’un Etat, qui souhaite « créer un cadre juridique déterminé pour accorder aux communautés religieuses un statut spécial impliquant des privilèges particuliers ». La conclusion de cet arrêt est qu’un Etat peut accorder à la communauté musulmane la liberté d’appliquer la Charia dans un territoire nommé, sans que les normes juridiques islamiques contreviennent aux Droits de l’Homme.

La CEDH ouvre la voie à l’application de la Charia en France et à sa défense au nom des Droits de l’Homme.

Soucieux de la « protection des minorités », la CEDH s’est ainsi refusée à rendre un avis sévère sur les normes islamiques appliquées dans de nombreux pays du Moyen-Orient. On imagine fort bien les réflexions du juge, ou plutôt ses angoisses : Qui suis-je pour condamner une loi qui touche une grande communauté religieuse européenne ? Mes valeurs doivent-elles s’ériger en absolu sur celles des musulmans ? Ne dois-je pas accorder, par soucis de tolérance, la liberté à ceux qui le souhaitent l’application de leur loi religieuse ?

Ceci n’est ni plus ni moins la marque d’un relativisme qui fait le lit de l’Islam politique. La CEDH ouvre la voie à l’application de la Charia en France et à sa défense au nom des Droits de l’Homme. Par volonté de ne pas offusquer des minorités, la CEDH noie les idéaux démocratiques dans un bouillon relativiste. Elle ne souhaite pas porter son regard sur le traitement des femmes réservé par la loi islamique, sur les conditions effroyables du mariage prévues par l’application rigoriste de la religion de Mahomet, sur les répressions exercées sur les mécréants et les dhimmis, et enfin sur l’intolérance envers ceux qui se détournent de l’Islam. La CEDH tolère une loi qui se veut intolérante, violente, et stigmatisante pour les femmes, les homosexuels, les athées, et les croyants d’autres cultes. Comment la CEDH a-t-elle pu trahir aussi bassement les idéaux des lumières, issus de Voltaire, Kant, Locke, Rousseau, qui se seraient retournés dans leur tombe à la vue d’une Europe permettant légalement l’oppression des femmes et de ceux qui ne croient pas ?

La cour aurait dû rejeter la Charia comme une question de principe indépassable . Ainsi, devant un arrêt aussi absurde, il nous semble plus qu’urgent d’appeler la France à quitter la CEDH qui trahit les idéaux démocratiques. Il est de surcroît fondamental de se protéger de l’application de telles lois, qui irait à l’encontre de tous ce qui forge nos valeurs actuellement. Il faut donc réfléchir à l’inscription dans la Constitution de la condamnation de la Charia, comme intrinsèquement incompatible avec les valeurs de la République française.

Il est nécessaire de prendre conscience que la CEDH s’est aujourd’hui déshonorée. Cet arrêt à fait scandale à droite, des Républicains au Rassemblement national en passant par Nicolas Dupont-Aignan. Et ce à juste titre. Et ce pendant que Nicolas Cadène, le rapporteur général de la laïcité pour le gouvernement s’évertue à baigner dans une naïveté coupable en défendant à bout de bras cette décision.

L’axe communautariste Plenel-Macron-Juppé s’évertuera toujours à démontrer les bienfaits de l’achat de la paix sociale, même s’il faut pour cela vendre une part de notre identité. Mais attention, prenons garde à ce que demain, ce ne soit plus notre identité qui soit en jeu, mais bel et bien notre liberté.

Paul Nafilyan, avocat & porte-parole de Racines d’Avenir

Présidé par Erik Tegnér, Racines d’Avenir est un collectif de la jeunesse conservatrice, identitaire et entrepreneuriale, composé majoritairement de LR et qui défend le dialogue des droites.

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Taxer les classes moyennes plutôt que les « riches » : le honteux rétropédalage du pouvoir sur la taxe d’habitation

La politique du gouvernement d’Emmanuel Macron devient de plus en plus choquante et injuste ! 

Le mépris des classes moyennes et la morgue du Président sont à l’origine du mouvement des gilets jaunes, mais le locataire de l’Élysée n’a rien appris et continue dans la même veine : pressurer les soi-disant « nantis » qui gagnent plus de 3.600 euros par mois.

Le gouvernement avait promis, à la mi-2018, de supprimer la taxe d’habitation pour tous en 2021. Cette générosité générerait un trou de 23,8 milliards dans le budget car, en principe, cette taxe aurait dû être compensée, à l’euro près, par l’État, les collectivités locales ne pouvant se passer de cette manne. Or, vu la façon désastreuse dont nos comptes sont tenus, cet effort apparaît comme insupportable pour nos finances exsangues. Le gouvernement a, un moment, agité l’idée d’augmenter la CSG ou la TVA, des impôts intéressants pour des « serial taxeurs », car ils s’appliquent à tous, pauvres comme riches, et, de ce fait, rapportent beaucoup. Faire passer de 20 à 21,5 % le taux de la TVA aurait suffi à compenser le déficit. Mais vu la fronde des gilets jaunes, le pouvoir n’a sans doute pas eu le courage d’affronter la colère populaire qui n’aurait pas manqué d’éclater.

Il se rabat donc sans honte vers une autre solution : revenir sur l’exonération totale et obliger les 20 % des plus « aisés » à payer la taxe d’habitation. Le gain attendu sera de huit milliards, presque autant que ce qui vient d’être concédé en décembre par M. Macron. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a sans vergogne écarté l’idée de réintroduire l’impôt sur la fortune, qui ne rapporterait que trois milliards. Seront donc spoliés, non les millionnaires, mais, par exemple, les couples sans enfant qui touchent ensemble 4.150 euros par mois, soit 2.075 euros chacun. Est-on riche si on perçoit un peu plus que le salaire moyen ? Bien sûr que non, on continue à faire partie des classes modestes ! Mais le pouvoir n’en a cure.

Pour préserver le pouvoir d’achat des 1 % les plus riches, il pressure ceux qui ont un salaire à peine convenable. Et, comble de l’hypocrisie, il prétend s’appuyer derrière une demande des gilets jaunes, alors que jamais cette question n’a été mise en avant par le mouvement. Seul l’ISF est réclamé à cor et à cri.

Ce maintien va faire très mal. L’État ne va compenser qu’en partie l’abandon de la taxe d’habitation. Tous les prétextes seront bons pour ne donner que la moitié ou les deux tiers des sommes promises, et ces fonds ne seront concédés qu’en culpabilisant les collectivités locales, décrites par le pouvoir comme dépensières alors qu’au sommet de l’État, on gaspille les deniers publics. Il manquera de six à dix milliards par an aux communes et elles les trouveront en augmentant l’impôt foncier et la taxe d’habitation pour ceux qui la payent encore : une catastrophe pour les classes moyennes dites supérieures.

Seul espoir : du côté du Conseil constitutionnel qui avait montré les dents, il y a quelques mois, au sujet de cette suppression de la taxe d’habitation pour tous… sauf pour certains. Le principe d’égalité devant l’impôt avait été rappelé. Le gouvernement avait, alors, annoncé la suppression totale avant d’envisager, aujourd’hui, de revenir en arrière. L’entreprise de bricolage fonctionne à plein.

Source Boulevard Voltaire

Emmanuel Macron veut réformer la loi de 1905 ? Les Frères musulmans n’attendent que ça !

source Boulevard Voltaire

Éviter la guerre entre la République et les musulmans de France est un bon objectif ; montrer de la faiblesse devant les islamistes serait une faute dramatique.

Le gouvernement veut changer la loi de 1905 pour promouvoir, dit-il, les modérés. Ce terme recouvre, hélas, des agents qui pratiquent la taqiya, ou dissimulation : ils semblent s’occidentaliser jusqu’à ce que les circonstances leur permettent de révéler leur vraie nature. Or, Céline Pina, fondatrice de l’association laïque Viv(r)e la République, a démontré qu’en prévoyant une taxe halal et en n’instituant pas un contrôle efficace des flux financiers, cette réforme ouvrira un boulevard à Musulmans de France, nouveau nom de l’UOIF, la section française de l’Internationale des Frères musulmans. Cette organisation a la main sur les mosquées les plus influentes et les prédicateurs les plus virulents, sans que le ministère de l’Intérieur soit capable d’en préciser le nombre.

Le terrorisme de Daech focalise l’attention, mais il existe d’autres crimes islamistes (les attaques terroristes islamistes qui ne sont pas le fait de Daech, mais aussi les crimes de droit commun viols, agressions sexuelles, égorgement produits par l’idéologie islamiste des criminels), et l’islamisation de l’Europe prend d’autres formes. Or, dans la propagation de cette idéologie, on retrouve partout les Frères musulmans.

Une note des services établit les progrès du communautarisme à l’école. Des petits garçons refusent de donner la mains aux filles, encouragés par leurs mères qui, à Lille, distribuent des tracts pour refuser l’école mixte au nom du Coran. Dès le CM1, des enfants observent le ramadan, et les musulmans qui ne mangent pas halal sont insultés par les pratiquants. Au-delà des prescriptions sur les aliments et les femmes, l’islamisation prend des formes surprenantes : dans un établissement du Nord, des élèves ont refusé de suivre un cours dans une salle dont le mobilier était rouge, couleur impure, haram.

Le livre Inch’Allah montre que l’islamisation du 93 est pilotée par des théologiens musulmans, notamment des IESH (Instituts européens de sciences humaines), répandus en France et en Europe. Ahmed Jaballah, patron des IESH de Château-Chinon et Paris, ancien président de l’UOIF, vient d’être élu, à Istanbul, vice-président du Conseil européen pour la fatwa et les recherches (CEFR), association fondamentaliste dont le siège est à Dublin. Son patron, le Qatari d’origine égyptienne Youssef al-Qaradâwî, radical devenu trop voyant, a pris sa retraite, mais son successeur, Abdulah Al Judai, dirige l’IESH du pays de Galles, et la grande mosquée de Cardiff prêche ouvertement le djihad contre juifs et chrétiens. Cerise sur le gâteau, toujours selon Inch’Allah, l’IESH a servi de boîte aux lettres à Inès Madani, principale accusée de l’attentat manqué à la bonbonne de gaz contre Notre-Dame de Paris.

Si les Frères musulmans sont interdits par l’Égypte, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et Bahreïn, ils entretiennent des liens étroits avec la Turquie d’Erdoğan et le Qatar. Le Qatar se présente, en France, en investisseur aimable, il possède le PSG, va faire des expositions à la Concorde, mais il finance des IESH, comme le montrent plusieurs sources citées par Wikipédia, et il a tenté de s’immiscer dans la politique dite des banlieues. Sans grand succès apparent pour l’instant, mais les politiciens attirés par l’argent qatari sauront-ils rester vigilants ?

À quoi bon un débat national si on ne peut parler ni de l’immigration, ni de l’islam ?

Publié le 6 janvier 2019 – par Jacques Guillemain

Un grand blabla national, mais pour quoi faire ?.Dès le début les dés sont pipés puisque les sujets existentiels qui conditionnent l’avenir de la nation, à savoir l’immigration et l’islam, sont évacués des 4 « ateliers nationaux » et seront survolés avec le thème « démocratie et citoyenneté »..On mesure à ce pitoyable renoncement combien Macron est otage des lobbies pro-immigrés et n’a plus aucun pouvoir en la matière. Salvini doit se tordre de rire… Avec Macron, c’est la consécration de l’immigration subie et la soumission totale..Ensuite,  Macron s’empresse de nous dire qu’il n’est pas question de renoncer au programme pour lequel il a été élu, ce qui est en totale contradiction avec sa volonté de consulter le peuple. Encore un coup tordu en perspective, qui n’a pas échappé aux Gilets jaunes..Il oublie qu’il a été élu par défaut et que seulement 24 % des électeurs l’ont suivi au premier tour. Et compte tenu du record d’abstention du deuxième tour, Macron n’a rassemblé que 49 % des électeurs sur son programme. Il n’a pas la majorité..Autant dire que si les élections se rejouaient aujourd’hui, Marine serait en tête du premier tour ! D’ailleurs, selon un sondage de mai 2018, 77 % des Français ne voulaient déjà plus de Macron en 2022  ! On imagine le score aujourd’hui !.Si ce grand débat n’a d’autre but que de jouer la montre en misant sur le pourrissement du mouvement, c’est raté. La très forte mobilisation des Gilets jaunes pour l’acte VIII vient d’ôter les illusions de ceux qui ont cru à la mort du mouvement avec les fêtes de fin d’année..Le pouvoir ayant soufflé sur les braises en insultant les Gilets jaunes, ça repart de plus belle..L’opposition à Macron est telle que seule une dissolution de l’Assemblée permettrait de mettre un terme à la perte de légitimité du président..Il s’y refuse, n’ayant aucun désir de faire de la figuration dans une cohabitation avec l’opposition..Reste l’option d’un référendum à questions multiplespour lui redonner la légitimité perdue sans prendre le risque d’une dissolution..« Il y réfléchit » paraît-il. Nous en saurons davantage avec sa lettre aux Français à paraître sous peu..En attendant, pour une majorité de GJ, ce grand débat c’est de « l’enfumage. »Ce qu’ils veulent c’est le RIC..Pour les GJ, le grand débat va être aussi utile que le référendum sur le traité de Lisbonne de 2005. « On a dit “non”, ils ont dit “oui” ! »
.« Que Macron parte ! Qu’il parte, qu’on obtienne le RIC et je rentre chez moi. Le reste on verra après », dit Nathalie sur son rond-point..Bref, le grand débat national n’a pas la cote auprès des GJ..Pour eux, ce débat sera manipulé par un gouvernement qui ne les a pas écoutés..Ce sont les insultes et le mépris qui ont conduit à la violence. Macron et ses sbires ne savent qu’insulter, mépriser et le prendre de haut. Les GJ disent « ça suffit ! « .Macron serait bien avisé de calmer ses propres troupes. Insulter les GJ, les diaboliser et les salir comme il l’a fait et comme l’ont fait  Castaner et Griveaux, est irresponsable..Parler de foules haineuses, de chemises brunes et d’un retour aux années 30 est  totalement inexcusable. C’est le signe d’un grand désarroi à l’Élysée..Arrêter Drouet comme étant l’ennemi public numéro 1 alors que 500  jihadistes vont être libérés et que 25 000 fichés « S », dont 3000 jugés très dangereux, circulent en liberté, est une faute  monumentale qui discrédite le pouvoir..100 000  peines de prison ne sont pas exécutées faute de places, mais on arrête 2000 GJ à titre préventif en cherchant dans les coffres un bout de bois qui pourrait servir de matraque….Je rappelle que plusieurs milliers d’armes de guerre venues du Kosovo et de Bosnie dorment dans les caves de nos banlieues, attendant l’heure de l’embrasement généralisé annoncé par Gérard Collomb..Mais pas question de reconquérir les quartiers passés sous la coupe des barbus. La vraie  menace pour Macron, Castaner et Griveaux, ce sont les Gilets jaunes nostalgiques des années 30..La vérité est que le pouvoir ne supporte pas que la majorité des GJ votent RN.Marine rafle 58 % du vote ouvrier. Aux prochaines européennes à la proportionnelle, nous connaîtrons le vrai poids électoral des partis..Ce gouvernement n’a pas compris qu’on n’insulte jamais un peuple désespéré.Une foule en colère peut devenir incontrôlable et se livrer aux pires violences..On ne peut à la fois appeler au calme et insulter le peuple..Benjamin Griveaux a senti le vent du boulet. Mais à qui la faute ?.Quand on accuse les GJ de porter une chemise brune sous leur gilet jaune, quand on les traite d’agitateurs voulant renverser le gouvernement, il ne faut pas s’étonner de focaliser la haine d’un peuple en colère..Voilà deux mois que les GJ réclament du respect et de l’écoute et le gouvernement ne cesse de les insulter..Si le fait d’agiter un drapeau français et de chanter la Marseillaise sur un rond-point fait de chaque citoyen un néo-nazi, il faut  l’inscrire dans la loi !

Nul ne saurait accepter les violences contre les institutions ou les représentants de l’État, notamment les lâches agressions contre les policiers, mais sans respect de la caste dirigeante à l’égard des sans-grade, aucun dialogue ne sera possible..À ce jour, nul ne saurait prédire où va mener cette fronde sociale, tant le gouvernement semble désemparé. Les GJ ne renonceront pas..Mais que Macron se méfie. Le mouvement des GJ est un événement historique irréversible. Et rien ne prouve que les forces de police, qui exécutent les ordres, ne fraterniseront pas un jour avec le peuple, puisqu’ils en font partie et sont eux-mêmes des GJ. Éric Hazan le dit clairement. Si le mouvement perdure, la fraternisation est possible..Ceux qui opposent Gilets jaunes et forces de l’ordre, montant en épingle un tabassage isolé, violence policière ou inversement, se trompent lourdement. « Il faut être au-dessus des exaspérations momentanées et personnelles »..https://youtu.be/at_Ml0Zutfk.Policiers et gendarmes subissent de plein fouet eux aussi l’appauvrissement du pays, la mondialisation et le choc culturel d’une immigration de masse..Ils sont les mieux placés pour savoir que les GJ qui agitent les drapeaux français et chantent la Marseillaise sont dans le vrai. Mais pour l’instant ils exécutent les ordres car c’est leur devoir..Par conséquent, que l’État sanctionne sévèrement les exactions contre les casseurs d’extrême gauche, mais qu’il cesse aussi ses provocations contre les pacifiques Gilets jaunes, car les insultes et l’amalgame avec la racaille et les casseurs, ne font que mettre de l’huile sur le feu..En attendant, même les ministres sont en désaccord quant à l’utilité du grand débat national..Certains veulent un « débat libre »..Mais pour de nombreux  ministres, les conclusions de l’exercice ne devront en aucun cas remettre en question la politique du gouvernement.Conclusion : un grand blabla pour rien. Pour le gouvernement, les conclusions sont déjà écrites. Rien ne devra modifier le programme du quinquennat..Et comme l’immigration, la principale cause de notre ruine et de la détresse des GJ, reste sujet tabou, tout va empirer. Il n’y a aucune illusion à avoir..Macron est définitivement grillé, mais les grands perdants sont les Français qui se font déposséder de leur pays. Il nous faut un Salvini au pouvoir avant la désintégration  de la nation.

Meiningen (All.) : un jeune Allemand témoigne avoir été roué de coups et mordu au nez par trois Afghans et un Syrien

Allemagne – Les photos sur Facebook sont inquiétantes : un jeune homme de Meiningen souffre d’une blessure profonde au visage. Selon lui, un agresseur lui a mordu le nez.

« Le soir du 5 octobre, alors que j’étais sur la route de Meiningen, j’ai été qualifié d’homosexuel par des « nouveaux citoyens allemands » qui passaient par là », écrit la victime, Tommy Voigt, sur Facebook. Par conséquent, il y a eu un échange d’insultes et il a appelé la police.

« Quatre individus m’ont attaqué, battu et frappé. L’un d’eux m’a mordu le nez et a essayé de m’arracher l’oreille. » Au bout d’une à deux minutes, les agresseurs se sont enfuis, la police n’est arrivée qu’après que l’ambulance ait emmené la personne blessée à l’hôpital.

En ce qui concerne les auteurs présumés, la police a interpellé trois Afghans âgés de 22 et 23 ans et un jeune Syrien de 16 ans. Ils font tous les quatre l’objet d’une enquête pour coups et blessures.

(…) Thuringer-Allgemeine

Grèce : un prêtre orthodoxe tabassé par deux migrants syriens devant son église à Athènes

Grèce – Un prêtre orthodoxe a été roué de coups par deux migrants syriens à Athènes.

L’agression a eu lieu à l’extérieur de l’église de Saint-Nicolas dans le quartier Patisia, à Athènes.

Quand le prêtre s’est rendu à l’église, il a remarqué qu’une moto était garée dans le jardin du temple sacrée. Après que le prêtre se soit plaint aux propriétaires syriens à ce sujet, les deux individus ont commencé à le frapper après l’avoir insulté.

Les deux agresseurs ont été interpellés par la police.

Protothema.gr

« Tirez sur ces fils de p… ! » : attaques au mortier et insultes en arabe contre des policiers berlinois dans la nuit de la Saint-Sylvestre

[…] Un film circulant sur Internet est également partagé et commenté par de cercles et des politiciens populistes de droite. Il montre une scène assez longue à Berlin-Schöneberg […] La police ne doute pas de l’authenticité de la vidéo.

[…] Des hommes crient en allemand « Fils de pute », lancent des insultes en arabe, poursuivent les policiers et les filment. Plusieurs « pétards » sont lancés sur les forces de l’ordre et explosent. […]

Comprendre l’arabe est à la fois une bénédiction et une malédiction. Une bénédiction, parce que l’on perçoit aussitôt les dangers et qu’on pourrait mettre en garde, et une malédiction parce que personne ne croirait à vos mises en gardes.

Dans cette vidéo […], j’entends de jeunes arabes parler dans des dialectes syrien, palestinien et libanais. Leur façon de s’exprimer montre aussi qu’ils ont déjà l’expérience du combat et on constate qu’ils ne sont pas nés ici. Ce sont ces jeunes hommes qu’on a applaudis dans les gares. Ce sont ces jeunes hommes qui sont venus ici et ont demandé humblement « asile » et « protection », ce sont ces jeunes hommes qui ont attaqué les garde-frontière quand ils essayaient de les arrêter et ce sont ces jeunes hommes que les juges, peut-être aussi par peur, condamnent toujours à des peines légères.

Voici des extraits :

« Tire sur eux (sur les policiers), tirez ! »
« Allez, les gars, tirez sur celui-là (sur l’un des policiers) »
« Tirez sur eux (sur les policiers), tirez ! »
Puis, en allemand, « Fils de pute »
« Tirez sur eux, ces fils de pute »
Puis, en allemand, « Fils de pute »
« Ok, Samieh (nom masculin), laisse-le, il a eu son compte, ça suffit, laisse-le tranquille »
« Rassemblez-vous et tirez sur eux »

Oui, comprendre l’arabe est à la fois une bénédiction et une malédiction !

Page Facebook d’Imad Karim, cinéaste d’origine libanaise qui vit en Allemagne depuis 1977

Victoire judiciaire pour Vigilance Halal : égorgement suspendu en Seine-et-Marne

Protection et respect de l’animal et du consommateur.

L’association de consommateurs Vigilance Halal vient de remporter, dans la plus grande discrétion, une bataille juridique symbolique, en ce mois de décembre. La cour administrative d’appel de Paris vient en effet de suspendre les décisions de la préfecture de Seine-et-Marne accordant des autorisations de déroger à l’obligation d’étourdissement des animaux. Traduction : l’abattage halal pratiqué dans des abattoirs locaux doit être interdit dans ce département. 

Breizh-info.com : Vigilance Halal vient de remporter un procès important. Que pensez-vous de cette décision ? 

Alain de Peretti (Vigilance Halal) : C’est le fruit de la persévérance car l’action a été initié en 2012 devant le tribunal administratif dans un certain nombre de départements. Nous avons attaqué l’autorisation préfectorale de « déroger à l’étourdissement » en échange d’un cahier des charges jamais respecté selon nos informations, un seul point était à notre portée en fait pour le démontrer : la tenue d’un registre des commandes spécifiques. Nous avons perdu en première instance au bout de trois ans tout de même, au motif que ce document était d’ordre commercial, donc non communicable… Comme si nous étions des concurrents commerciaux ! Lire la suite de l’interview  sur Breizh-Infos

Nous avions interviewé le docteur vétérinaire Alain de Peretti sur les multiples dangers sanitaires de la viande halal :

Pour s’y retrouver sur les viandes arrivant dans le circuit traditionnel non étiquetées Vigilance Halal a lancé le label « Suivez le Coq »