Tensions lors de l’action des Gilets jaunes rassemblés à Paris malgré le coronavirus

L’ambiance a légèrement dégénéré en ce 70e samedi des Gilets jaunes alors que plusieurs centaines de manifestants sont venus battre le pavé dans la capitale malgré les craintes liées au coronavirus.

Le cortège d’environ 400 manifestants, selon les estimations d’une source de Reuters, est parti de la gare Montparnasse pour rejoindre Bercy en passant par Denfert-Rochereau. Des heurts sporadiques se sont produits lors de leur passage, constate le correspondant de Sputnik présent sur place.

Les Gilets jaunes ont maintenu samedi 14 mars l’appel national à manifester pour leur acte 70 à Paris, lequel coïncide avec la manifestation du 16 mars 2019, l’«ultimatum» lancé à Emmanuel Macron.

Ce malgré que le Premier ministre a annoncé la veille l’interdiction des rassemblements de plus de 100 personnes en France. Le préfet de police de Paris interdit donc tout attroupement dans plusieurs secteurs de la ville.

Comment allons-nous vivre à partir de lundi ? Regardez ce témoignage italien édifiant…

Boulevard Voltaire

Rome… figée par le coronavirus. Pas seulement Rome. C’est, en fait, toute l’Italie qui subit de plein fouet le virus provenant de Chine. Il y a quelques heures, le gouvernement a formellement interdit les déplacements qui n’étaient pas liés au travail. Toutes les activités commerciales sont fermées. Parmi les places les plus célèbres d’Italie, la place Navone et ses commerces, ses restaurants, ses bars… D’habitude, dès 18 heures, elle grouille de monde. Aujourd’hui, elle est totalement vide. Tout est fermé, conformément au couvre-feu… Seuls restent ouverts les magasins vendant des produits de première nécessité. La place Saint-Pierre est déserte, elle aussi. Curieuse impression pour les Romains et les touristes habitués à voire la capitale grouillant de monde.

Armel Joubert des Ouches a joint, en exclusivité, Marie Perrin. Cette spécialiste du Vatican et de la Rome chrétienne qui organise et guide des voyages sur tout le territoire italien, mais pas seulement, depuis seize ans, réside à Rome.

« La situation est particulièrement tendue, il règne presque » nous dit Marie Perrin, « une ambiance de suspicion, et de tension… Le climat n’est pas du tout à la sérénité. »

Macron refuse de protéger les Français en fermant nos frontières !

Riposte Laïque

On ne soulignera jamais assez l’obstination criminelle d’Emmanuel Macron à ne pas fermer nos frontières.

L’Allemagne, l’Italie et bien d’autres contrôlent leurs frontières terrestres. Mais Macron s’y refuse. Son inaction aura des conséquents tragiques sur la santé des Français.

Ennemi des nations et du repli identitaire, Macron applique son idéologie mondialiste à la crise sanitaire, sans comprendre que le pays court à la catastrophe. Comment peut-on dire que ce monsieur est intelligent, alors que depuis trois ans il mène le pays au chaos ? On entend des propos délirants sur ce virus.

C’est d’abord un responsable de la Croix-Rouge qui nous explique que le virus étant déjà présent à l’intérieur du pays, la fermeture des frontières ne sert plus à rien.

C’est ensuite Olivier Véran qui nous dit « On ne fermera pas les frontières car ça n’aurait pas de sens ».

C’est  encore Sibeth Ndiaye qui affirme « Les frontières physiques n’ont pas de sens pour un virus ».

Et c’est enfin Emmanuel Macron qui nous dit que « Le virus n’a pas de passeport ».

Difficile de faire pire en matière d’incohérence et d’irresponsabilité ! Ce chapelet d’affirmations stupides est tout simplement ahurissant.

Car ce virus ne flotte pas dans l’air et ne traverse pas les frontières porté par le vent. Il se déplace avec les personnes contaminées et se propage par contact.

Ce virus a donc bien un passeport, c’est le même que celui de la personne contaminée qui l’abrite !

Si Emmanuel Macron avait instauré des contrôles aux frontières, ainsi que dans les aéroports, la France ne serait pas le deuxième pays le plus contaminé d’Europe après l’Italie.

Le virus, nous l’avons largement importé et l’importons chaque jour.

Or, toute personne infectée contamine trois sujets sains.

Par conséquent, ce virus ne peut être freiné que par les contrôles aux frontières, la limitation des déplacements et des rassemblements, le confinement des personnes à risque et la mise en quarantaine des zones infectées. Les simples mesures d’hygiène ne suffiront pas.

Tout retard dans la prise de décision sera fatal à des centaines de personnes, voire des milliers.

Pour Samuel Alizon, chercheur au CNRS et spécialiste des maladies infectieuses, il faut à tout prix diviser le taux de contagion pour qu’il soit  inférieur à 1.

Actuellement, chaque porteur du virus contamine 3 personnes. Il faut faire chuter ce taux à 0,5 pour stopper l’épidémie.

Seules les mesures de confinement sévères permettent  d’atteindre cet objectif.

Mais Emmanuel Macron s’y refuse. Parmi les milliers de voyageurs qui franchissent nos frontières et débarquent dans nos aéroports, combien sont porteurs du virus ?

Est-ce parce que nous manquons de caméras thermiques dans nos aéroports, ou de thermomètres électroniques que nous ne contrôlons personne ? On s’interroge !

Toujours est-il qu’en ce moment, des milliers de porteurs sains sont en train de contaminer trois fois plus de personnes.

L’épidémiologiste Antone Flahaut réclame des mesures fortes, immédiates et durables jusqu’à l’été. Si la Chine et la Corée du Sud ont su limiter l’expansion du virus, c’est en agissant vite et fort dès le début de l’épidémie.

L’Italie a agi trop tard et la France suit le même chemin. C’est irresponsable.

Pour avoir refusé d’agir à temps, Macron va mener notre système de santé à l’explosion. Avec 600 cas de plus hier, sans doute 700 de plus ce soir, nos hôpitaux vont être saturés dans quelques jours ou semaines.

La France dispose de 6 lits d’hôpitaux pour 1 000 habitants, contre 8 en Allemagne, 12 en Corée du Sud et 13 au Japon.

L’Italie n’en a que 3,2 et connaît une situation dramatique.

Pour la France, c’est le calme avant la tempête. Or, « la réanimation est le nerf de la guerre ». « Le nombre de victimes va dépendre de la capacité de nos services de ranimation à faire face », dit un médecin. Avec nos 12 000 lits déjà occupés, le pic de l’épidémie pourrait se traduire par un désastre sanitaire. Car tout va s’accélérer.

Un médecin urgentiste de l’hôpital Lariboisière déclare :

« Notre structure est conçue pour accueillir 160 patients par jour, nous en recevons déjà entre 260 et 300. Il nous manque huit médecins, nous sommes déjà en saturation au quotidien ».

Il serait temps d’écouter les médecins en première ligne et aussi nos amis italiens, notamment cette médecin urgentiste totalement épuisée :

« Nous sommes au bout de nos forces, tant physiques que mentales, aidez-nous ! »

Nos personnels soignants, admirables de dévouement, savent ce qui les attend… Et qu’ils ne comptent surtout pas sur le pouvoir politique. Celui-ci reste les bras ballants, attendant le désastre pour ouvrir enfin les yeux.

Frontière franco-italienne : des contrôles très stricts côté italien, aucun contrôle sanitaire côté français

REPORTAGE – L’Italie et la France ont chacune leur propre manière de gérer l’épidémie de coronavirus à la frontière. Du côté de l’Italie, les contrôles sont très stricts.

Entre Menton et Vintimille, la frontière est quasiment fermée dans un sens et ouverte dans l’autre. Les entrées en Italie se font désormais sous conditions. Pour passer la frontière, les Français doivent avoir un laissez-passer délivré par le ministère de l’Intérieur transalpin ou un justificatif de travail. Du côté de l’Hexagone en revanche, aucun contrôle sanitaire. Les Mentonnais se demandent pourquoi, alors que l’Italie est la plus touchée par le coronavirus après la Chine.LCIhttp://www.fdesouche.com/1347973-coronavirus-lallemagne-decide-toute-seule-de-renforcer-les-controles-a-ses-frontieres-la-prefete-de-la-region-grand-est-condamne-le-virus-ne-connait-pas-les-frontieres

Royaume-Uni : le rappeur « Solo 45 » sous le coup de 31 chefs d’accusation dont 22 pour des viols

13 mars 2020

[…]

connu sous le pseudo de Solo 45, a été reconnu coupable ce jeudi du viol répété de 4 femmes. Une décision rendue à l’unanimité par un jury populaire qui a délibéré pendant près de 10 heures avant de rendre son verdict. La justice lui reproche ainsi d’avoir été l’auteur de 21 viols sur 4 femmes différents en l’espace de 2 ans, mais également plusieurs passages à tabac, des séquestrations et d’autres agressions sexuelles.

[…]

RapRnb

Principal coupable, Macron ferme nos écoles, mais laisse nos frontières ouvertes à tous !

Riposte Laïque

Sibeth Ndiaye nous a rappelé que le Président  voulait avant tout rassurer les Français et expliquer les choses, face à cette crise sanitaire d’une ampleur inédite. Les explications, on les attend…

À vrai dire, Macron est responsable du désastre, pour avoir nié le bien-fondé de la fermeture des frontières et du contrôle de nos aéroports. Il nous prépare une catastrophe sanitaire par son inaction coupable et sera donc comptable des morts de cette pandémie, trop longtemps sous-estimée.

Hier soir, on a eu 500 contaminations de plus que la veille. Ce soir, ce sont 600 malades de plus qu’hier ! Et demain ?

Nous venons d’assister à un magistral numéro de communication dont Emmanuel Macron a le secret.Une pure propagande mensongère. Son intervention n’est qu’un chapelet de banalités et de non-dits, sans la moindre réponse aux questions majeures. Car après nous avoir rabâché pendant des jours que la France était prête, il s’avère que notre système de santé est totalement démuni et que le pouvoir a largement sous-estimé la gravité de la menace.

Rien n’est prêt : manque de lits, pénurie de matériels de protection, insuffisance des tests, et sous-effectifs chroniques sont la norme. Depuis des années, le système de santé est à l’abandon, faute de crédits.

Après avoir remercié les personnels soignants et salué leur dévouement, Emmanuel Macron a annoncé la fermeture de tous les établissements scolaires, de la maternelle aux universités. La seule mesure nouvelle.

Pour le reste, il n’a fait qu’énumérer ce que nous savons déjà : limiter les rassemblements, éviter les déplacements, favoriser le travail à domicile. Il a ensuite annoncé des mesures économiques pour aider les entreprises. Faisant appel au civisme des Français, il leur demande de faire bloc, d’être solidaires et disciplinés.

Et pour conclure, un long couplet sur les mesures barrière ! Comme si c’était le rôle du Président de détailler les mesures élémentaires d’hygiène.

Mais pas un mot sur la propagation exponentielle du virus. Pas un mot sur les mesures drastiques prises par nos voisins italiens. Pas un mot sur les pénuries dramatiques de matériels.

Comment « protéger les plus faibles » quand nos hôpitaux sont en crise depuis des années et sont déjà saturés en temps normal ?

Comment  « freiner l’épidémie » quand on refuse de contrôler les frontières et les aéroports ?

Comment limiter l’expansion du virus si on maintient les transports publics et si on refuse de confiner les zones gravement touchées ?

Le pouvoir nous ment ! Les médecins, les pharmaciens n’ont aucun test disponible. La consigne est simple : inviter les patients à rester chez eux. Seuls les cas graves sont dépistés et hospitalisés. Contrairement à l’Allemagne, la France sélectionne les malades en fonction de la gravité supposée de leur état.

Si nous faisions un dépistage systématique aux premiers symptômes de la maladie, comme en Allemagne, la France aurait dix fois plus de contaminés, tout comme l’Italie.

Combien de morts sont mis sur le compte de la grippe, alors qu’ils sont porteurs du Covid-19 ? Combien auraient pu être guéris s’ils avaient subi le test ? On ne saura jamais…

Les rappels incessants aux mesures élémentaires d’hygiène ne seront jamais un rempart suffisant pour bloquer l’expansion du virus. Cessons d’infantiliser le peuple. Seules les mesures de quarantaine seront efficaces. La vérité est que le virus a toujours une longueur d’avance sur l’exécutif, toujours hésitant et indécis. Chez Macron, c’est l’attentisme qui prévaut.

La preuve : À Menton, les Italiens ont fermé leur frontière aux Français, mais la France laisse entrer les Italiens sans aucun contrôle !! C’est ça l’Europe !

Trump vient de fermer le ciel américain aux Européens, mais la France accueille toutes les compagnies du monde.

Le monde entier ferme ses portes aux pays les plus touchés, dont la France, mais Macron s’obstine et refuse de contrôler frontières et aéroports.

https://actu.orange.fr/france/coronavirus-les-pays-interdits-aux-francais-magic-CNT000001ouXmq.html

Pourquoi Air France ne va plus en Israël alors que la compagnie israélienne se pose encore à Charles-de-Gaulle ?

L’explosion du virus en France, c’est donc la faute de Macron qui a refusé  de  protéger le territoire national dès le tout début de la crise, en minimisant le danger.

Il faut appliquer le principe de réciprocité !!

Chaque malade en contaminant trois autres, l’explosion de l’épidémie est fulgurante : 1-3-9-27-81-243-729-2187  contaminés etc.

Le 23 février, il y a donc deux semaines, notre ministre de la Santé se voulait  rassurant et déclarait :

« Aujourd’hui, il ne reste plus qu’un seul malade en France, hospitalisé à Lyon. Son état de santé n’est pas préoccupant. Tous les autres, mis à part un homme de 80 ans qui est décédé, sont sortis, guéris et ne sont pas contagieux ».

Et le gouvernement décidait de maintenir le match Lyon-Turin, en accueillant 3 000 supporteurs italiens venus d’une zone contaminée, et donc potentiellement contagieux dans un stade de 50 000 places.

Aucune mesure préventive n’a été prise. Aucun contrôle aux frontières, aucun contrôle aux aéroports. Des mesures totalement inutiles selon Emmanuel Macron, puisque le virus circule déjà à l’intérieur. Alors qu’un seul nouveau malade peut en contaminer trois autres par simple contact, nous avons maintenu nos frontières passoires. Totalement irresponsable.

La France a perdu 15 jours précieux avant de prendre des mesures localisées ou nationales, lesquelles restent insuffisantes. Une faute majeure de l’exécutif, par peur de pénaliser l’économie et de propager la panique. Or, sans transparence, il n’y a plus de confiance. Déjà peu crédible avec ses mensonges permanents, Macron a perdu la confiance du peuple.

Et aujourd’hui le bilan est accablant : à vouloir trop rassurer, la France aligne 2 876 cas de Covid-19 et  61 mortsCe sont  600 cas de plus en 24 heures !! 129 patients sont en réanimation. C’est une courbe exponentielle qui suit celle de l’Italie. Dans huit jours nous aurons sans doute 10 à 12 000 personnes positives. Tel est le résultat d’une prise de conscience tardive.

« Nous sommes au tout début de cette épidémie », nous dit le chef de l’État, qui refuse tout contrôle aux frontières. Ça va s’aggraver, mais il ne fait rien ! Éternelle paralysie du « en même temps ». Et il privilégie l’économie au détriment de la santé des Français, contrairement au gouvernement italien.

Il est évident qu’avec 600 cas supplémentaires en France en seulement 24 h, le point de non-retour est dépassé. La France va connaître une situation à l’italienne.

Au niveau mondial, ce sont plus de 120 000 cas déclarés et plus de 4 000 morts.

Angela Merkel a le mérite de parler franc. Elle vient d’annoncer que 60 à 70 % de la population allemande pourra être infectée.

Et tandis que Macron tente de rassurer, l’OMS vient de reconnaître enfin l’état de pandémie.

« Nous sommes extrêmement préoccupés tant par la sévérité de la propagation que par le niveau d’inaction », a déclaré le directeurs général de l’OMS.

Oui, c’est l’inaction qui accélère cette catastrophe sanitaire.

Pour certains épidémiologistes, la pandémie va s’épuiser quand 20 % de la population aura été infectée et immunisée, le virus ne trouvant plus de « victimes » à contaminer.

En France, cela se traduit par 10 à 15 millions de personnes touchées. Donc 200 000 à 300 000 morts avec un taux de mortalité de 2 %.

Avec un taux de cas graves évalué à 5 %, il faudrait 500 000 ou 750 000 hospitalisations. Totalement irréaliste, même si ces hospitalisations sont espacées dans le temps.

Car avec 12 000 lits équipés d’assistance respiratoire ou réservés aux soins intensifs, la plupart des cas graves ne seraient pas soignés.

Quand Macron nous dit que 98 % des malades s’en sortent, c’est totalement faux en cas de pandémie.

Rappelons que la France a supprimé 75 000 lits depuis 2003.Il faudra donc réquisitionner des hôtels, mais avec quels matériels et quels personnels ?

La sinistre vérité est que si autant de personnes étaient touchées, ce serait une véritable hécatombe pour les plus fragiles.

On aurait aussi aimé que le Président nous explique pourquoi les médecins de ville ne sont toujours pas équipés de masques FFP2, de lunettes et de blouses jetables. Combien de ces équipements ont été envoyés en Chine. L’UE, dont la France, y a envoyé 50 tonnes de matériel de protection  au début de l’épidémie.

Quant à la visioconférence de crise réunissant les chefs d’État européens, elle ne débouche sur rien. La seule chose qui intéresse Macron, c’est de faire sauter le verrou européen de la contrainte  budgétaire. S’affranchir des règles de bonne gestion pour que la cigale France continue de dépenser plus qu’elle ne gagne ! Refrain connu.

En fait, il en est du virus comme de l’immigration : l’UE n’a aucune solution et se contente de faire du vent. La santé n’a jamais été la priorité de l’Union. Son bilan en la matière se résume à une page blanche !

Enfin, terminons par le cas de l’Allemagne : 1 966 cas hier soir et seulement 3 morts. Pourquoi ?

Parce que ce pays a un système de santé exceptionnel. Le dépistage systématique a été institué dès fin janvier sur tout le pays et pour toute personne présentant les symptômes.

Pris en charge à temps, les malades ont toutes les chances de s’en sortir. Le virus est donc beaucoup mieux contrôlé qu’en France.

Emmanuel Macron prétend mener un combat sans relâche pour éviter une situation à l’italienne, mais sans moyens suffisants et sans mesures de confinement.

Une fois de plus, on constate que la France, ruinée par une immigration de masse de très basse qualité et nuisible au pays, a abandonné l’hôpital, comme la Défense et autres services publics.

Voilà 20 ans qu’on ne cesse de fermer les hôpitaux et de tailler dans les effectifs de santé. Mais le pire, est d’avoir délocalisé 80 % de la production de nos médicaments en Chine et en Inde.

C’est dans la tempête qu’on juge de la valeur d’un capitaine. Mais force est de constater que Macron, avec ses éternels compromis stériles, mène le bateau France au naufrage.

Manif féministe : deux jeunes femmes racontent le lynchage dont elles ont été victimes pour avoir dénoncé l’immigration

Coronavirus : la situation va rapidement dégénérer en terme de victimes

Riposte Laïque

Pour comprendre la gravité du Coronavirus, je vous renvoie à mon précédent article Coronavirus : attention, ceci n’est pas la grippe !

Deux articles confirment ce que j’ai republié hier : un article écrit par des médecins « La Covid-19 est un réel danger ! », deux scientifiques font le point sur le coronavirus SARS-CoV-2.

Et un article de Libé paru aujourd’hui :  Le coronavirus n’est pas une grippette, qui reprend une étude chinoise paru le 28 février. Ouf ! Il était temps !

Et puisque des images valent parfois mieux que de longs textes, vous pouvez aussi visionner ces deux films éloquents qui sont en fait deux collections, d’une heure chacun, de plein de vidéos prises en Chine et en Iran et partagées sur les réseaux sociaux par des gens qui ont parfois payé ces révélations-chocs de leur vie :

CORONA-unMaskeD 1

et

CORONA-unMaskeD 2

Merci à marie.lone et phil93 pour les liens partagés.

Iran : Comme en Chine, des passants s’effondrent au milieu de la rue ou des quais de métro, pris de spasmes. 

La situation va rapidement dégénérer en terme de victimes

Le paragraphe qui va suivre concerne particulièrement la situation suisse mais je pense qu’on peut extrapoler le raisonnement à ce qui s’est passé en Italie et à ce qui est en train de se passer en France et dans beaucoup de pays d’Europe et du monde.

L’auteur en est l’administrateur de Coronavirus Info LIVE (@coronalive) qui est une chaîne Telegram sur l’évolution du virus SRAS-Cov2 ou Covid19 ou Coronavirus de Wuhan tenu par un médecin ayant des contacts un peu partout sur la planète. Je l’avais cité dans mon article précédent cité plus haut. (Sauvegarde de l’ensemble de sa chaîne sur mon blog : ici).

Ce médecin publie des infos à la fois accessibles par tout le monde sur internet (journaux, forums, réseaux sociaux, sites officiels) mais aussi des exclusivités divulguées par des contacts en interne (OMS, différents docteurs et services dans le monde).

Il faut lire attentivement ce texte pour comprendre à quel point la politique sanitaire menée par Macron est criminelle et à quel point il doit d’ores et déjà être considéré comme potentiellement responsable de centaines voire de milliers de morts directs en France, plus tous les morts indirects dus au pourrissement économique et social de la situation et aux troubles qui en résulteront.

Tous les ingrédients sont présents pour un débordement grave du système de santé

« Plus de 530 cas en Suisse, pas encore annoncés officiellement.

Gardez en tête que ce n’est que les symptômes « sévères ». La situation va rapidement dégénérer en terme de victimes… le fait de ne plus tester à grande échelle va grandement amplifier la propagation dans les 10 prochains jours.

Il y a des tensions à l’interne en Suisse entre les différents services et ce choix est vivement critiqué par certaines personnes.

Pour faire simple :

Il y a deux « écoles » qui s’affrontent en Suisse. L’école sécuritaire et l’école médicale. L’école sécuritaire regroupe des services de protection de la sécurité nationale, et l’école sanitaire/médicale regroupe des médecins et le système de santé.

Les personnes en charge de la sécurité du territoire ont préparé des mesures importantes ; des gens de la protection civile et autres ont reçu des informations pour se tenir prêts à intervenir et apporter du soutien si nécessaire. Ces gens sont convaincus que la situation va dégénérer et se préparent au pire.

De l’autre côté, il y a les gens en charge de la santé, des hôpitaux, etc. ; et ces gens ont vite été débordés ces derniers jours par des cas de pneumonies, incapables de tester tout le monde, n’ayant pas assez de lits, etc. Donc ils ont fait remonter l’info et la décision d’arrêter de tester les cas sans symptômes sévères a été prise.

Il y a donc un affrontement d’idées.

D’un côté, ceux qui pensent à la sécurité de la nation, de l’autre, ceux qui pensent au bien-être des malades.

Le problème, c’est que penser au bien-être des malades est une bonne chose, mais la décision qui en découle est une fausse bonne idée. À court terme, ça va dégager les services qui auront moins de cas à tester et davantage de lits disponibles.

À moyen terme, malheureusement, ça envoie un message à la population qu’il n’y a pas raison de s’inquiéter ; mais c’est faux. C’est tout sauf le cas. Les services de santé s’en rendront compte bientôt ; ils ont pris une très mauvaise décision.

Les nombres de cas vont exploser à la hausse, car les gens auront un faux sentiment de sécurité, et cela deviendra très vite ingérable pour le corps médical qui appellera à l’aide ; et c’est là que les personnes dont le but est de protéger la sécurité de la nation entreront en jeu, trop tard, malgré elles et après avoir averti que cela allait dégénérer.

Le problème, c’est que le politique est trop préoccupé par ce qu’on va penser de lui les 10 prochains jours ; et pas assez préoccupé par ce qu’on va penser de lui dans 6 mois.

Tous les ingrédients sont présents pour un débordement grave du système de santé en Suisse ; alors même que le système de santé est sûr qu’il vient de prendre la décision qui allait empêcher le débordement. Il l’apprendra à ses dépens. »

La capacité du système de santé (ligne en pointillé) va être dépassée complètement par l’accroissement exponentiel et rapide du nombre de cas – 20 % – nécessitant une hospitalisation et une assistance respiratoire (courbe rouge).

Accroissement trop rapide dû à… l’absence quasi totale de mesures drastiques pour empêcher l’épidémie de se propager puisque, dixit Buzyn, ex-ministre de la Santé, on ne peut pas empêcher le virus de traverser les frontières.

franceinfo@franceinfo

“On voit bien la difficulté dans un monde comme le nôtre de fermer les frontières, ce n’est en réalité pas possible”, explique la ministre de la Santé Agnès Buzyn25820:35 – 24 janv. 2020Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité783 personnes parlent à ce sujet

Si l’épidémie avait été contenue par des contrôles aux frontières, des fermetures d’établissement ou des interdictions de réunion plus systématiques basées sur les connaissances qui étaient disponibles dès les mois de janvier-février, les cas nécessitant une prise en charge (courbe en bleu) n’auraient pas excédé les capacités du système de santé et il n’y aurait pas eu plus de morts que nécessaire.

N’oublions pas non plus que l’Iran vient de libérer 70 000 prisonniers suite à l’épidémie de Coronavirus et la Turquie a aussi libéré 26 000 prisonniers qui se dirigent tous à l’heure actuelle vers l’Europe.

Avec Macron, nous sommes bien En Marche vers… le chaos.

L’Autriche, la Pologne et Chypre envoient des centaines de policiers à la frontière gréco-turque. « Nous sommes le bouclier de l’Europe »

L’Autriche et la Pologne ont accepté d’envoyer des policiers pour aider leurs collègues du nord de la Grèce à tenir la frontière gréco-turque contre l’afflux de dizaines de milliers de migrants incités par Ankara à franchir la frontière pour entrer dans l’Union européenne.

Des sources ont déclaré lundi que la Pologne a déjà accepté d’envoyer 100 policiers dans la région frontalière d’Evros, au nord-est de la Grèce, et qu’elle est prête à en envoyer d’autres si Athènes le demande. Un accord similaire a également été conclu avec le gouvernement autrichien, avec 13 officiers des forces spéciales de police qui devraient arriver à Evros dans les prochains jours.

Le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, quant à lui, doit s’entretenir mardi à Vienne avec le chancelier autrichien Sebastian Kurz, qui cherche à obtenir le soutien des dirigeants de l’Union européenne. Il était à Berlin lundi, où il s’est entretenu avec la chancelière allemande Angela Merkel.

Chypre a également envoyé une assistance sous la forme de 22 officiers de police, tandis que l’agence européenne pour la gestion des frontières, Frontex, supervisera une force de 100 gardes-frontières provenant de différents États membres.

Prime Minister GR@PrimeministerGR

Αυτές τις ώρες φτάνει στην Ελλάδα η αυστριακή συνδρομή για το Μεταναστευτικό. Και από σήμερα θα κυματίζει στον Έβρο η ελληνική σημαία αλλά και η αυστριακή, η κυπριακή και σε λίγο σημαίες πολλών άλλων κρατών-μελών της Ε.Ε. Ο Έβρος και το Αιγαίο αποτελούν την «ασπίδα» της Ευρώπης.

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2 97419:22 – 10 mars 2020Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité918 personnes parlent à ce sujet

« Le service des migrations autrichien est arrivé en Grèce. À partir d’aujourd’hui, le drapeau grec flottera à Evros, ainsi que les drapeaux autrichien, chypriote et de nombreux autres États membres de l’UE. Evros et la mer Égée sont le « bouclier » de l’Europe. »

EHA News@eha_news

#Austria, #Poland to send police officers to Greek-Turkish border to help stopping refugees

Poland has agreed to send 100 police officers to #Greece‘s Evros border, while Austrian government said they will send 13 police officers to the border.

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810:37 – 10 mars 2020Informations sur les Publicités Twitter et confidentialitéVoir les autres Tweets de EHA News

La France serait incapable d’imiter l’Italie…

Riposte Laïque

Gros buzz médiatique, communication H24 dans les médias, annonces brouillonnes et contradictoires, mise en scène médiatique d’un nouveau conseil de défense le dimanche soir au 20 heures et puis… et puis rien du tout. Des mesures totalement dérisoires et hors de proportion face à la problématique que pose la pandémie de Coronavirus.

Aucune mesure de restriction de la circulation ni de cantonnement. Encore aujourd’hui, les trains rentrent dans Paris depuis l’Oise et la région de Mulhouse. Les gares du Nord et de l’Est sont ouvertes, les métros circulent, tous les réseaux de transport restent interconnectés, les aéroports sont ouverts sans aucune mesure prophylactique, ni masques, ni gants ni gel hydro-alcoolique, ni même consignes au personnel des compagnies aériennes, des agences de location de voitures, des services aéroportuaires. Tout est ouvert, tout fonctionne comme si de rien n’était. Les gens circulent sans aucune précaution ni restriction ; en toute inconscience dans une promiscuité et un brassage chaotiques. Symbole de la mondialisation heureuse, Disneyland est resté ouvert, il est maintenant infecté.

Le virus ne peut que se répandre. Dans ces conditions, nous pouvons être assurés que le virus va continuer à se répandre sans limite ni barrière. Le coup est déjà parti et il est bien trop tard pour arrêter le processus en cours.

Un pic et une situation ingérables dans les semaines qui viennent. Dans ces conditions, nous pouvons nous attendre à une explosion des cas et à une sursaturation des services hospitaliers déjà totalement submergés par les pathologies courantes. Notre système de santé va être complètement dépassé. Selon certains spécialistes, le gros de l’afflux serait attendu d’ici 10 jours, sans que personne puisse dire jusqu’à quand.

Des mesures dérisoires signes d’une impuissance totale. Les mesures annoncées hier soir par le gouvernement sont dérisoires et totalement inefficaces. Elles sont la preuve de son impuissance totale à prendre les indispensables décisions face à la montée de la pandémie de Coronavirus en France.

Pourquoi des mesures de cantonnement en Italie et pas en France ? L’Italie a pu cantonner 15 millions de personnes et fermer plusieurs provinces du Nord, alors que nous en sommes incapables et que pourtant, il serait urgentissime de le faire. Pourquoi ce qui est possible en Italie ne l’est pas en France ?

Des populations totalement différentes. Avec toutes les réserves d’usage, le peuple de l’Italie du Nord est encore un peuple homogène, majeur, à peu près discipliné et encore capable, pour partie, d’un minimum de civisme et d’organisation. Les minorités ethniques ; notamment musulmanes et subsaharienne n’y ont pas encore constitué de bastions en rébellion larvée contre l’État. Les Lombards et les Vénitiens restent globalement capables de solidarité et de résilience collective. À l’inverse, dans notre pays, particulièrement dans les métropoles, il n’y a plus ni civisme, ni cohésion sociale, ni résilience collective. 

La France multi-ethnique et métropolisée ingouvernable. Toutes les métropoles de France, à commencer par l’Île-de-France sont peuplées de très grosses minorités ethniques incapables de se soumettre à la discipline élémentaire que requerrait de telles dispositions. Elles rejettent l’autorité de l’État et sont en état de rébellion larvée permanente. De leur côté, les populations autochtones des métropoles ne sont pas d’avantage enclines à supporter la moindre contrainte. La gentry métropolitaine veut pouvoir circuler sans entrave, elle ne supporterait aucune restriction ni de sa liberté ni de sa jouissance immédiate.

Une dangereuse impasse face à la pandémie. L’incapacité du pouvoir à faire respecter les indispensables décisions par les populations métropolitaines et par les minorités ethniques et musulmanes des quartiers lui interdit toute prise de décision visant à limiter la liberté de circulation. Peur de l’émeute et peur de troubles sociaux graves dans les métropoles, le pouvoir démontre son incapacité à tenir le pays en situation de crise majeure. 

Révélation d’une incapacité permanente. Or, au-delà de cette crise, de gros avis de tempêtes s’annoncent dans tous les domaines et il ne faudra pas compter sur le pouvoir pour y faire face. Incapable de gérer cet épisode, il n’en gèrera aucun. 

Pourtant, la crise majeure arrive. La Chine s’est éteinte et il faudra des semaines, sinon des mois, pour qu’elle redémarre. Il en résultera des ruptures des chaînes logistiques et d’approvisionnement de nos industries. L’Italie voisine est en train de s’éteindre et on voit mal comment ce ne serait pas le cas de tous les pays d’Europe occidentale. De son côté, la France va connaître une situation épidémique et économique catastrophique. Le coup va être très sévère, arrêts d’entreprises, chômage, et peut-être pénuries. Et surtout mise en vrac de tout le système de santé qui ne pourra pas faire face au pic de la pandémie. 

Déjà les Bourses ont lourdement chuté en Europe. Quoique dopées au quantitative easing et à la création monétaire illimitée, les Bourses ne résisteront pas à l’arrêt de l’économie réelle. La semaine dernière et encore aujourd’hui elles ont commencé à sévèrement dévisser. De son côté, l’or s’envole.

Le gouvernement a d’ores et déjà  pris le parti de laisser la part du feu au virus. Opposé à toutes restrictions de circulation pour des raisons de fanatisme doctrinal, impuissant face au risque d’émeutes qu’entraîneraient des mesures de cantonnement autoritaire, le gouvernement a décidé de faire la part du feu. Quelques centaines, quelques milliers de gens mourront et ce sera tout. Il espère que la puissance de ses moyens de communication et quelques anesthésique sociaux lui permettront de passer l’épreuve sans dommages et surtout avec de très grands bénéfices pour ses commanditaires. En effet, avec cette épidémie, toute opposition aux lois scélérates se trouve vitrifiée et donc le pouvoir a les mains libres pour faire avaler ce qu’il veut. C’est tout bénéfice.

Quid du risque de troubles sociaux ? Le pouvoir laisse filer pour ne pas prendre le risque d’émeutes liées à des décision autoritaires de cantonnement. Pourtant, à n’avoir pris aucune mesure sérieuse, il risque fort de se retrouver confronté à une situation et à des risques de chaos pires que ceux auxquels il croit pouvoir échapper.

Les semaines qui viennent vont être cruciales. Le pouvoir impuissant face au risque de troubles sociaux fuit et repousse le problème en avant. Ce n’est jamais la bonne décision.