Contre-enquête sur place : à Paris, le coup de com’ mensonger d’une association d’aide aux clandestins

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Dans la journée du dimanche 17 juillet, l’association d’aide aux clandestins La Chapelle debout a occupé illégalement un centre d’accueil pour réfugiés ukrainiens situé sur la place de la porte de Versailles, dans le 15e arrondissement de Paris. La raison ? Une « ségrégation » sévirait au sein de ce centre, discriminant les réfugiés non ukrainiens qui n’y auraient pas accès. Sur son compte Twitter, cette association La Chapelle debout dénonce « une politique d’accueil ségrégationniste menée par l’État français » (sic !) et accuse ce centre d’être un « checkpoint où l’on fait exister le suprémacisme blanc comme quelque chose de légitime et de banal » (resic !). Fustigeant le choix des autorités de n’y faire rentrer que des personnes pouvant justifier de leur nationalité ukrainienne, le collectif voit là une preuve de racisme systémique. Pis encore, l’association, afin de légitimer son action d’occupation illégale, affirme que le centre pour Ukrainiens est « quasi vide depuis plusieurs semaines ». On y trouverait « plus de vigiles que de réfugiés ». Afin de vérifier ces affirmations, nous nous sommes rendus sur place.

Un centre d’accueil très loin d’être vide

Arrivés à la porte de Versailles sous une chaleur caniculaire, il saute immédiatement aux yeux que le centre est loin d’être vide. Protégés par des grilles métalliques et par une équipe de quatre agents de sécurité, une quarantaine de réfugiés ukrainiens font la queue pour entrer dans le centre. Ils doivent montrer leur passeport afin de pouvoir franchir les portes. Une majorité de femmes et d’enfants composent les rangs de ces familles qui fuient la guerre. De l’autre côté des barrières, des dizaines d’Ukrainiens prennent l’air. Ils souffrent de cette chaleur qui leur était inconnue. Perplexes face à ce centre d’accueil que l’on nous décrivait comme vide mais qui grouille de vie, nous interrogeons un membre de la sécurité. Samir a une trentaine d’années, il travaille pour une société de sécurité privée au centre de la porte de Versailles depuis plusieurs semaines. Lorsque nous lui demandons si ce centre était vide la veille, avant l’occupation illégale du collectif, il dément : « Le centre n’a jamais été vide ! Ni hier, ni la semaine dernière. Ce qu’a raconté cette association, c’est des conneries ! C’est vrai qu’il y a des périodes plus calmes, avec plus ou moins d’afflux, mais il y a toujours du monde, ici. »

Les réfugiés ukrainiens que nous croisons semblent en effet avoir pris leurs marques. Un groupe d’enfants aux cheveux blonds joue à côté des vigiles : difficile de croire qu’ils viennent tout juste d’arriver. Pour en être sûr, nous interrogeons Maxime, un jeune bénévole d’une vingtaine d’années qui accompagne les réfugiés ukrainiens dans leurs demandes d’asile. Il est un habitué du centre de la porte de Versailles. « Ce ne sont que des rumeurs », répond-il quand nous l’interrogeons sur les déclarations du collectif pro-migrants La Chapelle debout. Il ajoute : « Voyez par vous-mêmes, il y a beaucoup de monde, ici ! Revenez dans deux semaines et ce sera la même chose. Je ne comprends pas leurs propos, ce n’est pas la réalité de ce qui se passe ! »

La Chapelle debout : tout pour la submersion migratoire

Incompréhensible ? Pas vraiment. Créé en 2015, ce collectif s’est donné pour mission la défense tous azimuts des clandestins. En 2016, le collectif a réussi à empêcher l’expulsion d’un Afghan de 24 ans en mettant tout en place pour annuler le décollage de son avion. Multipliant les squats sans grand écho médiatique, l’association reste méconnue jusqu’en avril 2022. Le 18 avril dernier, des membres de La Chapelle debout, accompagnés de plusieurs migrants, réussissent à investir des locaux inoccupés dans le 9e arrondissement de Paris. Ils lancent une vaste opération de squat illégal et créent ce qu’ils nomment « l’ambassade des immigrés ». Main dans la main, « personnes solidaires » et clandestins y militent pour une meilleure intégration des migrants au sein de la société française. Ils souhaitent donner la nationalité française à tous ceux qui la demandent. Une exigence récurrente dans la bouche des membres du collectif. Selon eux, le traitement réservé aux réfugiés ukrainiens devrait être appliqué à tous les demandeurs d’asile. Ils oublient que les Ukrainiens réfugiés en France, essentiellement des femmes et des enfants, fuient une guerre bien réelle qui se déroule à quelques milliers de kilomètres de chez nous. Ils oublient aussi que les Ukrainiens ne sont guère cités dans les colonnes « faits divers » de la presse française et qu’ils ne sont pas en cause lorsque des Français, de plus en plus nombreux, meurent sous le couteau d’un migrant…

Geoffroy Antoine, Boulevard Voltaire

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45 000 attaques au couteau par an, mais c’est Macron qui a peur de se faire buter !

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Macron nous avait promis la sécurité et la construction de 15 000 places de prison.

Cinq ans plus tard, la France est le pays le plus dangereux d’Europe, où plus aucune ville n’est épargnée par la violence, majoritairement d’origine immigrée. Les joies du « vivre-ensemble » !

À peine 1 500 places de prison ont été construites, mais Macron a résolu la surpopulation carcérale en libérant des milliers de malfrats, y compris des fichés « S ». C’est sa méthode. Mentir et tromper le peuple, tout en préservant sa petite santé.

Car dès 2017, il renforçait sa propre sécurité, avec 50 policiers supplémentaires, portant les effectifs de sa garde prétorienne de 77 à 127 policiers et gendarmes.

https://www.lefigaro.fr/politique/2017/12/01/01002-20171201ARTFIG00236-une-securite-renforcee-pour-assurer-la-protection-rapprochee-du-president-macron.php

Les Français, quant à eux, peuvent bien crever sous la lame d’un clandestin « déjà connu des services de police », selon la formule consacrée, puisque la réponse pénale a disparu du champ judiciaire.

La majorité des délinquants ressortent du tribunal avec un simple rappel à la loi et, selon le bon vieux diction « qui vole un œuf vole un bœuf », ce laxisme judiciaire se termine régulièrement par des tragédies.

Ce dont Macron et son ministre de la Justice se foutent éperdument.

Sur les 45 000 attaques au couteau annuelles, combien ont mené leurs auteurs en prison ?

Sur les 400 000 agressions gratuites par an, combien ont mené les auteurs à l’ombre ?

Les mineurs n’étant jamais condamnés, ni leurs parents privés des prestations sociales, la France ne peut que sombrer dans la violence des gangs à l’américaine. Patience, cela ne saurait tarder.

Quand Darmanin en arrive à nier les agressions et les viols perpétrés par les racailles des cités, pourtant constatés par tous les journalistes français et étrangers, et confirmés par les victimes françaises, espagnoles ou anglaises au Stade de France, on mesure à leur juste valeur la lâcheté et l’hypocrisie criminelles de nos dirigeants.

La France est au bord de l’abîme et chacun tourne le dos au danger. À commencer par les électeurs qui creusent méthodiquement leur tombe à chaque élection, en revotant pour ceux qui les conduisent au naufrage identitaire et économique.

Ce sera la double peine dans l’allégresse : faillite et guerre civile.

Les Français sont donc promis à des lendemains tragiques et sanglants, mais c’est pourtant Macron qui a peur pour sa petite santé. Souvenez-vous, en 2018, au plus fort de la révolte des Gilets jaunes.

« Ils vont finir par me buter », se lamentait le fossoyeur de la France. En cinq ans, il n’a résolu aucun de nos problèmes, portant la dette à 3 000 milliards et faisant de la France un coupe-gorge.

https://www.ladepeche.fr/2022/07/04/ils-vont-finir-par-me-buter-ce-jour-ou-emmanuel-macron-a-craint-pour-sa-vie-et-celle-de-brigitte-10414429.php

« La France n’est pas un coupe-gorge », déclarait Dupond-Moretti en 2020.

Que le King Kong des prétoires aille dire cela aux 45 000 victimes d’attaques au couteau.

Et qu’il ne prenne pas les Français pour des demeurés. Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre que la France est un coupe-gorge alors que d’autres pays sont des havres de paix. On veut des résultats, pas des tirades de charabia.

Depuis plusieurs mois, c’est l’hécatombe.

Si la tragédie de Samuel Paty, décapité par un Afghan à Conflans-Sainte-Honorine il y a deux ans, a bouleversé la France, cette acte de barbarie n’est malheureusement qu’un exemple de cette sauvagerie qui a gagné la France.

Trois morts à Angers, tués par un réfugié soudanais 

Un médecin militaire poignardé au nom d’Allah, devant ses enfants à Marseille 

Un retraité tué au couteau à Trappes

Une vacancière blessée au couteau, sur une terrasse de café à Montpellier

Un jeune de 22 ans poignardé à mort à Metz

Un Tunisien tué par un compatriote à Amiens

Un homme de 37 ans lardé de coups de couteau dans la Drôme

Un cinquantenaire égorgé à Toulouse

Ces attaques sauvages, il y en a 120 par jour en moyenne, transformant chaque parcelle du territoire en zone hostile potentiellement mortelle.

Que font Macron, Darmanin et Dupond-Moretti ? Rien.

Ils nient la réalité et falsifient tous les chiffres de la criminalité exponentielle qui détruit la France et va tuer le tourisme.

Leur seul souci est de se protéger eux-mêmes et de louer les bienfaits du « vivre- ensemble ».

Pour les générations du baby-boom, qui ont connu la France des Trente Glorieuses, où la sécurité était totale, de nuit comme de jour, où les femmes seules n’avaient pas peur de prendre les transports en commun, ce naufrage sécuritaire est le pire des crimes commis par nos élus, de droite comme de gauche.

Car ils sont tous coupables et responsables. Tous se sont empressés de dépecer le pays, sans jamais le défendre ni le protéger des menaces existentielles qui l’assaillent.

Droite et gauche ont liquidé d’un commun accord l’héritage des Trente Glorieuses, en menant la même politique mondialiste.

Quant à Marine, qui n’a jamais gouverné, elle vient de prouver qu’elle se foutait de la France comme les autres, en refusant de s’allier avec Zemmour pour les législatives.

Car le RN allié à Reconquête, ce sont 200 députés au bas mot que cette union aurait gagnés.

Mais Marine n’est pas une patriote. Elle gère son fonds de commerce et se réjouit que les subventions de l’État paieront ses 20 millions de dettes. Pourquoi aurait-elle partagé avec Zemmour ? Elle fera de la politique jusqu’à 90 ans, sa raison de vivre. La France qui se libanaise à grande vitesse, ce n’est pas son problème.

Des patriotes désintéressés, il n’y en a qu’un seul aujourd’hui. Éric Zemmour, qui n’a cessé de clamer que si on ne règle pas en priorité l’immigration de masse et les fléaux qu’elle propage, aucune politique n’aura la moindre chance de réussir.

Les Français, manipulés par les médias et peu au fait de l’état déplorable de la France, préfèrent reconduire les bons à rien qui les ont trahis.

Il faut bien aujourd’hui en payer le prix ! Et l’ardoise sera salée, tant le naufrage économique et identitaire est porteur de lendemains tragiques.

Jacques Guillemain Riposte Laïque

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La Racaille de France : Appellation d’Origine Contrôlée

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+ Webtube : un petit mot dont ne parle pas cet article, tout cela se fait à nos frais avec nos impôts et autres CSG. D’ailleurs cela fait longtemps qu’on n’a pas eu une nouvelle taxe pour financer tout ce gâchis …. à quand la création d’une taxe banlieue pour financer cette fuite en avant ?

Il est un fait établi sur notre planète que l’introduction d’espèces allochtones d’un continent à un autre, végétales ou animales, conduit le plus souvent à des catastrophes irréparables.
L’Australie fourmille d’exemples de la sorte. L’invasion de crapauds-buffles en est un exemple criant. Dans les années 30, ils furent importés depuis Hawaï dans la région du Queensland dans le but de combattre les scarabées qui décimaient les plantations de cannes à sucre.

Cette créature monstrueuse pèse près de trois kilogrammes, a une espérance de vie de plusieurs dizaines d’années et présente plusieurs caractéristiques terrifiantes. En effet, il est venimeux et son venin est capable de paralyser un mammifère de la taille d’un chien en quelques minutes. Il dévore tout ce qu’il trouve (oiseaux, reptiles, insectes, petits mammifères, ordures ménagères à l’occasion) et surtout n’a que peu de prédateurs naturels. Pire encore, ses têtards se trouvent être toxiques pour les poissons qui auraient la malheureuse idée de les ingurgiter.

Bien entendu, cette espèce de crapaud s’est très vite échappée des plantations et a commencé à pulluler dans son nouveau biotope, devenant ainsi un nuisible que l’on estime maintenant responsable à travers tout le nord de l’Australie de la disparition de dizaines d’espèces de reptiles, d’oiseaux ou de mammifères. Il s’est avéré que non seulement le crapaud-buffle n’a pas donné satisfaction quant à la mission qu’on lui avait confiée, mais qu’en plus il s’est reproduit exponentiellement, atteignant une population d’environ deux cents millions d’individus, qui met en danger l’écosystème du nord de l’Australie.

Par ailleurs, la théorie darwinienne de l’évolution, paradigme communément admis dans la communauté scientifique, nous explique que l’homme est une espèce animale comme une autre à laquelle les règles de la biologie s’appliquent. Alors nous sommes en droit de nous poser naïvement la question suivante : pour quelle raison ce qui est valable et vérifié par l’observation pour de nombreuses espèces animales ne le serait pas pour les différentes espèces d’humains ? Qui a décrété par exemple que l’introduction de Subsahariens en France, dans un biotope qui n’est évidemment pas le leur, serait sans conséquences sur ce même biotope ainsi que sur les espèces autochtones que nous sommes ?

À la fin de la Deuxième Guerre mondiale, nos dirigeants, sous la pression du patronat, eurent la riche idée de faire venir des travailleurs immigrés africains, car paraît-il, la main d’œuvre manquait pour faire tourner nos usines. C’est ensuite que survint un malentendu concernant le statut de ces gens. En effet, il n’était nullement question de l’installation définitive de ces derniers sur le territoire français, et encore moins qu’ils soient naturalisés. Nous devons à ce grand homme qu’était Valéry Giscard d’Estaing la première loi sur le regroupement familial qui permit à ces travailleurs de faire venir leurs familles en France. Giscard venait ainsi de signer purement et simplement notre arrêt de mort.

Dans les décennies qui suivirent fut mis en place, par nos dirigeants, un pipeline continu d’immigrés en provenance d’Afrique, sans aucun lien avec nos besoins de main-d’œuvre.  Ils sont originaires des zones les plus misérables de la planète, dans lesquelles règnent le sous-développement économique et culturel, l’ignorance et l’obscurantisme. La majorité d’entre eux sont bien entendus musulmans. Une grande partie plus ou moins analphabète. Depuis, ces gens se sont multipliés et leur descendance ne montre aucune appétence pour le travail en usine ou dans les champs. En réalité pour toute forme de travail.

Chaque pays est connu pour un produit ou une marque emblématique. L’Allemagne a Mercedes, l’Italie Ferrari, et nous, en France, nous avons La Racaille. Célèbre dans le monde entier, elle mériterait d’être protégée par des copyrights ou au moins par une AOC (appellation d’origine contrôlée) : « La Racaille de France », produit de notre terroir.

Je rappellerai d’ailleurs qu’à ce propos, nos racailles sont tellement célèbres à travers le monde qu’une agence de voyage chinoise avait envisagé de faire visiter aux touristes certaines de nos cités à bord de bus blindés afin qu’ils puissent prendre des photos de la faune locale. Une sorte de safari péri-urbain. Il faut dire que cette faune est unique au monde. La Racaille de France est une espèce d’humanoïdes d’origine nord-africaine ou subsaharienne, dont l’habitat naturel est la banlieue des grandes villes françaises. Cette espèce s’est parfaitement adaptée à son nouveau biotope administratif, mais tout en conservant son mode de vie originel ainsi que sa religion.

La Racaille de France s’exprime dans une sorte de sabir incompréhensible, mélange de dialectes africains et de français, qui n’est plus compréhensible par le commun des mortels. On ne peut pas vraiment dire que les Racailles parlent, ils éructent plutôt. Ils sont extrêmement violents et vindicatifs à la fois. Il n’est pas possible aux autres espèces de coexister avec eux au sein d’un même écosystème. Nourris, logés et soignés gratuitement par l’État français, certains spécimens importés ont cependant continué à se reproduire dans les mêmes proportions que dans leur biotope d’origine et sont donc très rapidement devenus une espèce invasive et nuisible. Bien nourris, les descendants de troisième ou quatrième génération sont dotés d’un physique impressionnant, qu’ils ne destinent malheureusement pas au travail.

Le biologiste et géographe américain Jared Diamond, dans son célèbre ouvrage « Le singe nu », explique le sous-développement des populations africaines par le fait que les animaux qui les entourent (éléphants, rhinocéros) ne sont pas domesticables et n’ont par conséquent pas pu être utilisés pour l’agriculture ou le transport. Visiblement il en est de même pour La Racaille de France, que personne n’est jamais parvenu à mettre au travail, malgré tous les efforts et les milliards qui ont été dilapidés, en particulier par Borloo, dans les banlieues françaises. Il est avéré que même l’État islamique, pourtant peu regardant sur la marchandise, ne veut pas d’eux comme combattants, sauf éventuellement comme kamikaze.

Dans la société racaille, les rôles sont parfaitement établis. Arrivée à maturité sexuelle, la femelle racaille se marie soit avec une racaille locale, soit avec un individu venu directement du biotope d’origine, afin de procréer au plus vite. Les mâles, eux, sont des prédateurs. La nuit, le plus souvent, ils se regroupent en meutes, repèrent des proies sans défense, puis ils les détroussent en les massacrant ou les tuant au passage. La Racaille de France possède une parfaite connaissance de son biotope administratif et judiciaire. La femelle connaît toutes les arcanes de la Caisse d’allocations familiales et sait comment optimiser les différentes aides sociales.

Le mâle Racaille, lui, est un fin connaisseur du système judiciaire. Il a parfaitement conscience qu’il n’a rien à craindre de la police, et surtout il apprend dès son plus jeune âge que tant qu’il est mineur, il peut tout se permettre sans crainte de quelque conséquence que ce soit.  Le mâle racaille est soumis à des rituels initiatiques dignes des guerriers Massaïs. Dès l’âge de douze ou treize ans, il est initié par les mâles plus âgés au vol en réunion avec violence ou à la portière. Ensuite, si ses capacités sont reconnues par la meute, il pourra d’abord être utilisé comme sentinelle de point de deal, puis livreur.

Les plus valeureux d’entre eux, ayant dépassé l’âge de la majorité, se lanceront dans les braquages. Les plus ambitieux monteront leur propre réseau de trafic de drogue, mais pour ce faire, ils devront d’abord dessouder un mâle alpha et s’approprier son territoire. Même à l’âge adulte, la Racaille de France a parfaitement conscience qu’il bénéficiera toujours du soutien inconditionnel de la gauche française, ce qui le confortera dans l’idée qu’il n’y a aucune raison de modifier son comportement.

Les plus tocards parmi les mâles, ceux qui ne seront pas parvenus à vraiment percer dans le trafic de drogue, le braquage ou le homejacking, termineront leur carrière comme « éducââteur de quartier ». On s’inquiète des insectes, on construit des ponts pour que les grenouilles puissent traverser les autoroutes en toute sécurité, on veille à la conservation du biotope des Indiens d’Amazonie, mais personne ne semble s’inquiéter de notre biotope à nous, nous les pauvres cons autochtones européens. Il ne viendrait à l’idée de personne d’introduire des hyènes dans nos forêts. Tout le monde a bien conscience que la faune locale n’y survivrait pas.

C’est pourtant exactement ce que nous avons fait dans nos villes. Nous y avons introduit et favorisé la multiplication de hyènes assoiffées de smartphones, de bijoux en or, de vêtements de marque et de violence.
Notre système social est lui aussi un écosystème extrêmement fragile, qui ne survivait déjà que péniblement avant l’arrivée de ces parasites. Maintenant il est à peu près certain qu’il va exploser. Plus la peine de s’inquiéter pour la retraite, la question est entendue.

Même la Gôche ne peut plus nier la réalité du problème et continue de s’entêter dans des solutions sans avenir telles que le « vivre-ensemble » ou « l’éducation », comme si un dealer qui gagne des dizaines de milliers d’euros chaque jour allait se reconvertir gentiment en vigile de supermarché ou en gardien de parking smicard. La première mesure d’urgence consisterait déjà à parler à ces gens dans un langage qui leur soit familier et compréhensible. Il est permis de douter que leur tenir des discours sur l’État de droit ou l’affectio societatis au sein de la société française trouve le moindre écho en eux.

En revanche des phrases comme « Si toi voler, toi aller en prison pour 5 ans et famille à toi plus d’allocs et plus de HLM », ou « Si toi tirer avec mortier sur policier toi te faire fumer comme un chien » seront parfaitement comprises et intégrées.

Comme le disait Jean Dutourd : « Pour être entendu il faut parler le langage de son interlocuteur ».

Alain Falento dans Riposte Laïque

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La montée de l’État islamique en Afrique : entre janvier et juin de cette année, ils ont mené 305 attaques en Afrique de l’Ouest

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+ Webtube : encore un sujet dont on parle peu ou pas dans nos médias subventionnés. Pourtant cette progression de l’Etat islamique alimente encore plus l’émigration vers l’Europe.

« Une démonstration de force », tels étaient les mots de Wassim Nasr, journaliste de France24 et spécialiste des mouvements djihadistes, pour décrire le raid du 5 juillet dans les prisons de Kujé, aux portes d’Abuja, la capitale fédérale du Nigeria.

Tard dans la nuit, les insurgés de l’État islamique dans la province d’Afrique de l’Ouest (ISWAP) ont lancé une « attaque coordonnée sur trois fronts » contre la prison où les djihadistes étaient incarcérés depuis plus d’une décennie.

A l’issue de cette opération très audacieuse, qui a duré 50 minutes selon l’agence de propagande État islamique, entre 600 et 900 prisonniers ont été libérés, dont des dirigeants du groupe djihadiste au Nigeria.

Le porte-parole du service correctionnel nigérian, Umar Abubakar, a reconnu trois morts dans les rangs des forces loyalistes, deux policiers et un gardien de prison.

Selon Rida Lyammouri, chercheur principal au sein du think tank marocain Policy Center for the New South (PCNS), le raid, qui est « le premier revendiqué par l’État islamique (EI) dans la capitale et le plus sophistiqué en dehors de sa zone d’opérations habituelle dans le nord-est » du Nigeria, n’est qu’une illustration de la montée fulgurante du groupe djihadiste en Afrique ces dernières années.

En juin 2014, le « califat » a été proclamé par Abou Mohamed Al Adnani, alors porte-parole de l’État islamique.

Les premières allégeances africaines à cette organisation djihadiste dirigée au début par l’Irakien Abu Bakr al Baghdadi datent de la même année, avec l’affiliation de « Jund al Khilafa » (Soldats du califat) en Algérie, « Majlis Choura Chababal Islam » (Conseil consultatif de la jeunesse islamique) en Libye et « Ansar Bait al Maqdis » (Partisans de Jérusalem) en Égypte.

L’année 2015 a marqué l’adhésion du mouvement djihadiste en Afrique subsaharienne.

En mai de la même année, Abubakar Shekau, qui a pris le contrôle de Boko Haram dans le nord-est du Nigeria après la mort de son fondateur en 2009, a prêté allégeance au groupe.

Au Sahel, des membres d’Al Murabitoune (Les Almoravides), un groupe djihadiste affilié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), ont décidé de répondre à l’appel d’Al Baghdadi.

Poussée des provinces africaines

Avec la perte de ses territoires en Syrie et en Irak due à l’intervention d’une coalition internationale composée principalement de la France et des États-Unis d’une part, et des alliés de la Syrie comme la Russie et l’Iran, d’autre part, contre les djihadistes, l’État islamique a accentué sa politique d’expansion vers d’autres continents.

Ainsi, en 2019, une nouvelle province était en cours de création en Afrique centrale.

Dans cette région, les Forces démocratiques alliées (ADF) ougandaises ont revendiqué leur première attaque en République démocratique du Congo (RDC) sous la bannière de l’État islamique en avril 2019.

Deux mois plus tard, ils ont été suivis par « Ansar al Shabab » dans le nord du Mozambique, précisément dans la province de Cabo Delgado.

Dès lors, les activités du groupe djihadiste sur le continent africain ont grimpé en flèche.

« Depuis trois ans, les provinces officielles de l’État islamique se renforcent, notamment dans la région du lac Tchad et du Sahel », explique Damien Ferré, directeur de Jihad Analytics, une société spécialisée dans l’analyse du djihad mondial et cybernétique.

« Cela a été visible pour la première fois au niveau des médias, le groupe accordant une attention particulière aux opérations dans ces deux domaines, notamment via son hebdomadaire +al-Naba+. Par exemple, en 2021, +al-Naba+ a consacré 28 des 52 premières pages à l’Afrique, loin devant l’Irak, qui reste la province officielle la plus active de l’État islamique », ajoute Ferré dans une interview accordée à APA.

Selon ce spécialiste de l’État islamique, en termes d’opérations militaires, le nombre d’attaques menées par le groupe a considérablement augmenté au cours des 36 derniers mois, en particulier au Nigeria qui a progressivement connu la professionnalisation et la capacité de frappe de l’État islamique en Afrique de l’Ouest (ISAW).

« Mais », dit-il, « c’est aussi le cas au Sahel et au Mozambique où le groupe a même réussi à tenir une ville pendant plusieurs mois. »

Qu’en est-il de l’ADF ?

« Entre 2020 et 2022, des activités liées aux Forces démocratiques alliées (ADF) ont été signalées en dehors de la République démocratique du Congo, notamment en Ouganda, où elles ont ordonné plusieurs attaques à l’engin piégé, et au Rwanda, où une dizaine de personnes liées aux ADF qui préparaient des attaques à Kigali ont été arrêtées », explique Fiston Mahamba Wa Biondi, journaliste congolais et spécialiste de ce groupe djihadiste.

Il note la professionnalisation du groupe depuis son allégeance à l’État islamique.

« Les combattants des ADF se sont alignés et ont été actifs comme d’autres mouvements internationaux lors des appels à l’action de l’État islamique. Dans le cadre de cette approche, les ADF ont mené la plus grande opération pour libérer des prisonniers, dont une centaine de leurs membres », explique Biondi.

Au Mozambique, la même logique est suivie par Ansar Al Sharia, qui, après l’offensive de mars 2021 qui lui a permis d’occuper pendant quelques jours la ville portuaire de Palma, à plus de 2 000 kilomètres au nord-est de Maputo, est apparue comme une menace réelle pour la sécurité de cette partie du pays et pour les investissements étrangers dans le secteur des hydrocarbures.

Au début, les autorités ne voulaient pas faire appel à l’aide étrangère pour faire face aux insurgés.

Mais ils ont fini par changer d’avis.

Le Rwanda et la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) ont envoyé des troupes pour combattre les djihadistes.

Cette stratégie a porté ses fruits à court terme, car elle a permis de reprendre la ville de Mocimboa da Praia, contrôlée par les islamistes armés depuis un an.

Mais cela n’a pas mis fin à l’insurrection.

Les djihadistes viennent de revenir à leur jeu favori : la guérilla.

Se retirant dans la brousse, ils multiplient les attaques contre les civils et n’entrent en contact avec les forces armées que lorsqu’ils sont sûrs d’être victorieux.

Cette capacité de résilience a conduit à leur transformation en province en mai 2022, après une offensive contre l’armée mozambicaine à Quiterajo, dans la ville de Macomia, à 2 400 kilomètres au nord-est de Maputo.

Jusque-là, le groupe était rattaché à la province d’Afrique australe sous l’autorité du djihadiste congolais Musa Baluku.

« Ce que nous pouvons observer, c’est que depuis lors, il y a eu des changements intéressants. Pas tant en termes de tactiques et de capacités sur le terrain, mais en termes de propagande. Rien qu’au mois de juin, il y a eu vingt-deux (22) réclamations, ce qui est totalement sans précédent pour le Mozambique », a déclaré une source de sécurité.

La branche sahélienne de l’État islamique, qui était jusqu’en mars 2022, un démembrement de la province ouest-africaine, a reçu le même traitement, couvrant au moins trois pays, le Mali, le Burkina Faso et le Niger.

Malgré la mort de son émir, Adnan Abou Walid al Sahraoui, lors d’une opération menée en août 2021 par l’armée Français dans le nord-est du Mali, non loin de la frontière avec le Niger, le groupe djihadiste tente de refaire surface avec une série d’attaques contre des civils et des mouvements touaregs pro-gouvernementaux.

Dans la nuit du 11 au 12 juin, la ville de Seytenga, dans la province de Séno, à 276 kilomètres au nord-est de Ouagadougou, a été la cible d’un attentat attribué aux djihadistes de l’État islamique.

Le bilan officiel était de 79 morts parmi les civils.

L’horrible attaque a également déplacé plus de 16 000 personnes au Burkina Faso.

Hommages et appels à la « hijra »

L’État islamique en Afrique de l’Ouest a été responsable de 305 attaques de janvier à juin 2022, selon un décompte analytique du djihad.

Cela fait de la province la plus active après l’Irak, qui a connu 337 attaques.

Jusqu’en avril, le Nigeria était la province la plus active avec un total de 162 attaques, devançant l’Irak de 38 points.

« Pour la première fois dans l’histoire du groupe djihadiste, l’Irak n’est plus le pays où l’Etat islamique revendique le plus grand nombre d’opérations », note Damien Ferré sur Twitter.

Ces « performances » ont valu aux djihadistes africains l’hommage de leurs « frères » dans d’autres provinces.

« Il est possible qu’en conséquence, il y ait un nombre accru de partisans étrangers de l’IE essayant d’atteindre les provinces africaines… », prédit-il.

Il y a déjà des appels en ce sens.

Vincent Foucher, chercheur au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), évoque le sens de ce thème dans l’islam militaire.

« C’est un appel à rompre avec la société normale pour rejoindre les vrais croyants », explique ce spécialiste de l’Etat islamique dans la région du lac Tchad.

« Les nouveaux dirigeants de l’État islamique ont dû comprendre que déplacer l’attention de l’Irak et de la Syrie de manière officielle serait bénéfique pour sa présence dans le monde entier », décrypte Tomasz Rolbiecki, un analyste indépendant qui travaille également sur la région du lac Tchad.

« À mon avis, cela a un double objectif : se concentrer sur l’Afrique, qui a un réel potentiel pour le développement de l’IE, en particulier dans les zones où elle est déjà active, et alléger la pression sur la Syrie, où le groupe est traqué et attend des jours meilleurs pour rebondir », ajoute Ferré.

Mais ces appels devaient-ils être suivis d’effet comme ce fut le cas en 2015 après la désignation de Syrte, située à 400 kilomètres à l’est de Tripoli, en Libye, comme troisième capitale de l’organisation djihadiste, après Mossoul et Raqqa.

« Les flux, s’il y en a, seront principalement régionaux et pas forcément aussi importants que cela », explique Vincent Foucher, qui estime néanmoins que « la montée des franchises africaines de l’IE est encore laborieuse ».

APANews

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Bagnolet (93) : les 300 migrants originaires d’Afrique installés sous des tentes ont été hébergés dans des gymnases

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+ Webtube : La phrase importante dans cet article c’est : “…réorientées vers des hébergements adaptés à leur situation, que ce soit en Île-de-France ou en province » Tel un cancer, le mal de l’immigration ronge la capitale, l’Etat s’occupe de créer des métastases en les orientant en province. Ne vous étonnez pas du nombre d’actes de criminalité qui explose dans nos villes de province… Ah oui j’oubliais c’est la faute des “jeunes”….. On nous prend vraiment pour des jambons !

Dix jours après l’installation d’un campement précaire en lisière du parc des Guilands à Bagnolet, une « opération de mise à l’abri » menée par la préfecture de Seine-Saint-Denis et la préfecture de région s’est déroulée ce lundi matin pour évacuer les 307 personnes, dont 20 femmes enceintes, qui campaient dans la rue de l’Épine-Prolongée. Il s’agit majoritairement de femmes et d’enfants originaires d’Afrique, qui affrontaient la chaleur sous une toile de tente et cherchaient un peu d’ombre dans l’espace vert durant la journée.

Les préfectures de Seine-Saint-Denis et de région précisent ce lundi soir qu’« en raison de l’épisode caniculaire, toutes les personnes vulnérables ont été prises en charge au sein de gymnases mobilisés pour cette opération ».

« Ces personnes vont bénéficier d’une évaluation de leur situation administrative, d’un accompagnement social, sanitaire et administratif, avant d’être réorientées vers des hébergements adaptés à leur situation, que ce soit en Île-de-France ou en province », indiquent encore les préfectures.

 « Les familles ont été réparties dans au moins quatre gymnases : deux à Bagnolet, un à Pantin et un à Clichy-sous-Bois, dans l’attente d’une évaluation sociale par la préfecture, détaille Océane Marache, coordinatrice d’Utopia 56 Paris, association qui accompagne les personnes exilées. Vu les températures, c’était bien la moindre des choses. » Elle ignore combien de temps durera cette mise à l’abri.

Ce week-end, une collecte avait été organisée pour venir en aide aux personnes vivant dans les tentes. « Ils ont eu accès à des produits de première nécessité grâce à la mobilisation du quartier, poursuit-elle. Beaucoup d’habitants avaient également apporté de l’eau. » […]

Le Parisien

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Maurice Berger sur le meurtre d’Alban Gervaise : “Pourquoi cache-t-on qu’il a été égorgé ? Parce que cela renvoie à une coutume, une tradition de mise à mort culturelle et cruelle qu’il n’est pas de bon ton de rappeler”

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Nos chances pour la France, les faits du jour…

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+ Webtube : tels les cafards, nos chances pour la France se multiplient quand il fait chaud dans nos cités. Ne nous y trompons pas, quand un journaliste désigne des actes commis par des jeunes, il faut substituer le mot jeune par nos “Chances pour la France”.

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Fusillade à Paris (11e arr.) : Deux individus à bord d’une voiture tirent en direction de clients attablés à la terrasse d’un bar à chicha, 1 mort et 4 blessés

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+ Webtube : Les jours passent, les fusillades s’enchainent… Et encore on ne nous parle pas de tout.

INFO ACTU17. Un homme a été abattu ce lundi soir dans le XIe arrondissement de Paris. Quatre autres personnes ont été blessées. Un suspect a été interpellé, un second est en fuite.

Coups de feu ce lundi soir vers 21h30 dans le XIe arrondissement de Paris. Un homme a été tué par balle dans un bar à chicha situé rue Popincourt selon nos informations. Quatre autres personnes ont été blessées. Elles ont été prises en charge et évacuées en état d’urgence relative à l’hôpital.

Un suspect a été interpellé. Il était muni d’une arme longue d’après une source policière. Un second suspect est en fuite et activement recherché.

Actu 17

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Réchauffement climatique: “Je suis sidéré qu’être sceptique soit une insulte” dit Didier Raoult

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+ Webtube : une très bonne analyse de Didier Raoult sur le réchauffement climatique. Il ne s’agit pas de nier le réchauffement climatique mais de prendre du recul et de garder son esprit critique sur ce phénomène.

En 2020, Didier Raoult répondait aux questions de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC et BFMTV. Il est revenu sur le réchauffement climatique et ses raisons, en se disant “sceptique” et “raisonnable”

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Passagers des RER B et D évacués dans un tunnel : «Des gens faisaient des malaises»

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+ Webtube : Mais quel est ce pays qui n’est même pas capable de faire fonctionner ses trains ? Ca fait des années que j’utilise les transports en commun en Ile-de-France et il ne se passe pas une journée sans qu’il y ait des problèmes avec des trains retardés ou bloqués à cause de personnes sur les voies. A priori ça ne surprend plus personne…. Incroyable !

Des voyageurs se sont retrouvés coincés pendant de longues minutes dans des trains, après le signalement d’une personne sur les voies, selon la SNCF.

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