Thierry Vincent pète un câble en défendant ses potes les Black Blocs

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Articles     : Mai 2023Avr. 2023  –  Mar. 2023Fev. 2023 -Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

Magnifique démonstration d’intolérance gauchiste face à un catalogué « extrême droite »

Dans la grande secte des journaleux… je viens de trouver une pépite.

Attention, j’ai bien dit « journaleux », pas journaliste : parce que journaliste c’est autre chose… regroupant, des professionnels sachant encore manier la langue française avec maestria (sans copier bêtement les dépêches de l’AFP, fautes d’orthographe incluses…), ne piétinant pas la déontologie du métier pour se faire mousser auprès des puissants, et pratiquant toujours le respect d’autrui sans couper la parole à tort et à travers dès qu’un interlocuteur ne partage pas les mêmes vues…

Ceux-là donc, malheureusement, glissent de plus en plus vers les « espèces en voie de disparition », d’autant plus que de sensibilité souvent « de droite », ils assument leur patriotisme et sont donc en conséquence la cible de leurs confrères gauchistes qui eux ont depuis longtemps oublié ce qu’ils ont appris de ce beau métier sur les bancs de leur école… pour s’en tenir à une posture « de gauche donc forcément humaniste » (c’est ce qu’ils prétendent !) quand il n’y a pas plus intransigeants, intolérants et sectaires que leur grande majorité.

Si comme moi vous ne connaissiez pas le journaleux Thierry Vincent, vous n’avez rien perdu, mais le cas de ce gus est tellement caractéristique d’une dérive pour ne pas dire dépravation certaine de la plupart de ses collègues, malheureuses caricatures de journalistes…  qu’il pourrait fortement intéresser le professeur Segatori, autrement dit le désormais célèbre psy italien, qui, à deux reprises (2017 et 2022) a tiré un portrait psychologique de Macron plus vrai que nature, c’est dire le talent du monsieur pour décortiquer les cas graves…

À défaut de talent, ce genre d’individu a compris que pour faire illusion, il faut faire le buzz, notamment sur les plateaux télé où foisonnent ses semblables.

Avant de le voir en action, voici sa présentation par l’Observatoire du Journalisme, résumant ses principales caractéristiques :

Thierry Vincent incarne à merveille le soixante-huitard, une espèce pourtant en voie d’extinction dans la société, mais encore largement représentée chez les journalistes.

Représentant parfait de « l’esprit Charlie », militant anti-Front national revendiqué (voir § Publications) dans le sillage de Guy Konopnicki, il n’hésite pas à se mettre en scène dans ses reportages, optant pour un traitement manichéen de l’information.

Pour Thierry Vincent, les « méchants » sont forcément de droite et les « gentils » de gauche. Son libertarisme a toutefois des limites puisque la police, et particulièrement les services de renseignement, qui lui permettent de réaliser ses reportages, trouvent une utilité à ses yeux… Cette collaboration étroite entre Thierry Vincent et des membres du ministère de l’Intérieur s’avère profitable pour les deux parties : d’un côté, le journaliste de l’émission « Spécial investigation » de Canal a accès à des éléments inédits d’enquêtes, de l’autre, l’État a la possibilité d’orienter sans se mouiller l’opinion publique sur certains sujets ou de créer un rideau de fumée sur des histoires gênantes.

Le sujet du moment, qui semble passionner ce grand monsieur du « journalisme d’investigation », tel qu’il est répertorié dans la profession (ricanements nerveux), est le phénomène des Black Blocs, autrement dit les racailles gauchistes polluant désormais toute manifestation déplaisant fortement aux gauchistes forcenés, pratiquant une liberté d’expression à géométrie variable… selon qu’elle s’adresse à eux-mêmes ou à leurs adversaires… qu’il est impératif de bâillonner par tous les moyens !

Le 3 mai, lors d’un entretien avec Thierry Vincent, le site « Je suis Français » (JSF) écrit que :

Ce phénomène des Black Blocs reflète surtout – plus qu’il ne révèle, bien sûr – la sourde exaspération d’une majorité de Français envers le Pouvoir et son Chef et surtout l’impuissance de plus en plus évidente des Pouvoirs publics, de l’appareil d’État, des divers rouages du Système, syndicats compris. D’où la montée en puissance non plus des manifestations classiques, en fait stationnaires et sur la durée en déclin, mais de bandes armées, destinées à le faire vaciller. Ce délitement du Système, notamment en son centre, c’est à dire à Paris, la faillite des politiques, c’est ce que cet entretien fait ressortir de plus clair, qui est, aussi, dans notre actualité, le fait majeur.

L’impression que donne ce « spécialiste des Blacks Blocs, c’est qu’hormis l’intérêt bienveillant qu’il leur porte, il est surtout prêt à les défendre bec et ongles dès qu’on ose résumer ces « braves et sympathiques jeunes gens » à des antifas, militants de gauche radicale… car à ses yeux ils gagnent en influence et ne se cantonnent plus aux militants de gauche radicale.

Des milieux plus populaires, moins idéologisés au départ, des gens lambda, ont rejoint le bloc, ou le soutiennent. Il est à noter que malgré les violences et dégradations commises en manifestation, le soutien populaire au mouvement social ne faiblit pas. Pourtant, en général, la casse est impopulaire et suscite un phénomène de rejet. Ce n’est plus le cas actuellement.

De là à leur vouer une quasi admiration il n’y a qu’un pas… qu’il franchit ce même jour, sur le plateau de Laurence Ferrari dans Punchline lorsque, à la remarque que les blacks blocs  sont des assassins potentiels, à propos d’un policier grièvement blessé… il entre dans une violente colère, qu’il n’arrive pas à maîtriser, au point au contraire de monter en puissance, se levant en transes, l’invective aux lèvres, parfaitement incapable de recouvrer son calme, face au paisible Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles, n’arrivant pas à en  placer une, face à l’excité qui va finir par sortir du  plateau… de manière parfaitement ridicule et inappropriée.

Ou ici : https://www.youtube.com/watch?v=Z336BScyeZ4

Ridicule s’il souhaitait singer les grandes sorties de plateaux qui ont fait les grandes heures des plateaux télés…

Inappropriée parce que ce n’est sûrement pas l’attitude qu’on attend d’un vrai journaliste, maître de ses nerfs, respectueux des contradicteurs, qu’il est bien plus professionnel de scotcher avec de vrais et imparables arguments… quand une pareille colère, totalement démesurée, ne fait que ressortir justement son absence de preuve valable.

Selon la sempiternelle habitude des gauchistes maniant colère et injures pour clore le bec d’un adversaire.

Même la punaise Ferrari, qui possède bien le principe, a du mal à reprendre le contrôle et à ramener le calme dans le studio… (un prêté pour un rendu, en ce qui la concerne).

Si ce monsieur est si sensible, je lui conseillerais de rapidement changer de métier… celui-ci n’étant manifestement pas fait pour lui, et surtout pas pour son cœur…

Ou bien s’il préfère s’y incruster, qu’il lise, si toutefois il a retrouvé un minimum de calme, le témoignage de Jérôme Durain, sénateur PS de Saône-et-Loire, observateur au milieu de la BRAV des manifestations du 1er mai, qui dénonce la violence en insistant sur le fait qu’elle n’est pas le fait unique des policiers, comme aiment à le prétendre les gauchistes sectaires.

Que le fond ne plaise toujours pas à monsieur Vincent, c’est prévisible, mais ce qui pourrait lui être utile, c’est d’étudier la manière de témoigner, avec calme et dignité, sans vociférations violentes à ce qui est contrariant…

Beaucoup de violences. J’ai pu observer comment les forces de l’ordre se positionnent, quels sont les moyens qu’ils utilisent, les techniques employées. C’est un travail de fond qui n’a pas vocation à documenter les violences policières, mais plutôt d’essayer de comprendre comment tout cela s’organise après Sainte-Soline et ces séquences de manifestation qui ont été très critiquées en matière de maintien de l’ordre.

J’ai vu que tout pouvait voler dans la mesure où le nombre de projectiles qui arrivent sur les forces de l’ordre est hallucinant.

C’est éprouvant. Ce qui est impressionnant, c’est la violence qui s’exerce par des gens qui sont là et qui n’ont rien à voirni avec le mouvement syndicalni avec des aspirations politiques liées aux retraites. Moi, j’ai eu peur, c’est très violent. Effectivement, ça tape très fort de tous les côtés. J’ai vu des policiers blessés, j’ai vu des gens blessés avec la tête en sang, des gens qui étaient traînés par terre. Ce sont des circonstances très violentes.

Moi, ce que j’ai vu, c’est qu’il y a des gens qui sont extrêmement violents. Quand on vient pour jeter des pavés, des bombes incendiaires ou des cocktails Molotov, on n’est visiblement pas là pour aller chercher du muguet, c’est évident. En revanche, je pense que si le débat parlementaire, c’est d’un côté les méchants policiers, de l’autre les casseurs qui veulent tuer du flic, on n’en sortira pas.

Extrait :

Josiane Filio, Riposte Laïque

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