Pédoland : la fin du silence !

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Une compilation très dense et violente sur la pédocriminalité en France. De nombreux extraits de vidéos publiées depuis ces 20 dernières années. Montage anonyme. Une bonne vue d’ensemble sur le sujet pour ceux qui le découvrent.

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Macron donne une interview improbable dans… Pif Magazine

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++ WEBTUBE : J’ai toujours pensé que Macron c’était un président “gadget” : un objet futile et inutile !

En pleine crise sociale, notre cher président accorde une interview à un magazine pour enfant où l’on peut — tout de même — découvrir des informations intéressantes.

Le Média en 4-4-2.

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MANIFESTATIONS PARIS 28 MARS – REFORME DES RETRAITES

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Nos chances pour la France, les faits du jour…

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++ WEBTUBE : avec tous ces événements qui se bousculent en ce moment on les avait presque oubliés nos chers “Chances pour la France” !

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« Arrogant », « illégitime », « hors sol » : l’allocution du Président de la République sur France 2 ce mercredi aura, d’une certaine manière, fait l’unanimité.

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Le roi Pyrrhus n’aurait pas cru à une postérité si grande que, 2300 ans après sa désastreuse victoire en Italie, tant de politiciens utiliseraient son nom pour caractériser une réforme des retraites. Ce lundi le vote de confiance au gouvernement passait tout juste à neuf voix près à l’Assemblée nationale : « victoire », s’autorise Elisabeth Borne, pendant que les nuages noirs s’amoncellent avant la grève générale ce jeudi 23 mars. À treize heures aujourd’hui, le Président de la République s’adressait aux Français via France 2 et TF1 pour expliquer ses choix, écartant toute mesure exceptionnelle pour les jours à venir. Le Président « entend » (le mot est récurrent), et maintient « résolument » le même capIci, pas de « fusible » comme à l’Assemblée pour recevoir le torrent de critiques qui a suivi sa prise de parole. Le Président présenterait les Français « comme des paresseux drogués aux aides publiques », s’indigne Olivier Faure (PS). Marine Le Pen (RN) réagissait moins d’une heure plus tard ; on murmurait, même dans les rangs de la majorité, que la réforme serait une « victoire à la Pyrrhus », et la présidente du groupe Rassemblement national en fait cette fois une mise en garde pour le gouvernement face à la crise sociale, qu’elle enjoint à faire sienne la fameuse inquiétude du roi d’Epire : « Encore une victoire comme celle-ci et nous serons perdus. »

Pédagogie de la fermeté

Car l’apaisement faisait partie des objectifs affichés d’Emmanuel Macron lors de son interview, sans grand succès. La demi-heure d’entretien lui aura permis d’insister sur la continuité du projet présidentiel, et de justifier les choix déjà posés « en responsabilité » par un gouvernement qui a encore toute sa confiance, comme il l’a rappelé à plusieurs reprises. Élisabeth Borne a engagé cette confiance lundi, et le parlement a rendu son verdict, donc les jeux sont faits. Le Président s’en réjouit, mais ne trouve pas nombre d’avocats pour le soutenir… Même Éric Ciotti (LR), favorable à la réforme : « Les solutions proposées par le Président de la République ne sont pas à la hauteur de la crise politique et économique que nous vivons », déclarait-il prudemment dans un communiqué de presse. « Emmanuel Macron aurait-il le courage d’engager sa propre responsabilité dans un référendum ? » demandait de son côté Marine Le Pen : « je sais que non », conclut-elle. Le Président maintient, quoi qu’il en coûte, que « cette réforme est nécessaire, il n’y a pas 36 solutions ». Une constance à toute épreuve, même celle de l’opinion populaire. 

« Le texte va poursuivre son cheminement démocratique », disait-il dimanche avant le vote de la motion de censure transpartisane. Celle-ci ayant échoué, il rappelle : « la démocratie, c’est même à une voix près ». À partir de cette même logique, « la foule, quelle qu’elle soit, n’a pas de légitimité face au peuple qui s’exprime souverain à travers ses élus ». Pourtant le fossé se creuse entre le souverain et sa représentation, et le Président lui-même semble paradoxalement en être conscient malgré les discours, lorsqu’il s’estime « prêt à endosser l’impopularité » de la réforme. 

Pourquoi 13h ?

Sans surprise, les syndicats n’espéraient pas de revirement soudain lors de l’allocution présidentielle à la mi-journée. Le président de la CFE-CGC François Hommeril déclarait à France Bleu Touraine « Je n’attends rien. Il ne remet pas en question ses décisions ». De même pour Philippe Martinez (CGT), qui ne s’est pas pour autant privé de fustiger le « foutage de gueule » de la communication élyséenne. Au-delà même du fond, un point a concentré la gronde : l’horaire.

Plusieurs hypothèses se disputent pour expliquer le choix d’une telle heure. L’explication plus ou moins officielle, livrée d’une source à l’Élysée pour La Dépêche du Midi, serait qu’Emmanuel Macron « a fait le choix des territoires. En province, le retour au domicile pour la pause méridienne est une tradition, tout comme est une habitude le déjeuner devant le journal télévisé ». Chou blanc pour convaincre, quand les internautes ironisent déjà sur la considération pour les « provinciaux », s’inquiétant de savoir si l’allocution sera bien « traduite en patois ». 

Que la raison invoquée soit véridique ou non, beaucoup ont vu dans ce créneau inhabituel une bravade aux contestataires de la réforme, surtout les plus mobilisés qui sont plutôt urbains et rarement disponibles à un tel horaire. Il privilégierait alors son électorat retraité, plus conciliant. 

Un moyen, pour d’autres, de relativiser la gravité de la situation en délaissant les horaires de grande écoute qui passeraient davantage le message devenu refrain : « nous sommes en guerre ». Ici, pas de guerre, mais la démocratie, le peuple et ses représentants. Fussent-ils chahutés.

Alexandre Cervantes, dans Omerta

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L’exportation de produits agricoles français en baisse

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Le public a pu découvrir au 59ème édition du Salon de l’Agriculture, évènement majeur de la filière agricole. Alors que le secteur traverse une période épineuse, notre pays, autrefois fierté de l’agriculture mondiale, a été relégué au cinquième rang des exportateurs de produits agricoles, soit une chute vertigineuse en seulement deux décennies.

L’amélioration de la production alimentaire agricole constatée en 2022 ne reflète pas nécessairement la réalité, qui est loin d’être satisfaisante. Bien que l’excédent commercial entre les exportations et les importations à l’étranger ait augmenté de 26% par rapport à 2021, selon une enquête réalisée par le journaliste Sébastien Grob, cette augmentation est principalement due à une hausse significative des prix des céréales suite au conflit russo-ukrainien. Toutefois, d’autres aspects du bilan comme les échanges de viande et de produits à base de légumes et de fruits, confirment des signaux inquiétants d’une puissance mondiale en déclin. 

Historiquement, l’agriculture a été un pilier important de l’économie française, faisant de la France un pays agricole de renom. Encore aujourd’hui, la France reste en tête des pays européens en termes de production agricole, représentant près de 17% de la production totale du continent, loin devant l’Allemagne et l’Italie, selon le rapport sénatorial sur la compétitivité de la « ferme France ». 

Néanmoins, derrière cette façade glorieuse, se cache une réalité moins reluisante. En effet, entre 2011 et 2017, le surplus commercial dans le secteur agricole a diminué de 50% et depuis au moins trente ans, notre balance commerciale avec les autres pays membres de l’Union européenne est en diminution et est devenue déficitaire en 2015. Il convient de comprendre les raisons sous-jacentes à cette diminution des exportations afin de pouvoir y remédier efficacement. 

Une ambition gouvernemental inappropriée

L’agriculture française subit donc une érosion lente, mais continue. Selon le rapport sénatorial, « la France importe près de 63 milliards d’euros de denrées alimentaires, soit 2,2 fois plus qu’en 2000 ». Environ la moitié des poulets consommés, plus de la moitié de la viande ovine, près du tiers des légumes et plus des deux tiers des fruits consommés proviennent de l’étranger. Ces chiffres indiquent une forte dépendance aux importations alimentaires pour répondre aux besoins de la population française, la production nationale étant insuffisante. 

Par ailleurs, dans un contexte de crises en cascade, la « question de la renationalisation de la production » se pose, avec la nécessité de maintenir la souveraineté alimentaire. Certaines entreprises françaises, comme Les Paysans de Rougeline (marque créée par des cultivateurs du sud de la France) font des efforts considérables pour faire face à la concurrence acharnée. Tomates, viandes, protéines végétales ou encore bétail, les produits d’importation connaissent un fort succès sur le marché intérieur français. 

Gilles Bertrandias, directeur général de Paysans de Rougeline, donne l’exemple des tomates marocaines. Il révèle que le coût français de production « est forcément plus important que les tomates importées ». « Une heure de travail au Maroc, c’est 1 € de salaire, contre 12 ou 13 € en France ».  Ainsi, les coûts associés à la production de tomates se reflètent dans leur prix de vente. 

De ce fait, l’ambition gouvernementale du « tout montée en gamme » s’avère inappropriée face à la baisse du pouvoir d’achat et à la flambée des prix. 

Le manque d’attractivité de la profession : un enjeu pour l’avenir

Un autre enjeu majeur est à prendre en compte : selon l’INSEE, le renouvellement des générations dans le secteur agricole est menacé par un manque d’attractivité pour la profession, principalement dû à un revenu moyen inférieur de 16% à celui des autres travailleurs, malgré une charge de travail de cinquante-cinq heures par semaine en moyenne. 

La profession ne représente plus que 2% des travailleurs et est confrontée à un grave problème de relève : un quart des agriculteurs a plus de 60 ans et leur départ imminent à la retraite n’est pas compensé par de nouveaux travailleurs, créant ainsi une pénurie de main-d’œuvre dans le secteur. Même si le ministère de l’Agriculture estime qu’il y a 70 000 postes vacants, la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques prévoit une diminution de 40 000 agriculteurs dans la décennie à venir. 

Cette situation est d’autant plus préoccupante que le niveau de vie des agriculteurs retraités dépend en partie du prix de vente de leur ferme. Ils sont donc souvent incités à céder leurs terres à des voisins souhaitant agrandir leur exploitation. Cette pratique a pour conséquence une chute significative du nombre de fermes dans le pays (-20% en dix ans) et un appauvrissement des rangs des agriculteurs. 

« Distorsions de concurrence »

L’agriculture est un secteur qui a un impact significatif sur l’environnement et la santé humaine. En effet, elle est responsable d’environ 20% des émissions de gaz à effet de serre et les effets nocifs des engrais et pesticides sur la biodiversité et la santé humaine sont de plus en plus préoccupants. 

De surcroit, le dérèglement climatique menace les modes de production de l’agriculture conventionnelle, en particulier les vastes étendues céréalières qui sont particulièrement vulnérables à la sécheresse. Ces enjeux complexes soulignent la nécessité de repenser les pratiques agricoles afin de promouvoir une agriculture plus durable et résiliente face aux défis environnementaux et climatiques actuels.

Toutefois, quelle que soit la solution alternative à l’agriculture conventionnelle, les rendements resteront en moyenne considérablement plus faibles. À la suite de l’interdiction gouvernementale de l’utilisation des néonicotinoïdes qui offraient une protection contre la jaunisse, ou celle de l’Anses sur le S-métolachlore qui contrôlait les mauvaises herbes dans les cultures agricoles, les experts n’ont pas encore trouvé de substituts efficaces aux pesticides.  Selon Thierry Coué, président de la commission environnement du syndicat FNSEA, « ces solutions sont loin d’atteindre les résultats qu’on pouvait obtenir avec un produit enrobé sur la graine ».

Enfin et surtout, le même rapport sénatorial indique que la France a perdu 70% de ses parts de marché en raison d’une perte de compétitivité par rapport à d’autres pays producteurs. Cette perte est en grande partie due à l’interdiction de l’utilisation de certains néonicotinoïdes en pulvérisation en France, tandis que d’autres pays européens, tels que l’Allemagne, peuvent encore les utiliser. Cette situation est préoccupante car elle affecte la capacité de la France à concurrencer d’autres pays sur le marché mondial et souligne l’importance de trouver des solutions durables pour remplacer les pesticides sans compromettre la compétitivité de l’agriculture française. 

Tatiana Ghanem, Omerta

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La Ligue des Droits de l’Homme reproche aux gendarmes d’avoir empêché les écolos de tout casserLa Ligue des Droits de l’Homme

Articles  : Mar. 2023Fev. 2023Jan. 2023Dec. 2022 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887

Dès qu’il y a une bonne cause à défendre, la LDH n’est jamais loin. Ainsi, suite aux violences de Sainte-Soline, où faut-il le rappeler, la manifestation était interdite, et où cinq camions de gendarmerie ont été incendiés, la valeureuse institution reproche aux gendarmes d’avoir empêché les gauchistes d’atteindre la méga-bassine.

On est ravis de savoir que les fonds utilisés par la LDH, grâce à nos impôts (1 million d’euros de subventions par an), sont aussi bien utilisés, dans la défense de l’État de droit.

Ainsi, la LDH, qui défendait la voile islamique à l’école dès 1989, traîne devant les tribunaux tous ceux qui osent dire que l’islam n’est pas une religion d’amour, de tolérance et de paix, mais un dogme totalitaire.

Pour justifier cela, ils défendaient le concept de laïcité ouverte… à l’islam, bien sûr.

Ainsi a-t-elle traîné au tribunal Michel Houellebecq, coupable d’avoir, en 2001, écrit que de toutes les religions, c’était l’islam la plus conne.

https://www.letemps.ch/culture/devant-justice-michel-houellebecq-revendique-droit-critiquer-lislam

Bien sûr, ils avaient été en première ligne pour ruiner Fanny Truchelut, patronne d’un gite de montagne, qui avait osé demander à deux musulmanes de retirer leur voile dans les parties communes du gite.

Ainsi, la LDH qui poursuit devant les tribunaux tous les “islamophobes” est-elle capable de s’opposer à l’expulsion d’un imam radical à Vesoul, qui prône la violence contre les femmes et les juifs, au nom de la liberté d’expression.

https://www.humanite.fr/societe/imam-hassan-iquioussen/entretien-affaire-iquioussen-la-ldh-defend-le-droit-760248

Bien sûr, on retrouve ces vaillants défenseurs de la liberté d’expression dans les mobilisations contre l’invasion migratoire de nos campagnes, où ils multiplient les plaintes, à Corlay, Saint-Brevin-les-Pins et Bélâbre, contre les villageois qui osent refuser l’enrichissement multiculturel.

C’est grâce à eux et à leur président d’honneur, Michel Tubiana, que j’avais eu, avec mon ami Pascal Hilout, mon premier procès, en 2012. Coût total : 30 000 euros !

C’est grâce à eux que j’ai connu le formidable avocat des gauchistes Arié Alimi, qui a demandé 14 000 euros contre moi, dans un autre procès, pour me faire taire, qu’il a dit.

Et c’est grâce à eux, et à la présidente de la LDH de Montpellier, Sophie Mazas, que j’aurai mon prochain procès, le 23 juin prochain.

Vous comprendrez mieux pourquoi je les adore, et que je suis ravi que l’argent de mes impôts leur permettent de défendre les droits de l’homme, la laïcité et surtout la liberté d’expression, enfin, la leur…

Pierre Cassen, Riposte Laïque

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Hyperinflation et effondrement : point Oméga des crises du Système depuis 2008

Articles  : Mar. 2023Fev. 2023Jan. 2023Dec. 2022 – Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887

Les bourses européennes ont fini dans le rouge ce vendredi par crainte d’un effet domino sur les banques. L’ensemble du secteur bancaire est touché. Le CAC 40 a perdu 1,74 % à 7015,10. Après la quasi-faillite du Crédit Suisse, l’attention s’est portée sur Deutsche Bank, première banque allemande, dont les actions ont été massivement vendues (-8,53 %) tandis que le rendement des obligations subordonnées (Additional Tier 1 ) et le coût d’assurance contre le risque de défaut de paiement (« Credit Default Swap ») de Deutsche Bank ont fortement augmenté.

Le CDS à 5 ans de Deutsche Bank a grimpé à plus de 2,2 %. Les instruments financiers de couverture indiquent une probabilité de défaut de Deutsche Bank de 27,4 % dans les cinq prochaines années et de 19,3 % pour Commerzbank. Pour Barclays et Société Générale, la probabilité moins élevée se situe autour de 13 %. Signe de nervosité, l’indice de volatilité aux États-Unis s’affichait à 22,76, tandis que l’indice européen a fait un bond à 24,88. Les banques centrales doivent résoudre le problème contradictoire de la stabilité monétaire et de la stabilité financière des banques, de l’inflation ou du krach bancaire et boursier.

Afin de combattre l’inflation, Jerome Powell, le Président de la Fed, a annoncé ce mercredi une hausse de 0,25 % du principal taux directeur pour le porter à 4,75 % -5%, en soulignant que d’autres hausses de taux pourraient suivre, si nécessaire, mais qu’aucune baisse des taux n’était anticipée. Sans la faillite de Silvergate Bank, Silicon Valley Bank et Signature Bank, la Fed aurait relevé le taux de 0,50 % au lieu du taux modéré de 0,25 %. Il est évident que le relèvement du coût de l’argent pèse sur les particuliers, les entreprises, les banques, les États et les marchés financiers : depuis l’été 2022, les taux qui étaient de l’ordre de zéro aux États-Unis et négatifs en Europe, ont grimpé à la verticale aux États-Unis pour atteindre 4,75 – 5 % et 3,50 % en zone euro. Il en est de même pour les taux obligataires qui, pendant la même période, ont violemment augmenté de pratiquement zéro à 2,9 % en France et 3,51 % aux États-Unis. Le but recherché par le Système est la hausse des taux pour combattre l’inflation, tout en inondant les banques de liquidités pour éviter leurs faillites.

Powell a aussi insisté sur le fait que, malgré la faillite de banques régionales californiennes, le secteur bancaire était sûr tandis qu’au même moment Janet Yellen, la secrétaire américaine au Trésor, déclarait , lors d’une audition devant le Sénat, ne pas envisager « une garantie globale » pour tous les dépôts bancaires aux États-Unis, ce qui a fortement ébranlé les investisseurs. Il faut savoir en effet que c’est le seul gouvernement américain qui devrait mettre la main à la poche en empruntant pour couvrir les dépôts des banques en faillite aux États-Unis. Tout comme en France le FGDR, la FDIC ne dispose que de montants ridicules pour couvrir les dépôts en cas de faillites : le FDIC a seulement 200 milliards de dollars en caisse, alors que les dépôts des deux petites banques californiennes en faillite SVB et Signature représentent déjà, à eux seuls, 250 milliards de dollars ! Ces atermoiements des autorités américaines naviguant à vue pour la garantie des dépôts ainsi que la perte de valeur au prix du marché des obligations détenues par les banques, en raison de la hausse des taux d’intérêt, sont à l’origine de l’actuelle crise bancaire.

Il semble que la Fed, plutôt que de continuer à augmenter les taux, espère que les mesures actuelles vont inciter les banques à réduire leurs prêts, afin de préserver leur liquidité, ce qui ralentira l’économie et l’inflation actuelle de 6 %. Selon une enquête de la Fed en janvier, la demande de crédit bancaire des entreprises et des ménages est déjà moindre, les conditions de prêt étant durcies. La croissance des crédits bancaires aux États-Unis a été nulle ces 3 derniers mois. Lors d’une conférence de presse, Jerome Powell a clairement expliqué que le durcissement des conditions de crédit bancaire était équivalent à une augmentation des taux directeurs de la Fed. C’est pourquoi il ne parle plus de « futures hausses de taux ». Autrement dit, la Fed souhaite transférer une partie de la tâche de ralentissement de l’économie au secteur bancaire. Il est clair que la Fed ne souhaite pas aggraver les difficultés des banques en augmentant les taux (dépréciation de leur portefeuille d’obligations à la valeur du marché).
Mais en accordant des prêts aux banques qui font face aux retraits des dépôts de leurs clients, afin d’augmenter leur liquidité, la Fed a cependant de nouveau augmenté son bilan de 297 milliards de dollars, au lieu de continuer à le réduire, ce qui correspond à l’effet « quantitative easing » d’essence inflationniste car il y a création supplémentaire de monnaie.

En Europe, la BCE tente de rester ferme dans la tempête bancaire. Christine Lagarde ne juge pas nécessaire « d’arbitrer entre la stabilité des prix et la stabilité financière ». À cet effet la BCE ne donne plus de prévision de hausse ou de baisse de taux. La BCE, comme toutes les grandes banques mondiales, a également effectué des accords swap avec la Fed pour obtenir des liquidités en dollars, ce qui avait été déjà le cas en 2008, lors de la faillite de Lehman Brothers ; à l’époque la Fed avait inondé la planète à hauteur de 20 000 milliards de dollars. De cette façon, la BCE pourra alimenter en dollars les banques européennes si elles font face à des retraits de dépôts ou à des problèmes de liquidités en dollars. Le Crédit Suisse a par exemple dû faire face tout récemment à 110 milliards de retraits de dépôts.

Un autre malaise en Europe vient du fait que les détenteurs d’obligations subordonnées du Crédit Suisse, soit environ 17 milliards de dollars, ont tout perdu, la Banque nationale suisse d’une façon scandaleuse ayant décidé de ne pas les indemniser et de faire passer avant les actionnaires, ce qui est contraire à la morale la plus élémentaire. Les obligations subordonnées jouent le rôle de quasi fonds propres, mais elles n’ont pas, comme les actions le droit de vote et, en contrepartie, elles sont mieux rémunérées que des obligations normales. D’où un très long procès à venir par les détenteurs internationaux prestigieux de ces obligations (Lazard Frères, Blackrock, etc.) et un sentiment justifié de malaise sur les marchés, car il y a eu spoliation pure et simple par la Banque nationale suisse qui se retranche derrière des lois suisses unilatérales et non éthiques.

Il est vrai que la plupart des banques européennes ne sont pas dans la situation de nombreuses banques américaines car elles respectent la réglementation Bâle III mise en place après la crise financière de 2008. Selon le Président de la Banque de France, Villeroy de Gallau, 400 groupes bancaires européens sont soumis à cette réglementation contre 13 seulement aux États-Unis, les plus grands établissements. Trump, en 2019, a pris la décision stupide de dispenser les banques moyennes et petites des règles de Bâle III.

La BCE vient d’augmenter de 0,50 % ses taux, afin de confirmer sa volonté de combattre l’inflation tout en affirmant que toute nouvelle augmentation des taux dépendra du contexte à venir. Enrayer la panique financière et bancaire tout en domptant l’inflation, tel est le dilemme de la BCE ! L’inflation annuelle en France est estimée actuellement à 6,3 %, mais au Royaume-Uni elle s’élève déjà à 10,4 %. La lutte contre l’inflation est la priorité, mais il sera difficile pour les banques centrales d’aller beaucoup plus loin dans le resserrement monétaire.

L’Italie vient aussi de connaître la faillite de la 20e plus grosse compagnie d’assurance-vie, la compagnie Eurovita qui a été placée sous administration provisoire. Eurovita n’a pas pu supporter la perte de valeur importante de ses obligations françaises et allemandes, suite à la hausse des taux. Tous les fonds sous gestion d’Eurovita, soit 15 milliards d’euros, sont gelés ; les épargnants ne peuvent plus accéder à leur argent. On sent bien que l’économie mondiale a atteint la limite supérieure possible, pour supporter les taux d’intérêt actuels.

Il est probable que le Système va provisoirement venir à bout de cette crise bancaire, avec à la clé une baisse des cours des actions qui sera « vicieuse » selon la banque américaine Morgan Stanley, suite à une double contraction de l’activité et des bénéfices. Les liquidités des banques centrales resteront en effet dans les banques pour éviter la faillite et ne parviendront pas à l’économie réelle, sous forme de crédits bancaires aux entreprises ou aux particuliers. La vitesse de circulation de la monnaie dans le système bancaire diminuera donc d’autant. Les actions baisseront donc, suite à la diminution des bénéfices et à la diminution du coefficient cours de l’action/bénéfice (P/E), ce qui correspond à une augmentation de la prime de risque.
Mais mortellement blessé depuis 2008, et sauvé par « l ‘assouplissement quantitatif » des banques centrales, les jours du Système sont maintenant comptés car, à partir de maintenant, seule une conjoncture dépressive, qui ne soit pas sous le signe d’une stagflation par les coûts de l’énergie et des matières premières, peut prolonger son agonie pendant encore quelques mois ou deux ans au grand maximum.

La seule raison de la mort à venir du Système dans un avenir très rapproché : l’hyper-endettement qui, au lieu de régresser, vient d’augmenter d’une façon inconsidérée, en raison de l’erreur phénoménale, du scandale que fut la traitement de la crise du Covid en Occident par le confinement pendant une durée aussi longue. L’endettement de la France, suite à la crise du Covid, a augmenté de 600 milliards d’euros pour le porter aujourd’hui au chiffre démentiel de 3 000 milliards d’euros. La dette du Covid a été reprise essentiellement par la BCE avec l’assouplissement quantitatif jusqu’à l’été 2022. Ce fut alors la fin de l’argent magique et gratuit, avec arrêt d’injections de liquidités et début de la remontée des taux d’intérêts qui étaient négatifs, pour en arriver aujourd’hui au taux de 3,50 % (4,75 %-5 % aux États-Unis)
Or 1 % d’augmentation des taux d’intérêts représente une charge supplémentaire annuelle de 40 milliards d’euros, au bout de 10 ans, selon Villeroy de Gallau. Avec un taux à long terme de 6 %, cela signifierait que la France , à terme, devrait payer 240 milliards d’euros d’intérêt pour un budget régalien légèrement supérieur à 300 milliards d’euros, soit 80 % des recettes de l’État pour ne payer que les intérêts de la dette. Le budget de l’État français ne peut donc pas supporter une telle charge, avec un taux d’intérêt à 6 % pour mettre fin à l’inflation.

Aux États-Unis, le changement de politique monétaire a commencé au printemps 2022. L’endettement des États-Unis est tout aussi démentiel, mais phénomène nouveau, le roi-dollar est remis en question et les banques centrales de la Russie, de la Chine et des BRICS ne vont plus – ou de moins en moins – acheter de billets du Trésor américain, afin de rémunérer leurs dépôts.

Le Système et la zone euro exploseront suite à la crise de la dette. Le Système, limité par les taux d’intérêt, au-delà des aléas de la conjoncture et de la restriction des crédits par les banques, ne pourra donc qu’assister, plus tôt que nous le pensons, à une inflation rampante structurelle supérieure à 2 %. Cette dernière ne pourra que progressivement monter en puissance, au fil du temps, d’une façon auto-accélérée jusqu’à l’hyper-inflation et à l’explosion, d’une façon tout à fait analogue à ce qui s’est passé en Allemagne, en 1923, pour des raisons différentes (problème du paiement impossible des dettes de guerre du Traité de Versailles). On passera progressivement de l’inflation à un chiffre, puis à deux chiffres et trois chiffres (inflation galopante), jusqu’à l’hyperinflation, sans jamais pouvoir revenir en arrière, en raison de la dette trop élevée, de la perte de confiance des investisseurs dans la dette française !
Les Français, comme le remarque le philosophe allemand Jürgen Habermas, seront obligés de travailler un jour jusqu’à 67 ans et Jean Monnet avait pour une fois raison : « Les hommes n’acceptent les changements que dans la nécessité, et ils ne voient la nécessité que dans la crise ». Le Système en France explosera, suite à l’hyperinflation incontrôlable, mais les raisons profondes de l’hyperinflation auront été l’irresponsabilité et la nullité des élites depuis 40 ans, qui ont accepté une immigration ruineuse (80 milliards d’euros par an), 2 millions de fonctionnaires en trop (84 milliards d’euros), un laxisme généralisé de la dépense publique et sociale (retraite à 60 ans de Mitterrand, 35 heures, gaspillages tous azimuts de l’argent public). Alors qu’il faut changer le Système et les valeurs sociétales, les Français ont seulement réagi jusqu’à ce jour en demandant à l’État des subventions, des aides exclusivement financées par l’emprunt et toujours plus d’impôts pour les autres, jusqu’à ce qu’un jour cela finisse par retomber sur le nez de tous les Français !

Selon le physicien Albert Bartlett, « une des grandes faiblesses de la race humaine, c’est une incompréhension de la fonction exponentielle ». La France connaîtra un jour, comme le Liban, le dollar à 100 000 livres libanaises ! Quant à l’or qui vient d’atteindre les 2000 $ l’once, son cours s’envolera jusqu’à atteindre un jour les 10 000$ l’once, le dollar s’étant entre-temps effondré et la zone euro ayant explosé !

Il est à craindre que la France hyper-endettée connaisse dans un avenir rapproché l’hyperinflation, la banqueroute, le retour au franc, la faillite de l’Europe du Sud, l’explosion de l’UE et de la zone euro, l’effondrement du Système, la misère, la violence, l’explosion politique, sociale, sociétale, économique, monétaire, la guerre civile, la révolution libérale conservatrice ! La raison principale : l’irresponsabilité des dirigeants politiques qui pendant plus de 40 ans, Macron venant couronner le tout, n’ont fait que « bouffer » l’héritage gaullien, tout en pratiquant l’art de plaire face à des Français décérébrés par les médias, et suite aussi aux rêves irréalistes, fumeux, décadents et ruineux des écologistes, des gauchistes et des socialistes.

Marc Rousset, Riposte Laïque

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Zemmour est encore dans l’actualité !

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« On pensait Éric Zemmour fini. » Ces premiers mots de l’article d’Arnaud Florac et le succès de la lancée de son nouveau livre vous indiquent à penser qu’Éric Zemmour est loin d’avoir dit son dernier mot. « Je viens de lire le livre de Zemmour, et je me suis régalé, je l’ai même dévoré. Que l’on aime ou que l’on n’aime pas Zemmour, il faut absolument lire ce livre », commente Gilles Vinet. En l’occurrence, c’est son passage chez Léa Salamé dont il est question ici. Une prestation saluée dans les commentaires, mais de manière plus exceptionnelle, celle de Léa Salamé a été aussi appréciée par nos lecteurs téléspectateurs. « J’ai trouvé Léa Salamé bien plus agréable avec Éric Zemmour…. », s’étonne Papang13. Avec, au fond, cette réflexion de PHR52 : « Une minorité active l’encense et l’applaudit tandis qu’une majorité le déteste et le diabolise alors que Zemmour dit la dérangeante vérité du réel qui pourtant saute aux yeux ! »

En tout cas, la parole incisive d’Éric Zemmour crée toujours autant de débat. Manque-t-il « d’intelligence politique », comme l’affirme Jeff, ou est-ce justement ce côté iconoclaste qui séduit ? Évariste s’interroge : « Qu’est-ce qu’un vrai politique ? Quelqu’un qui parle pour ne rien dire ? Quelqu’un qui fait des promesses qui ne seront pas tenues ? »

Deux autres articles concernant Éric Zemmour ont fait la une de l’actualité, cette semaine, sur BV.
Vous étiez évidemment très nombreux à réagir à l’entretien vidéo de Marc Baudriller avec Jérôme Rivière. L’ancien soutien de Marine Le Pen puis d’Éric Zemmour est revenu dans un livre sur la campagne de Reconquête et explique pourquoi, selon lui, la campagne fut un échec. « Il n’a rien à gagner à écrire ce livre ? N’espère t-il pas le vendre ? Ce que nous aimons, chez Éric Zemmour, c’est justement qu’il n’est pas un homme politique, contrairement à Jérôme Rivière qui mange à tous les râteliers », s’agace Ruth Abaga. Finalement, il y a une certaine convergence entre les pro et les anti : tous reconnaissent qu’il n’est pas un homme politique. Certains y voient la raison de son échec, d’autres y voient justement son intérêt principal. « Oui, Éric Zemmour n’est pas un politicien ni un futur Président potentiel, quoique, dans la vie, tout évolue, mais ça restera un intellectuel brillant et ses analyses sont très fines. Bravo, Zemmour, continuez », encourage Olaf. C’est cet intérêt pour le retour médiatique de l’intellectuel qui a aussi provoqué le succès du micro-trottoir réalisé auprès des lecteurs venus faire dédicacer leur ouvrage. « S’il s’allie avec Marine Le Pen et, si possible, avec Dupont-Aignan et Philippot, il est loin d’avoir dit son dernier mot. Dans le cas contraire, oui, ce livre risque d’être son dernier mot », craint Jean-Pierre. Toujours dans les préoccupations, cette maxime qui voudrait que l’union fasse la force !

L’autre succès de la semaine, c’est l’article de Gabrielle Cluzel qui a décrit l’enfer des administrés pour faire refaire un passeport ou une carte d’identité. « Il est très facile d’entrer dans ce pays mais très difficile d’en sortir », souligne la directrice de la rédaction de BV« Pour moi, c’est 6 mois ! », s’alarme Padro, qui s’est reconnu dans cet article. « Ma CNI atteignant sa fin de validité étendue (10 + 5), je vais donc goûter à notre formidable service public. Heureusement que j’ai un passeport encore valable 5 ans, j’espère simplement, comme je le prévois, pouvoir le renouveler dans un consulat », soupire Léo. « La France aime tellement les sans-papiers qu’elle s’emploie à en générer chaque jour parmi ses propres ressortissants », raille Gabrielle Cluzel.

En bref, cette semaine aura été marquée par le retour d’un politique, la continuité de la destruction de nos services publics, avant de connaître une situation politique marquée par le chaos provoqué par la Macronie et les incendiaires de l’ultra-gauche !

Boulevard Voltaire

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Le chorégraphe Kamel Ouali se souvient qu’auparavant en Seine-Saint-Denis où il a grandi, “la religion n’était pas un sujet”: “Je ne sais pas comment ça a basculé. Je crois qu’il y a un retour en arrière.”

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