J’avais prévu d’aller manifester, ce samedi, à Callac, en Bretagne, après être intervenu la veille, à Concarneau, à l’invitation du candidat de Reconquête, Pierre Couëdelo.
Malheureusement, l’initiative prévue a été annulée au dernier moment, apparemment pour éviter de possibles affrontements avec les antifas. Une décision qui a frustré beaucoup de militants patriotes bretons.
Mais il est intéressant de regarder la réalité de ce projet, et de s’interroger sur ce laboratoire du Grand Remplacement que constitue Callac, avec la complicité des autorités nationales et locales, et bien sûr de l’ensemble de la gauche immigrationniste et de ses complices.
A présent, ceux qui niaient le Grand Remplacement le revendiquent ouvertement, et veulent l’accélérer. Aux habitants de Callac, mais surtout aux Bretons et aux Français de réagir, sinon, bientôt, les Bretons ressembleront aux protégés de Cédric Herrou.
Propos complètement délirants d’Anne Souyris, adjointe santé d’#AnneHidalgo qui annonce l’ouverture de salles de shoot, renommées HSA, partout dans Paris même là où il n’y avait pas de scènes ouvertes de consommation. Faut arrêter le crack ! #saccageparispic.twitter.com/j49LDBap1v
Vivement les JO de 2024, quand les touristes américains et chinois se feront planter pour 20 euros par des zombies shootés !
Espérance et audace en cours en ce moment aux Jardins d’Eole, suite à votre décision du 17/05. 4/5 entrées du parc condamnées à cause des Crackeux. #CracklandParis#saccageparis ces gens ont besoin d’aide et les riverains aussi ! 😖 pic.twitter.com/YmItKiUTfn
— Carter le petit bourgeois 🇧🇪🇺🇦🇪🇺 (@ChevalierCarter) June 2, 2022
5,000 dirhams la place
Les racistes y’en a assez, ils accusent les immigrés de tout alors qu’ils ont rien fait.
Gros GROS foutage de gueule en direct ce soir dans #TPMP sous le regard bienveillant du suce boules Verdez Le Bilal connaît 10 mots de Français dont 3 sont « nique la France » Un immigré bien intégré comme Verdez les aimes
— CroustiVax 🚷 sous citoyen (@JeanCrousti) June 1, 2022
Hanouna essaie de sauver la réputation de son Maroc natal.
"Je vais n*quer la France"
Lynché et menacé, le jeune homme qui s’est introduit illégalement au Stade de France sort du silence dans #TPMP. Débat avec les chroniqueurs. pic.twitter.com/4N9brl1peG
Cette ancienne directrice d'école à Bobigny estime que les tenues islamiques, "c'est la même chose qu'un sac Gucci ou que des baskets Nike" pic.twitter.com/q4oqgqCnya
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) June 2, 2022
[…] “Là-dessus je vais être très clair, la politique que je veux conduire est toujours la même, celle de la vérité. Il ne doit y avoir aucun tabou, aucun interdit et non plus aucun fantasme. Donc moi je veux de la vérité, de la clarté sur tous les chiffres. Et ensuite je veux que la loi de la République s’applique”, a-t-il ajouté. “Et la loi est très claire: pour tous les élèves dans nos écoles, il n’y a pas de signes religieux, quels qu’ils soient”, a-t-il encore dit.
“Cette recrudescence est une réalité”
“Nous allons avec monsieur le ministre (de l’Éducation, Pap Ndiaye, ndlr) regarder, mesurer et répondre avec la plus grande clarté à toutes les situations qui ne respectent pas les lois de la République”.
L’Opinion affirme jeudi que l’Education nationale est confrontée à une “épidémie” de “tenues islamiques” et que “plusieurs incidents ont éclaté dans diverses académies ces derniers mois”. Selon le journal, des abayas (robe traditionnelle noire) et kamis (tunique musulmane) “ont fait leur apparition ces derniers mois aux portes de plusieurs lycées”. […]
[…] Plusieurs académies, à des degrés divers, sont concernées. Le phénomène a récemment pris de l’ampleur, laissant penser qu’il s’agit, si ce n’est d’une opération concertée, du moins d’un prosélytisme affirmé. Des « défis » sont même apparus sur les réseaux sociaux, incitant les jeunes à tester leur lycée.
Selon les informations de l’Opinion, les renseignements territoriaux ont alerté le ministère de l’Intérieur, comme les rectorats l’ont fait pour l’Education nationale. Le dossier va vite être soumis à Pap Ndiaye et pourrait servir d’examen de passage au nouveau ministre quant à sa fermeté sur les atteintes à la laïcité. A Grenoble, deux jeunes filles ont été rappelées à l’ordre mi-mai. La direction du lycée Mounier a ensuite envoyé aux parents d’élèves un mail, cité par le Dauphiné libéré, rappelant que « les tenues non adaptées (claquettes, les tenues de plage ainsi que les tuniques longues considérées comme un signe ostentatoire religieux) ne sont pas acceptées ». Dès le lendemain, les abayas étaient plus nombreuses à l’entrée, puis une pétition « contre les discriminations faites aux lycéennes » mise en ligne sur le site change.org. Ces incidents ont eu lieu la semaine où la majorité d’Eric Piolle (EELV) votait l’autorisation du burkini dans les piscines municipales. «Hausse significative». Dans l’Aisne, des familles ont eu la surprise de voir des garçons en kamis le jour de la fête de l’Aïd ; d’autres, dans l’Oise, dénoncent une “épidémie” de port du voile. Les régions de Bordeaux, Clermont-Ferrand, la banlieue francilienne comme Paris intra muros sont aussi concernées. Parfois, les élèves retirent leur voile-capuche à l’entrée pour mieux le rabattre dans la cour ou dans les couloirs, tandis que les surveillants s’évertuent à faire respecter le règlement. Quand quelques lycéennes se voient priées de rentrer chez elles, c’est parfois un groupe de 10 ou 15 qui se présente le lendemain.[…]
Le dossier est suivi avec d’autant plus d’attention qu’en 2011, une « affaire de longues robes » à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), avait provoqué une polémique. Quelques lycéennes drapées dans des tenues sombres avaient fait des émules au lycée Auguste-Blanqui, aussitôt soutenues par deux groupuscules fondamentalistes, Forsane Alizza ( « Les Cavaliers de la fierté ») et le Collectif cheikh Yassine(CCY), dissous administrativement depuis. Le second avait été créé en 2004 par Abdelhakim Sefrioui. L’homme avait, plus tard, été identifié par la proviseure du lycée Blanqui comme « l’oncle » venu défendre avec véhémence les élèves en cause. En 2019, après un cours sur la laïcité et la présentation de caricatures de Mahomet dans un collège des Yvelines, Abdelhakim Sefrioui faisait un scandale auprès de la direction. L’enseignant visé s’appelait Samuel Paty. Soupçonné d’avoir participé à l’engrenage mortel ayant conduit à l’attentat, l’islamiste est aujourd’hui incarcéré, mis en examen pour complicité d’assassinat.
En Turquie, un homme déguisé en faucheuse s’est immolé par le feu en criant allah akbar.
Les gens sont habitués, ils regardent ça en rigolant.
Une personne s’est immolée par le feu dans le quartier de Galata à Istanbul. Certains touristes ont continué à prendre des selfies pendant que le gars s’enflammait.
Someone in Istanbul’s Galata set himself ablaze. Some tourists continued to take selfies as the guy was burning pic.twitter.com/YOf28bfFrd
Il aurait crié Allah Akbar pendant qu’il se brûlait. Il est brièvement resté dans les ordures alors que les services d’urgence le prenaient en charge à Istanbul.
He reportedly shouted Allah Akbar while he burnt himself. Briefly stayed at the trash as emergency services picked him up in Istanbulpic.twitter.com/upwr9lePWO
Moussa s’est rappelé qu’il est d’origine algérienne .
Du coup, il a pu sortir son joker antiraciste pour maintenir que les supporters anglais d’Algérie sont bel et bien des Anglais manipulés par les Russes.
Gérald Darmanin: "Je n'ai pas à donner la nationalité des personnes que nous interpellons" pic.twitter.com/4QrjzxrpbV
Tout le monde en parle depuis des jours, surtout en Angleterre où les habitants disent qu’ils ne sont pas algériens.
Six hommes jugés en comparution immédiate après le fiasco du Stade de France
Parmi eux, deux Algériens, trois Péruviens et un Palestinien. L'un des prévenus a écopé de 10 mois ferme pour le vol avec violences d'un bijoux. https://t.co/JEQGOqPqlb
Évidemment, Darmanin ment, il sait que tout le monde sait qu’il ment, et il s’en fout.
Si sur un truc aussi flagrant, archi filmé, contesté par le gouvernement britannique et les mêmes médias les plus conformistes, la clique macroniste continue de mentir, inutile de dire que sur des trucs beaucoup plus opaques ou complexes, ils mentent à outrance.
++ Webtube : Toujours ce même climat de haine et d’intolérance en France. Toujours cette chappe de plomb sur ce type d’ événements qui son tus pas les grands médias.
Voitures saccagées, candidate aux élections législatives blessée. Voilà ce que font subir les milices d'extrême-gauche à Nantes hier alors que je colle avec mes équipes. #législatives2022pic.twitter.com/JOFu9XzZES
Les antifas sont les ennemis jurés de la France, et c'est pourquoi ils nous prennent pour cible prioritaire. Avec vous, chère Cécile. https://t.co/A3uXiedgqr
Hou hou ! Où est donc passé Emmanuel Macron ? Boulevard Voltaire se désespère, vous pensez bien ! Ces liens qui nous lient, etc. Le président de la République a disparu. Seul l’écho répond aux appels des Français. Il leur avait pourtant promis monts et merveilles, voilà quelques semaines à peine, lors des élections présidentielles. Macron avait fini par sortir, tardivement, de sa coquille élyséenne pour faire la campagne présidentielle la plus courte et la plus paresseuse de l’histoire de la Ve République. On l’a vu (un peu) entre les deux tours, un peu après aussi. Et puis, soudain, plus rien. Bip, bip, bip : les téléphones des médias appellent et sonnent dans le vide. Pfuit ! Volatilisé. A-t-il fui comme de Gaulle à Baden-Baden ? Ou comme Louis XVI à Varennes ?
Depuis les débordements du match de finale de la Coupe des champions au Stade de France, son silence s’est fait plus pesant encore. Et pourtant, le Président avait toutes les raisons de s’intéresser à la rencontre… N’est-ce pas Emmanuel Macron lui-même qui avait décroché auprès de la l’UEFA, l’organisateur de la Ligue des champions, que la finale se déroule non pas en Russie, comme prévu, mais au Stade de France à Saint-Denis, près de Paris ? L’UEFA avait remercié, fin-février, ce Président si efficace, si convaincant et si généreux « pour son soutien personnel et son engagement à relocaliser le match ». La France avait admiré le coup de génie, les fans de football avaient, l’œil humide, salué le geste du Président, les analystes avaient loué le coup politique. Ils sont surpris que le magicien Macron se soit envolé vers d’autres cieux, le week-end de l’Ascension. Il laisse courageusement sur la terre ferme ses deux apôtres, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, et Amélie Oudéa-Castéra, le tout nouveau ministre des Sports. À eux de se dépatouiller avec le dernier pataquès sécuritaire en date, celui de Saint-Denis. L’hôte de l’Élysée les laisse s’enferrer dans le déni, se débattre dans le piège les yeux grand fermés, tandis que la presse et les responsables politiques se déchaînent. Maudits Anglais !
Allons, on le comprend, notre Président. Il y a quelque chose de lâche chez bien des Français. Tenez, sur l’immigration, par exemple, combien de citoyens, délicats par ailleurs, préfèrent analyser les faiblesses de Le Pen, Zemmour ou Ciotti sur le dossier de l’immigration plutôt que de voter en responsabilité ? Macron fait de même, il a compris. Aux abris ! L’artillerie adverse finira bien par fatiguer ou pas manquer de munitions. Une fois qu’elle aura rappelé que le bilan macronien, en termes d’entrées sur le territoire, est le pire de l’histoire de la Ve République et que les chiffres des reconduites à la frontière n’ont jamais été aussi bas, une fois qu’elle aura constaté que la situation est, une fois de plus, hors de contrôle, elle se lassera. Ne pas bouger, ne pas sortir, ne pas remettre « une pièce dans la machine ». Ne pas, surtout, « faire le jeu du Rassemblement national » ni de Zemmour, à moins de deux semaines des élections législatives de juin. Le sujet est sensible, la droite ne supporte plus l’abandon de ce dossier immigration-sécurité, la gauche a fait des immigrés sa grande cause et son totem. « Père, gardez-vous à gauche, père gardez-vous à droite », prévenait Philippe le Hardi lorsque son père Jean le Bon se démenait lors de la bataille de Poitiers (1356). Emmanuel Macron se garde à gauche et à droite. Il met consciencieusement la poussière sous le tapis, volets et portes fermés.
On l’imagine volontiers tournant dans ses appartements devant le spectacle des sauvageons qui enjambent les barrières. Peut-être dit-il, à la façon du Président-maréchal Mac Mahon, en 1875, devant les crues de la Garonne : « Que d’eau, que d’eau ! » Le préfet du département avait alors répondu : « Et encore, Monsieur le Président, vous n’en voyez que le dessus… ! »
Macron ne veut voir lui aussi que le dessus. Il sait bien qu’il n’a désormais plus, sur cette affaire de match, que des coups à prendre. Le mal est fait. Virer Darmanin ne réglerait aucun des soucis de sécurité et d’immigration qui pourrissent paisiblement depuis quarante ans, son premier mandat compris. Et puis, il y a ces législatives. Il sait bien qu’il est le seul et unique atout de son camp dans cette bataille. Si son image prend l’eau, le navire LREM-Renaissance passe au fond. Enfin, il y a les échéances sportives, la Coupe du monde de rugby, les Jeux olympiques de Paris. Il lui faut se tenir au-dessus des éclaboussures du match que livrent ses deux ministres pour tenir sur cette ligne impossible : les Anglais ont fauté, et seulement eux. Si cette digue si fragile saute, l’eau risque de monter jusqu’à l’Élysée. Pour l’instant, le soldat Darmanin éponge et tient la position. Jusqu’à quand ?
Stade de France : 105 interpellations dont 2 Anglais et une majorité de racailles des cités ! Telle est la triste vérité, que Macron et ses sbires auraient voulu occulter.
« Stade de farce » titre la presse britannique.
À en croire notre nullité de ministre de l’Intérieur, toujours prêt à se coucher devant les malfrats qui détruisent le quotidien des Français, afin de ne pas remettre en cause le sacro-saint « vivre-ensemble », ce sont les hooligans anglais et eux seuls qui ont mis la Seine-Saint-Denis en coupe réglée.
Il est clair que sans ces salauds d’Anglais, la France serait un havre de paix, sans ses 1000 agressions gratuites par jour ni ses 120 attaques au couteau quotidiennes.
Les hordes sauvages, qui ont menacé les familles avec des cutters et des couteaux, pour leur voler billets, sacs, argent, téléphones, montres et bijoux, qui les ont molestées en cas de refus de se soumettre à leurs agresseurs, tous ces barbares ne sont que d’ignobles Anglais, selon la place Beauvau.
Il est vrai que depuis Jeanne d’Arc, morte sur le bûcher en 1431, le contentieux est lourd entre Londres et Paris. Six siècles de rancœur que Darmanin n’aurait pas oubliés ? Hélas, c’est bien pire.
Quelle lâcheté que ce pouvoir soumis à la racaille, quelle ignominie de faire de la France le pays le plus dangereux d’Europe, au point de faire fuir les étrangers et de saccager à jamais le tourisme.
Elle est belle, la France de Macron ! Le monde entier, consterné, la voit sombrer corps et biens, emportée dans le tourbillon multiculturel que plus personne ne maîtrise, faute de courage.
La France crève de son immigration qui refuse de s’intégrer. Et plus la situation s’aggrave, transformant tout évènement festif en scènes de guérilla urbaine, plus Macron en appelle à une immigration de masse, porteuse de lendemains qui chantent.
Mais les langues se délient, les témoignages accablants se succèdent, contestant la parole officielle qui exonère les racailles des cités de toute responsabilité dans les violences du Stade de France. Policiers, envoyés spéciaux, spectateurs clament la vérité : des centaines de jeunes des cités se sont abattus sur les supporters pour les molester, les racketter et les détrousser.
C’est le résultat, toujours plus accablant, de 40 années de renoncement des élites et de laxisme judiciaire. L’immigration de masse, sujet intouchable quels que soient les comportements de ces nouveaux Français, a détruit la tranquillité de ce pays, véritable paradis dans les années soixante-dix. Des pans entiers de nos villes se transforment en bande de Gaza, dans le déni et l’impunité la plus totale.
Les auteurs des agressions sont « des voyous de cité qui procèdent à de la délinquance d’opportunité », selon le syndicat indépendant des commissaires de police SICP.
Marine Le Pen a ciblé « les traditionnels voyous de banlieue qui ont créé un phénomène de panique en cherchant à entrer sans billet ».
Pour Zemmour, « La vérité éclate brutalement. Des racailles sautent par-dessus les barrières et agressent autour du Stade de France. »
On ne compte plus le nombre de témoignages des victimes, qui ciblent parfaitement leurs agresseurs qui n’ont rien d’Anglais. Photos, vidéos, circulent sur la toile, illustrant sans contestation possible le naufrage du « vivre-ensemble » et l’échec total de l’intégration, qui mène la France au chaos racial et au suicide identitaire.
Nous vivons le crépuscule de notre nation millénaire.
Mais au vu des résultats électoraux, les Français s’en accommodent parfaitement. Par conséquent l’espoir d’un sursaut salvateur me paraît bien mince.
Fermeture totale des frontières et fermeté intraitable envers les délinquants sont un préalable indispensable au redressement de la situation. Mais ces mesures sont à 180° du programme Macron.
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