Légendes du Rock. The Beastie Boys

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Les Beastie Boys se sont formés au sein de la scène punk hardcore new-yorkaise du début des années 80.

Bien que Michael Diamond, Adam Horowitz et Adam Yauch soient issus de milieux aisés et qu’ils aient fréquenté des universités prestigieuses, c’est cette nouvelle scène excitante qui allait façonner leur production musicale.

Merci à Arte et Breizh-info.com

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Derry (Ulster). Il y a 50 ans, le 30 janvier 1972, le massacre du Bloody Sunday

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Cette date du 30 janvier 2022 est symbolique, car elle marque le 50ème (triste) anniversaire du Bloody Sunday, le dimanche sanglant ayant conduit à Derry (Londonderry pour les unionistes) à la mort de 14 civils irlandais tués par l’armée britannique.

50 ans après, les plaies ne sont toujours pas refermées, et toute la lumière n’a pas été faite sur cette manifestation pour les droits civiques et ses conséquences (les 14 morts tués par les soldats britanniques, les centaines de blessés).

Pour rappeler le contexte, le 30 janvier 1972, alors que les Troubles, la guerre civile en Irlande du nord, ont déjà débuté et voient s’opposer IRA (Armée Républicaine Irlandaise), armée britanniques et groupes loyalistes-unionistes (UVF et UDA notamment), 10 000 ma nifestants pro républicains défilent à Derry/Londonderry, en Ulster, à l’appel d’une marche pour l’égalité de l’Association nord-irlandaise pour les droits civiques (Nicra), créée en 1968, à l’image du mouvement de Martin Luther King et des pacifistes noirs américains.

La situation de l’époque à Derry est très claire : la ville, très pauvre comme toute une partie de l’Irlande du Nord, est coupée en deux par la rivière Foyle. D’un côté, une grande enclave catholique (le Bogside) et une ville fortifiée majoritairement protestante et unioniste (des protestants et unionistes qui ont en mémoire le siège de Derry (1688-1689) et la résistance opposée aux troupes de Jacques II. De l’autre, des enclaves ouvrières protestantes pour l’essentiel (lire à ce sujet l’excellent livre sur les fresques de Derry, qui permet de se faire une idée de la division de la ville).

Les revendications principales des manifestants : Les mêmes droits électoraux pour tous, mais aussi et surtout le fait qu’un catholique nord-irlandais ait la même possibilité d’accès au logement, à l’emploi, qu’un protestant. Les militants entendaient également dénoncer la politique d’internement, qui permettait d’incarcérer sans jugement les suspects d’appartenance à l’IRA (mais aussi aux groupes unionistes).

Au départ, la marche, interdite par les autorités britanniques de l’époque, menée par Ivan Cooper, député protestant, était pacifique.  L’IRA resta en retrait, mais tout de même positionnée dans certains immeubles du Bogside, un quartier qui s’était déjà enflammé contre le gouvernement unioniste d’Irlande du Nord en 1969 ce qui avait entrainé le déploiement de parachutistes dans l’île.

Les manifestants défilent direction l’hôtel de ville. Très vite, la situation se tend. Cocktails molotovs et pierres pleuvent sur les forces de l’ordre. Qui ripostent avec de la lacrymo, des tirs à balles en caoutchouc, des premières arrestations. Puis tout bascule lorsque les paras entrent dans le Bogside, avec ordre de tirer à balles réelles.

C’est le début du carnage, alors que les paras tirent sur la foule (une centaine de balles).

Un carnage au bilan humain lourd (14 morts) et aux conséquences politiques énormes : une partie des jeunes nord irlandais rejoint les rangs de l’IRA pour se venger du massacre. La violence explosera dans l’année 72 – 500 morts – et dans les années qui suivront, chaque communauté répondant à la violence par la violence, au sang par le sang, et les britanniques étant incapables d’oeuvrer à un véritable processus de paix (au départ). A Dublin, l’ambassade britannique est saccagée et incendiée.

Sur le plan politique, l’assemblée de Belfast (Stormont) est suspendue, première depuis la création de l’Irlande du Nord en 1920. Londres reprend le contrôle sur l’Irlande du Nord, et la guerre civile durera jusqu’en 1998 et les accords du Vendredi Saint – qui ne mirent pas totalement fin aux tensions et aux violences entre communautés, violences qui ressurgissent encore parfois aujourd’hui, où les tensions dans l’île sont toujours élevées sur fond de Brexit, de Protocole, d’Union Européenne aussi.

A noter que concernant les responsabilités du Bloody Sunday, la position de l’armée britannique a toujours été celle de disculper les soldats, qui auraient répliqué à des tirs à balles réelles de membres de l’IRA…membres qui n’ont jamais été identifiés, aucun arme n’ayant été relevé sur les lieux. Par la suite, suite au rapport Saville (rédigé entre 1998 et 2010 à la demande de Tony Blair), plusieurs soldats avoueront avoir menti lors de leurs dépositions précédentes et reconnaîtront que les victimes étaient désarmées.

Le 15 juin 2010. À la Chambre des communes, le premier ministre conservateur de l’époque, David Cameron reconnaît la responsabilité des parachutistes et présente ses excuses : « Ce qui s’est passé lors du Bloody Sunday était à la fois injustifié et injustifiable. Ce fut une faute (…). Quelques-uns au sein de nos forces ont mal agi. Le gouvernement est le responsable ultime de la conduite des forces armées et, à ce titre, au nom du gouvernement, et même du pays entier, je suis profondément désolé. »

Néanmoins, les familles elles, demandent réparation. Et veulent des coupables. D’où l’affaire du Soldier F (soldat F), inculpé pour meurtre des années après, ce qui choquera profondément les unionistes, qui déploient des banderoles de soutien dans leurs enclaves dans les années 2010-2020. Sous la pression, les poursuites le visant sont abandonnées en 2021.

Par ailleurs, il avait été question d’un projet de loi, que nous avions évoqué, et qui pourrait être discuté prochainement, prévoyant d’annuler toutes les poursuites (1200 dossiers) sur tous les crimes commis durant la période des Troubles et de la guerre civile de 1968 à 1998. Pour apaiser et pour tourner la page, même si des familles de victimes de l’armée, de l’IRA, ou des groupes loyalistes, aimeraient connaitre la vérité.

Rappelons que la guerre civile en Irlande a fait, depuis 1968, plus de 3500 morts, 45 000 blessés.

Pour revivre cette journée du Bloody Sunday, le film du cinéaste britannique Paul Greengrass, sorti en 2002, est indispensable.

Pour avoir la meilleure bibliographie francophone sur la question de la guerre civile en Irlande du Nord, article ci-dessous :

Les victimes du Bloody Sunday :

  • John (Jackie) Duddy (17 ans). Abattu d’une balle dans le dos sur le parking des appartements de Rossville. Quatre témoins ont déclaré que Duddy n’était pas armé et était en train de fuir les parachutistes quand il fut tué.
  • Patrick Joseph Doherty (31 ans). Abattu par derrière alors qu’il tentait de ramper pour se mettre à l’abri sur le parking des appartements de Rossville. Doherty a fait l’objet d’une série de photographies, prises avant et après sa mort par le journaliste français Gilles Peress.
  • Bernard McGuigan (41 ans). Tué d’une balle à l’arrière de la tête alors qu’il était allé aider Patrick Joseph Doherty, en agitant un mouchoir blanc pour indiquer aux soldats ses intentions pacifiques3.
  • Hugh Pious Gilmour (17 ans). Après l’avoir touché au coude droit, la balle est entrée dans sa poitrine alors qu’il s’éloignait en courant des parachutistes sur Rossville Street John Widgery a reconnu qu’une photographie prise quelques secondes après que Gilmour a été touché corrobore les dires de témoins affirmant qu’il n’était pas armé
  • Kevin McElhinney (17 ans). Abattu par derrière alors qu’il tentait de ramper pour se mettre à l’abri à l’entrée des appartements de Rossville. Deux témoins ont déclaré que McElhinney n’était pas armé.
  • Michael Gerald Kelly (17 ans). Touché à l’estomac alors qu’il se tenait près des décombres de la barricade en face des appartements de Rossville. John Widgery a admis que Kelly n’était pas armé
  • John Pius Young (17 ans). Touché en pleine tête alors qu’il se tenait près des décombres de la barricade. Deux témoins ont déclaré qu’Young n’était pas armé
  • William Noel Nash (19 ans). Touché à la poitrine près de la barricade. Des témoins ont déclaré que Nash n’était pas armé et venait en aide à une autre personne touchée quand il a été tué.
  • Michael M. McDaid (20 ans). Touché au visage à la barricade, alors qu’il était en train de quitter à pied le lieu où se trouvaient les parachutistes. La trajectoire de la balle a indiqué qu’il pourrait avoir été tué par des soldats placés sur les murs de Derry.
  • James Joseph Wray (22 ans). Blessé puis abattu à bout portant alors qu’il était couché sur le sol. Les témoins (qui n’ont pas été appelés devant le Tribunal de Widgery) ont déclaré que Wray criait qu’il ne pouvait pas bouger ses jambes avant qu’il soit mortellement touché la deuxième fois.
  • Gerald Donaghy (17 ans). Touché à l’estomac tout en essayant de courir pour se mettre à l’abri entre Glenfada Park et Abbey Park. Donaghy a été amené dans une maison voisine par des passants, où il a été examiné par un médecin. Ses poches ont été fouillées afin de l’identifier. Plus tard, la photo du cadavre de Donaghy a montré des bombes à clous dans ses poches. Ni ceux qui fouillèrent ses poches dans la maison, ni l’officier médical de l’armée britannique (Soldat 138) qui le déclara mort peu après ne disent avoir vu des bombes. Donaghy avait été un membre de la Fianna Éireann (en), un mouvement de jeunesse républicain lié à l’Armée républicaine irlandaise. Paddy Ward, un informateur de la police qui a témoigné lors de l’enquête de Saville, a affirmé qu’il avait donné deux bombes à clous à Donaghy plusieurs heures avant qu’il soit abattu.
  • Gerald (James) McKinney (34 ans). Touché juste après Gerald Donaghy. Des témoins ont déclaré que McKinney courait derrière Donaghy, s’est arrêté et a levé les bras en criant « Ne tirez pas ! Ne tirez pas ! », quand il a vu tomber Donaghy. On lui a ensuite tiré dans la poitrine.
  • William Anthony McKinney (27 ans). Touché par derrière lorsqu’il a tenté d’aider Gerald McKinney. Il avait quitté la zone de couverture afin d’essayer d’aider Gerald.
  • John Johnston (59 ans). Touché à la jambe et à l’épaule gauche sur William Street 15 minutes avant que le reste de la fusillade ait commencé. Johnston n’était pas dans la marche, mais sur son chemin pour rendre visite à un ami à Glenfada Park. Il est mort 4 mois et demi plus tard ; sa mort a été attribuée aux blessures reçues ce jour-là. Il fut le seul à ne pas mourir immédiatement ou peu de temps après avoir été touché.

Breizh-info.com

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POIDS LOURDS DE LA LIBERTE : Trudeau déplacé dans un « endroit secret » pour échapper aux routiers de la liberté

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Justin Trudeau a été déplacé dans un lieu secret alors que les manifestations au Canada suscitent des craintes en matière de sécurité, selon un rapport.

Des camions sont entrés dans la capitale canadienne, Ottawa, pour protester massivement devant le Parlement contre les mandats de vaccination COVID-19 du Premier ministre Justin Trudeau.

Ma meilleure tentative de panoramique pour montrer l’importance de la foule du convoi. Une grande fête ici. Où sont le racisme et la violence qu’on nous avait promis ?

Alors que tout le monde a les yeux rivés sur Ottawa, des convois sont organisés dans tout le pays. Voici un court extrait de Burnaby, en Colombie-Britannique.

Trudeau va probablement chercher à contre-attaquer par l’angle habituel : l’antiracisme.

Il a déjà commencé. Son tweet ci-dessous

Cette démonstration de force est géniale !

Merci à D.P.

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Les victimes du vaccin seront-elles abandonnées à leur sort ?

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Même si les informations sur les effets négatifs des injections des produits vaccinaux ne font guère l’objet des déclarations des gouvernants ni de celles de la plupart des médias, elles existent.

D’ailleurs, certains politiques s’emparent de ce problème, comme la sénatrice LR du Bas-Rhin Laurence Muller-Bronn, qui a interpellé le gouvernement : « Quels sont les moyens prévus pour prendre en charge les adolescents et jeunes adultes victimes de myocardites dues au vaccin ? » « Pas de réponse », a-t-elle souligné…

Toutes ces personnes se trouvent en effet dans une situation d’incertitude, s’agissant de la réparation des conséquences dommageables de la vaccination. Qu’il serait possible de dissiper. Pour autant, bien entendu, que ceux qui disposent du pouvoir décisionnel veuillent bien faire de ce dernier un usage éclairé. Expliquons.

Lorsque les personnes ont été vaccinées en application des décisions qui leur imposaient de se faire vacciner, des dispositions existent qui leur permettent d’être indemnisées au titre de la « solidarité nationale ». Mais pour les personnes qui, suivant les recommandations gouvernementales, se sont fait vacciner notamment pour pouvoir continuer à jouir de divers droits et de libertés, l’indemnisation potentielle des conséquences dommageables de la « vaccination » pose problème. Par ailleurs, l’indemnisation des uns comme des autres passe par l’établissement, par les victimes, du lien de causalité entre la « vaccination » et le dommage. Lien d’autant plus difficile à établir qu’il est fréquemment soutenu que ce genre de dommage prend nécessairement sa source dans l’individu, le produit vaccinal n’ayant fait que révéler l’existence d’une faiblesse. Comme la mort d’un être âgé vacciné ou pas qui devrait être nécessairement attendue et… acceptée. À ceci près que sans l’injection du produit, le dommage ne se serait pas produit, au moins pas à ce moment-là.

La jurisprudence administrative a dégagé des principes simples (jurisprudence rendue dans le cadre du fonctionnement de l’hôpital public) lorsque il est « évident » que le dommage prend sa source dans une activité hospitalière et qu’il est impossible à la victime d’établir le lien de causalité entre le dommage subi et sa cause (« évidente »). Jurisprudence « transposable » à notre affaire.

En matière de maladies nosocomiales, la jurisprudence (dont une loi a repris la logique) a posé une règle simple : le patient est entré à l’hôpital sans telle maladie, il en ressort avec ; la faute « dans l’organisation et le fonctionnement du service » de l’hôpital est présumée. En matière d’interventions chirurgicales à risques connus ou inconnus, la même logique préside à une solution juste et de bon sens : le malade a subi une intervention à la suite de laquelle il subit un préjudice. Celui-ci est indemnisé « automatiquement » dès lors que, sans l’intervention, il n’aurait pas subi le dommage. C’est-à-dire que le malade victime est indemnisé sans qu’il ait à démontrer (avec, qui plus est, le jeu des dires d’experts contredits par les opinions d’autres experts) l’existence d’un lien de causalité entre l’intervention et le dommage.

On peut donc envisager (alors, surtout, que le gouvernement affirme que ces cas sont rares, ce qui laisse envisager l’engagement de sommes modestes pour l’indemnisation) de transposer ces principes et solutions aux personnes « victimes » des injections des produits anti-Covid. Sans, évidemment, qu’il soit distingué entre les victimes de la vaccination obligatoire et celles de la vaccination non obligatoire. Spécialement, parmi ces dernières, les victimes de vaccinations effectuées en vue de la délivrance des « passes » sanitaires ou vaccinaux.

À ces fins, le président de la République pourrait prescrire au Premier ministre (lequel pourrait, évidemment, en prendre l’initiative s’il y pensait lui-même) de déposer un projet de loi. Texte de loi qui serait à l’évidence voté tant par ceux qui ont le réflexe d’approuver mécaniquement les initiatives du pouvoir que par ceux qui ont des habitudes contraires. Le président de la République ou ceux qui le conseillent en auront-ils l’idée ?

Marcel Monin, Boulevard Voltaire

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Jean Castex pris à partie à Grenoble

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Le déplacement de Jean Castex en Isère, ce samedi, n’aura pas été de tout repos.

En effet, alors qu’il se rendait à la Villeneuve, un quartier difficile de Grenoble, le Premier ministre, accompagné d’Olivier Véran et du maire de Grenoble Éric Piolle, a fait face à un comité d’accueil particulièrement remonté.

Des dizaines d’habitants, ainsi que des militants de l’association Droit au logement 38 (DAL38), l’ont pris à partie, notamment au sujet de la destruction de logements sociaux ; les insultes ont fusé.

« Pourri »« vendu »« assassin »« honte de la République »« Castex en prison » sont au nombre des joyeusetés essuyées par Jean Castex, comme on peut le voir sur des images tournées par France Bleu, alors qu’il se rendait sur le marché du quartier.

Les actions
Une visite mouvementée pour le chef du gouvernement, qui se rendait à Grenoble pour une réunion ministérielle sur les actions menées en faveur de la ville, en présence aussi d’Emmanuelle Wargon, le ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique, chargé du Logement.

Le maire de la ville, Éric Piolle, avait d’ailleurs émis des réserves quant à ce déplacement, sous haute surveillance policière. « Nos villes ne sont pas des zoos », avait-il tweeté, pointant du doigt les ministres qui « débarquent dans un quartier fragile de Grenoble », sans « aucun travail avec élu.e.s (sic) locaux en amont ».

Des antivax aussi présents
Selon France 3 et Le Dauphiné, des antivax étaient également présents parmi les manifestants.

Des visites annulées

Les visites du marché de la Villeneuve et du gymnase Jean-Philippe-Motte prévues après les incidents ont été annulées. Jean Castex a préféré se rendre au centre de vaccination du Prisme, à Seyssins, une autre banlieue de Grenoble.

Boulevard Voltaire

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L’atroce supplice de Manuel Valls, écartelé entre lâcheté et lucidité

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Ce vendredi soir, sur la chaîne Public Sénat, Manuel Valls affichait ses déchirements intimes. « L’idée qu’un immigré, un étranger, quelqu’un qui a un nom issu de l’immigration, est forcément un délinquant, c’est insupportable. » Ah, la belle indignation qui ne risque pas grand-chose ! Mais, au fait, qui a dit que celui qui porte un nom à consonance étrangère est forcément un délinquant ? Qui est assez bête pour cela ? On a beau chercher, on ne voit pas. Personne n’a dit cela, Manuel, rassurez-vous ! Mais alors, pourquoi agiter ainsi les haines, stigmatiser (pour reprendre les mots chers à la gauche, elle-même chère à Manuel Valls), pourquoi imaginer des Français bêtes et méchants s’ils n’existent pas ? Pourquoi ? « Quand on a dit cela, ça veut dire qu’on s’appuie sur des valeurs », explique notre ancien Premier ministre. Ah bon ? Pas celle de la vérité, en tout cas. Mais voilà, Valls connaît la gauche comme sa poche. Il le sait, « la vérité, c’est pas mangeable », disait l’écrivain Céline, surtout chez ses amis. Alors, il prépare l’huile de foie de morue qui va suivre, par l’administration d’un sucre, fût-il un peu mensonger. Il faut faire une concession à l’erreur avant d’administrer la vérité qui va suivre. C’est là que vient l’écartèlement volontaire. « De l’autre côté, il faut bien reconnaître une réalité, poursuit-il, tous les vols à la tire, une forme de délinquance au quotidien par exemple à Paris, est issue d’un certain nombre de groupes qui sont liés à l’immigration extra-européenne. » Aïe ! « Mais qu’est-ce que ça veut dire ? » demandent les journalistes sur Public Sénat, prêts à bondir. Réponse du tac au tac de Valls : « Ca ne veut rien dire ! » Ouf ! On a eu peur. Lui veut combattre « l’insécurité »« la délinquance ». Il veut combattre des concepts, des mots qui ne viendront pas le siffler dans les réunions publiques organisées par ses amis. Des mots mais surtout pas les maux, bien réels et bien concrets, eux, de l’immigration.

Plaignez l’ancien ministre de l’Intérieur, chers lecteurs. Vous aurez du mal, on s’en doute. Pourtant, voilà un homme plus torturé qu’un prisonnier de Daech détenteur de secrets américains, coincé entre le marteau de l’islamisme réel et l’enclume du politiquement correct propre à la gauche française, coupé en deux, l’honnêteté d’un côté, l’opium de l’idéologie gauchiste de l’autre, entre son aveuglement d’hier et sa lucidité d’aujourd’hui, entre son bilan désastreux sur l’immigration et les accusations qui montent contre les politiciens qui n’ont rien fait, entre sa carrière d’hier et ses rêves de carrière pour demain. Il se débat face à lui-même, Manuel Valls. Il doit faire des cauchemars, notre ancien Premier ministre. Il doit voir surgir, certaines nuits, le spectre de Pilate qui savait et qui laissa faire. Il doit se réveiller en sueur, certaines nuits, après des rêves d’angoisse dans lesquels un gouvernement socialiste accueille à bras ouverts des milliers d’islamistes, les Français venant lui demander des comptes, à lui, sans ménagements excessifs.

Le 29 septembre dernier, il signait une tribune explosive et assez courageuse sur le fond dans Le Figaro sous le titre « Immigration, tout repenser à partir de zéro »« Nos politiques migratoires sont aujourd’hui inadaptées et dangereuses », écrivait-il avec force détails sur la situation terrible que nos lecteurs connaissent bien. L’ancien ministre de l’Intérieur parlait d’or. Mais il reprenait l’image du marteau et de l’enclume, en parlant de l’extrême gauche et de l’extrême droite, à renvoyer chacune dos à dos, selon lui. Ceux qui ont eu raison depuis quarante ans sur l’immigration, contre l’aveuglement du PS, mis dans le même sac qu’une extrême gauche folle et destructrice. « Les Républicains de tous bords doivent rejeter ce marteau et cette enclume », prêchait, déjà, Valls au Figaro. Il proposait de se frayer un chemin entre les deux, entre le marteau et l’enclume. Le problème, c’est que l’endroit n’est pas le mieux choisi pour éviter les coups…

Marc Baudriller, Boulevard Voltaire

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Une Kalachnikov, 4 fusils de type Uzi, 54 kg de cannabis, 8 grenades et 400 munitions découverts dans un appartement de Choisy-le-Roi (94)

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Comment ‘R : Les banlieues s’arment avec des armes de guerre, aujourd’hui pour conquérir des quartiers où vendre la drogue et demain ? Qu’adviendra-t-il quand tous ces quartiers qui font plus ou moins sécession avec la France se retourneront contre elle ? La police est aux abonnés absents, l’Armée n’a plus de crédits ni d’effectifs…. Préparons-nous à des lendemains sombres et difficiles. A quand la Reconquête ?

Cette dernière se trouvait au volant d’une voiture Smart Fortwo, arrêtée sur une place de livraison avec le moteur allumé, à hauteur du 357 rue Saint-Martin vers 21h45 ce jeudi lorsque les policiers de la brigade territoriale de contact (BTC) l’ont remarquée. Elle semblait « très stressée » confie une source proche du dossier. Les policiers ont eu un doute et ont procédé à son contrôle.

Une Kalachnikov, quatre fusils de type Uzi et huit grenades

La trentenaire a été placée en garde à vue. Une perquisition a été menée à son domicile ce vendredi après-midi et les policiers ont dû rédiger un long procès-verbal… Près de 54 kilos de résine de cannabis ont été saisis dans ce logement, ainsi qu’un kilo de cocaïne et six armes à feu dont cinq fusils – une Kalachnikov et quatre de type Uzi -, mais également un revolver et près de 400 munitions de différents calibres. Le service de déminage s’est déplacé pour récupérer les grenades qui étaient opérationnelles. A la revente, l’ensemble de ces produits stupéfiants représente environ 350 000 euros. Dans le logement, les policiers ont aussi mis la main sur 3200 euros en numéraire.

(…) Actu 17

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Vallauris (06) : Alex, âgé d’une vingtaine d’années, avait été dépouillé, lynché et aspergé de jets d’urine dans une cave de HLM par une bande. Abderraouf, Sami et Assim devant le tribunal

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Comment ‘R : Franchement, cela devient insupportable ces mœurs d’un autre temps. C’est de la véritable barbarie. Les personnes qui ont fait n’ont aucune éducation ni aucun respect pour les autres….On se demande de qui il peut s’agir et d’où ils peuvent venir ??

Victime d’une méprise, il sera relâché inconscient sur un trottoir. Ses bourreaux étaient venus en cortège du quartier de La Zaïne à Vallauris pour venger “un petit”. Le jeune homme endurera un véritable lynchage dans une cave d’un HLM de Vallauris.

Alex (1) un jeune Antibois d’une vingtaine d’années, a été la victime d’une véritable expédition punitive menée par des individus encagoulés et armés de barre de fer, battes de base-ball, poings américains et gazeuses (…) Pieds et poings liés par du ruban adhésif il sera aspergé de jets d’urine, jusqu’à ce que l’un de ses bourreaux affirme lors de son seul éclair de lucidité: “Lâchez-le, il n’a rien à voir.” (…) Ses agresseurs ne s’étaient pas contentés de le rouer de coups. Ils lui avaient également volé son portable et ses papiers d’identité. (…) parviennent à appréhender en décembre 2021 cinq personnes dont Abderraouf Araar, un Tunisien de 22 ans, Sami Rhamani et Assim Bensaoula, deux Antibois de 20 et 21 ans.

(…) Nice Matin

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“J’ai eu comme un appel. C’est ici que je dois être” : Il a quitté la France pour devenir chef de son village au Cameroun. Yannick Noah raconte sa nouvelle vie à Yaoundé

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