L’Inquisition est de retour, traquant l’immonde salaud de Blanc raciste

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Au hit parade de la stupidité, les élites occidentales sont assurées de conserver le haut du podium.

C’est la surenchère permanente dans ce suicide collectif des nations qui ont honte d’être blanches, qui ont honte de leur Histoire, qui ont honte de leur civilisation, qui ont honte d’avoir tout inventé du monde moderne, qui ont en définitive honte d’exister.

Un tel renoncement, un tel dénigrement de soi, c’est du jamais vu dans l’histoire de l’humanité.

Les élites blanches sont tout simplement en train d’enseigner à leurs enfants qu’ils sont la lie de l’humanité, les descendants d’immondes salauds ne méritant pas de vivre.

Cette obstination à s’autodétruire et à se répandre en pitoyables mea-culpa pour expier les péchés de l’homme blanc dépasse l’entendement.

Plus aucun leader politique, plus aucun philosophe, plus aucun faiseur d’opinion n’ose s’opposer à cette nouvelle Inquisition qui traque partout le racisme systémique et fait preuve d’une imagination sans bornes pour faire acte de repentance et promouvoir une discrimination positive démentielle.

C’est l’autoflagellation permanente, comme si cette soumission à la cancel culture était porteuse de lendemains qui chantent.

Traquer le “racisme systémique” et voir un racisme derrière chaque arbre, c’est au contraire l’assurance d’attiser la haine des minorités et de semer les germes d’un chaos racial généralisé. 

C’est ainsi que Mathieu Bock-Côté nous livre quelques exemples de ce délire mortel qui s’est emparé des élites blanches, aussi bien au Canada qu’aux États-Unis.

Les ayatollahs de la repentance traquent le racisme systémique dans tous les rouages de la société, dans toutes les institutions. Avec cette féroce dictature de la bien-pensance, il n’y a plus d’innocents, il n’y a que des coupables parmi les Blancs.

Même l’Association des diététistes du Canada s’accuse de “racisme systémique”, car les recommandations alimentaires faites aux Canadiens ne sont pas adaptées aux minorités nouvellement installées dans le pays. Elles sont donc discriminatoires, donc racistes !

Voir une grande démocratie se vautrer dans de tels raisonnements grotesques laisse pantois.

Quant à Justin Trudeau, le Premier ministre canadien, l’idole des minorités qui a la haine du nationalisme québécois, il vient d’annoncer un programme de prêts réservés aux entrepreneurs noirs. La discrimination raciale anti-Blancs devient un mode de gouvernance affirmé.

Les aides et les prêts de l’État distribués en fonction de la couleur de peau, c’est paraît-il le meilleur moyen de lutter contre le racisme systémique !

En Ontario, c’est la ville de Hamilton qui a décidé de vacciner en priorité les populations “racisées”.

On le voit, tout est bon pour tordre le cou à l’insupportable “suprématie blanche”, “véritable fondement des sociétés occidentales”.

Jusqu’où ira ce délire suicidaire ? Mystère. Le fait est qu’il va être particulièrement handicapant d’être blanc au Canada !

Aux États-Unis, c’est l’université Princeton qui va abolir, dans son département d’études classiques, l’obligation d’apprendre le grec et le latin, obligation jugée discriminatoire. Pourquoi ? Parce que l’excellence a des relents aristocratiques qu’il faut pulvériser au nom de la démocratisation du savoir.

La promotion du nivellement par le bas au nom de l’antiracisme. C’est grandiose !

Depuis la mort tragique de George Floyd, on nage en plein délire.

Car, comme le dit Mathieu Bock-Côté, derrière cette guerre contre les discriminations se cache en fait une guerre contre la culture. Liquider l’enseignement du grec et du latin, c’est s’attaquer aux sources mêmes de la civilisation occidentale.

On le voit, le péché originel de notre civilisation maudite remonte de plus en plus loin.

Mais il y a fort à parier que nos grands prêtres de l’antiracisme ne vont pas tarder à nous démontrer que le racisme de l’homme blanc est inscrit dans ses gènes depuis Adam et Eve.

“C’est une authentique névrose raciale qui s’empare des sociétés occidentales, désormais traversées par le désir de s’anéantir, comme si leur disparition pouvait rédimer l’humanité et lui permettre de se délivrer enfin du mal”.

Nul ne sait combien de temps durera ce cauchemar des nations occidentales. Mais il va être grand temps de se réveiller et de redonner sa juste place à notre instinct de survie qui nous évitera un gigantesque suicide collectif.

Jacques Guillemain, dans Riposte Laïque

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