Saint-Etienne : se disant « envoûté », le nouveau marié algérien saigne mortellement sa nouvelle compagne du bled

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Diversité positive.

Le Figaro :

L’homme écroué après le meurtre à coups de couteau de son épouse dimanche à Saint-Étienne devant leur enfant de deux ans explique que la victime l’avait «envoûté», a-t-on appris mercredi 30 décembre de source judiciaire.

Cet agent d’entretien de 33 ans a été mis en examen pour meurtre aggravé et écroué dans la nuit de mardi à mercredi. L’autopsie de la victime, ancienne étudiante en architecture en Algérie, a révélé qu’un des coups de couteau a sectionné l’artère aorte et qu’elle est décédée d’une hémorragie interne. Le meurtrier présumé, décrit comme calme et discret par son voisinage, a expliqué souffrir d’un «stress intense», accru par les demandes de sa femme qui, selon lui, «l’envoûtait», a indiqué le parquet de Saint-Étienne. Après avoir porté les coups mortels à son épouse âgée de 32 ans, l’homme s’était infligé des blessures superficielles avec un second couteau puis avait appelé les pompiers.

Le couple originaire d’Algérie s’y était marié en 2017. Le trentenaire affirme avoir été longuement suivi dans ce pays par un psychiatre et souffrir de dépression chronique, précise-t-on de même source. Leur fils, présent sur les lieux du drame et maculé de sang à l’arrivée des secours, a été confié à une sœur de la victime dans l’attente d’une décision du juge des tutelles.

En 2019, 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, 25 de plus que l’année précédente, selon les derniers chiffres officiels.

Moralité : il va falloir que les Blancs payent pour l’éducation du jeune Kader.

Démocratie Participative

Trump détrône Obama comme homme le plus admiré des États-Unis

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Le chef d’État a ainsi détrôné Barack Obama qui occupait cette position depuis les douze dernières années. Le républicain a récolté cette fois 18% des voix, contre 15% pour l’ex-président démocrate. Joe Biden n’a lui été choisi que par 6% de ses concitoyens, le célèbre docteur Anthony Fauci a reçu 2% des votes.

Donald Trump n’était jamais très loin Barack Obama les années précédentes, il était en effet à égalité avec le démocrate en 2019 et en deuxième place en 2018 et 2017.

Huffington Post

Des intrus dans le Top 50 des personnalités préférées des Français

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Comme chaque année, après les traditionnels calendriers des pompiers, des facteurs et des éboueurs, arrive le TOP 50 des personnalités préférées des Français. Un almanach de la bien-pensance établi à l’initiative du JDD et selon ses propres critères.

Aux sondés qui seraient enclins à divaguer vers des personnages hors normes ou inattendus, le journal oppose une fin de non-recevoir implacable. Il y a une liste ! Les 40 de l’année précédente plus 40 nouveaux choisis par les internautes, là encore, à partir d’une liste.

Hors-piste interdit à cause des risques d’avalanches de noms affreux : professeur Raoult, Éric Zemmour, Marion Maréchal, Nadine Morano – allez savoir ce que les Français pourraient sortir de leur chapeau réactionnaire. « Éric Zemmour et le médecin Didier Raoult sont hors du coup dans toutes les catégories. Les personnalités clivantes n’ont pas droit de cité dans le Top 50. Le cru 2020 le confirme ! » se réjouissent les dresseurs de listes. Que de la célébrité garantie sans morceaux de rébellion dedans.

Quelques personnalités semblent, néanmoins, avoir déjoué la vigilance des gardiens. Jean-Pierre Pernaut réussit à se hisser en 3e position. Juste derrière Omar Sy. La France moisie fait une entrée remarquée. Du presque nauséabond en tête du classement. Que se passe-t-il ? La France des terroirs dame le pion de l’acteur qui réside aux USA et du number one Jean-Jacques Goldman qui s’est expatrié en Angleterre. Lassé de cette popularité claironnée par le JDD. L’effet secondaire de la liste…

Numéro un des célébrités féminines : Sophie Marceau. Prise en flagrant délit de promotion du documentaire Hold-up il y a quelques semaines. Que fait-elle à cette première place ? Quel est ce sondage abracadabrant qui propulse une quasi-complotiste en tête du classement ?

Et voilà, en deuxième position, Alexandra Lamy, l’actrice qui se mettait à dos la gauche de Twitter après avoir dénoncé les casseurs de magasins lors des manifs contre la loi de « sécurité globale ». Tout fout le camp dans le Top 50 des personnalités du JDD. Du clivage de tous côtés. Des dérapeurs en série.

Manquerait plus que Jean-Jacques Goldman écrive une chanson en faveur de la chloroquine. La fin de tout. La liste 2021 impossible à établir, tant les personnalités sans reproches se feraient rares… Les sondés invités à choisir entre Castex, Christophe Barbier, Brigitte Macron et quelques chroniqueurs de France Inter. Le Top 8 du JDD, puis 7 l’année suivante… 6 en 2023… Un compte à rebours réjouissant.

Boulevard Voltaire

Policier : un job en or pour la diversité…

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Les formateurs déplorent des carences importantes chez les futurs policiers

Ces dernières années, les grilles d’évaluation ont été revues à la baisse pour éviter les notes éliminatoires. « Il y a encore cinq ou six ans, on n’aurait pas pris un candidat en dessous de 9/20. Depuis deux ans, on descend à 7/20 », constate un formateur francilien dans cet article du Parisien :
https://www.leparisien.fr/paris-75/formation-des-policiers-l-inquietante-baisse-de-niveau-des-recrues-franciliennes-28-12-2020-8416292.php

Ainsi, le fait d’ « oublier » de dater ou de signer un procès-verbal ne constitue plus une erreur éliminatoire, alors même qu’il entraîne la nullité de la procédure.

« Une part des stagiaires ne sait pas s’exprimer clairement », confie l’un des formateurs. Également sollicités par Le Parisien, quatre commissaires de police affectés en région parisienne constatent qu’« entre 20 et 30 % des jeunes policiers ne sont pas au niveau ». « On a des recrues qui ne maîtrisent pas le français », assure l’un d’eux. « Sur les dernières promotions, des élèves ayant commis des délits ont même été admis », déplore un autre.

Entre 2018 et 2019, la moyenne d’admission a chuté d’un point, passant de 12,69/20 à 11,43/20. Une moyenne finalement honorable mais qui s’explique, révèle un formateur : « par les très bonnes notes des candidats surdiplômés que l’on voit arriver depuis peu. Maintenant, c’est près de 20 % des inscrits ».

Des difficultés également rencontrées dans le domaine sportif

Pour éviter les épreuves sportives, certains candidats fournissent un certificat médical (parfois faux). « Ils devraient être déclarés inaptes et malgré cela, ils sont aujourd’hui policiers », déplore un formateur qui constate par ailleurs que « de plus en plus de stagiaires arrivent en surpoids », un handicap a priori rédhibitoire pour un policier de terrain.

La discrimination positive à l’œuvre ?

Le Parisien, organe bien-pensant s’il en est, ne l’affirme naturellement pas. Mais le lecteur perspicace le devinera à la lecture de cet aveu d’un formateur : « On doit s’expliquer quand on met de mauvaises notes. Indirectement, si on ne veut pas avoir de comptes à rendre, il vaut mieux fermer les yeux, cela évite d’avoir des problèmes »

Un candidat sur 5 reçu en 2020, contre un sur 50 en 2012

Au départ de cette « situation précaire », explique benoîtement Le Parisien, une volonté du pouvoir d’embaucher de très nombreux policiers en l’espace de peu d’années. Entre 2012 et 2020, le nombre de candidats a légèrement décru (20 957 contre 19 546). En revanche, le nombre de postes ouverts au concours a littéralement explosé, passant de 450 à 3 631. Huit fois plus. Mazette…

Parallèlement, en juin dernier, la formation de gardien de la paix a été réduite de 12 à 8 mois. « Ça défie toutes les règles pédagogiques, il n’y a plus de qualité d’apprentissage », s’alarment deux formateurs. « Une erreur fondamentale », reconnaît de son côté le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui s’est exprimé à ce sujet à l’Assemblée nationale, le 30 novembre dernier. Une « erreur » que « Moussa » s’empressera vraisemblablement de ne pas corriger.

Pour les plus nuls : direction la région parisienne !

Les stagiaires choisissent leur poste en fin de formation. Les mieux notés optent généralement pour la province (encore) tranquille. Le fond du panier est donc nommé dans les « banlieues populaires », dont celles, nombreuses et colorées, de la région parisienne. Gageons qu’un certain nombre de ces élus feront finalement bon ménage avec leurs congénères…

* * *

Ci-dessous, les commentaires d’un de mes amis, gendarme de terrain, sur l’article du Parisien. Comme vous le constaterez, cher lecteur de RL, sa réaction fait beaucoup moins dans le politiquement correct que la prose parisianesque…

« C’est déjà le cas dans le recrutement depuis longtemps, et ils progressent vite dans la hiérarchie grâce à la discrimination positive très en vigueur. Les chefs ont peur d’être taxés de racisme, donc, pour être tranquilles, ils les poussent dans leur carrière, même s’ils sont mauvais. Une fois parvenus à des postes de responsabilité, ces bénéficiaires de l’« ascenseur social » ne font pas particulièrement preuve d’impartialité : ils privilégient systématiquement leurs congénères en terme de promotion.

Les femmes, qui ont été jusque-là favorisées par la hiérarchie, se heurtent dorénavant à l’opposition des musulmans pour l’accession aux responsabilités. Bon courage à ceux qui ne sont ni femmes, ni « de la diversité »…

À noter également que ces gens-là n’ont pas un goût du sacrifice aussi prononcé que celui de ces trois gendarmes, morts récemment pour sauver une femme.
[Allusion à : https://www.leparisien.fr/faits-divers/drame-de-saint-just-trois-gendarmes-tues-en-secourant-une-femme-battue-23-12-2020-8415861.php]

Ceux qui pensent qu’un jour flics et gendarmes cesseront d’être au service du pouvoir pour rejoindre le peuple sont de doux rêveurs. Pour certains de ces “renois” ou ces “rebeus” qui ont accédé à des responsabilités, le salaire sera toujours plus intéressant que ce qu’ils auraient pu trouver ailleurs (hors deal et trafics en tout genre, naturellement).

C’est également valable pour les militaires. Le ver est dans le fruit, partout.

Il va falloir que les Français s’habituent aux violences policières : chances pour la France vs salauds de franchouillards privilégiés. Les premières sont armées et n’hésiteront pas à tirer dans le tas sur les seconds »

Henri Dubost, Riposte Laïque

Ca suffit ! Au Mali, nos soldats sont les seuls Européens à payer le prix du sang

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Avec la mort de trois jeunes soldats ce lundi au Mali, ce sont 47 militaires qui sont tombés au combat depuis l’opération “Serval” de 2013.

C’était leur première mission au Sahel. Leur véhicule a sauté sur une mine artisanale, au coeur du pays.

https://francais.rt.com/international/82227-trois-militaires-francais-tues-mali-macron-fait-part-tres-grande-emotion

Au delà de l’hommage unanime rendu à leur sacrifice, et des messages de compassion adressés à leurs familles, cette nouvelle tragédie qui endeuille notre armée ne fait que confirmer une réalité que l’Elysée persiste à nier : le Mali est un bourbier inextricable où nos soldats sont enlisés depuis 7 ans.

Jamais nous ne gagnerons seuls cette guerre contre le terrorisme. Or, nous sommes désespérément seuls.

Si l’opération “Serval” fut un indéniable succès, pour stopper dans l’urgence la colonne de jihadistes qui fondait sur Bamako en 2013, l’opération “Barkhane” qui a pris le relais en 2014, s’avère être une guerre perdue d’avance, puisque l’Europe refuse de nous aider.

Combien de temps encore, nos soldats devront-ils être les seuls en Europe à payer le prix du sang ?

Combien d’années encore, allons-nous être les supplétifs d’une Europe lâche et égoïste, qui refuse de combattre le terrorisme à nos côtés ?

Elle est où cette Europe qui nous permet d’être “plus forts et unis”, comme nous le rabâche Macron à chacun de ses discours ? Quelle foutaise !

L’Europe nous a abandonnés et se fout pas mal que nos soldats meurent en Afrique, pour une guerre qu’ils préfèrent ne pas voir.

Nous ne gagnerons jamais cette guerre et Macron le sait, les généraux le savent. Il faudrait 50 000 hommes pour maîtriser la situation durablement. Des troupes de combat, évidemment, pas seulement des aides logistiques.

Comment les 5000 soldats de l’opération Barkhane pourraient-ils contrôler un territoire vaste comme l’Europe ?

Même avec 140 000 hommes, au plus fort de la guerre en Afghanistan, la coalition occidentale a perdu face à des talibans déterminés, qui reviendront triomphalement à Kaboul dans quelques mois.

En Afghanistan, la supériorité technologique  des Occidentaux était écrasante, ce qui n’est pas le cas au Mali, où nos soldats font la guerre avec des moyens dérisoires.

Il suffit de lire “Servir”, le récit de notre ex-Chef d’état-major des armées Pierre de Villiers, pour constater le délabrement de nos armées, paupérisées comme jamais.

Combien de missions ont été annulées faute de matériels disponibles ? Or, sur ce territoire immense, dès qu’on signale un élément jihadiste, il faut agir vite pour le neutraliser.

Avions ou hélicoptères en panne, manque de pièces détachées, stocks de munitions insuffisants, véhicules vieux de 30 ou 40 ans, armes de poing datant de 1950 etc. C’est la grande misère.

On cannibalise un avion en panne, qui sert de réservoir de pièces détachées, pour en faire voler un autre.

On loue des Antonov à prix d’or, faute d’avions de transport suffisants.

Bref, on fait la guerre avec toujours moins de moyens.

Avec la RGPP, Sarkozy a littéralement saigné nos armées.

Avec un budget défense de 750 milliards de dollars, les Américains ont échoué en Afghanistan. Comment pourrions-nous réussir seuls au Sahel, avec un budget de 35 milliards d’euros, en constante régression depuis 1960 ?

Notre unique porte-avions, disponible à mi-temps, compte tenu des longues périodes de révision, illustre à lui seul la faiblesse opérationnelle de nos armées.

Les Etats-Unis, la Chine, la Russie, réarment massivement. L’Europe ne consacre que 1,2% de son PIB à sa défense.

Quand la France accorde 35 milliards à sa défense, elle consacre 750 milliards à ses dépenses sociales, soit 20 fois plus. Un choix suicidaire, dans l’espoir d’acheter la paix sociale, mais à crédit, puisque notre dette approche les 3000 milliards, soit 85 fois notre budget défense.

Il faut savoir que chaque année, entre l’accueil des mineurs isolés et l’AME qui soigne les sans papiers, la France dépense l’équivalent d’un porte-avions, soit 4 milliards !

Mais on nous dit qu’un second porte-avions, qui a une durée de vie de 40 ans, c’est trop cher…

Dans ces conditions, inutile de faire la guerre.

Nos soldats n’ont pas vocation à mourir pour défendre l’Afrique contre ses démons ancestraux, ou pour protéger une Europe qui refuse de payer le prix du sang.

L’Afrique est un continent perdu et rien n’arrêtera les jihadistes qui entendent islamiser l’ensemble du continent !

Quel que soit le nom donné à ces milices islamistes, Etat islamique, al Qaïda, al Nosra, Boko Haram au Nigéria, ou Shebabs de Somalie, l’ennemi est le même partout et son objectif est d’établir un immense califat au Moyen-Orient et en Afrique, de l’Atlantique à l’Océan Indien et de la Méditerranée au Golfe de Guinée. Cela prendra les décennies qu’il faudra.

Aucune armée africaine n’est en mesure de résister au tsunami islamiste !

Enfin, pourquoi nos soldats, et eux-seuls, devraient-ils mourir, quand Paris et Bamako libèrent 210 jihadistes, afin de sauver des otages, dont une Française convertie à l’islam, qui n’a d’autre souhait que de retourner au pays de ses geôliers ?

Il est temps d’en finir avec le sacrifice inutile de nos militaires.

Sans l’aide massive de l’Europe, portant les effectifs au Sahel à 50 000 hommes, Barkhane restera une mission impossible et nos soldats continueront de mourir pour une cause perdue d’avance.

Laissons donc l’Afrique sombrer dans le chaos, puisque c’est ce qu’elle veut, depuis 1960 !

Elle a saccagé l’héritage colonial et n’aspire qu’à retourner à ses démons et à ses guerres tribales !

La menace islamiste, elle est d’abord en France, où les intégristes musulmans entendent faire la loi, en torpillant la “charte sur les valeurs républicaines” et en imposant leur propre programme pour la formation des imams.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/28/la-grande-mosquee-de-paris-se-retire-du-projet-de-conseil-national-des-imams_6064691_3224.html

C’est sur le sol français qu’il faut mener la guerre contre les islamistes, pas au Sahel, où nous avons tout à perdre !

Il est grand temps de rapatrier les soldats de Barkhane. Au Sahel, les carottes sont cuites…

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Macron a libéré 200 djihadistes, et 3 soldats français sont morts !

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Posons-nous la question  : que font nos militaires au Mali ?

Trois jeunes militaires français viennent de tomber, victimes d’une bombe artisanale, dans la zone des trois frontières, au Mali.

Depuis le début de l’intervention de notre armée dans ce pays, le nombre de militaires tués est de 53, dont 10 officiers et 17 sous-officiers.

L’opération Barkhane mobilise sur place, actuellement, 5100 militaires, mais l’on peut se poser la question : dans quel but ?

Lutter contre le terrorisme islamiste, nous explique-t-on, soit, mais lutter contre ce terrorisme dans un territoire aussi vaste, où les militaires ne peuvent pas être présent partout, et ne peuvent intervenir que pour détruire quelques groupes, sur indications, alors que les terroristes, en revanche, sont partout au Mali (comme des poissons dans l’eau !) et ils interviennent quand ils veulent et où ils veulent, nous en avons, hélas, les preuves.

D’autre part, les décisions prises par nos gouvernements de payer des rançons importantes (il serait question de 30 millions d’euros ?) pour la libération de quatre otages et, ce qui est bien plus grave, de plus de 200 djihadistes, qui renforceront les nombreux groupes éparpillés dans tout le Mali.

Qui sait si ce n’est pas certains de ces djihadistes récemment libérés qui faisaient partie du groupe qui a fabriqué et installé cette bombe artisanale, qui vient de faire, hélas, trois nouvelles victimes parmi nos jeunes militaires ? Où qui participeront à des opérations ponctuelles contre nos militaires et feront également de nouvelles victimes ?

Si une solution était envisageable dans cette Afrique subsaharienne cela se comprendrait. Ne parlons pas de victoire, puisqu’il ne s’agit pas d’une guerre traditionnelle, mais d’une guérilla, et que de victoire il n’y aura point.

C’est donc la raison de nous questionner : que font nos militaires au Mali ?

Même l’Algérie ne comprend pas et pourtant elle se trouve concernée par sa proximité et sa longue frontière avec le Mali.

Le premier ministre algérien, Abdelaziz Djerad, n’a pas manqué, début décembre, de s’indigner contre « les fonds versés aux terroristes et la libération de 200 djihadistes, pour récupérer la française, convertie à la religion musulmane, Sophie Pétronin ». Il affirme qu’il s’agit-là d’une « pratique douteuse » qui permet le retour au combat, notamment sur le sol algérien, de ces terroristes libérés.

Il indique que, lors d’une opération de ratissage, menée à Jijel, dans le nord-est de la frontière, l’armée algérienne à récupérer une partie de cette rançon, 80.000 euros.

Le président de la République et le gouvernement français cherchent, paraît-il, une solution pour se désengager et retirer notre armée du Mali.

Fallait-il vraiment y aller ?

Tous ces pays africains ne paraissent pas avoir la volonté de se rassembler pour mettre sur pied des armées capables de lutter contre les groupes terroristes islamistes et celui plus menaçant « Boko Haram ».  Ne sont-ils pas les premiers concernés et les premiers massacrés ?

A la condition, bien sûr, qu’il ne s’agisse pas d’une guerre de religion, avec la volonté d’éliminer le maximum de chrétiens, car, dans un tel cas, on peut comprendre que les soldats de religion musulmane, qui composent les armées de ces Nations africaines, ne se sentent pas mobilisés.

Les Russes et les Chinois s’investissent en Afrique, laissons-les défendre leurs intérêts, ils sauront le faire bien mieux que nous ! Puisque, et ils ne le cachent pas, les Africains ne veulent plus de la France sur leur sol…ils préfèrent venir sur le nôtre !

Manuel Gomez, Riposte Laïque

Qui protège Houria Bouteldja ?

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Houria Bouteldja, la fondatrice du Parti des Indigènes de la République, refait parler d’elle après avoir écrit un article contre Miss Provence, tellement raciste que Mediapart a dû se résoudre à le dépublier.

(…) Volant au secours des haineux qui s’étaient déchaînés sur Twitter contre April Benayoun, Miss Provence, de père Israélien, Bouteldja écrit, entre autres perles, pour justifier cette déferlante : « On ne peut pas être Israélien innocemment ». C’est donner un permis d’insulter, de diffamer, voire pire.

(…) Pourtant, jusqu’ici, les procédures intentées contre Houria Bouteldja ont été rarissimes malgré un livre hallucinant, « Les Blancs, les Juifs et nous » publié en 2016 aux éditions la Fabrique, dirigées par Éric Hazan. (…) Jusqu’ici, on ne trouve donc trace que d’une seule procédure entamée et perdue en 2011 par « l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française » ( AGRIF), une organisation d’extrême droite.

“Galaxie islamo-gauchiste”

C’est ainsi dans une aisance totale qu’a pu se déployer et essaimer le discours d’Houria Bouteldja. « Ce qui la  protège, estime le journaliste et écrivain Philippe Val, menacé de mort et placé sous protection policière, c’est vraiment la galaxie islamo-gauchiste. Elle a ses relais à la France insoumise, comme Danielle Obono et Rokhaya Diallo. Elle a aussi ses réseaux à l’Ecole des Hautes études en sciences sociales ( EHESS). Dès qu’une Bouteldja ou autre est touchée, on voit fleurir des tribunes d’intellectuels dans Le Monde. Nous, esprits libres, laïques, républicains et universalistes, le monde intellectuel nous enterre alors qu’à chaque fois, il se lève pour les sauver. »

(…) Elle dénonce « l’État français raciste et colonial » mais jouit d’un poste bel et bien payé par ce même État à l’Institut du monde arabe qui ne s’est jamais ému de ses activités militantes.

Contacté par téléphone, Jack Lang, son patron, le président de l’Institut du monde arabe, est même exaspéré. Voici notre échange : “Je suis très loin de la France, à 4000 kilomètres et je n’ai entendu parler que très vaguement de ce que vous évoquez ! Mais je suis juriste et la personne dont vous parlez  respecte absolument le droit du travail, nous n’avons aucun problème à l’IMA avec elle et ceci constitue une intervention extérieure.(…)”

(…) Marianne

La Grande Mosquée de Paris claque la porte aux «islamistes». Une vaste mascarade?

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Sputnik : https://fr.sputniknews.com/france/202012291045001150-la-grande-mosquee-de-paris-claque-la-porte-aux-islamistes-une-vaste-mascarade/https://fr.sputniknews.com/france/202012291045001150-la-grande-mosquee-de-paris-claque-la-porte-aux-islamistes-une-vaste-mascarade/

Le projet de charte des imams semble proche d’avorter. Après les révélations de désaccords profonds entre plusieurs fédérations du Conseil français du culte musulman, nouveau rebondissement: la Grande Mosquée de Paris annonce son retrait du chantier et dénonce des «cercles malveillants». Un «enfumage» selon l’essayiste Mohamed Louizi.

Le feuilleton continue. Dimanche 27 décembre, Le Journal du Dimanche révélait que la charte républicaine pour les imams, réclamée par Emmanuel Macron aux fédérations membres du Conseil français du culte musulman (CFCM), en était au point mort. Un mois s’est pourtant écoulé depuis la fin du délai de deux semaines fixé par le Président de la République. Hier 28 décembre, c’était au tour du recteur de la Grande Mosquée de Paris (GMP), Chems-Eddine Hafiz, d’annoncer qu’il se désolidarisait du projet. Ainsi publiait-il un communiqué dénonçant une «composante islamiste» au sein du CFCM. Trois fédérations refusent en effet de signer la charte et rejettent les points centraux du texte, ceux qui ont trait aux lois républicaines, concernant en particulier la non-criminalisation de l’apostasie, l’importance de l’école laïque publique et l’égalité entre les femmes et les hommes.

«L’islamisme dans ces fédérations est plus qu’une réalité» pour l’essayiste Mohamed Louizi, ancien membre de l’UOIF et auteur de l’ouvrage Plaidoyer pour islam apolitique (éd. Michalon), la gangrène islamiste n’est pas nouvelle au Conseil français du culte musulman, loin s’en faut. «Déjà, à l’époque, Jean-Pierre Chevènement avait rédigé un texte et subi des pressions de ces mêmes associations concernant un passage sur l’apostasie», rappelle notre interlocuteur. «C’était donc à la République d’imposer sa charte et non l’inverse», avance au micro de Sputnik ce farouche adversaire de l’islamisme.

Vraie crise et fausse conscience républicaine

Dans son communiqué publié sur Twitter, le recteur Chems-Eddine Hafiz dénonce les «manipulations médiatiques» d’une composante islamiste du CFCM liée à des régimes étrangers. Sans les nommer il met donc en cause Millî Görüş, proche de la Turquie, Musulmans de France, proche des Frères musulmans, Foi et Pratique, considéré comme fondamentaliste.

« J’estime que la représentation des musulmans mérite autre chose […] que des agissements douteux entourés d’actions qui cherchent à diviser la communauté nationale et à séparer les Français de confession musulmane de leur société », justifie le vice-président du CFCM qui annonce suspendre tout contact avec les fédérations concernées. Et ce de «manière irrévocable».

Pourtant, de tels agissements existent depuis toujours, réplique Mohamed Louizi, et sont dénoncées par d’autres depuis longtemps.

«Lorsqu’il parle des composantes islamistes, il sait très bien de qui il parle. Ce sont ceux qui sont affiliés aux Frères musulmans ou au pendant turc, proche d’Erdogan. Des composantes intégrées en 2003 par Nicolas Sarkozy pour justement ramener les franges «intégristes» à la raison. Dix-sept ans plus tard, la République a renoncé à pas mal de principes et l’islamisme n’a pas changé d’un iota», tranche l’essayiste.

Pour notre interlocuteur, les Frères musulmans ont pu continuer tranquillement leur travail de destruction de la liberté. «Pour eux, renier la foi musulmane est passible de la peine de mort, il y a des textes religieux dans ce sens», rappelle-t-il.

Le lien de confiance rompu

Lors de son discours aux associations musulmanes, le 18 novembre, le chef de l’État avait pourtant mis en garde ces membres considérés comme ambigus. Convoquées après l’attentat contre Samuel Paty, les neuf fédérations s’étaient alors engagées à produire sous quinze jours un code de déontologie, posant les bases d’un Conseil national des imams. «Vous avez ma confiance et ma confiance vous oblige», les avait avertis Emmanuel Macron.

En décidant de réécrire la charte de leur côté, les fédérations les plus intransigeantes entretiennent donc les accusations de séparatisme déjà lancée à leur encontre, notamment par l’imam de Drancy et président de la Conférence des imams de France, Hassen Chalghoumi.

La dénonciation de l’islamisme par le vice-président du CFCM serait donc un peu facile, selon Mohamed Louizi, car personne n’ignorait leur présence. Elle tiendrait selon lui davantage d’une querelle de mosquées entre la Grande Mosquée de Paris d’un côté, proche de l’Algérie par son recteur, et le CFCM de l’autre, dont le président Moussaoui est marocain. «Il suffit qu’il y ait un conflit entre l’Algérie et le Maroc au sujet des liens du royaume chérifien avec Israël pour que la Grande Mosquée face un peu d’obstruction à la charte», pense déceler notre interlocuteur.

Mais quelles qu’en soient les causes, le délai de concertation largement dépassé et cette défection surprise de la Grande Mosquée compromettent fortement la création prochaine d’un conseil des imams. Et l’avenir du CFCM. Entre frondeurs et démissionnaires, le projet de Conseil des imams aura surtout démontré l’impossibilité de réunir l’ensemble des musulmans de l’Hexagone au sein de l’Islam de France. Un échec qui était totalement prévisible, avance «l’ancien Frère musulman» Mohamed Louizi. Et surtout un clou de plus dans le cercueil d’une organisation déjà moribonde.

«Depuis des années, on se dit que c’est la fin. Lorsqu’il était encore ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner avait d’ailleurs envoyé un signe en rompant le jeûne avec le représentant des Frères musulmans. Le message était clair: l’avenir de l’islam de France ne se fera pas avec le CFCM. Depuis, j’imagine que Darmanin a voulu sauver la création de son mentor Nicolas Sarkozy et lui donner une dernière chance. Mais la situation est préoccupante et laissera des traces».

Peut-être tout cela signera-t-il aussi la fin de la récré, et le gouvernement «tapera du poing sur la table, pour faire le ménage entre ceux qui sont avec nous et ceux qui doivent être combattus», ose espérer Mohamed Louizi.

« Mal Traités » : Le documentaire choc sur la COVID-19

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

“Mal Traités : Comment les malades ont été privés de remède efficace” est un documentaire réalisé par Alexandre Chavouet qui explore les raisons pour lesquelles des traitements aujourd’hui jugés efficaces ont été (et sont encore) complètement ignorés par les autorités sanitaires au profit de vaccins potentiels.

Le documentaire : https://maltraites-ledoc.com/

Le woke, ou la déferlante de l’extrême gauche américaine

Articles  : Dec. 2020Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020

Dans la course folle aux droits des minorités, les États-Unis sont largement en tête en ce moment. Deux concepts étonnants se superposent pour réveiller lesdites minorités persécutées par les dominants, c’est-à-dire les hommes blancs : le woke, pour que ces persécutés se réveillent et soient vigilants, et la cancel culture, pour que le persécuteur identifié soit effacé, c’est-à-dire qu’il ne puisse plus s’exprimer.

De nombreux journalistes et professeurs d’université ont ainsi été licenciés ou ont dû donner leur démission, tant la pression des woke était insupportable. Leur crime nous laisse généralement pantois. Le cas le plus emblématique est celui de Bret Weinstein, professeur de biologie à l’université d’Evergreen. Il a dû démissionner, ne pouvant plus tenir ses cours et lâché par sa direction. Son crime ? S’être opposé à l’organisation d’un « Jour d’absence », c’est-à-dire un jour où les Blancs de l’université doivent rester chez eux pour qu’il n’y ait que des élèves de couleur.

Ce pauvre Weinstein n’avait pourtant pas le profil du mâle blanc dominant : juif de gauche et démocrate ayant soutenu Bernie Sanders lors des primaires. Mais peu importe, il s’était opposé, il fallait l’effacer. Dans un entretien au Figaro du 18 décembre, il confie son amertume et lance un cri d’alarme : « Les gens ne prennent pas ces mouvements au sérieux. Mais quand ils y sont confrontés, ils n’ont qu’un choix : soit se soumettre, soit être détruits. »

La même mésaventure est arrivée Bari Weiss, journaliste importante du très libéral New York Times, qu’elle a dû quitter après s’être inquiétée de ce phénomène. Un autre journaliste, Ian Buruma, a dû aussi quitter son journal pour avoir publié la tribune d’un homme accusé à tort d’agression sexuelle.

Le processus est toujours identique : pression maximale des réseaux woke sur le coupable qui finit par partir pour pouvoir retrouver une vie normale, et sur sa direction qui l’abandonne pour ne pas devoir partir elle aussi.

Tout cela a des sources anciennes mais a connu une très forte accélération en 2013 avec le mouvement Black Lives Matter et sous la présidence d’Obama avec la création, dans toutes les universités américaines, de bureaux de lutte contre le harcèlement sexuel, prétexte à une chasse aux sorcières permanente. Joe Biden joua un rôle actif dans ce processus.

Le mouvement s’étend au Canada où l’excellent Mathieu Bock-Côté nous apprend que les Québécois francophones sont accusés de racisme par les woke anglophones car ils occupent un territoire « non cédé ». Et en Angleterre, où la romancière Rowling (Harry Potter) est accusée de « transphobie » pour avoir écrit que la différence des sexes était une réalité biologique. Où donc va-t-elle chercher ça, en effet ?

Eugénie Bastié et Laure Mandeville ont publié une remarquable enquête sur le sujet (Le Figaro du 21 décembre) et il est à craindre que nous ayons à en reparler.

La France est, pour l’instant, moins touchée que le monde anglo-saxon, mais les premières vagues arrivent : statues d’hommes célèbres vandalisées, dénonciations incessantes de CNews, conférenciers interdits (Sylviane Agacinski à l’université de Bordeaux Montaigne pour cause d’hostilité à la PMA), la liste va nécessairement s’allonger.

Sam Abrams, professeur à New York ciblé par les woke, a déclaré au Figaro : « Ça fait tellement de bien de savoir que chez vous [en France] les parents peuvent encore dire à leurs enfants qu’ils sont un petit garçon ou une petite fille. Chez nous, on dirait : comment osez-vous assigner un genre ? »

Le combat sera rude.

Boulevard Voltaire