2000, quand Al Gore dénonçait une fraude électorale et demandait le recompte des voix.

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Ecoutez les médias en 2000 parler d’Al Gore dénonçant une fraude électorale et demandant le recompte des voix. Ecoutez les mêmes médias en 2020 parler de Trump dénonçant une fraude électorale et demandant le recompte des voix. C’est pathétique

Au delà de toute polémique entre ces deux élections, c’est le sérieux et une analyse plus factuelles des faits que l’on peut remarquer dans ces informations d’il y a 20 ans. Ces journalistes avaient de la tenue et du professionnalisme. Nous avons vraiment régressé en 20 ans….et malheureusement on ne voit aucun signe pour que cela s’arrange.

Près de 9 français sur 10 pour la déchéance de nationalité et l’expulsion des fichiers S

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

D’après un sondage publié ce vendredi 6 novembre, la majorité des Français seraient favorables à un durcissement des mesures judiciaires pour lutter contre le terrorisme, à la suite des récents événements survenus dans le pays, comme l’assassinat de Samuel Paty ou l’attentat à la basilique Notre-Dame de Nice.

Selon cette étude, réalisée par l’institut Ifop-Fiducial pour CNEWS et Sud Radio, près de neuf Français sur dix (89 %) se disent favorables à la déchéance de nationalité pour les personnes avec une double nationalité ayant commis des délits. Idem concernant l’expulsion des fichés S résidant dans l’Hexagone ou encore la création d’un nouveau délit dit «de mise en danger par la publication de données personnelles».

Le «Guantanamo à la française», réclamé par le député LR Eric Ciotti, c’est-à-dire le fait de placer en détention préventivement, avant qu’elles ne commettent un crime, les personnes fichées S est également soutenu.

«Il y a eu une émotion terrible après la décapitation de Samuel Paty et l’attentat de la basilique de Nice, et donc un durcissement de l’opinion publique», analyse sur CNEWS Frédéric Dabi, directeur adjoint de l’institut Ifop.  […]

Ce sont les sympathisants du PS (69 %) et de LFI (62 %) qui sont les plus nombreux à penser que les événements auront peu d’impact sur leur quotidien.

CNEWS

Le Japon, un pays sans immigration illégale

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Le Japon n’a pas d’immigration illégale. Grâce à son insularité mais aussi à une traque sans répit des clandestins : le séjour illégal est un crime. Une centaine d’entre eux se trouveraient dans l’Archipel. Quant aux “mineurs non accompagnés”, ils seraient, au plus, quelques dizaines.

L’histoire fait la Une des quotidiens japonais depuis quelques jours : une vingtaine de Vietnamiens dont la plupart ont dépassé leur durée légale de séjour au Japon auraient volé des porcelets dans la campagne cet été pour les consommer et les revendre. En France, cette histoire n’aurait même pas les honneurs de la presse régionale. Mais au Japon, elle fait les choux gras de la presse nationale. Pourquoi? Parce qu’elle est spectaculaire à l’échelle de l’immigration illégale dans le pays. Cette question qui taraude aujourd’hui Emmanuel Macron a été réglée par la troisième économie du monde. Ce alors qu’elle accueille actuellement un afflux massif d’immigrés de travail : 700.000 en 5 ans, dans leur très grande majorité sur visa temporaire non renouvelable. Comment fait-il? Outre sa situation géographique, très favorable, il se tient à une politique de renvoi froide et rigoureuse.

Il y eut bien une petite communauté d’étrangers illégaux au Japon. Jadis. Au début des années 90, l’Archipel recense 300.000 étrangers en situation irrégulière. Le pays, déjà en manque de main-d’œuvre, les tolère sur son sol. Leur apparition près des grandes gares, dans une foule naguère homogène, inquiète le passant. Les policiers en patrouille qui parcourent inlassablement les rues des villes à vélo ferment l’œil. Le hola politique viendra en octobre 2003. Le gouverneur de Tokyo Shintaro Ishihara, les services d’immigration du ministère de la Justice national et local, la police de Tokyo publient un communiqué commun dans lequel ils annoncent un objectif chiffré : diminuer “de moitié en cinq ans” le nombre d’étrangers en situation irrégulière dans la ville. Un peu comme si, en France, la maire de Paris Anne Hidalgo, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et le préfet de police de Paris Didier Lallemand faisaient cause commune.  […]

Est-ce en raison du faible volume d’étrangers en situation irrégulière ? De leur identification précise au moment de leur entrée sur le territoire? Le Japon en tout cas n’a pas, contrairement à la France, de problème de refus des pays d’origine d’accueil de leurs ressortissants. […]

msn/Challenges

Élection américaine, décryptage à chaud

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Boulevard Voltaire

Au moment où nous écrivions, en ce matin du 4 novembre (heure de Washington), Donald Trump devait au moins gagner quatre des États en suspens. Cependant que Joe Biden aurait besoin de la moitié d’entre eux pour empocher les 270 grands électeurs. Trump l’avait donc « emporté » avec le vote direct. Il semblait, en effet, qu’il ferait mieux que lors de son élection en 2016. Jusqu’à ce que, au cours de la nuit, le vote dit par correspondance en réduise considérablement la portée, ou inverse la tendance.

Trois questions : le vote « par correspondance » a-t-il été légitime ? Comment a-t-il été collecté ? Pourquoi attendre après l’élection pour dépouiller ces votes, parfois plusieurs jours après l’élection ?

Il est important de noter que le Covid-19 a été, depuis le début, le véritable candidat démocrate à la présidentielle. Car cette maladie est à la fois géopolitique (rôle de la Chine), politique (élimination de ses adversaires au nom du sanitaire) et sociale (déconstruction-reconstruction de la société sur de nouveaux « paradigmes »).

Il fut ainsi la cause de l’effondrement temporaire de l’économie, et la cause du rejet de Trump par ceux qui souffraient économiquement parce que, selon l’hypnose collective, « Trump l’antiscience avait mal géré la crise ». Et le trait de génie des démocrates aura été de changer les procédures du vote par correspondance afin, disait-on, de ne pas risquer la vie des électeurs. Traditionnellement, les électeurs devaient en faire la demande, en tant que procédure d’exception.

Mais, au nom du Covid-19, les États ont massivement envoyé, spontanément, des dizaines de millions de dossiers aux électeurs. Ce processus (vote par correspondance et vote anticipé) s’est mis en place au début de l’été. C’est cette la masse de bulletins, souvent « collectés » par les activistes du parti démocrate, qui retarde dans certains États le résultat final d’une élection victime de la très grande disparité des systèmes de vote, certains à la pointe de la technologie, d’autres archaïques. Ainsi, la Pennsylvanie, et plus particulièrement Philadelphie, ont une réputation électoralement douteuse. Le gros des contentieux à venir portera sur cet État qui a décidé d’accepter de nouveaux bulletins de vote reçus pendant plusieurs jours après la clôture du vote et, en passant, de ne pas tenir compte de la non-conformité des signatures des électeurs.

Il va donc y avoir moult recomptages et litiges (Pennsylvanie, Géorgie, Michigan, Wisconsin, Caroline du Nord, voire l’Arizona et le Nevada). Après que Biden a déclaré victoire tout en disant qu’il ne le faisait pas, Trump et Pence ont annoncé leur intention de se battre afin de « préserver l’intégrité de l’élection ».

Trump s’est réveillé trop tard. Il y a un mois, alors qu’il était au pire de sa popularité, 50 à 70 millions de votes, valables ou potentiellement illégitimes, avaient déjà été enregistrés (mais pas dépouillés) ! Le président, en une campagne acharnée, est alors parvenu à annuler la « vague bleue » qu’escomptaient les démocrates.

Quant aux crocodiles républicains, ils auraient peut-être gagné le Sénat (grâce au travail du président). Il est probable que le sort de Trump leur importe peu, désormais. Autre paradoxe : Biden, s’il est élu, sera ravi de disposer d’un Sénat d’opposition, ce qui le protégera des déchaînés du parti. La vie du marécage reprendra, tranquillement. Mais Trump reste Trump, jamais aussi bon que dans les cordes. À suivre…

André Archimbaud est l’auteur de Anahita et la vipère des sables.

La chanson du jour, Love Me Again – John Newman

La chanson du jour va rappeler pas mal de souvenirs aux ados qui jouaient à FIFA 14 sur leur PC. Certains diront que c’est “Old School”. IL n’en reste pas moins que cette chanson n’a pas pris une ride. On l’écoute toujours avec autant de plaisir. Allez remontons les aiguilles du temps…

Fraudes : les démocrates ont transformé les USA en République bananière

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

La contestation du vote aux États-Unis ne concerne pas les votes par procuration mais les votes par correspondance.  Ce type de votes a d’ailleurs été interdit en France dans les années 70 en raison de fraudes importantes.
Aux États-Unis il a toujours été possible de voter par correspondance en demandant son bulletin. Il s’agit de ce qu’on appelle l’absentee ballot.  Cette méthode génère déjà de nombreuses fraudes.

Mais en 2020, les États démocrates ont été beaucoup plus loin en envoyant systématiquement des bulletins à tous les électeurs inscrits.  Plusieurs dizaines de millions de bulletins ont été ainsi envoyés, on pense 80 millions.  Il ne faut pas être grand clerc pour imaginer toutes les possibilités de fraude qu’une telle procédure a créées.  Comme plus de 30 % des bulletins ont été retournés, les fraudeurs démocrates ont une mine quasi inépuisable de bulletins prêts à être utilisés, d’où les caisses retrouvées magiquement dont parle Pierre Cassen dans sa vidéo du jour.  Il y a aussi les actions des facteurs qui jettent le courrier des zones où il y a des Républicains.

Par ailleurs la plupart des États – notamment démocrates – ne tiennent pas à jour leurs listes d’électeurs et inscrivent automatiquement les migrants illégaux sur les listes électorales comme en Californie (voir ci-dessous).  En plus, dans de nombreux États, il n’est pas nécessaire justifier de son identité au moment du vote.

Lisez cet article qui décrit ce qui se passe dans le Minnesota :
https://alphanewsmn.com/democrat-voter-fraud-in-minnesota/

Il faut dire qu’un État comme la Floride (population 21 millions), géré par les Républicains, a donné ses résultats avant 10 heures le soir de l’élection, la Pennsylvanie (population 12 millions) devrait donner ses résultats plus de 3 jours après l’élection dans le parfum de fraude que l’on connaît.  Sur 7 États incapables de donner leur résultats le 4 novembre, 6 sont démocrates.

C’est un sujet complexe sur lequel il y a beaucoup plus à dire.  Mais la fraude est massive. Les démocrates ont transformé le pays en République bananière.  La démocratie américaine traverse une très grave crise.

Quelques exemples :

En Californie on est inscrit automatiquement sur les listes électorales dès que l’on change une information ou que l’on renouvelle son permis de conduire.

Les migrants illégaux peuvent obtenir un permis de conduire :
https://www.nolo.com/legal-encyclopedia/can-undocumented-person-california-drivers-license.html
Quand leur permis est renouvelé ou qu’il y a une mise à jour, il y a tout lieu de penser que les migrants illégaux seront automatiquement inscrits sur les listes électorales.  Idem pour les cartes vertes.  L’État de Californie facilite la fraude électorale…

Mise à jour des listes
Dans le County le plus important de Californie, les listes électorales n’avaient pas été mises à jour depuis 20 ans. Ça représentait 15 % des électeurs inscrits… et on s’étonne qu’il y ait de la fraude…

Et surtout, des révélations explosives, les confessions d’un fraudeur.
https://nypost.com/2020/08/29/political-insider-explains-voter-fraud-with-mail-in-ballots/

https://www.lefigaro.fr/international/aux-etats-unis-les-confessions-d-un-fraudeur-electoral-democrate-alimentent-les-soupcons-20200902

Quelques extraits :

La première technique consiste à utiliser l’enveloppe d’un votant pour y mettre un bulletin obligatoirement démocrate. Il faut au préalable faire le tour des domiciles et convaincre les citoyens de laisser les fraudeurs poster leur courrier de vote à leur place. Une mission « beaucoup plus facile qu’on ne le pense », d’après le fraudeur cité par le journaliste Jonathan Levine, en se faisant passer pour une association de service public. Ensuite, l’enveloppe est ouverte à la vapeur, puis on y glisse un nouveau bulletin en falsifiant la signature. Pour éviter toute suspicion, les enveloppes rouvertes sont ensuite disséminées dans toutes les boîtes postales de la ville.

(…)

Les employés des postes peuvent également influer facilement sur l’élection, selon le témoin. « Vous avez un facteur qui est un type anti-Trump enragé et travaille à Bedminster ou dans un bastion républicain… Il peut prendre les bulletins de vote [remplis], et sachant que 95 % sont en faveur d’un républicain, il peut simplement les jeter à la poubelle », explique-t-il. Un écho à l’histoire de certains lots de courriers électoraux retrouvés après le vote, lors d’élections locales à New York en 2017 ?

Autre « mine d’or » de votes à disposition, les lieux de vie accueillant des personnes fragiles. « Il y a des maisons de retraite où l’infirmière est en fait un opérateur rémunéré. Et elle va pièce par pièce voir ces personnes âgées, qui souhaitent voter pour se sentir utiles », déclare ainsi le lanceur d’alerte. Il suffit alors de remplir le bulletin pour eux et de leur faire signer ce que l’on veut…

(…)

Enfin, le témoin précise que, la plupart du temps, l’historique de participation aux élections est une information publique aux États-Unis. Une dernière technique, encore plus sauvage, consiste donc à aller voter, un jour d’élection, à la place d’un citoyen recensé comme abstentionniste, et qui ne risque pas de venir. Certains États ne demandent en effet pas de pièce d’identité. Une information déconcertante vue de France qui légitime la méfiance de certains observateurs pour ce type de scrutin.

Martine Chapouton (Riposte Laïque)

Une enseignante verbalisée par des policiers en civil : « J’ai un sentiment de révolte et d’oppression ! »

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Blanche, enseignante, a été verbalisée dans une rue déserte par deux policiers en civil circulant en voiture banalisée pour avoir baissé son masque afin de téléphoner. Elle se confie au micro de Boulevard Voltaire et pose la question des priorités du gouvernement à l’heure où les enseignants sont sur le pont dans un contexte de menace terroriste…

Alors que les Français affrontent la vague du Covid-19 et que le débat est de plus en plus prégnant entre le gouvernement et l’opposition pour savoir quelles bonnes mesures adopter, vous avez écopé d’une amende de 135 euros pour vous être promenée dans Paris sans le masque. Pouvez-vous nous raconter quand et à quel endroit cela s’est-il passé ?

Cela s’est passé hier. Je suis enseignante et, entre deux cours, je suis sortie pour passer un appel. J’ai baissé mon masque en dessous de ma bouche pour que mon interlocuteur puisse m’entendre. J’étais dans une rue déserte et une voiture banalisée s’est arrêtée et deux policiers en civil sont sortis. Ils se sont présentés et m’ont dit qu’ils étaient de la police. Ils m’ont demandé mon attestation et ma carte d’identité. Je leur ai bien précisé que j’étais enseignante et je leur ai donné mon attestation et ma carte d’identité. Je leur ai demandé leur carte de policiers, puisqu’ils étaient en civil dans une voiture civile. À ce moment-là, ils m’ont expliqué qu’ils allaient me verbaliser puisque je portais mon masque sous le menton et que j’étais dangereuse. J’ai objecté que la rue était déserte et que lorsqu’ils étaient arrivés, j’avais remonté mon masque. Ils m’ont annoncé que je recevrais une amende d’ici deux à trois jours.

Concrètement, allez-vous payer cette amende ?

Je compte la payer. Des amis professeurs à qui je racontais l’histoire ont lancé une cagnotte Leetchi pour m’aider à la payer puisqu’ils trouvent cela injuste que, sur notre piètre salaire de professeurs, on puisse prendre 135 euros pour cette amende.

On serait tenté de vous dire que si les règles du gouvernement ne sont pas claires, les règles du masque le sont. Quelque part, vous étiez en tort…

J’étais effectivement en train d’enfreindre la loi sur un point extrêmement précis, qui d’ailleurs est sujet à controverse. Là où j’ai vraiment été dérangée et où cela a fait naître en moi un sentiment de révolte et d’oppression, c’est le fait que les policiers se dérangent uniquement pour me mettre une amende à moi dans un quartier riche, sûr et à 100 mètres de mon lieu de travail, alors que nous sommes obligés de travailler actuellement.
Le métier de professeur vient de se retrouver sur le devant de la scène et ils ne tiennent aucunement compte de cela. Je veux bien croire que, dans le métro, cela puisse mettre en danger, mais là, en l’occurrence le fait que l’on veuille me faire dire quelque chose avec lequel je n’étais pas d’accord, je n’ai pas apprécié.

L’avant-veille de votre amende avait eu lieu l’hommage à Samuel Paty. On serait tenté de vous dire « brusque retour à la réalité pour le corps enseignant après ces vacances de Toussaint »…

Oui, et puis je m’interroge sur l’emploi que le gouvernement fait de la police.

Il y a énormément de débats pour laisser les collèges et les lycées ouverts. Les proviseurs sont en première ligne en cas d’exposition au Covid-19. Auriez-vous été partisane de fermer les écoles et de faire les cours à distance ?

Pour avoir essayé l’année dernière, je pense que ce n’est pas idéal pour les élèves. Il est important, pour ces derniers, de continuer à les voir. Je tiens à dire que moi-même, et comme tous mes collègues, on fait énormément d’effort pour respecter les gestes barrières et garder le masque.

Boulevard Voltaire

Nous avons assisté en direct à un coup d’État électoral de Biden

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Pierre Cassen revient sur une victoire annoncée de Donald Trump :

Retour sur les événements de la veille, et sur le coup d’État électoral auquel nous avons assisté, en direct. La triche est une vieille tradition américaine, mais le bourrage d’urnes n’existe-t-il pas en France, de manière légale, par le fait de donner la nationalité française, dont le droit de vote, à des millions de personnes qui n’ont rien de français, et influent sur le résultat de nos élections ? Le rôle du covid a été déterminant aux États-Unis, et la prétendue pandémie est utilisée par les amis de Biden, en France, pour imposer une dictature sanitaire, au service du Nouvel Ordre Mondial. C’est de plus en plus visible et évident.

Vienne : des images de l’attentat musulman interdites aux Français

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Les autorités françaises ayant interdit la diffusion de photos et vidéos des disciples d’une certaine “religion” de paix et d’amour en pleine action, voici un souffle de liberté venant de l’Est ! Espérant ne pas choquer les adeptes des marches blanches ni les vendeurs de bougies et de peluches. Et un petit cadeau à la fin…

Au fait… Il y a au moins un membre des services spéciaux turcs dans les gentils disciples en action. Chut!

Et un petit cadeau:

Riposte Laïque, Boris Karpov