La contre-offensive juridique de Trump contre l’élection la plus frauduleuse de tous les temps commence à faire paniquer les médias

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Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Démocratie Participative

Après la désinformation médiatique massive de ce week-end où Joe Biden a été mensongèrement décrété « vainqueur » de l’élection présidentielle,  le ton est en train de changer.

Donald Trump, le président légitimement réélu, a refusé de céder au bluff des médias, du Parti Démocrate et de l’état-profond. Hier, ses équipes ont lancé une offensive juridique tous azimuts pour démonter les mécanismes de fraudes utilisés dans les états stratégiques contestés.

Après avoir tenté d’étouffer la contestation de la fraude à grande échelle durant le week-end en la qualifiant « d’infondée », les médias commencent progressivement à admettre que Trump n’a pas cédé et qu’il est temps de se préparer à la guerre juridique.

La réalité s’installe chez les alliés du président élu Joe Biden, qui estiment que la transition menant à son investiture pourrait être plus difficile que ne le pensaient beaucoup de gens dans le monde de Biden, ont déclaré deux responsables, une lutte juridique étant désormais possible

Les médias martèlent que Biden est le « président-élu » mais c’est faux. Seul le collège des grands électeurs peut donner ce statut à Biden lorsqu’il se réunira à la mi-décembre. Pour l’heure, Biden n’est qu’un candidat unilatéralement proclamé vainqueur par les mêmes médias qui ont passé les 5 dernières années à attaquer Trump.

Ce titre mensonger de « président-élu » va devenir de plus en plus difficile à vendre à l’opinion mondiale car les équipes de Trump montent des dossiers de plainte de plus en plus lourds qui ne peuvent déjà plus être ignorés d’un revers de main comme c’était le cas samedi et dimanche.

On ne va pas trop entrer dans les détails. Plusieurs états clefs sont concernés, notamment la Pennsylvanie, le Michigan, le Wisconsin, la Géorgie, le Nevada et l’Arizona. D’autres le sont sûrement aussi mais pas au point de changer fondamentalement le résultat dans ces états.

En Pennsylvanie, ce sont désormais 2,5 millions de bulletins de vote qui sont potentiellement compromis et qui vont devoir être analysés. La Pennsylvanie, avec ses 20 grands électeurs, est cruciale pour déterminer le résultat.

Dans le Michigan, 683,000 électeurs fantômes ont été ajoutés au corps électoral de l’état qui atteint de la sorte 109% d’électeurs totaux.

En Géorgie, un nouveau comptage est désormais acquis.

Sans parler des altérations de bulletins de vote organisées par les fonctionnaires de la poste, les manipulations de résultats par des machines de vote électronique ou les agrégateurs de résultats.

Dans tous ces états, les résultats sont serrés. C’est là que la fraude fait la différence.

Tout ça s’accumule actuellement devant les tribunaux et, au moins dans le cas de la Pennsylvanie, se terminera devant la Cour Suprême.

Le ministre de la Justice a ordonné une enquête fédérale dans les états impliqués, ce qui donne une nouvelle dimension à ce qui se passe. Jusqu’à présent, seul le Parti Républicain et les équipes électorales de Trump dénonçaient la fraude. Désormais, l’état fédéral va également enquêter.

FINALEMENT : Le procureur général Barr autorise les procureurs fédéraux à enquêter sur le vote

Politiquement, le Sénat à majorité républicaine soutient les efforts de Trump. Le Sénat est une institution très puissante et le fait qu’il soutienne Trump dans ses demandes de vérifications des votes montre qu’il a eu accès à suffisamment d’informations pour estimer que cela n’a rien de fantaisiste de la part de Trump. Même à majorité républicaine, le Sénat ne voudrait pas inutilement empêcher Biden de l’emporter si les accusations de fraude étaient imaginaires.

Le leader de la majorité au Sénat, Mitch McConnell, a déclaré que le président Trump était tout à fait dans son droit d’examiner les « irrégularités » de l’élection de la semaine dernière et n’a pas reconnu Biden comme président élu ou Harris comme vice-président élu

C’était ce que voulaient éviter à tout prix les conspirateurs. Ils comptaient sur une proclamation médiatique unilatérale suivie d’une « reconnaissance » par les gouvernements étrangers participants à ce coup d’état et convaincre le Parti Républicain de se séparer de Trump en ne soutenant pas ses demandes de vérification. Mitch McConnell, en refusant de rompre avec Trump, a largement contribué à l’échec de cette offensive qui dépendant de la rapidité avec laquelle les alliés politiques de Trump l’abandonneraient.

Maintenant, l’état profond, les médias et le Parti Démocrate vont devoir admettre progressivement que le résultat est contesté.

Le plus probable est qu’ils vont accuser Trump de ce qu’ils sont en train de faire, à savoir un coup d’état. Nous allons voir les médias redoubler de haine. En tout cas, tout cela prend la bonne direction même s’il faut rester prudent. Encore une fois, Trump n’était pas censé pouvoir résister. Or, une semaine après l’élection, il a considérablement renforcé sa position. D’ici une semaine, ce sera encore plus clair pour tous.

[…]

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