Trump va gagner, parce que, face au corrompu Biden, il incarne l’Amérique

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Articles  : Oct. 2020Sept 2020Août 2020juillet 2020

Nous saurons dans la nuit du 3 au 4 novembre si Donald Trump a été réélu, déjouant tous les pronostics, ou bien si les États-Unis sont passés aux mains des démocrates. À quelques jours d’un scrutin décisif pour l’humanité, qui mieux que Guy Millière, universitaire français vivant aux États-Unis, pouvait nous apporter les derniers éclairages ?

Personne ne vote pour Biden, ses électeurs votent contre Trump

Riposte Laïque : Vous venez de publier un nouvel ouvrage sur Donald Trump et les États-Unis, dans le contexte électoral que tout le monde suit. Vous avez intitulé ce livre « Après Trump ? » ? Cela signifie-t-il que, comme les sondages semblent l’indiquer, vous pensez que Joe Biden va être élu ?
Guy Millière : Non, pas du tout. Je pense que les sondages n’ont pas plus de fiabilité aujourd’hui qu’il y a quatre ans. Ils sont utilisés comme une arme psychologique pour démotiver les électeurs de Trump, mais cela ne marche pas. Partout où Trump vient parler, il réunit entre 20 000 et 45 000 personnes, et il fait trois réunions publiques par jour. Joe Biden fait une réunion publique tous les deux jours et il attire, au mieux, quinze personnes, même Obama ne fait plus recette, et attire de quarante à cent personnes. En supplément, Joe Biden est sénile et très corrompu.

Quasiment personne aux États-Unis ne vote pour Joe Biden. Les électeurs votent pour Trump ou contre Trump. S’ils votent contre Trump, ils votent Joe Biden, mais c’est faute de mieux. Je pense que Trump a 99 chances sur cent d’être réélu, ce qui veut dire que je donne une chance sur cent à Joe Biden. J’ai appelé le livre Après Trump ? Parce que j’ai voulu évoquer les deux hypothèses, y compris celle à laquelle je ne crois pour ainsi dire pas, quand bien même elle a la faveur des médias français. Comme je le dis souvent, après Trump, il y aura encore Trump et des États-Unis dynamiques, défendant la liberté sur terre, ou après Trump, il y aura la gauche américaine, et ce sera une catastrophe pour tous les défenseurs de la liberté. Derrière Joe Biden, il y a toute la gauche et l’extrême gauche américaine, et, en supplément, des islamistes, Ilhan Omar et Rashida Tlaib.

N’oublions pas que Trump a détruit l’État islamique

Riposte Laïque : Vous avez publié, après la victoire du candidat républicain, en 2017, un livre intitulé « La révolution Trump ne fait que commencer ». Considérez-vous vraiment qu’il y a eu une révolution aux États-Unis, durant les quatre années où Donald Trump a exercé le pouvoir ?
Guy Millière : La révolution est inachevée, mais sur de multiples plans, la réponse est oui. Donald Trump a replacé l’économie américaine sur la voie du dynamisme, et a attiré des centaines de milliards de dollars d’investissements, assuré le plein emploi, qui était là jusqu’à la pandémie de Covid-19, et qui revient à grande vitesse : la croissance au troisième trimestre de cette année se situe à un rythme annuel de 33,1 pour cent, ce qui est un chiffre sans précédent, et plus des deux tiers des emplois perdus en raison de la fermeture de l’économie ont été recréés. L’immigration clandestine a baissé de soixante-dix pour cent. Le parti républicain est désormais le parti de Trump : un parti patriotique défendant les valeurs de la civilisation occidentale, et plus le parti des grandes entreprises planétaires ouvertes au multiculturalisme. Le patriotisme a pu renaître dans tout le pays.

En politique étrangère, Trump a détruit l’État Islamique, qui était la principale base arrière du terrorisme islamique et a infligé à celui-ci une défaite majeure. Il a asphyxié la république islamique d’Iran, qui était devenue le principal financier du terrorisme islamique mondial. Il a commencé à mettre en place un endiguement de la Chine. Il a fait avancer la paix au Proche-Orient. Tout cela a été une révolution en politique étrangère. Et cela va se parachever si, comme je le pense, il est réélu : la paix au Proche-Orient viendra, et les pays arabes sunnites tiendront un discours hostile au djihad. Cela ne changera pas l’islam, certes, et il restera des criminels islamiques abjects qu’il faudra éliminer, mais ces criminels n’auront plus le soutien de l’essentiel des dirigeants du monde arabe. Si Trump est réélu, l’Iran des mollahs ne pourra plus déstabiliser le Proche-Orient, et la Chine verra son avancée vers l’hégémonie mondiale considérablement freinée. Trump devra réfréner les ardeurs d’Erdogan : il le fera. Il ne le fait pas en ce moment parce que nous sommes en période électorale, mais la période électorale sera bientôt achevée, et s’il est réélu, il agira.

Le seul argument des démocrates : la pandémie

Riposte Laïque : En France, les détracteurs du Président américain expliquent qu’il a très mal géré la crise, et lui attribuent la responsabilité des 200 000 morts du Covid. Joe Biden paraît avoir fait de cet argument un des points forts de la bataille. Pensez-vous que cela puisse être efficace, voire déterminant dans le prochain vote ?
Guy Millière : Les démocrates n’ont aucun argument en leur faveur. Ils ont tenté de déstabiliser Trump depuis 2016, sans y parvenir vraiment. Ils ont mené une procédure de destitution fondée sur rien, comme je l’explique dans le livre, et l’ont fait en violant le droit et les procédures établies, et ils ont échoué. Le peuple américain sait que Trump avait permis qu’existe une économie qui se portait extraordinairement bien jusqu’en mars, et les démocrates savent qu’ils n’ont aucune crédibilité en ce domaine. Ils savent que Trump a mené une politique étrangère très fructueuse. Il ne leur restait rien avant la pandémie.

Il ont choisi d’utiliser la pandémie contre Trump, en disant, sans la moindre justification, qu’il a très mal géré les choses et qu’il est responsable des morts. C’est un mensonge total. La pandémie est venue de Chine, et la Chine a menti pendant des semaines en janvier-février : la responsabilité des morts partout sur terre incombe à la Chine. Par ailleurs, les États-Unis sont une fédération de cinquante États, et la gestion d’une catastrophe relève de la responsabilité des gouverneurs. Certains d’entre eux ont bien géré les choses, d’autres beaucoup moins bien. Le rôle du Président est de fournir les moyens d’agir et de superviser. Trump a fait les deux très efficacement. Les deux États où des gouverneurs ont très mal géré les choses sont l’État de New York et le New Jersey, et dans ces deux États, le nombre de morts par millions d’habitants est le plus élevé au monde : plus de 1 700 morts par million d’habitants.

On a prêté à Trump des propos qu’il n’a jamais tenus, tels ceux sur l’eau de Javel. Les gouverneurs d’États démocrates maintiennent jusqu’à ce jour des fermetures économiques qui n’ont plus lieu d’être, ce aux fins de créer de la pauvreté et d’incriminer Trump pour celle-ci. Joe Biden n’a rien fait pendant la pandémie sinon rester dans le sous-sol de sa maison. Quand il y a une bataille à mener, un chef doit être au front. Trump a été au front. Il a pris des risques, est tombé malade, a guéri, et les médicaments qui l’ont guéri sont gratuitement à la disposition de tous les maladies touchés par la pandémie (je le précise, car ce n’est pas dit en France). Rester dans son sous-sol n’est pas l‘attitude d’un chef, mais celle d’un lâche. Et vouloir donner des leçons après coup et après avoir fui est lamentable. Les démocrates n’ont jamais expliqué en quoi ils auraient fait mieux que Trump : ce qu’ils proposent est ce que Trump a fait depuis longtemps. Ils font régner la peur. Ils reprochent à Trump d’avoir tenu des propos rassurants au mois de mars : qu’aurait-il dû faire ? Dire aux Américains qu’ils allaient tous mourir, créer la panique, et s’enfermer à la Maison Blanche ?

Aujourd’hui, Trump tient des propos très optimistes, les démocrates tiennent des propos très pessimistes et parlent d’un retour au confinement si Biden est élu : c’est sur ce seul plan qu’ils ajoutent quelque chose à ce que Trump a déjà fait. Les Américains ne veulent pas d’un retour au confinement, car ils savent ce que serait le prix économique à payer. Je ne pense pas que l’utilisation de la pandémie par les démocrates va les aider. La peur marche chez certaines personnes, pas sur d’autres. Cela ne marche visiblement pas sur les électeurs de Trump, et ils sont nombreux.

Les minorités ethniques voteront Trump

Riposte Laïque : Vu de France, la situation est étonnante. Avant l’épidémie, le bilan du Président paraissait exceptionnel, au niveau économique. Les démocrates avaient désigné un candidat peu charismatique. Trump avait été innocenté de trois ans de campagne. Et il y a le Covid, des émeutes raciales, une situation insurrectionnelle, et on donne Trump battu ! Pouvez-vous nous expliquer tout cela ?
Guy Millière : Comme je l’ai expliqué, les sondages ne sont pas fiables et sont utilisés comme une arme politique. Effectivement, avant la pandémie, les démocrates avaient perdu sur tous les tableaux. Ils ont utilisé cyniquement la pandémie, en mentant et en désinformant. Ils ont utilisé les émeutes ensuite, et ils ont une très lourde responsabilité dans celles-ci. Les émeutes ont eu lieu dans des villes démocrates, seulement dans des villes démocrates, et les maires des villes concernées ont demandé à la police de leur ville de ne pas intervenir, ou très peu, ce qui a permis aux émeutes de prendre de l’ampleur. Ils ont soutenu Black Lives Matter et dit que les États-Unis étaient racistes et que Donald Trump et la police étaient l’incarnation même du racisme. Cela n’a pas marché. Les émeutes ont détruit des commerces qui appartenaient à des Noirs, et tué des enfants noirs. Près de quatorze pour cent des policiers sont noirs. La majorité des Noirs veulent le retour à l’ordre. Trump devrait obtenir deux fois plus de votes de Noirs qu’il y a quatre ans. Les démocrates ont utilisé l’insurrection, et je pense qu’ils ont perdu. Je n’ai pas les résultats de l’élection, bien sûr, mais je pense que Trump va l’emporter avec un vote record des minorités ethniques. Les démocrates auraient besoin, pour gagner, d’une mobilisation très forte des Noirs, des Hispaniques et des jeunes de moins de vingt-cinq ans (à qui des professeurs gauchistes ont lavé le cerveau). Je doute que cette mobilisation très forte soit au rendez-vous, sauf , peut-être, chez les jeunes de moins de vingt-cinq ans.

Donald Trump n’a pas encore vaincu l’État profond

Riposte Laïque : Pouvez-vous expliquer aux Français ce qu’est, aux États-Unis, la réalité de l’État profond, dénoncé par Donald Trump ?
Guy Millière : L’État profond est constitué de tous les gens mis en place par Obama pendant ses huit années de présidence dans tous les rouages de l’administration, dans la justice, dans les services de sécurité et de renseignement, dans les grands médias. Ces gens sont au service du projet de transformation révolutionnaire d’extrême gauche dont Obama était porteur, et qu’Hillary Clinton devait continuer à mettre en œuvre. Donald Trump est venu contrecarrer le projet, et ces gens se sont donné pour mission de le détruire. Il est, pour eux l’ennemi à abattre. Donald Trump est entré en politique précisément pour contrecarrer et déjouer le projet qu’ils servent et pour les éliminer. C’est une lutte à mort qui est engagée.

Donald Trump a marqué des points, mais il n’a pu, pour l’heure, pleinement vaincre l’État profond. Il a pu évincer et remplacer des juges fédéraux, mais il reste de nombreux juges fédéraux membres de l’État profond. Il a évincé James Comey et Andrew McCabe de la direction du FBI, mais leur remplaçant, Christopher Wray se conduit comme un membre de l’État profond, et si Donald Trump est réélu, il devra le remplacer très vite. Gina Haspel, que Donald Trump a placée à la tête de la CIA, se conduit elle-même comme un membre de l’État profond et devra être remplacée elle aussi. Les immenses crimes commis par l’administration Obama finissante n’ont pas fait l’objet de condamnations en justice. Jeff Sessions, le premier ministre de la justice de Donald Trump, s’est fait intimider par l’État profonde et n’a rien fait pour que ces crimes, commis par des membres de l’État profond soient punis. Il a abandonné la gestion de son ministère à Rod Rosenstein, qui a nommé Robert Mueller pour mener une enquête sur une inexistante “collusion avec la Russie”, destinée seulement à abattre Trump. Rod Rosenstein et Robert Mueller sont membres de l’État profond.

Le remplaçant de Jeff Sessions au poste de ministre de la Justice, William Barr, est plus fiable, mais le procureur John Durham, qu’il a nommé pour enquêter sur les crimes commis par l’administration Obama finissante n’a toujours pas rendu son rapport, et il semble que Durham a subi des pressions et des intimidations. Outre leurs buts politiques les membres de l’État profond ont des activités de corruption, et se défendent les uns les autres. La corruption de Joe Biden et ses liens avec la Chine sont avérés, mais l’État profond fait tout pour le protéger. Des preuves accablantes sont entre les mains de Christopher Wray, qui ne les a pas utilisées et a, au contraire, tenté de les enterrer.

Imaginez que le corrompu Biden puisse devenir président des États-Unis…

Riposte Laïque : Joe Biden paraît au cœur d’un scandale énorme, mêlant escroqueries et affaires de mœurs sordides, autour de son fils, mais aussi de sa propre personne. Les médias paraissent vouloir le protéger jusqu’au bout, bien qu’en France, Charles Gave parle d’un Watergate puissance 40. Pensez-vous que cela puisse ruiner ses chances ?
Guy Millière : Charles Gave, que je connais bien depuis longtemps, et pour qui j’ai une immense estime, a raison. Joe Biden est l’un des personnages les plus corrompus de la scène politique américaine et il est à la tête de ce qu’on peut légitimement appeler une famille criminelle. Il ne s’agit pas d’escroqueries, mais de choses bien plus graves. Joe Biden a pratiqué le trafic d’influences. Il a conditionné l’aide américaine à certains pays au versement de dizaines de millions de dollars à son fils et parfois à son frère, qui lui reversaient de l’argent. Il a infléchi la politique américaine envers la Chine en échange de sommes plus importantes encore. Tout indique que la Chine dispose de beaucoup d’éléments compromettants pour lui, ce qui en fait un homme tenu par une puissance ennemie.

La débauche et les multiples perversions de son fils Hunter, sur qui la Chine dispose de documents accablants, font qu’existent des moyens supplémentaires de chantage sur Joe Biden qui, des documents le montrent, était au courant d’actes de pédophilie de son fils et n’a rien dit. L’ordinateur que Hunter a abandonné un soir où il était dans un état second chez un réparateur du Delaware a été remis au FBI en décembre 2019. Christopher Wray n’a pas voulu incriminer la famille Biden et a caché l’existence de l’ordinateur depuis décembre 2019. Une copie du disque dur a été transmise à Rudy Giuliani, ancien procureur et ancien maire de New York, qui a décidé de rendre les documents publics. Ces documents sont accablants. Le New York Post et Fox News les ont publiés. Les autres grands médias, liés à l’État profond, refusent d’en parler. C’est très grave. La presse française n’en parle pas non plus parce qu’elle voudrait absolument que Joe Biden gagne. Elle a publié des éléments faux sur Trump pendant des mois, sans le moindre scrupule, elle refuse de publier des éléments vrais sur Joe Biden.

Imaginer qu’un homme corrompu et tenu par la Chine puisse devenir président des États-Unis dépasse l’entendement. Le parti démocrate savait qui est Joe Biden, et sait, en supplément que Biden est sénile, mais le parti démocrate a présenté Joe Biden quand même parce que nombre de dirigeants démocrates sont corrompus aussi, et savent qu’un homme corrompu ne les dénoncera pas, et ils sont eux-mêmes tout à fait prêts à vendre les États-Unis à la Chine. Les grands médias américains refusent de parler parce que leurs journalistes sont membres de l’État profond, tout comme leurs propriétaires, qui sont tout à fait prêts à se vendre à la Chine. Tout cela est prouvé. Seuls ceux qui pratiquent l’aveuglement volontaire peuvent dire le contraire. Tout ce que je dis est prouvé et dans mon livre, je cite des centaines de sources.

Biden n’a qu’une chance sur cent d’être élu

Riposte Laïque : Comment voyez-vous les quatre prochaines années des États-Unis, avec Trump au pouvoir jusqu’en 2024, et Biden au pouvoir durant quatre ans ?
Guy Millière : Je pense que Trump sera réélu, et je donne, je l’ai dit, une chance sur cent à Biden. Si Trump reste au pouvoir, le plein emploi et le dynamisme vont revenir aux États-Unis : c’est déjà en cours. La révolution Trump se poursuivra, et à l’échelle mondiale, tout ce que j’ai évoqué plus haut se poursuivra. Ce sera une bonne chose pour de nombreux pays, et entre autres, pour l’Europe et pour la France : combattre l’islam qui assassine en France impliquerait un gouvernement très différent du gouvernement actuel, et ce sera aux Français de s’en doter. Mais organiser des attentats comme celui du Bataclan sera impossible. Trump devra se donner les moyens de combattre plus efficacement l’État profond. Si Biden passe, le crépuscule viendra pour les États Unis, et le monde connaîtra des moments très turbulents et très sanglants. Xi Jinping, les ayatollahs iraniens, Erdogan, les islamistes, pourront se réjouir. Des gens comme Macron se réjouiront aussi : ils rêvent de se vendre à l’Iran et à la Chine, sans aucun scrupule. Les journalistes français, pour la plupart, se réjouiront aussi : ils seront une fois de plus complices du pire. Je serai inquiet pour le futur de la civilisation occidentale.

Si les États-Unis tombent, tout est fini

Riposte Laïque : Question indiscrète, Guy. Vous avez quitté la France, avec votre épouse Keltoum, pour vivre aux États-Unis. Si Biden gagnait, quitteriez-vous ce pays ?
Guy Millière : Je ne peux répondre pour le moment. Je pense que les États-Unis sont la puissance majeure du monde occidental et qu’il faut se battre aux États-Unis pour s’efforcer de sauver le monde occidental. Si les États-Unis tombent, tout est fini. La vie aux États-Unis serait plus difficile que sous Donald Trump, mais il faudrait que la vie devienne intenable pour que je renonce et que je rentre en Europe. Cela, en tout cas, ne fait pas du tout partie de mes projets. Je voulais revenir en France pour rencontrer des amis et donner quelques conférences, la gestion de la pandémie m’en a empêché. Je pourrais sortir des États-Unis et y retourner, mais rentrer en France et en sortir ensuite pourrait être compliqué, ce qui est absurde à mes yeux, et je ne pourrais de toute façon ni rencontrer des amis ni donner des conférences.

Riposte Laïque : Quelle est la meilleure façon de se procurer votre dernier livre, « Après Trump ? » ?
Guy Millière : Le livre est en librairie, mais les conditions créées par les décisions ineptes et arbitraires prises par Macron font que c’est sans doute plus facile en commandant en ligne, outre Amazon, qui a ces derniers temps fait de la rétention, il y a la Fnac, d’autres sites, et le site de la maison d’édition, Balland.

Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Guy ?
Guy Millière : Je continuerai à soutenir le combat de Riposte Laïque, et je souhaite très vivement que les Français se dotent d’un Président digne de ce nom, qui agisse pour redresser la France, faire le nécessaire face à l’islamisation du pays, et réaffirme les valeurs de la civilisation occidentale. Si Trump est réélu, un tel Président sera très naturellement un ami des États-Unis sous une administration Trump. La civilisation occidentale est menacée, les forces pour la défendre doivent agir en synergie pour espérer gagner.

Riposte Laïque

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