Il suffirait que 1 % de Français s’engage dans la bataille, et la guerre serait gagnée

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Riposte Laïque

Je voudrais aujourd’hui évoquer deux notions qui sont devenues l’alpha et l’oméga de la société qu’on a voulu nous fabriquer et dans laquelle on prétend nous enfermer à tout jamais : la coexistence, et la paix – entendues comme l’interdit pour nous de la violence.

La coexistence et l’éternel naufrage
Pour évoquer la coexistence, je citerai d’abord un expert en la matière, le quotidien libanais “l’Orient-le-Jour” qui aimerait tant, depuis des décennies, que la coexistence fonctionne, mais qui n’est pas loin d’en désespérer. Récemment on y écrivait, à propos d’un film documentaire intitulé « Le Liban, l’épreuve du chaos », ceci : « Amal Moghaizel entreprend une démarche d’historienne, d’analyste et d’accompagnatrice de la voix du peuple. « Pourquoi un pays avec de tels atouts, avec tant de talent, vit-il un éternel naufrage ? » se demande-t-elle. Avec un travelling arrière, elle sonde les disparités, les complexités et les contradictions d’un pays qui, pour certains, serait un miracle, pour d’autres un échec, et finalement qui s’acharne à se piquer, tel un scorpion avec sa queue. Avec elle, les vieux clichés tombent, les non-dits se dévoilent : « Et si, dès le début, cette formule de la coexistence n’était pas viable, ou était à double tranchant, comme l’évoque l’académicien Amin Maalouf établi depuis presque 45 ans à Paris ? Peut-être que le ver était déjà dans le fruit depuis longtemps, reprend en écho la réalisatrice.»

La coexistence conduit au chaos
La coexistence non dite, c’est bien sûr celle de l’islam et du christianisme, de la société civile et de la charia. Pour que le très discret et consensuel Amin Maalouf, qui refusa de prendre parti dans la guerre du Liban et préféra l’abri et le confort de Paris, formule un aveu pareil, il faut que l’évidence ait été si criante qu’il ne put pas faire autrement que de la dire. De fait, la formule de la coexistence ne conduit inéluctablement qu’au chaos, au chaos destructeur qui anéantit la civilisation et qui n’a rien d’un Big Bang créateur car, contrairement à l’utopie trotskiste, il n’en sort rien d’autre que l’échec et son cortège de ruines peuplées de fantômes.

Quand l’ablation est solution 
Et la paix, maintenant ? La paix est-elle le bien absolu? Il est admis aujourd’hui que la paix entre les nations ne serait pas toujours éternellement souhaitable – quand elle est le mauvais fruit de l’esprit de Munich. Mais la paix civile ne peut-elle pas aussi procéder de ce même esprit munichois, de cet esprit d’abandon et de lâcheté ? La paix civile justifie-t-elle toutes les acceptations, au titre d’un rejet de la violence ? La violence est la rupture de la paix civile. Elle peut se transformer en guerre civile, mais celle-ci est-elle aussi le mal absolu ? La violence est mauvaise quand elle est le modus operandi du crime et du délit. La bonne violence est parfois nécessaire, elle s’impose même à titre défensif, à titre curatif. Quand les médicaments sont inopérants, il faut opérer, et l’ablation peut s’imposer. Cette violence faite au corps social peut être justifiée, et même devenir de toute première nécessité pour en sauver l’essentiel.

Répéter l’exemple algérien
Faut-il donc souhaiter résoudre le problème de l’immigration par un référendum, des lois, pacifiquement, sans violence ? Est-ce possible ? Pour une action aussi radicale que celle opérée par le FLN en 1962, avec la bénédiction de De Gaulle, de l’Onu, de tous les bien-pensants du moment, à savoir l’expulsion brutale de 15 % de la population algérienne, aucune loi n’a été nécessaire. La violence a réglé le problème. Si c’était un crime historique, sa répétition est interdite. Mais puisqu’il s’agit d’un acte de libération hautement – et tacitement – accepté et assumé par les moralistes de notre époque, qu’est-ce qui nous empêcherait de l’imiter ? Nous voulons, nous aussi, simplement nous retrouver maîtres chez nous, entre nous. Si c’était un crime historique, j’attends de ceux qui l’ont commis, et qui règnent toujours à Alger depuis 1962, excuses, repentances, indemnisations, et restitutions de biens. Mais en soixante ans, non seulement nous n’avons jamais entendu le moindre mot d’excuse, mais il a fallu se farcir leurs quotidiennes accusations de crimes que nous, nous aurions perpétrés ! Alors, je dis à ces criminels sans vergogne : qu’ils ferment leur gueule si un jour leur sont renvoyés cinq millions des leurs – ils n’ont rien fait d’autre.

Milices : la grande peur du pouvoir
Pour obtenir ce résultat, il nous manquerait juste les milices armées dont la violence provoqua le départ des 15 % de la population d’Algérie, et une police qui reste enfermée dans ses casernes quand se déroule l’action d’expulsion. Les milices se constituent d’elles-mêmes, s’organisent de manière autonome, et personne ne les convoque. Elles sont le produit d’une nécessité historique et d’initiatives individuelles, dans une population où le sens de la responsabilité, de la gestion du groupe et de sa logistique, est inné. Quand ces compétences manquent, comme dans le cas de l’Algérie, une aide extérieure est requise. Les milices ne surgissent pas nombreuses et armées, du néant. Elles se forment comme les Gilets jaunes se sont constitués. Pas plus compliqué que cela, et pour le matériel, elles commencent avec ce qu’elles ont à la maison. Et c’est bien ça qui, dans l’affaire des Gilets jaunes, a fait peur au pouvoir et qui explique la brutalité de sa répression : il a découvert avec effroi que des milices pourraient très rapidement se former en France. Il suffirait que le tabou de la violence tombe chez les Français de souche. Une milice populaire, c’est des Gilets jaunes armés.

La guerre n’est pas du ressort de la police
La police, quant à elle, est classiquement le premier adversaire d’un peuple qui se dresse pour sa libération. Pourtant, la police a pour but originel d’apporter la sécurité aux honnêtes gens. Or, le pouvoir qui nous gouverne aujourd’hui, et auquel elle obéit, est malhonnête et mauvais. La justification morale ne tient donc plus. Pire, il s’est comporté en criminel, par sa gestion de la crise sanitaire, et en acculant au désespoir, et parfois au suicide, une foule nombreuse d’entrepreneurs et commerçants. Et si la police perd son rôle moral, elle perd aussi le moral – pourquoi y a-t-il autant de suicides dans la police ? Pour un grand nombre de policiers, devenir une milice au service du mal est insupportable. Démoralisée, démotivée, notre police paralysée se retrouve enfermée dans ses casernes et dans tous les interdits qui la ligotent. Comment irait-elle s’opposer à l’émanation armée d’un peuple assoiffé de libération ? La guerre n’est pas de son ressort. Elle recule au son des rafales.

Le vent de l’Histoire est en train de tourner
Dans un contexte de guerre civile, l’armée, pour ne pas se scinder, n’intervient guère. Son métier, c’est combattre l’ennemi étranger ou les terroristes. Tiens justement, parlons de terroristes ! Est-ce que le FLN est aujourd’hui classé organisation terroriste ? S’il le fut durant les années 50, il eut le privilège d’être ensuite élevé au rang d’interlocuteur officiel de la France, et ses chefs, fiers de leurs crimes, devinrent ministres ou chefs d’État. Le terrorisme n’est pas toujours le chemin de l’opprobre, il est aussi parfois celui des honneurs selon la direction où souffle le vent de l’Histoire. Et moi, au doigt mouillé, je vous dis que ce vent-là est en train de tourner en la faveur de ceux qui sont prêts à imiter le FLN dans son action libératrice. Mais nous sommes gens civilisés et si nous usons de la violence, même en provoquant la peur chez l’ennemi, nous n’agissons pas en terroristes, car nous ne frapperions jamais aveuglément une population civile, comme le faisait quotidiennement le FLN, et nous n’égorgerions pas lâchement des gens dans les rues comme les racailles d’Afrique du Nord et du Sahel le font tous les jours sur le sol français. Mais nous savons montrer ce qu’est la vraie force, et la violence juste, celle du fort, pas du lâche.

Nos enfants seuls au front
Et qu’on ne me dise pas que ma référence au FLN serait bancale, car « c’était la guerre, n’est-ce pas… » Car ce n’est pas la guerre, ici ? Si vous n’êtes pas convaincus que nous y soyons déjà, et si c’est là votre souci, la guerre, soyez rassurés : ceux qui nous ont envahis vont tout faire, et un peu plus cruellement chaque jour, pour que vous compreniez que vous y êtes déjà. Nos enfants, qui se font égorger pour un regard ou un clope, l‘ont bien compris. Mais ils sont pour l’instant seuls au front. Mais beaucoup de leurs parents ont la tête trop profondément enfoncée dans le sable de la lâcheté, laquelle s’habille volontiers des oripeaux du pacifisme, pour entendre un appel aux armes. La Libération se passera d’eux. Et d’ailleurs il suffirait que 1 % des Français s’engage dans la bataille, car son ennemi est très lâche, et, l’histoire en témoigne, fort peu adroit à la guerre. Nous l’avons toujours facilement défait.

Emmanuel Albach

Je n’ai pas « mal à ma France », j’ai mal pour la France…

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Source : Boulevard Voltaire

Jamais le spectacle d’une France à deux vitesses ne sera apparue de façon si prégnante qu’aujourd’hui. Durant des semaines, les Français ordinaires, la France bien élevée, se sont pliés docilement sans moufter à des règles aussi ubuesques que tatillonnes auxquelles n’auraient même pas osé penser Ionesco ni Devos : verbalisés pour défaut d’auto-attestation – comment être sûr, sans cela, qu’ils aient été d’accord avec eux-mêmes pour se déplacer ? Qu’ils n’aient pas pris cette décision sans même s’être demandé leur avis ? -, autorisés à acheter des tringles à rideaux, mais pas les rideaux, des pyjamas 18 mois mais pas 4 ans, des journaux mais pas des livres, des jouets pour le chien mais pas pour les enfants, interdits de culte – les fidèles ont droit de rentrer dans l’église, les prêtres aussi, mais les prêtres n’avaient pas le droit de célébrer la messe devant les fidèles… -, voilà qu’enfin, on leur « desserre la bride ». D’un chouia. Devant les commerces, des files dignes de l’Ukraine des années 50 s’étirent sur le trottoir, un employé tient le compte des clients à l’intérieur. Avec largesse, autorisation a été donnée d’aller se promener jusqu’à 20 kilomètres. Le culte est à nouveau autorisé, mais quelle que soit la nature de l’église, chaque messe ne pourra pas accueillir plus de 30 personnes. Pourquoi ? Parce que.

Nous sommes samedi, il est 15 heures, un avocat, un gros dossier sous le bras, attend donc sagement dans les locaux feutrés du Conseil d’État que l’on statue sur le référé-liberté déposé contre cette jauge de 30 fidèles.

Pendant ce temps, une marée humaine a envahi les rues de Paris pour une marche dite des libertés, contre la loi « de sécurité globale » sur laquelle il y aurait, sans doute, fort à dire mais qui ne justifie en aucun cas les exactions perpétrées : Banque de France incendiée, voitures et motos brûlées, vitrines de magasins fracassées, parfois sans réaction des forces de l’ordre. Face à l’assaut des Black Blocs et autres, des images nous montrent celles-ci dépassées, elles battent en retraite, des CRS tombent dans la débâcle. N’ont-elles pas les moyens matériels de résister ou sont-elles psychologiquement désarmées par des jours de pilonnage anti-police, des « J’ai mal à ma France » et des « Ces images nous font honte » ? Une immense banderole affiche d’ailleurs sans complexe : « La police mutile, la police assassine. » En tête de cortège, Assa Traoré, qui prendra la parole.

L’idée traverse peut-être certains qu’il vaut mieux risquer mourir physiquement sous les coups des manifestants déchaînés qu’être lynché médiatiquement par un geste de défense malheureux. Et peut-être ceux qui les commandent pensent-ils, sans l’avouer, la même chose.

Les forces de l’ordre sont dépassées par les manifestants #marchesdeslibertes #Paris #manifestation pic.twitter.com/BJgpTQA1aN

— Amar Taoualit (@TaoualitAmar) November 28, 2020

Le gouvernement soutient les forces de l’ordre comme la corde soutient le pendu. L’extrême gauche, arbitre des élégances et de la morale, a mené une fois de plus la danse, a fait monter la mayonnaise, transformé un passage à tabac aux circonstances encore obscures en preuve systémique. Et l’exécutif court derrière. En fait des tonnes. Met de l’huile sur le feu au prétexte de se dédouaner. Oublie de rappeler qu’il y a une semaine, un gendarme en civil, dans les Pyrénées-Orientales, a été roué de coups sur un parking de supermarché, devant sa compagne, pour avoir révélé la nature de son métier. Qu’un commissariat, encore hier, a été incendié à Cahors. Tout cela est bon pour la presse régionale. Mal informer, ce n’est pas seulement produire des « fake news », c’est aussi faire des « no news » et des « mega news » : occulter ceci et amplifier cela, quand bien même les deux faits seraient d’égale importance.

La France n’est pas seulement l’Absurdistan. Elle était aujourd’hui l’Injustistan et l’Anarchistan. Je n’ai pas « mal à ma France », j’ai mal pour la France…

Une femme de 83 ans violemment agressée par cinq individus dans sa maison à Marck (Pas-de-Calais)

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Des attaques de plus en plus régulière ces derniers temps. Faut-il y voir notre future en France ? Toute personne vulnérable (âgée, handicapée, faible…) se ferait attaquer par des individus venus d’on ne sait où, prêts à tuer pour récupérer d’hypothétiques valeurs. Et la police dans tout cela me direz-vous ? De moins en moins présente, de moins en moins de moyens, de plus en plus décriée….Pauvre France !

Une femme de 83 ans a été violemment agressée par cinq individus qui ont fait irruption dans sa maison à Marck (Pas-de-Calais) ce mardi. Ces derniers qui sont âgés de 17 à 21 ans, doivent être jugés ce vendredi.

Une octogénaire qui habite dans le rue de l’Âge-d’Or à Marck, a été victime d’un violent home-jacking ce mardi soir vers 21 heures rapporte La Voix du Nord. Les cinq agresseurs ont pénétré dans la maison de la victime et l’auraient ensuite poussée, étranglée et mis dans un placard pour l’empêcher de donner l’alerte en criant.

(…)

La police a été alertée et une patrouille a repéré le véhicule volé dans la soirée, vers 23 heures. Les suspects ont tenté de prendre la fuite mais ont été interpellés après une course-poursuite, avant d’être placés en garde à vue.

Ils sont âgés de 17 à 21 ans, l’un est mineur. Ces derniers ont été déférés au parquet et le plus jeune devant un juge pour enfant. Les mis en cause doivent être jugés ce vendredi. L’homme âgé de 21 ans qui se trouvait au volant lorsqu’il a été interpellé, est déjà connu de la justice pour des faits de vol avec violences. Il avait été condamné à plusieurs mois de prison dans cette affaire précise le quotidien.

Actu 17

La chanson du jour, Looking Too Closely – Fink

Expliquez moi pourquoi, quand j’écoute ce morceau je n’ai qu’une envie c’est faire mes valises, conduire vers nulle part et tout oublier ! Bon c’est surement dû à la période actuelle qui reste très pesante. Prenez soin de vous.

Féminicides : on leur dit quand, la vérité ?

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Mercredi, c’était Journée internationale contre les violences faites aux femmes. Pourquoi pas ? L’intention est bonne, mais la journée… ratée.

Comme les autres années, des associations féministes ont bravé le confinement pour descendre dans la rue et dénoncer « les regards sexistes », « les gestes déplacés », « les viols », « bien plus souvent le fait d’un époux, d’un père ou d’un ami ». Pour Le Monde, c’est dans son foyer que la femme est le plus sûrement exposée au danger : « Chaque année en France, quelque 220.000 femmes subissent des violences conjugales et 93.000 sont victimes de viol ou de tentative de viol. »

Emmanuel Macron est bien au fait des choses ; il s’est fendu d’une vidéo sur les réseaux sociaux « à toutes celles qui ont encore peur de quitter leur foyer, je veux qu’elles sachent qu’elles ne se retrouveront pas seules ». Présence de Marlène Schiappa oblige, le gouvernement a renforcé les dispositifs d’alerte pour les femmes en détresse dont le nombre a augmenté pendant le confinement.

Dans l’hémicycle quasi vide du Parlement européen, Manon Aubry, poignante, a longuement égrené les noms des 86 femmes qui, depuis janvier, sont mortes « sous les coups de leurs conjoints ou ex-conjoints : Raymonde, 84 ans, Anne-Sophie, 48 ans, Laetitia 31 ans… ». Liste macabre mais le compte n’y est pas. Poussons les murs du foyer et parcourons la presse ; rien que pour ces derniers jours :

– Nadine, 60 ans, et Simone, 44 ans, assassinées sauvagement dans une église de Nice, en octobre ;

– Victorine, 18 ans, assassinée à Villefontaine, en Isère, le 28 septembre ;

– plusieurs femmes agressées à Villeurbanne entre le 21 octobre et le 2 novembre par un jeune de 18 ans en situation irrégulière ;

– deux femmes violentées en août, à Poitiers, par des migrants afghans disposant depuis peu du « statut de réfugié » ;

– quatre lycéennes agressées au couteau par un mineur afghan à Martigues ;

– une quinquagénaire agressée en pleine rue par un Roumain à l’Etang-la Ville (mois d’août) ;

– une femme de 92 ans agressée et volée à Levallois-Perret (le 26 novembre) ;

– il y a quelques jours, à Rennes, une femme de 78 ans, percutée lors d’un rodéo urbain, laissée pour morte ;

– le même mois, à Nantes, une conductrice de tram braquée avec un pistolet pour avoir rappelé le port du masque à des passagers indélicats ;

– à Besançon, une jeune musulmane tondue et battue par sa famille parce qu’elle fréquentait un chrétien ;

– dans le Val-de-Marne, une maîtresse d’école mordue et frappée par un très jeune élève… Il s’appelait Jihad.

Et puisque mercredi, c’était aussi la date d’une triste commémoration, citons Anne-Lorraine Schmitt, assassinée, il y a 13 ans, dans le RER. Elle avait 23 ans. Cette militante journée de lutte contre les violences faites aux femmes aurait pu être un peu la sienne, non ? Pourquoi juste ne pas avoir évoqué son assassinat ? L’ensauvagement, la montée de la délinquance, c’est si difficile à exprimer ? Et puis, il y a cette tache, indélébile, qui risquerait de remonter à la surface : le général Schmitt, son père, épinglé sur le mur des cons…

Souvenons-nous, aussi, de Nathalie Jardin, 31 ans, morte dans la tuerie du Bataclan. Sa mémoire mérite d’être rappelée, ne serait-ce parce que son père, dans son infatigable combat, désigne, lui, les vraies causes de son assassinat…

Parce que le sexisme a bon dos. Qu’il n’est pas « à coup sûr » le responsable du malheur des femmes. Mais pour le penser et pour le dire, il faut du courage, beaucoup même. Il faut accepter de quitter le carcan idéologique de l’angélisme pour pouvoir regarder la réalité bien en face : le laxisme judiciaire, l’aveuglement de nos dirigeants, le sans-frontiérisme, l’ensauvagement de la société, le terrorisme islamiste, le mépris affiché d’une certaine religion à l’égard des femmes sont les premiers responsables des agressions, des viols, des meurtres des femmes, et rien n’est fait pour mettre un terme à cela.

Les pudeurs et mensonges par omission des Marlène Schiappa, Manon Aubry, Caroline De Haas, Alice Coffin et autres Chiennes de garde ne servent à rien, si ce n’est à desservir la cause des femmes. On leur dit quand, la vérité ?

La sadique mise à mort des stations de ski

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Ce n’est pas la covid-19 qui détruit notre futur, mais les mesures sanitaires contraires à l’état de la science qu’on nous impose.

La fermeture des remontées mécaniques n’est pas une mesure sanitaire.

Il n’y a aucune étude scientifique qui montrerait que la fermeture des remontées mécaniques puisse ralentir l’épidémie. Cette mesure repose sur la foi du cabinet secret qui gouverne la France sans aucun débat démocratique, pour qui l’ennemi est le bonheur de se retrouver en famille et l’économie. Pourtant l’air pur des montagnes (comme celui des grandes plages) et les activités sportives de plein air représentent des moyens connus et soutenus par la médecine préventive pour améliorer sa forme physique et diminuer le risque des comorbidités qui rendent plus dangereuse la covid-19 (cardiopathies, obésité, diabète).

Les skieurs ne constituent pas une population à risque

La fréquentation des remontées mécaniques montre que ceux qui les utilisent ne sont pas des personnes à risque : peu de personnes de plus de 75 ans et peu de pensionnaires d’Ehpad –  malheureusement pour eux.

L’âge et l’état physique des skieurs font que la covid ne présente quasiment aucun risque dans leur cas ; les enfants et adolescents risquent 3 fois moins de la covid que de la grippe saisonnière [1] et il n’existe aucune preuve qu’ils puissent transmettre la maladie [2].

Chez les moins de 20 ans, et jusqu’à 65 ans, la maladie est très généralement bénigne. Si les sujets se contaminent, ils s’immunisent pour la vie durant quant à ce virus, sans s’exposer aux risques d’accident d’un vaccin bâclé mal étudié et utilisant une technique inédite chez l’homme (injection d’ARN messager – typique de la thérapie génique).

Quelle logique pourrait expliquer l’interdiction des transports en cabines de remonte-pente (sous prétexte que ce serait dangereux), quand, dans le même temps, on fait la promotion de transports publics bondés afin d’aller au travail ? On surfe sur le ridicule et le grotesque, si ce n’est sur la vague ou la neige !

Castex méprise les études de l’Inserm

Le Comité scientifique prétend se fonder sur la science pour prendre ses décisions. Et le “Figaro” [3] et l’AFP, pour défendre cette fermeture, ciblent les stations de sport d’hiver dans les termes suivants : « C‘est aussi là qu’un des premiers foyers épidémiques avait été identifié l’hiver dernier, aux Contamines ». Raté !  Ils oublient de préciser que le foyer épidémique s’est limité à UN chalet contaminé par un Britannique, super-contaminateur ayant contracté la maladie à Singapour, et que celle-ci ne s’est pas répandue alentour. Dommage pour la qualité des infos reprises par le quotidien…

De plus, le risque de contagion lors des sports d’hiver a été soigneusement évalué par l’Inserm lors de l’étude portant sur l’enfant des Contamines [4]. Une enquête minutieuse réalisée par près d’une trentaine d’infectiologues, de pédiatres, d’épidémiologistes et de statisticiens a établi que ce jeune patient avait été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans 3 écoles et une école de ski. Ces “contacts” ont été placés en quarantaine chez eux, car considérés à haut risque. Encore raté ! Cet enfant n’a contaminé personne, pas même les deux autres enfants de sa fratrie. En revanche, d’autres virus hivernaux comme la grippe ont été détectés chez près des deux tiers (64 %) des contacts testés.

Accuser la pratique des sports d’hiver de propager le virus montre que Monsieur Castex ne lit pas les rapports de l’Inserm, ou qu’il ne leur fait pas confiance. Alors, pourquoi les commander ?

Une perte supplémentaire de 2 milliards € pour l’économie

Du fait des confinements et des mesures prétendument sanitaires, la France se retrouve à l’une des plus mauvaises places mondiales des perspectives annuelles de l’économie, avec une diminution de PIB prévue entre 11 et 14 %.

 On coule l’économie des classes moyennes … : “Notre projeeeet” ?

Plus de 1 350 stations françaises de sports d’hiver emploient environ 120 000 saisonniers et rapportent plus de 10 milliards € à l’économie nationale. L’avant-saison et Noël représentent près du quart de cette manne. C’est donc plus de 2,5 milliards que cette fermeture des remontées mécaniques va coûter à l’économie dans l’immédiat.

Et beaucoup plus, à terme, car le gouvernement prévoit déjà un troisième confinement en février ! À nous de l’en dissuader par la mise en évidence pour une population de plus en plus large de la fraude Covid en tentant de rassurer les gens, et surtout en mettant au jour l’arnaque des tests covid et donc celle de leur pratique extensive. [5]  [6] Sans oublier de convaincre de faire abandonner la muselière, qui bloque autant la parole que la pensée – par sa portée symbolique !

La clientèle interdite de France cette année irait donc dans les stations suisses ou autrichiennes, et risque de ne plus revenir rapidement dans nos montagnes.

Les hôtels, les loueurs de matériels, les entreprises de remontées mécaniques sont menacés de faillite. Leurs saisonniers privés d’emploi et non indemnisés du fait de leur absence de statut devraient voir leur misère s’accroître.

Et tout ça pour une décision prise sans raison médicale prouvée, sans débat démocratique, par la seule volonté d’un cabinet noir de personnes inconnues, non élues, et dont certains membres pourraient n’être pas motivés par l’intérêt de la population, mais bien par celui de leurs sponsors.

Ou alors, s’agirait-il de faire plaisir à Angela Merkel, qui a fermé ses propres stations de sports d’hiver et craindrait la concurrence française, en matière touristique ?…

L’OMS appelle à arrêter les confinements

Le Dr David Nabarro, de l’OMS, a demandé aux dirigeants du monde « d’arrêter d’utiliser le confinement comme méthode de contrôle principale du coronavirus… » « Les confinements n’ont qu’une seule conséquence, que vous ne devez jamais minimiser, c’est de rendre les pauvres beaucoup plus pauvres ».

Mais notre gouvernement persiste.

Nos voisins italiens ont tiré les leçons de la crise et embauché depuis 6 600 médecins et 14 500 infirmiers. Pour 2021, le gouvernement investit une enveloppe de 4 milliards d’euros dans la santé [7]. Une partie de l’allocation avait été promise pour embaucher 30 000 médecins et soignants à durée déterminée – c’est désormais confirmé par l’exécutif.

En France, le gouvernement n’a pas utilisé le répit de l’été pour renforcer l’hôpital en le libérant de la bureaucratie tatillonne des ARS, ni pour rééquilibrer ses ressources, protéger les travailleurs de la santé, rouvrir des services ou des hôpitaux fermés, embaucher des soignants (ni pour les motiver en les augmentant).

L’AP-HP a fait mieux, en fermant l’Hôtel-Dieu – et pour soutenir les soignants, s’est contentée de lancer un appel aux dons.

Le système hospitalier étant dans un état pire qu’en février, en particulier en raison de multiples démissions d’infirmiers et aide-soignants, le gouvernement craint à nouveau la saturation des urgences et ressort la seule solution de camouflage qu’il connaisse, le confinement aveugle. Le refus d’investir quelques milliards dans la restauration des hôpitaux et la bonne gestion de leur personnel est la cause immédiate du deuxième confinement et des mesures prétendument sanitaires, en fait inutiles, mais destinées à faire croire à la population qu’il se bat contre la covid-19.

Le coût économique et social de ce deuxième confinement et des mesures ubuesques qui le suivront va être plus dévastateur que le premier, en particulier pour les catégories déjà fragilisées par ce dernier : petits entrepreneurs et petits commerçants, professions libérales, salariés sans statut pérenne (intermittents, saisonniers, non déclarés). Les Restos du cœur [8], le Secours populaire [9] et le Secours catholique [10] sont déjà submergés par de nouveaux allocataires et craignent de ne pas pouvoir faire face.

Les échecs des confinements aveugles

La stratégie du confinement et des mesures sanitaires liberticides est un échec dramatique sur le plan sanitaire. Il n’y a pas 60 000 citoyens virtuels sauvés, comme l’a prétendu une simulation mensongère [11] [12] [13] [14] vraisemblablement commandée par le gouvernement et claironnée par monsieur Véran devant le Parlement, mais au moins 35 000 morts de la covid de plus qu’en Allemagne [15] et plusieurs dizaines de milliers de victimes collatérales par arrêt des soins, violences familiales, suicides…

C’est aussi une catastrophe scolaire et universitaire, avec 6 mois d’enseignement gâchés, et 10 à 20 % de “décrocheurs” dont on ne sait pas comment les remettre à étudier.

C’est également une catastrophe sociale avec l’approfondissement abyssal de la fracture à cet égard entre deux catégories de Français : ceux dont le salaire est garanti lorsqu’ils ne font rien, et ceux pour lesquels l’interdiction de travailler conduit à la misère, au désespoir et parfois au suicide. La multiplication des informations sur Twitter à propos de suicides de jeunes entrepreneurs montre l’accélération du phénomène suivant le désespoir engendré par les allocutions récentes du chef de l’État, puis de son Premier ministre. Qu’en attendaient-ils ?… En tous cas, les drames se succèdent à toute vitesse.

C’est la création de la plus grave crise économique depuis 75 ans – avec la perspective de décrocher les (tristes) records mondiaux, à la fois de baisse du PIB, et d’augmentation du chômage, de la misère, et de la dette publique.

Président Macron, ouvrez les yeux sur le monde réel !

Laissez nos enfants vivre pour étudier, faire du sport, rencontrer librement ceux de leur âge, aimer, et apprendre à devenir des citoyens libres et responsables. Ils ne craignent rien de la covid et ne sont pas des menaces pour les autres, car ils ne contaminent personne.

Laissez-nous vivre libres pour redresser le pays. L’exemple tant décrié de la Suède qui n’a pas confiné et qui compte 15 % de moins de morts par million d’habitants que nous [16] (778/M en France contre 655/M en Suède) et peu de morts collatéraux, montre que respecter la démocratie et sauver l’économie ne nuit pas à la santé, bien au contraire.

Laissez-nous vivre de notre travail, et non plus d’aumônes qu’on ne pourra pas rembourser à nos prêteurs !

Redonnez à la France et aux Français la liberté qui leur a été confisquée pour de mauvaises raisons et qu’ils pourraient vouloir reconquérir par la violence, comme leurs ancêtres l’ont fait.

Redonnez à la France et aux Français la démocratie abolie par un état d’urgence permanent.

Ouvrez les yeux sur le monde réel. Rouvrez tout : les commerces, les universités, les églises, les restaurants, les spectacles et les sports d’hiver ! Laissez tomber les masques, les tests PCR faux. L’épidémie est terminée et s’il apparaît quelques malades, laissez les médecins les soigner avec tous les moyens à disposition, dont l’hydroxychloroquine utilisée dans énormément de pays du monde.

Voulez-vous apparaître dans l’Histoire comme le tyran qui a trahi notre devise “LIBERTÉ  ÉGALITÉ FRATERNITÉ”, et la DÉMOCRATIE, dont vous rappelez souvent, pour nous flatter, que notre pays a été l’un des berceaux ?…

Nicole Delépine, Riposte Laïque

[1] D’après Santé publique France sur plus de 7 millions d’enfants et d’adolescents de moins de 15 ans il n’y a eu que 3 décès covid-19 contre 8 à 10 de la grippe saisonnière chacune des 3 dernières années.

[2] « Non, les enfants ne transmettent pas le Sars-cov-2 », selon le Dr Gérard Delépine – Nexus  « Sur les plus de 4 950 articles ayant pour sujet l’enfant et la Covid (mots-clés : Children covid-19) répertoriés par PubMed le 21/09/2020 et les 855 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants (mots-clés : children transmission of covid-19), aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel. Ces articles confirment que la covid-19 est rare et presque toujours bénigne chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par leurs camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques, comportementaux et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité. L’agence statistique norvégienne a ainsi évalué les dommages permanents causés aux élèves par les fermetures d’écoles : « chaque semaine d’enseignement en classe refusée aux élèves freine les chances de réussir sa vie et réduit de façon permanente le potentiel futur des revenus ». Analyse confirmée par une étude de l’université de Southampton chez les enfants anglais.

[3] L’Allemagne met la pression sur l’UE pour interdire les séjours de ski – in “Le Figaro” du 26/11/20.

[4] Kostas Danis et Al Cluster of coronavirus disease 2019 covid-19) in the French Alps, 2020

[5] Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

[6] Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR (francesoir.fr)

[7] https://lepetitjournal.com/milan/actualites/budget-2021-litalie-prevoit-39-milliards-supplementaires-290573

[8] Patrice Blanc (Restos du cœur) : « la plus grande vague de la pauvreté est à venir ! » 23/11/20 https://www.lefigaro.fr/social/patrice-blanc-restos-du-coeur-la-plus-grande-vague-de-la-pauvrete-est-a-venir-20201123

[9] Depuis le confinement « Les bénévoles font face à une augmentation soudaine allant de 15 à 50 % dans certains départements » https://www.secourspopulaire.fr/pauvrete-precarite-pp

[10] Pauvreté : le Secours catholique dénonce une situation « dramatique » 12/11/20 https://www.lepoint.fr/societe/le-secours-catholique-denonce-une-situation-dramatique-dans-son-rapport-annuel-sur-la-pauvrete-12-11-2020-2400698_23.php

[11] Éric Le Bourg, Quentin de La Rochelambert, Jean-François Toussaint. Étude critique d’une modélisation des effets du confinement. Journal International de Médecine (en ligne : jim.fr), 2 mai. 2020. ffhal-02560574f

[12] https://ripostelaique.com/le-confinement-na-pas-sauve-61-000-vies-mais-il-a-engendre-trop-de-morts.html

[13] La modélisation qui annonce 60 000 vies sauvées grâce au confinement démontée dans le Journal international de médecine (06 mai 2020).

[14] Gilles PECH de LACLAUSE, Arnaud DELENDA, Lana AUGUSTINCIC Non Pharmaceutical Interventions “NPIs”, Hospital overload And excess mortality Statistical analysis and mathematical study of the NPIs in”Covid 19″ outbreak https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3598484

[15] Avec au 27/11, d’après l’OMS dashboard : 186 morts/million en Allemagne contre 778/M en France.

[16] D’après les données de l’OMS du 28/11/2020 OMS covid-19 Dashboard.

Mobilisation dans toute la France contre la loi Sécurité globale, violents affrontements à Paris / Direct Live

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Par milliers, les opposants à la loi Sécurité globale se mobilisent ce 28 novembre 2020 dans tout le pays. A Paris, la manifestation, autorisée en dernière minute, a viré à l’affrontement avec les forces de l’ordre.

RT – LIVE

France 2 obligée d’annuler son émission politique en banlieue parisienne car « la police ne peut pas assurer la sécurité des équipes »

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Le jeudi 26 novembre, France 2 diffusait un nouveau numéro de son émission politique « Vous avez la parole », présentée par Léa Salamé et Thomas Sotto. Au cours de l’émission, un débat autour de la question « une crise de l’autorité ? » était organisé avec de nombreux invités, dont Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement.

Le programme aurait dû se délocaliser à Grigny

Le journaliste Thomas Sotto a révélé qu’initialement, le programme aurait dû se délocaliser à Grigny (Essonne). « C’était notre projet de départ. On nous a dit “On n’est pas sûr, on n’est pas capable de sécuriser les lieux”. Est-ce qu’aujourd’hui, en 2020 en France, ce n’est pas un problème de se dire qu’on ne peut pas faire une émission de télévision en banlieue parisienne en étant sécurisé ? Ce sont les forces de l’ordre qui nous ont dit ça », a-t-il expliqué.

« Évidemment que c’est un problème. Mais vous êtes conscient que c’est un problème qui ne date pas d’aujourd’hui. Peut-être qu’on vous aurait apporté la même réponse il y a quelques années », a botté en touche Gabriel Attal.

« L’État s’est désengagé »

Participant au débat, le maire de Perpignan, Louis Aliot, a réagi vivement : « On peut être d’accord sur le constat, mais qu’est-ce qu’on fait ? L’État s’est désengagé… C’est extravagant, parce que si vous n’arrivez pas à tenir une émission du service public, somme toute assez conventionnelle, dans une ville comme Grigny, c’est que c’est à se désespérer de tout et que les politiques peuvent rentrer à la maison. »

Boulevard Voltaire

Florian Philippot dénonce le piège du revenu universel

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Florian Philippot remarque que le débat sur le revenu universel est curieusement d’actualité dans tous les pays occidentaux, et préfigure la société post-covid que nous préparent les mondialistes. Sur 117 députés présents, 106 ont voté une résolution pour un débat sur la mise en place, pour 2021, d’un revenu universel. Ce sont, comme par hasard, des soutiens à la majorité de Macron. L’idée a été émise pour la première fois à Davos, en 2017. On parle de  1 000 euros pour ceux pour qui “il n’y aurait plus de travail”. Donc, vous ne vivez plus de votre travail, mais de l’assistanat que la caste dirigeante daignera vous prodiguer, si vous êtes sage.

Les petits Blancs se cachent pour échapper aux agressions des “divers”

Articles  : Nov. 2020Oct. 2020Sept 2020Août 2020

Quand vous sortez dans les rues de votre cité, dûment muni de votre attestation motivée, de votre masque et de votre gel hydroalcoolique, vous avez une opportunité : voir le monde réel. Je ne parlerai pas des “Français de papiers”, des migrants, des illégaux et autres “mineurs isolés”. Je ne parlerai pas du Grand Remplacement décidé il y a des décennies. C’est interdit par la loi, poursuivi par les associations “anti”, et censuré sur Internet par des censeurs basés au Maroc. *

Non, je ne parle évidemment que du Français de souche. Quels que soient les profils, les âges, les catégories sociales, ce sont les descendants du peuple de France, celui que l’on a mobilisé, démobilisé, rassemblé, au cours de l’Histoire. Nos ancêtres ne se reconnaîtraient pas en eux. C’est parce que les idéologues du mondialisme sont parvenus à faire disparaître ce peuple. Seules les bandes issues de l’immigration sont visibles. Les descendants de Celtes, de Slaves, les Blancs quoi, ne se déplacent plus en groupes. Que font-ils ? Ils restent chez eux, devant leur console de jeux. Ils sont avec un ou deux amis peut-être, mais ils restent à l’abri des bandes de “Français de papiers” en maraude. Les enfants de pauvres subissent les cités, les lycées publics. Les autres, les enfants de riches, vivent dans les quartiers aisés et fréquentent des écoles privées où la ségrégation est financière. Le second groupe donne souvent des leçons de vivre-ensemble au premier groupe.

J’ai connu une période, dans le Paris des années 80, où des bandes d’Antifas (les Ducky Boys de João Cordeiro, les Red Warriors de Julien Terzics, etc.), s’alliaient avec les Black Dragons du Haïtien Yves Madichon, pour “nettoyer” les rues des néo-nazis qui, paraît-il, y pullulaient. Je n’ai pas vu beaucoup de skins néo-nazis à l’époque, mais j’ai vu un pauvre étudiant se faire lyncher devant moi, devant le parvis de Beaubourg, parce qu’il avait les cheveux rasés, parce que c’était un Blanc. Ses cheveux courts devaient plaire à sa copine, présente au moment de l’attaque, mais pas à la bande de Zoulous qui voulaient se faire un “skin” ce jour-là.

Depuis, les chasseurs de skins ont rangé leurs battes de base-ball et ont raccroché leurs gants de boxe. Les bandes ethniques des cités ont pris le relais pour chasser les “petits pédés de Français”, pour les “dépouiller”. Il n’y a pas une manifestation d’étudiants, pas une fête de la musique, pas un concert.. qui ne soit perturbé(e) par ces bandes de jeunes gens, “issus de…”. N’importe quel événement public, notamment les matchs de foot, est l’occasion de “foutre le bordel” dans un pays qu’ils détestent. Tous les attentats terroristes commis sur le sol français ces dernières décennies l’ont été sur fond de “Allahu akbar”. 74 % des Français musulmans de moins de 25 ans affirment mettre l’islam avant la République. Que croyez-vous que cela annonce, dans un futur guère éloigné, hein ? À votre avis ?

Au moins la moitié de la population française de souche affirme farouchement le contraire de ce que je viens d’écrire. Pourquoi ? Pour différentes raisons liées aux résultats de la propagande et du contrôle des pensées (“mind control”) mis en place depuis des décennies, mais aussi aux convenances de caste, aux différents intérêts individuels. Ou encore pour ne pas voir la réalité en face, parce que ça fait peur.

Quelles que soient les raisons, nous partons divisés au combat. Car j’aimerais me tromper, mais j’affirme que nous allons vivre une saignée des Blancs divisés que nous sommes. Pourquoi ? Parce que nous sommes programmés pour subir une punition, celle d’être des Blancs, d’origine chrétienne. Toutes les manifestations de virilité, toutes les références à des héros blancs dans l’Histoire sont bannies. Nous sommes condamnés à rester terrés. Ce n’est pas vraiment, vous en conviendrez, la meilleure préparation mentale au combat.

Donc, je propose de modifier votre programmation : faites du sport, éteignez la télévision, faites-vous des potes et déterminez-vous, ensemble, à ne pas subir un éventuel massacre. Surprenez-les, surprenez-vous.

William Kergroach, Riposte Laïque