Des “mineurs non accompagnés”… sauf de leur couteau

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Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Riposte Laïque

Le syndicat « Alliance Police Nationale » affirme que la majorité des attaques au couteau sont commises par des « migrants clandestins mineurs non accompagnés et en situation irrégulière ». Ils seraient plus de 40 000 en France.

La prise en charge de ces « MNA » coûterait environ 2 milliards d’euros aux collectivités.

L’historien des sociétés arabo-berbères contemporaines craint une « bombe à retardement ».

Cette explosion de l’insécurité dans nos villes, nos villages, la périphérie parisienne et surtout la capitale intra-muros, serait une conséquence directe de l’immigration massive non contrôlée.

Ce n’est pas l’avis de notre nouveau ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui affirme « Être à 100 000 lieues de faire le lien entre immigration et insécurité ».

Qu’il veuille bien nous expliquer l’origine de cette insécurité qui frappe notre pays, depuis une décennie, si ce n’est pas « une immigration non contrôlée et massive » !

Que ce soit à Bordeaux, Marseille, Paris, Nice, Lyon, Grenoble, enfin dans toutes nos provinces, l’installation durable de ces MNA (mineurs non accompagnés, en jargon administratif), originaires en grande majorité d’Afrique, pose de très graves problèmes d’insécurité : ils sont pour un grand nombre particulièrement violents et multiplient les agressions et les vols à l’arraché sur la voie publique et dans les transports (métro, bus, etc).

Appréhendés, ils sont « inexpulsables » et, pour une large majorité, des récidivistes en liberté. « Arrêtés la veille, ils sont remis en liberté le lendemain », constate un magistrat parisien ainsi que les syndicats de police.

Lors des perquisitions effectuées, les services de police découvrent bon nombre de colliers, de montres de grande valeur, de bijoux, de téléphones portables, notamment dans les 18e et 19e arrondissements parisiens.

Pour information, destinée à Gérald Darmanin, à Saint-Brieuc, un jeune Afghan, âgé de 23 ans, condamné par le tribunal correctionnel pour trafic de stupéfiants et menaces de mort et outrages envers des personnes dépositaires de l’autorité publique : « Bandes de fils de putes, j’ai enregistré vos têtes, je vous ferai la peau. Si on était dans mon pays, il y a longtemps que vous seriez au bout d’une corde. Chez nous, on viole les chiennes d’Américaines et de Françaises. » 

Devant s’expliquer sur la somme de 850 euros retrouvée à son domicile, il explique au président du tribunal « Qu’il est migrant et que l’État français lui verse 440 euros mensuels sur une carte bancaire. Ceci expliquant cela. » 

Condamné à 9 mois de prison, dont 6 avec sursis, il devra verser 550 euros à chacun des gendarmes concernés (avec quel argent ? Ses 440 euros mensuels ? Belle blague !).

Pourquoi ne pas l’expulser, manu militari, vers son pays, afin qu’il puisse continuer à violer librement Américaines et Françaises ?

Ou, alors, il y a une autre solution, bien plus rentable : souvenez-vous, le 2 juin dernier, en pleine manifestation contre les violences policières et le racisme, devant le tribunal de grande instance de Paris (manifestation interdite mais autorisée, comme toutes les autres) alors que le clan « Traoré » avait réuni l’ensemble de sa bande, une jeune femme « noire » avait insulté un gendarme mobile, également de la même couleur, avec agressivité « Honte sur toi, vendu, c’est des tueurs (les flics). T’es de leur côté, t’as pas honte ? » 

Pour l’aider à financer ses frais de justice, suite à une plainte déposée par le gendarme mobile concerné, elle a récolté plus de 3 400 euros, organisé par la bande « Traoré ».

Puisque l’immigration n’est pas la cause principale de l’insécurité, que le ministre de l’Intérieur nous explique pourquoi un homme de 29 ans, qui jouait paisiblement à la pétanque sur le terrain de l’allée Diane de Poitiers, dans le quartier de Beaulieu, à Poitiers, ce dimanche 26 juillet, a été très grièvement blessé de plusieurs coups de couteau par un migrant clandestin, d’origine algérienne, âgé de 30 ans, arrivé en France et en situation irrégulière depuis 2016, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), notifiée le 28 juillet. Il a pu être appréhendé, après s’être enfui, par les policiers.

Il sera maintenu en détention jusqu’à l’audience, fixée au 7 septembre.

Puisque, pour une fois, on connaît son pays de départ, pourquoi ne pas l’expulser définitivement ?

Mais il ne s’agit pas d’un problème uniquement français, toute l’Europe est concernée, du moins l’Europe qui ouvre ses frontières aux migrants clandestins et, surtout, à cette minorité, paraît-il, de MNA (mineurs non accompagnés), originaires tout d’abord d’Afrique subsaharienne mais, depuis 2018, surtout de Marocains et d’Algériens qui, devant la crise économique et sociale qui frappe leurs pays, l’abandonnent massivement pour se réfugier chez nous.

L’Espagne est plus particulièrement concernée, plus que la France et l’Italie, compte tenu de la proximité de ses côtes avec le Maroc et l’Oranie algérienne. Quotidiennement débarquent des embarcations de clandestins, remontant de plus en plus haut, jusqu’à Aguilas ou Carthagène, dans la province de Murcie.

Malgré l’accord passé avec le royaume du Maroc (200 millions versés par les autorités espagnoles), mais qui ferme les yeux tout en affirmant « fermer également ses frontières ».

À cela s’ajoute le Covid-19 qui fait des ravages sur tout le Maghreb et en Afrique de l’ouest.

Le grand danger, pour ce pays, est que parmi ces migrants clandestins constatés « positifs », et qui sont dirigés vers des centres de prise en charge sanitaire, nombre d’entre eux disparaissent dans la nature et ne peuvent plus être retrouvés.

Le gouvernement socialiste se refuse à l’avouer mais, bien plus que les vacanciers européens, et plus particulièrement les Français, ce sont ces “migrants” clandestins, circulant en liberté, qui provoquent les nouveaux confinements, en Catalogne notamment.

À partir de l’instant où ces « mineurs » (qui sont bien loin de l’être tous) ne peuvent plus être expulsés, selon les lois européennes qui obligent à les conserver, d’autant plus qu’ils ont pris la précaution de détruire tous leurs papiers d’identités, dès leur arrivée, ils deviennent un danger prioritaire pour les populations concernées de toute l’Union européenne.

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