Cruauté des migrants envers les animaux : de pire en pire !

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Riposte Laïque

Statistiquement, c’est peut-être un des côtés les plus sombres de l’immigration massive : la cruauté envers les animaux ! Il n’existe pas de chiffres fiables, mais il y a de plus en plus de « cas individuels » choquants en Allemagne. Les victimes sont principalement des chiens qui, dans l’islam, sont considérés comme « impurs » par nature.

Le cas du bouledogue français « Bonny » a secoué toute l’Allemagne en février 2018. À Straubing (Bavière orientale), un Syrien, « en colère » selon ses propres termes, a jeté cette chienne de 10 ans du troisième étage d’une maison. L’ami à quatre pattes est mort un peu plus tard à l’hôpital pour animaux de Ratisbonne.

Apparemment, l’origine de l’assassin du chien devrait être voilée. La plupart des médias régionaux et suprarégionaux se sont volontiers contentés des caractéristiques de l’auteur communiquées par la police : « homme », « 27 ans ». Ensuite, les secouristes de Niederbayern ont fait éclater la vérité : sur leur page Facebook, ils ont annoncé que l’auteur était un Syrien. Au cours de son interrogatoire, l’invité de la Merkel a déclaré qu’il avait été « irrité » par la présence du chien impur selon l’interprétation islamique.

Ce qui semble compréhensible dans la mesure où le Coran dit : « En tant que musulman, on ne doit pas garder un chien dans la maison. Garder un chien est l’une des raisons pour lesquelles les anges n’entrent pas dans une maison. » Le contact avec la salive du chien est absolument taboue. Les musulmans qui vont à la prière et qui ont été en contact avec un chien doivent répéter le lavage rituel.

La cruauté brutale envers les animaux a une longue tradition dans les pays islamiques. Les principales victimes sont les chiens. Ils sont connus sous le nom de « rats surdimensionnés ». Il y a environ 10 millions de propriétaires de chiens en Allemagne. Ils devraient prendre soin de leurs amis à quatre pattes !

Il n’y a pas si longtemps, il y avait une vidéo circulant dans les réseaux sociaux. Elle montrait comment des jeunes, reconnaissables à leur « origine migratoire », se sont révoltés sur les rives de l’Elbe à Dresde et ont donné des coups de pied aux chiens. Les photos ont été prises le 10 mai 2018 (jour de l’Ascension). Quelques semaines plus tôt, un reportage des Pays-Bas avait suscité l’incrédulité chez les incroyants en Allemagne : un Syrien de 26 ans avait hurlé à l’extase avec des cris « Allahu akbar » et tué un chien policier avec une hache à Schiedam, une banlieue de Rotterdam.

Dans la ville belge de Turnhout (province d’Anvers), un homme a été agressé pour son chien par cinq jeunes – selon lui étrangers – lors d’une promenade dans le parc. « Le chien pue », disaient-ils. Lorsque le propriétaire a refusé, il a été assommé. La même chose est arrivée à un propriétaire de chien à Vienne : l’homme de 54 ans a été brutalement battu par une musulmane somalienne devant la porte de son jardin et a dû se rendre à l’hôpital avec une fracture compliquée du genou. « Votre chien est impur », le migrant africain noir avait été bouleversé selon les médias.

Nombre extrêmement élevé de cas non signalés

Il n’existe pratiquement pas de données fiables sur l’augmentation significative présumée des cas de cruauté envers les animaux à la suite de l’immigration massive. Le nombre de cas non signalés est probablement extrêmement élevé. Un dernier chiffre disponible peut être trouvé dans une élaboration du Service scientifique du Bundestag allemand à partir de 2018, dans laquelle 771 affaires de poursuites pénales pertinentes ont été signalées en 2016 en référence à l’Office fédéral de la statistique. Ce ne sont toujours que des « cas individuels » qui sont portés à l’attention du public. Ils mettent en lumière un phénomène que les médias grand public étouffent dans la mesure du possible.

Ces jours-ci :

Dans la Kinzigtal (Forêt Noire), deux « Africains de l’Ouest » ont fait griller une chèvre en brûlant des déchets de bois à la lisière d’une forêt près de la B 33, entre Haslach et Hausach, selon la police. Selon les enquêtes, l’animal a été sauvagement abattu sans anesthésie.

Dans un pâturage près de Klein Ilsede (Basse-Saxe), des inconnus ont découpé cinq brebis gravides et ont emporté la viande dans des sacs poubelles.

Dans la gare centrale de Magdebourg, un Africain noir de 16 ans a mordu plusieurs fois une colombe dans la tête.

Au cours de la progression de l’islamisation de l’Europe, ce n’est probablement qu’une question de temps avant qu’il y ait des campagnes de dépliants pour la « pureté publique » dans ce pays ainsi que dans le Manchester britannique : « Cette région est le foyer d’une grande communauté musulmane. Montrer du respect pour nous et nos enfants et limiter la présence des chiens en public« .

Source : https://www.anonymousnews.ru/2019/08/18/tierquaelerei-durch-migranten/

Cruauté également bien présente dans les pays d’Afrique pas forcément musulmans.

Pour savoir pourquoi les musulmans haïssent les chiens, voir les articles récents sur RR :

Pourquoi cette haine des chiens chez les mahométans ?

Mauvais temps pour les chiens d’aveugle, refusés par des taxis et des magasins car «impurs en islam»

Mahomet fuyait, la queue entre les jambes, des chiens l’ont dénoncé… vous connaissez la suite

Voir aussi sur la cruauté islamique envers les animaux les pages suivantes de sites américains :

And you thought Muslim cruelty to animals was only limited to dogs and barbaric Islamic halal animal slaughter? (Bare Naked Islam)

Muslim animal abuse & cruelty (Freedom Post)

Mélanie Lemée, Philippe Monguillot : chronique d’une semaine ordinaire…

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

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Riposte Laïque

Agression d’un chauffeur de bus à Bayonne, Philippe Monguillot, par quatre racailles. Le pauvre homme avait demandé aux jeunes de porter le masque, il a accompli sa mission consciencieusement, au final il est aujourd’hui en état de mort cérébrale après avoir été jeté à terre et roué de coups. Mélanie Lemée, gendarme vingtenaire, est, elle, morte, renversée par un chauffard multirécidiviste. Il s’appelait Yacine. Comment s’appelaient les agresseurs de Bayonne ?

La presse ne le dit pas. Dans ce genre de cas, cela signifie probablement que leurs prénoms indique l’appartenance à un groupe « ‘stigmatisé », « racisé », « discriminé ». Nous sommes nombreux à le penser très fort, en tout cas, et ce n’est pas pour rien, hélas… La mort d’Adama Traoré fait le buzz depuis quatre ans en France. Pas celle de Cédric Chouviat, décédé dans des circonstances identiques. Sauf que le second n’était pas, lui, un délinquant de la pire espèce comme Traoré. C’est pourtant pour le premier que l’on manifeste en France, pour lui qu’un ministre de l’Intérieur laissait se dérouler des manifs interdites par ses services, sous prétexte d’émotion insoutenable : la mort de Chouviat ne l’a donc pas ému à ce point, semblerait-il… Philippe et Mélanie non plus, d’ailleurs. Mélanie et Philippe ont, eux, croisé l’extrême violence dans l’exercice de leur mission.

Une extrême violence désormais ordinaire en France, du fait d’une racaille nombreuse et décomplexée, qui se permet d’agir en toute impunité, se sent défendue par les médias et même les autorités comme victime de l’histoire et du système. Des Mélanie, des Philippe, il y en a beaucoup, dans notre pays. Tous n’ont pas forcément leur destin tragique, mais vivent dans l’angoisse, la soumission, la peur de sortir de chez eux. Mélanie et Philippe sont en fait des victimes de cet antiracisme totalement fou et aveugle, qui accorde aux uns un permis tacite d’agresser, de casser, de semer le désordre voire la terreur, quand les autres sont caressés et cajolés comme de pauvres enfants perdus et mal aimés. Si l’on considère que l’injustice, le déséquilibre des droits et des traitements des uns et des autres en fonction de leur appartenance à tel ou tel groupe est une cause majeure de guerre civile, comme en Afrique du Sud durant l’apartheid ou dans l’Amérique ségrégationniste, alors la France de 2020 n’en est plus très loin : seule la couleur des opprimés d’aujourd’hui change…

On a perdu Sibeth et la Belloubete, mais on récupère Bachelot et Dupont-Moretti

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Riposte Laïque

C’était trop beau… on a échappé à la Taubira, mais pas à la Bachelot (sanglot)

Lundi 6 juillet : les noms des nouveaux ministres nous sont livrés très rapidement après la nomination du Premier ministre tout neuf de quelques heures.

Pour une fois, cela a été très vite, ce qui n’a pas toujours été le cas par le passé… au point qu’il semble permis de se demander si par le plus grand des hasards, le jeu des chaises musicales n’était pas déjà bien cadré depuis quelques temps…

De même qu’il semble curieux que le nouveau Premier ministre, dont le rôle est de présenter au Président sa liste de pressentis, à peine nommé, a passé l’essentiel de ce court laps de temps… à faire des descentes surprises dans des commissariats, et a multiplié ses visites aux corps intermédiaires et à des membres de la société civile… à croire qu’un autre aurait fait le devoir à sa place ? Curieux non.

Dire que je suis déçue serait inapproprié pour la bonne raison que je n’attendais rien de ce nouvel acte de la « comedia del macronie » ; pour autant un seul mot me vient immédiatement à l’esprit, à l’énoncé de ce semi-nouveau gouvernement : écœurant !

Ah ben oui, à partir du moment où, comme je le pressentais, dans le nouveau bocal resteraient quelques anciens cornichons… il ne s’agit que d’un simulacre de remaniement… surtout quand on sait que de toutes façons c’est le pharaon « Toutanmacron » qui en coulisse décide de tout !

Que Castaner soit viré est un net soulagement, mais reste à voir si Darmanin fera mieux… ce qui me paraît fort douteux !

https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/11/la-justice-ordonne-la-reprise-des-investigations-sur-les-accusations-de-viol-contre-gerald-darmanin_6042531_3224.html

Idem pour Sibeth, dont le départ est paraît-il « un choix personnel »… mais bien sûr ! En espérant tout de même que son successeur nous fera autant rire ; on en a vraiment besoin dans cette triste époque où ce sont les salopards qui mènent le pays à tous les étages (à l’Élysée, dans les ministères, à l’AN, au Sénat, dans les rues et les associations…).

Je ne verserai pas une larme sur le départ de Belloubet… à qui je souhaite de pouvoir bientôt pouvoir dialoguer en direct avec ses racailles chéries… du moins celles qu’elle s’est efforcée de libérer, afin de nous faire de la place, à nous les citoyens indisciplinés qui persistons à résister aux manigances des racailles en col blanc !

https://ripostelaique.com/nicole-belloubet-et-ses-prisons-passoires-annexes-du-club-med.html

D’autres sur le départ ne laisseront pas un grand souvenir, si ce n’est le coût de leur somptueux salaire, inversement proportionnel à leur vraie valeur, pour beaucoup d’entre eux.

Parmi les nouveaux « promus », un nom m’horripile au plus haut point, même s’il ne me surprend pas vraiment, puisqu’on a dû subir ses sentences et ses blablas quasiment chaque soir aux JT ; celui de la vieille baderne Roselyne Bachelot (qui rime avec…  non, je ne l’écrirai pas, c’est trop risqué !), celle qui avait sévi un temps à la Santé sous d’autres couleurs… où son grand « succès » fut de nous avoir commandé des millions de vaccins inutiles (comme bien des choses décidées par ceux qui ne subissent jamais les conséquences de leurs actes manqués !).

Après avoir fait trois petits tours comme animatrice télé, en clamant qu’elle arrêtait la politique… finalement la revoilou, après nous avoir soulés pendant le confinement.

https://madame.lefigaro.fr/societe/roselyne-bachelot-de-ministre-a-animatrice-tele-030316-113166

Comme son compère Véran, qui a accompli « un superbe travail » (*) pendant la pandémie (oui je sais c’est douloureux mais c’est ainsi, et ça vaut toujours mieux qu’être sourd !) garde donc la Santé… on lui a refilé la Culture, et si son retour m’énerve, au moins le choix est bon : comme bouffonne on ne pouvait faire mieux.

(*) https://www.caducee.net/actualite-medicale/14865/covid-19-des-medecins-deposent-une-plainte-penale-contre-olivier-veran.html

https://www.20minutes.fr/justice/2773411-20200505-coronavirus-faut-nommer-responsables-deja-55-plaintes-deposees-contre-ministres

Dupont-Moretti à la Justice ! Le suspense est total à Riposte, puisqu’il s’agit d’un très grand ami à nous… Du coup, on n’est pas certains de ce qu’il fera ; veillera-t-il enfin à ce que les fâcheux nous lâchent un peu les baskets avec leur procès à la moindre mouche qui vole de travers… ou au contraire, afin de ne pas être accusé de nous protéger, va-t-il demander un redoublement de sévérité à notre endroit ???

https://ripostelaique.com/pour-dupont-moretti-sans-les-etrangers-la-france-ne-pourrait-vider-ses-poubelles.html

https://ripostelaique.com/incapable-deviter-la-prison-a-balkany-dupont-moretti-se-fait-licencier.html

Pour la liste complète des virés, des restants et des promus… c’est ici :

https://www.linternaute.com/actualite/politique/1415513-direct-remaniement-la-liste-des-nouveaux-ministres-devoilee-ce-lundi/

Si seulement j’avais pensé à parier sur une continuité dans l’incompétence, l’arrogance et le culot de ces nouveaux et anciens pions, j’aurais pu m’offrir un week-end au soleil (ah bah non, paraît que le Covid guette encore partout sur la planète !).

Parce que si peu de temps après le scandaleux procès du couple Fillon, voir qu’un Darmanin (surnommé Darmalin par les mauvaises langues…) qui a réussi à passer à travers les gouttes est couronné prince des policiers, il y aurait de quoi se faire hara-kiri de dégoût !

Mais heureusement le plaisir de la vie qui me reste est encore plus fort que le découragement devant tant de monstruosités, et je vais donc passer le reste de la soirée avec un bon polar… où les brigands ont bien du mal à concurrencer ceux qui prétendent dans la vraie vie nous imposer leurs vices, turpitudes et vanités !

Demain sera un autre jour… assez semblable aux autres, sauf pour ceux qui refusent de plier devant les bouffons du pouvoir, passés, présents et futurs.

Goussainville : un fiché S élu maire ?

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Boulevard Voltaire

Abdelaziz Hamida a été élu maire de la commune de Goussainville (Val-d’Oise), dimanche 28 juin. Problème : la tête de liste « citoyenne » serait fichée S pour islamisme, selon un article de L’Express du 25 septembre 2019.

Quelles sont les intentions d’Abdelaziz Hamida ? « Être le maire de tous les Goussainvillois », répond-il, au soir de son élection, dimanche 28 juin. Mais son profil inquiète depuis que des accusations prétendent que cet ancien adhérent Les Républicains serait… fiché S pour « islamisme radical ».

Dans cette commune située près de Sarcelles, Abdelaziz Hamida a remporté la mairie lors du second tour des élections municipales, devançant le candidat divers gauche Alain Louis (38,58 %).

Malgré ces accusations, le nouveau maire de Goussainville nie en bloc et assure qu’un procès « aura lieu en septembre prochain » pour démêler le vrai du faux de cette histoire.

Des maires binationaux élus

Comme Abdelaziz Hamida, ils sont franco-marocains et ont décidé de briguer un mandat local pour au moins six ans. À Saint-Ouen, ancien bastion communiste, c’est le socialiste Karim Bouamrane qui s’impose dans la triangulaire l’opposant aux Républicains et au Front de gauche. À Trappes, Ali Rabeh remporte les clés de la mairie, devant son rival Les Républicains et divers gauche.

Le Point offre une ode à BHL : il a vaincu Zemmour !

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Caroline Artus a dû s’étrangler à la lecture du Point qui titrait, ce week-end, « Quand Bernard-Henri Lévy met Éric Zemmour knock-out ». L’auteur de l’article n’est pas vraiment un journaliste. Disons que c’est un gamin de 22 ans, étudiant à la Sorbonne-Paris 4 et qui prépare, selon Le Point, un mémoire de master 1 en littérature française sur « le rôle des intellectuels français pendant la guerre de Bosnie ». Un thème qui n’a pas grand-chose à voir avec Éric Zemmour, mais qui est familier à BHL

Félix Le Roy, ce jeune étudiant, s’est donc lancé dans un long, bien long papier à la gloire de son idole. Précisons que le jeune homme écrit aussi dans La Règle du jeu, la revue de BHL. Voilà le décor planté.

Le Roy commence son papier en déclarant Zemmour comme son ennemi déclaré. Puis sa plume vole au secours de son BHL. Je cite : « Ce ne sont que des émotions. Je voudrais dire davantage, et mieux. Mais je suis tellement resté sans voix, effaré, que ces quelques mots ont au moins la valeur de leur sincérité et de leur spontanéité. Ce n’est pas une parole d’expert. C’est celle d’un homme qui croit qu’il faut, plus que jamais, brandir haut certaines idées majuscules : humanité, fraternité, universalité. Tout homme qui les défend mérite le respect. Bernard-Henri Lévy, par son esprit généreux, solidaire, face aux énormités dangereuses de son adversaire, a mis Éric Zemmour knock-out. Je vous laisse, et m’en vais relire Levinas, et quelques pages d’Ô vous, frères humains, d’Albert Cohen, pour me laver de cet épisode dégueulasse de fascisme décomplexé. »

Heureusement, de nombreux lecteurs du Point ont « moyennement » apprécié cette ode à BHL : « Blocage », écrit à « fachospère » : « J’ai arrêté la lecture ». Xyjm : « Un article primaire totalement partisan et de mauvaise foi. » « Le Circonspect » : « Est-ce un gag de la part du Point cet article provocateur ? »

Je donne à Jean-Yves Le Gallou le mot de la fin : « #Zemmour battu par BHL selon @LePoint : dont BHL est éditorialiste après avoir vendu l’entreprise familiale la #Becob à Pinault lui même propriétaire du Point. Vous suivez ? Le journalisme ? Des larbins payés par des milliardaires ! »

Jean-Yves Le Gallou se trompe sur un point : le jeune Le Roy n’est pas journaliste mais simplement un étudiant inféodé à Bernard-Henri Lévy. Décidément, les temps sont durs pour notre philosophe : non seulement, il est contraint, pour trouver encore de la lumière, d’aller débattre avec Zemmour, mais il recrute ses admirateurs en circuit court…

A vous de voir qui s’en est lieux sorti.

Bagarre générale sur l’Ocean Viking

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Bagarre générale sur le bateau de SOS Méditerranée, l’Ocean Viking.

Trois groupes se sont affrontés : les Maghrébins, les Africains, les Européens.

Il semble qu’à l’origine les Blancs aient essayé de séparer les Africains noirs, sub-sahariens, des Africains du nord, Marocains, Algériens, Tunisiens, Égyptiens qui agressaient les Noirs, pourtant plus nombreux.

L’équipage, composé de salariés de l’ONG, n’a pas réussi à maîtriser les agresseurs et a appelé au secours.

Un microcosme explosif

Le confinement dans un espace réduit, l’absence de confort, l’incertitude sur l’avenir, tout est réuni pour exacerber les angoisses, les rancœurs, l’agressivité. Surtout que les réponses de Malte ou de l’Italie sur l’accueil se font attendre. Déjà submergés par les colons, ces pays ne sont pas pressés d’accepter de nouvelles arrivées. Il se joue en petit, dans l’espace réduit du bateau, ce qui se prépare en grand dans toute l’Europe : la submersion démographique africaine et musulmane, une explosion de la population africaine et la réduction rapide du nombre des indigènes européens, des Européens toujours aux commandes comme sur le bateau. Chargés de diriger les opérations et de la police à bord, les « Blancs » sont submergés et ne contrôlent plus la situation. Comme dans tous les précédents historiques, les plus violents vont prendre le pouvoir. 

Les plus violents prennent le pouvoir

Les nouveaux chefs seront moins généreux et moins pacifiques que les gentils organisateurs des ONG. Dur moment à passer pour les jeunes militantes, mais surtout pour les Noirs africains. Le temps de l’esclavage arabo-musulman va se rappeler à leur souvenir. Dur dur de quitter la Libye pour fuir la charia et de retrouver les esclavagistes, sur le bateau, puis après le débarquement, en Europe. C’est assez cruel. Mais qui ne comprend pas que c’est exactement ce qui attend les protégés de la LDNA (dont le chef est un descendant du marchand d’esclaves Béhenzin) ? Ce qui se passe sur ce bateau n’est qu’à échelle réduite ce qui se prépare en Europe : la submersion démographique.

Qui peut priver ces colons musulmans de l’espoir d’une Europe musulmane ? L’immigration et la démographie feront de l’Europe, dans 30 ans, une terre musulmane. La démocratie elle-même rendra l’application de la charia obligatoire. Dans ce chemin programmé vers le retour de la dhimmitude et de l’esclavage des Noirs, le drame de l’Ocean Viking n’est qu’une expérimentation in vivo.

Qui aurait jamais imaginé que notre civilisation puisse tomber aussi bas ?

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Riposte Laïque

Je me demande sincèrement si l’Occident a encore un avenir en ce bas monde et surtout si des peuples aussi avachis que les Américains et les Européens ont encore envie de vivre.

Je n’aurais jamais imaginé qu’une civilisation qui a quasiment tout inventé du monde moderne, qui a rayonné sur tous les continents et civilisé des contrées entières soumises à la barbarie, je n’aurais jamais pensé que cette civilisation occidentale puisse tomber un jour aussi bas dans la repentance, la haine de soi et l’autoflagellation permanente.

Ces sanglots sans fin sont tout simplement pitoyables et dépassent l’entendement, alors que la barbarie que nous avions éradiquée partout dans le monde est de retour dans certains pays d’Afrique et  au Moyen-Orient, où  l’État islamique a fait la démonstration de sa suprématie absolue en termes de sauvagerie et d’atrocités en tous genres.

Nous devrions être fiers de ce que nous sommes et de ce que nos anciens ont bâti, alors que nous avons honte de nous-mêmes, de nos ancêtres et de notre Histoire.

Être blanc est devenu au mieux une tare, au pire un crime qu’il faudra expier jusqu’à la fin des temps.

Depuis longtemps, les « Y a bon Banania » du célèbre tirailleur sénégalais ont disparu des rayons. Les gâteaux « tête de nègre » ont quitté les vitrines des pâtissiers.

« Tintin au Congo » n’amuse plus nos multiculturalistes et donneurs de leçons.

On démolit les statues, on réécrit l’Histoire. On ne demande plus aux historiens de rechercher la vérité mais de culpabiliser l’homme blanc. Et gare à ceux qui s’opposent  à cette soif de repentance. Ils jouent avec leur carrière et avec leur avenir.

Mais pour ce qui est de la surenchère dans les marques d’allégeance et de soumission à la dictature du politiquement correct, cela relève presque de l’hôpital psychiatrique !

Jugez plutôt :

C’est  L’Oréal qui supprime toute référence au mot « blanc » dans ses produits, considérant sans doute que cette couleur dépeint le summum de l’infamie !

C’est  le New York Times qui s’engage dorénavant à écrire le mot « Noir » avec une majuscule et le mot « blanc » avec une minuscule. L’usage du mot  « blanc » est apparemment devenu le symbole de la honte.

Mais tout cela n’est rien, tant le délire antiraciste entend frapper toujours plus fort, sombrant dans un ridicule sans limite, qui, s’il tuait, ferait une hécatombe.

Chez toutes les marques commerciales, on fait la chasse aux pubs ou aux logos politiquement incorrects.

On ne verra plus de lessive qui lave « plus blanc que blanc« , cette pub que Coluche avait transformée en un sketch savoureux.

On nous parle de « dentifrice qui rend les dents moins moches », car les dents moins « jaunes », cela peut susciter une polémique.

Une flopée de films présentent des scènes inavouables, véritables abominations racistes. Même L’inspecteur  Harry, ou Forest Gump, ou Indiana Jones ne passent pas l’obstacle.

Les westerns ne font qu’étaler un sordide racisme anti-Amérindiens. Et pas certain que l’appellation « Peaux-rouges » soit permise par les Fouquier-Tinville du tribunal de la pensée.

Comme le suggère le Figmag, « Blanche Neige et les sept nains » pourrait devenir « Privilégiée Neige et les sept personnes de petite taille ».

Tant il est vrai que le fait d’être un Blanc est un insupportable privilège d’un autre âge.

Il faut donc s’attendre au pire.

Il faut débaptiser le « mont Blanc » pour « mont des neiges ».

Et de grâce, ne parlons plus de « blanc d’œuf » ou de « blanc cassé ».

Plus question de commander un « petit blanc » au comptoir  ou de hisser le « drapeau blanc ».

Et que dire de « l’ours blanc » ou du « rhinocéros blanc », les très mal nommés ?

C’est tout simplement hallucinant.

Alors que la France est en train de s’effondrer, que la dislocation de la nation est imminente et que la fracture identitaire va tout emporter, des illuminés s’imaginent qu’on peut combattre le discours indigéniste et anticolonial en changeant quelques pubs et en rayant le mot « blanc » du vocabulaire.

Difficile de faire plus sidérant au nom de la diversité heureuse !

Oui, vraiment, l’Occident est mûr pour l’échafaud.

Sarcelles : colère des parents de Thomas, 23 ans, poignardé à mort par un individu fraichement sorti de prison

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Une quinzaine d’opérations

Thomas est resté trente et un jours à la Pitié-Salpêtrière et a subi une quinzaine d’opérations.

[…]

Les parents de la victime, Philippe et Nathalie, ont exprimé leur colère au Parisien, affirmant que Sarcelles s’est enfoncée dans la violence. « Le précédent maire a acheté la paix sociale, la police n’est jamais là quand on a besoin d’elle. Et la justice a laissé sortir de présion l’homme qui a tué notre fils, nous voulons savoir s’il a bénéficié d’une de ces remises de peine accordées sur fond de crise sanitaire », ont-ils expliqué au quotidien.

Ils ont assuré que des amis de leur fils unique ont reçu « des menaces » après avoir aidé les enquêteurs. Ils attendent désormais qu’un médecin légiste redige un rapport d’autopsie pour pouvoir enterrer leur fils unique.

[…]

L’article dans son intégralité sur BFM


3 juillet 2020

Val-d’Oise : la colère des parents de Thomas, 23 ans, poignardé à mort à Sarcelles

Le jeune homme est mort à l’hôpital à Paris dans la nuit du 11 juin après avoir été agressé à Sarcelles dans la nuit du 10 mai par un homme, sorti depuis peu de prison. Ses parents accablés par la souffrance témoignent de leur désarroi.

C’est un couple brisé par la douleur après le décès de leur fils unique. Thomas est mort dans la nuit du 10 au 11 juin des suites de ses blessures à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (XIII e ). Ce jeune homme de 23 ans avait été poignardé à Sarcelles (Val-d’Oise) dans la nuit du 9 au 10 mai dernier alors qu’il fêtait la fin de son contrat avec des amis, par un quadragénaire, sorti depuis peu de prison. Ses parents, Philippe et Nathalie, ne cachent pas leur colère. Après avoir passé 35 ans dans le quartier du Village à Sarcelles, Philippe estime que la ville dans laquelle leur fils a grandi a changé pour devenir une zone de non-droit.

Ce soir-là, rue Chaussy, Thomas, passionné de musique et de freeride en trottinette, venait de terminer un contrat dans une enseigne de bricolage avant de retrouver un emploi chez un distributeur de boissons.

[…]