Nantes : les cathos ont filé les clés à un clandestin pyromane, bravo !

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Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Riposte Laïque

Dans l’affaire de l’incendie de la cathédrale de Nantes, voilà que « le Rwandais » dont on ne connaît pas le nom est mis en examen. Peu courageux, il s’est mis à table et a avoué, n’étant pas avare de ses actions, avoir mis le feu en trois endroits différents.

Beaucoup de questions se bousculent dans nos têtes. La première de toutes : pourquoi nous a-t-on menti pendant une semaine et pourquoi a-t-on essayé de nous mener en bateau ?

Dès le début le procureur affichait sa conviction de ce que l’incendie était d’origine criminelle. Pourquoi ensuite a-t-il soutenu le contraire alors que les preuves données par les sapeurs pompiers experts étaient accablantes ?

Le mensonge était tellement grossier qu’il était insoutenable. Le procureur n’a pas eu d’autre choix que de faire machine arrière.

Pourquoi le Rwandais a-t-il été relâché un temps ? Les enquêteurs se sont rendu compte que trop c’était trop, et qu’on ne pouvait pas se moquer à ce point des Nantais et des Français. C’est vrai, quoi, on nous prend toujours pour des buses, il y a quand même des limites.

Autre question : pourquoi ne connaît-on pas le nom du Rwandais ? Certainement parce qu’il n’est pas français. Ce serait un bon Français franchouillard qui aurait mis le feu à une mosquée, son nom serait jeté en pâture à tous vents. On donnerait son adresse. on le conspuerait universellement. On sommerait son employeur de le virer. Sa famille serait menacée de tous les maux.

Il serait temps de donner un nom au Rwandais, au moins pour ne pas faire d’amalgame choquant avec tous les Rwandais…

Un électricien avait même essayé de prouver qu’il pouvait y avoir eu trois courts-circuits à la fois. Vazytakaycroire.

Autre question et non des moindres : que faisait ce clandestin au service de l’évêché ? Selon le recteur de la cathédrale de Nantes, le père Hubert Champenois, qu’on nomme, lui, malgré sa responsabilité évidente, mais c’est un Français, vous comprenez, le Rwandais était venu se réfugier en France « il y a quelques années ».

« Il y a quelques années »!… On note l’imprécision. Dans n’importe quel pays du monde, on sait avec précision quand un étranger arrive, à quel jour, à quelle heure. On a sa photo, sa couleur de cheveux, sa taille exacte, son nom, sa date de naissance. Mais la France ne fonctionne comme aucun pays au monde. C’est là son moindre défaut.

Le père Hubert Champenois poursuit : « ce bénévole est servant d’autel et je le connais depuis quatre ou cinq ans ». Quatre ou cinq ans, toujours la même précision, faite peut-être pour couvrir les errements du réfugié ? Servant d’autel, à 39 ans, vraiment ? Alors que pour les Français, c’est fini vers 18 ans sauf si on est séminariste ? Une couverture, c’est tout !… Et de continuer : « j’ai confiance en lui comme en tous les collaborateurs. »

Ils sont en bonne voie, au diocèse de Nantes : ils ont confiance en tous les collaborateurs, même les incendiaires.

Au moins, la sécurité est assurée, à Nantes. Si j’étais une paroissienne de cette ville, je n’irais plus du tout à la messe. Avec de tels responsables, il vaut mieux que les églises restent vides. Mieux vaut rester chez soi que brûler vif parce qu’un Rwandais protégé de l’évêché aura mis le feu.

De plus, le Rwandais faisait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), depuis novembre 2019.

L’évêché avait demandé de la bienveillance au préfet, concernant le dossier et l’avenir du Rwandais. On ne sait pas s’il s’agit de Mgr James, nommé archevêque de Bordeaux depuis janvier dernier. Depuis cette date le siège de l’évêché est vacant. Un administrateur a été désigné, le Père François Renard.

Siège vacant ou pas, la responsabilité du diocèse est pleine et entière, et accablante. Nul n’est au-dessus des lois, et surtout pas l’Église, qui se doit de respecter les lois, toutes les lois, scrupuleusement. Le Christ n’a-t-il pas dit « rendez à César ce qui est à César ? »…

Mais non seulement les cathos se croient souvent au-dessus des lois mais en plus ils trouvent des excuses aux incendiaires. Patrick, un fidèle, déclare au sujet du Rwandais : « Je savais qu’il avait un fort désir de rester en France. C’est incontestablement un geste de désespoir. »

Celui qui aime la France au point de vouloir y rester devrait commencer par ne pas y mettre le feu, semble-t-il. Mais ces gens désireux de rester chez nous sont surtout amoureux de notre train de vie, gratuit pour eux, et n’ont pas la même logique que nous. Raison de plus pour les renvoyer chez eux implacablement.

Une catholique me disait la même chose que ce Patrick, ce matin, elle trouvait au Rwandais des excuses. « Comme il est catho, disait-elle, il n’a pas les motivations islamistes des incendiaires d’églises actuels ». Mais s’il en était solidaire, malgré tout ?

Pauvre homme. Encore un accidenté de la vie. Pour un peu, on pleurerait presque. Cette culture de l’excuse est insupportable.

Car pour moi le Rwandais, auquel il serait temps de trouver un nom, n’a pas d’excuse, et les dix ans qu’il risque sont trop peu, trop doux.

Son avocat, maître Quentin Chabert, qui a l’air gratiné (excusez l’expression),  déclare que son client est rongé de remords. C’est facile. Voilà un incendiaire accueilli, nourri, logé, employé par l’évêché, et chargé de fermer la cathédrale le soir. Il semble que cela fasse beaucoup de circonstances aggravantes. Et maître Chabert déclare aussi que son client recherche l’apaisement. On croit rêver. Bientôt il dira qu’il faut lui pardonner. Et lui donner une promotion ?

Mais l’évêché devrait aussi comparaître aux côtés du Rwandais. Car son aveuglement volontaire, son indulgence coupable, son essai de le garder malgré tout en France, en font un complice de cet incendie criminel, sans aucun doute.

Les évêques qui, sous prétexte de charité et de je ne sais quoi encore, laissent faire et protègent des délinquants étrangers, obéissent à François. Ils sont macronistes, franc-maçons. Honte à eux. Ils trahissent leurs brebis. Ils doivent répondre de leurs actes de trahison.

Les catholiques, pour la plupart trop naïfs et angéliques, nourris au lait d’une fausse charité, qui n’est en réalité que faiblesse et démission, iront se faire égorger parmi les chants d’allégresse. Grand bien leur fasse. Si seulement les actes des incendiaires dégénérés atteignaient seulement ces irresponsables catholiques, mais ce n’est pas le cas, malheureusement.

Trop d’églises brûlent pratiquement tous les jours en France, mettant en danger des vies et causant des pertes inchiffrables dans notre patrimoine, dans le silence assourdissant des médias et des autorités mortes de peur devant la religion « d’amour et de paix » ou le statut de migrant des incendiaires.

Bravo la gauche niaise, bravo la droite molle, bravo les immigrationnistes fous, bravo les Nantais qui votent pour des traîtres. Tous responsables et coupables.

Il faut que cela cesse et que la peur change de camp.

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