David Dorn, policier noir assassiné, bénéficiera-t-il de la même médiatisation que George Floyd ?

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Boulevard Voltaire

Le lundi 2 juin, à St. Louis, alors qu’il se trouvait aux abords du magasin Lee’s Pawn & Jewelry, le capitaine de police à la retraite David Dorn est abattu durant les émeutes faisant suite à la mort de George Floyd. On a pu voir sur les réseaux sociaux le corps agonisant du fonctionnaire tenant un téléphone à la main, image insoutenable et cynique quand on s’imagine que des gens ont pris le temps de filmer cette terrible fin au lieu d’alerter les forces de secours.

David Dorn, afro-américain, a passé 38 ans dans la police, son erreur aura été de se retrouver ce jour, à cet endroit.

Considérant la mort de George Floyd, lors de son interpellation, le 25 mai, comme un acte raciste des policiers, les États-Unis connaissent depuis lors une série de manifestations avec leur lot de pillages, de vols et de crimes. Les pillards étant généralement issus de la communauté afro-américaine (selon les images diffusées par les chaînes de télé), on ne peut que s’interroger sur le sens de ces actions. Abattre un Noir (durant une manifestation dénonçant le racisme) en réponse à un acte raciste contre un Noir relève de la débilité et permet de situer le niveau d’intelligence des auteurs de ces actes.

Il est vrai qu’aucun suspect pour ce crime n’a pour le moment été arrêté, mais il est choquant de voir des gens filmer cette scène horrible de David Dorn agonisant et relayer la vidéo sur les réseaux sociaux. Au-delà de la non-assistance à personne en danger, on a le droit de s’interroger sur les intentions réelles de ceux qui ont filmé puis diffusé la vidéo. S’ils voulaient piller le magasin et le policier à la retraite a fait opposition, pourquoi ne l’ont-ils pas fait après l’avoir abattu ? Ont-ils réagi parce que David Dorn s’est prévalu de son statut d’ancien policier ? On aura les réponses à ces questions lorsque ces criminels seront mis aux arrêts ; d’ailleurs, une récompense est promise à toute personne qui permettra de recueillir des informations sur ce crime barbare.

Or, donc, David Dorn, noir, a été tué lors d’une manifestation pour dénoncer le racisme suite à la mort de George Floyd, mais il est certain, comme l’a écrit l’Ethical Society of Police, sur Twitter, que le policier à la retraite est le type de « frère qui aurait donné sa vie pour les sauver [parlant des pillards] s’il avait dû le faire ».

Tout est dit avec cette phrase…

Le crime commis contre David Dorn ne bénéficiera pas de la même couverture médiatique que celui de George Floyd car il est de bon aloi d’éviter les accusations de racisme de la part des minorités, surtout que le racisme est le fait exclusif du Blanc, selon les bien-pensants.

Thomas Ngijol s’en prend violemment à Éric Zemmour sur l’affaire George Floyd !

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Boulevard Voltaire

Mais de quoi se mêle-t-il ?

Thomas Ngijol, grand humoriste devant l’Éternel, s’en prend, dans la sulfureuse émission « Quotidien », à Éric Zemmour à propos de ses déclarations sur la mort de George Floyd, aux États-Unis. Le chroniqueur a, en effet, eu l’outrecuidance de déclarer que, statistiquement, il y avait beaucoup plus de meurtres de Noirs, aux États-Unis, par d’autres Noirs que par des Blancs.

En quoi déclarer cela rend-il la mort de cet homme moins dramatique ? Pourquoi serait-ce irrespectueux ? Cela met simplement en exergue la situation de violence récurrente aux États-Unis qui touche, il est vrai, en majorité les milieux les plus défavorisés, notamment la communauté afro-américaine. En quoi est-il urgent de laisser entendre que cet acte est nécessairement raciste ? M. Ngijol sait-il quelque chose que nous ignorons à propos des autres actes de violence dont est accusé le policier coupable de cette agression ? Ces actes étaient-ils uniquement commis sur des personnes de couleur ? En quoi l’avis de M. Ngijol sur cette question est-il un avis autorisé ? À part se ridiculiser en affirmant, à propos d’Éric Zemmour, qu’« on le descend en deux secondes »

Hé, Thomas, tu es obligé de copier des auteurs américains pour boucler tes spectacles ! Concentre-toi sur ton métier et laisse les journalistes faire le leur !

Je dois le confesser, j’aime Thomas et ses spectacles et mon agacement est à la mesure de ma déception quand je lis ou que j’entends ces déclarations. J’avais pris l’habitude d’un comique en capacité de prendre du recul et de garder du bon sens sans tomber dans des pièges comme celui dressé par Barthès et son équipe d’idéologues propagandistes. La méthode est simple : il leur suffit d’inviter une personnalité dont ils subodorent la sensibilité à la cause qu’ils souhaitent défendre et le tour est joué !

J’en appelle simplement au bon sens : le problème n’est pas George Floyd (Dieu ait son âme) mais la violence quotidienne d’un pays où les armes sont autorisées et circulent en abondance, où les injustices sont criantes et où la violence est constamment valorisée dans les séries et les films proposés au grand public.

Après les déclarations de Camélia Jordana et celles de Thomas Ngijol, on attends avec impatience celles de Nabilla.

La chanson du jour, No California – Limousine

Aujourd’hui un son hors du commun, il s’agit d’un instrumental qui vous détendra jusqu’au bout des ongles. Un décollage et un atterrissage tout en douceur….pas besoin d’attacher ses ceintures.

Émeutes USA : Zemmour pulvérise les mensonges de la propagande

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Dans l’émission « Face à l’info », lors du débat sur les violences raciales et policières aux États-Unis, Éric Zemmour remet les pendules à l’heure avec sa logique imparable et son bon sens habituel.

Soulignons d’abord la maîtrise avec laquelle la sublime Christine Kelly anime cette émission. Intelligence de ses interventions, douceur de la voix, délicatesse pour manifester son désaccord, il est clair que cette animatrice devrait être la référence absolue du journalisme audio-visuel en France.

Elle enterre bien des journalistes qui se comportent davantage en chiens de garde de la Macronie, plus ou moins agressifs, qu’en professionnels d’une information impartiale et objective. Elle redore le blason d’une profession ravagée par la dictature du politiquement correct.

Cette parenthèse étant faite, revenons à Éric Zemmour, éternel gladiateur ferraillant chaque jour dans l’arène, pour la défense de l’identité française.

Face à l’émotion qui envahit la planète et fausse le débat, Zemmour se veut le plus rationnel possible.

Il nous rappelle avant tout que George Floyd n’est pas un perdreau de l’année et que c’est un toxicomane qui a fait cinq années de prison. Ce à quoi Christine Kelly lui rappelle gentiment que le policier auteur de la bavure n’est pas non plus un saint, puisqu’il a fait l’objet de 18 plaintes en 19 ans de service !

George Floyd est mort des suites de son interpellation musclée, certes, mais il souffrait de problèmes cardiaques et se droguait, fragilisant ainsi son état de santé.

Zemmour en vient aux statistiques ethniques, tout à fait légales aux États-Unis. En France, la pensée dominante est que les policiers blancs tuent  les Noirs, ce qui est  totalement faux.

97 % des victimes noires sont tuées par des Noirs et 1 % sont tuées par des policiers.

Les Noirs disent avoir peur des policiers blancs alors qu’ils sont de très loin victimes des attaques de leurs congénères.

Les Noirs représentent 14 % de la population totale mais 40 % des détenus. Assez de ce comportement émotionnel accusant systématiquement les Blancs !

Zemmour développe ensuite le contexte historique et racialiste qui domine aux  États-Unis.

Depuis la période de l’esclavage, toutes les lois d’émancipation en faveur des Noirs, jusqu’à l’élection d’Obama, n’ont guère changé les mentalités et n’ont pas réduit la fracture raciale toujours béante.

99 % des Noirs ont voté Obama, ce qui est bien un vote racial et non un choix politique.

En 2050, les Blancs seront en minorité, une hantise pour les classes populaires blanches, qui refusent le déclassement  économique et la domination par les minorités qu’ils ont accueillies.

En ce sens, Trump est l’incarnation de cette Amérique profonde blanche, qui réclame protection. Un abîme sépare cet électorat populaire des élites de la côte Est.

Ce qui se passe en Amérique est dramatique, tant  le jeu politique s’est racialisé. La « guerre » politique est devenue une guerre des races.

80 % des Noirs et des Latinos votent démocrate.

80 % des Blancs votent républicain.

Si les Noirs se sentent exclus, ce n’est pas à cause du regard méchant du Blanc, mais  parce qu’ils se sont exclus eux-mêmes. La preuve ? Les Asiatiques caracolent en tête des classements scolaires et ne se sentent pas rejetés.

D’ailleurs, Obama avait parfaitement intégré les codes de la classe bourgeoise blanche.

La véritable assimilation, c’est l’acceptation du « vivre-ensemble », ce qui n’est pas le cas dans la société américaine. Et en France, on observe le même refus de s’assimiler, de plus en plus flagrant.

Sur les violences policières, Zemmour parle franc.

Si le policier américain a le coup de feu facile, en France le policier est avant tout victime de guets-apens. Il n’y a pas de violences policières en France comme aux États-Unis.

En Amérique, les policiers tuent 1 000 personnes par an et comptent 50 morts dans leurs rangs.

En France, policiers et gendarmes tuent 20 personnes par an et comptent 15 tués en mission.

Il y a donc chez nous presque autant de policiers morts en mission que de délinquants tués. Mais pour les médias, passer en boucle une bavure policière est plus porteur que commenter la mort d’un policier en mission.

Proportionnellement, les policiers français font dix fois moins de victimes que les policiers américains. Il faut donc cesser de délirer et de monter en épingle une violence policière qui n’existe pas.

Quand Camélia Jordana dit que les jeunes de banlieue se font massacrer pour leur couleur de peau, elle ment. Elle a surtout besoin de faire parler d’elle et sait très bien que le sujet de la victimisation des minorités est porteur.

En Afrique ou au Maghreb, aucun jeune ne se permettrait le centième des agressions contre les forces de l’ordre qu’on voit quotidiennement en France.

La violence policière est marginale, mais tout incident est savamment instrumentalisé par l’extrême-gauche française, pour dresser les communautés les unes contre les autres.

L’affaire Adama Traoré, mort à la suite de son interpellation, en est la parfaite illustration. Pourtant, trois expertises médicales innocentent les gendarmes.

Mais si les violences policières sont l’exception en France, les tensions raciales sont de plus en plus présentes, au point que nos policiers limitent au maximum les incursions dans les cités pour éviter les émeutes.

La situation aux États-Unis et en France n’est pas comparable, car ces deux pays n’ont pas la même Histoire. La France n’a jamais eu d’esclaves sur son sol. Elle en a eu dans ses colonies, mais pas en métropole.

Il y a un modèle français d’assimilation où la race ne compte pas, mais ce modèle qui a fait merveille au fil des siècles ne fonctionne plus avec les minorités extra-européennes.

Dans les années soixante, il n’y avait aucun problème. Mais aujourd’hui, ce sont les militants antiracistes et décoloniaux qui  racialisent le débat, en important l’imaginaire noir américain dans nos banlieues.

Le combat de la mouvance d’extrême gauche, c’est celui du séparatisme, à 180° de l’assimilation.

Séparatisme des décoloniaux entre Blancs et Noirs.

Séparatisme des islamistes entre musulmans et infidèles.

Séparatisme des féministes entre hommes et femmes.

Il s’agit de victimiser les minorités pour mieux opposer les communautés. L’assimilation est devenue synonyme de néocolonialisme.

Le modèle culturel français, ouvert à tous, est violemment rejeté par les mêmes qui se disent ensuite discriminés. Chez de plus en plus d’immigrés, manipulés par des  militants qui propagent la haine antifrançaise, il n’y a aucune volonté de s’intégrer.

Et bien entendu, la gauche fait porter le chapeau au Blanc, éternel coupable.

Noirs et Arabes qui se disent discriminés s’enferment eux-mêmes dans leurs cités. Mais ce n’est pas avec des ateliers interdits aux Blancs qu’ils vont réussir leur intégration !

Et les immigrés qui veulent s’en sortir sont malheureusement les victimes de cette extrême-gauche antirépublicaine.

Le risque de contagion existe-t-il ? Le chaos racial des États-Unis  peut-il gagner la France ?

Zemmour n’est pas devin.

Mais il conclut en soulignant que l’extrême-gauche fait tout pour importer la guerre raciale, afin de montrer que la France est raciste.

La chanson du jour, Paradis Reprise – Alain Chamfort

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Je vous donne rendez-vous au paradis…s’il existe. En attendant on écoute cette version très “soirée” de la chanson Paradis d’Alain Chamfort. Le mastering, les sonorités tout est parfait ! Bravo !

Planant à souhait, un pur délice

Il décapite sa fille : au nom du Code pénal islamique, il ne risque que trois à dix ans de prison

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Boulevard Voltaire

Chacun a ses priorités, ses centres d’intérêt, ses causes à défendre. Les journaux n’échappent pas à cette règle. Lundi dernier, un Afro-Américain meurt asphyxié sous le genou d’un policier au cours d’une interpellation des plus musclées, pour ne pas dire des plus violentes. Cela se passait à Minneapolis, dans le Minnesota. Les images font le tour du monde et la une de tous les médias. Cet homme de 46 ans, qui avait été interpellé pour un délit mineur, s’appelait George Floyd. Aujourd’hui, tout le monde connaît son nom.

Sur fond de tensions raciales toujours présentes, des émeutes s’en sont ensuivies. La violence appelle la violence. Évidemment, on est à l’affût des écarts de discours que pourrait commettre Donald Trump. Ce ne serait que bonheur. Désormais, on sait tout ou à peu près tout de ce malheureux dont on fera vite un martyr, assurément. Cette affaire est évidemment triste, déplorable et, d’ailleurs, devrait peut-être inviter la célébrissime Camélia Jordana à relativiser ses propos sur ces policiers qui massacrent à tour de bras, ici, en France. À l’heure où ces lignes sont écrites, Le MondeLibé20 Minutes et Le Huff titrent, rendent compte, analysent sur et autour de cette affaire. À juste titre, car un homme ne devrait pas mourir comme ça.

Toujours cette semaine, autres cieux, autre drame. En Iran. L’Iran des mollahs, de l’islam qui ne badine pas avec l’amour. Une gamine de 13 ans a été assassinée par son père. Elle avait quitté la maison pour rejoindre son amoureux, un homme de 30 ans qu’elle voulait épouser. Le problème, c’est qu’il est sunnite et que la famille de cette adolescente est chiite. Donc, refus paternel, d’où la fugue. Ramenée à son domicile par la police, son père l’a décapitée à la faucille dans son sommeil. On appelle cela un « crime d’honneur ». Selon le Code pénal islamique, le père est propriétaire de son enfant et ne risque qu’entre trois et dix ans de prison.

Cette jeune fille de 13 ans s’appelait Romina Ashrafi. Aujourd’hui, tout l’Iran connaît son nom car cette affaire a soulevé un énorme tollé sur les réseaux sociaux persans, comme le rapporte Courrier international. Comme quoi les réseaux sociaux peuvent avoir du bon. Tout l’Iran connaît son nom. Et en France ? Une relative discrétion, si l’on compare à ce qu’il en est de l’affaire de Minneapolis. Et si on en parle, à quelques rares exceptions, on préférera évoquer « le débat sur les lois patriarcales » en Iran plutôt que celui sur les lois islamiques. Ne faudrait surtout pas casser la campagne de pub d’Adidas qui se lance dans la vente de voiles islamiques pour le « running ».

On devrait parler autant de Romina Ashrafi que de George Floyd.

Les émeutes racistes soutenues par la gauche, pour destabiliser Trump

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Riposte Laïque

Alors que SpaceX vient de réussir son premier vol privé habité, en envoyant deux astronautes rejoindre la station spatiale internationale, cet exploit a été totalement occulté par les émeutes qui ravagent les villes américaines depuis huit  jours, suite à la mort de George Floyd.

Après 10 ans d’absence, ce succès signe pourtant le retour fracassant de l’Amérique dans la course à l’espace.

« On ne peut pas être le numéro 1 sur Terre si on est numéro 2 dans l’espace », a déclaré Trump  après le décollage de SpaceX.

Mais aujourd’hui, les regards se portent davantage sur les flammes qui envahissent les écrans TV que vers le bleu du ciel.

Partie de Minneapolis, épicentre des émeutes, l’insurrection généralisée s’étend sur toute l’Amérique et  prend des proportions dramatiques, qui rappellent les graves émeutes raciales de 1968, après l’assassinat de Martin Luther King.

Cette année-là, ce sont 125 villes américaines qui sombrent dans la violence extrême, avec pillages, agressions et incendies criminels. Le chaos est tel que la police reçoit l’ordre de tirer sur les incendiaires. Le bilan sera de 46 morts et 2 600 blessés.

52 ans plus tard, aux manifestations de colère qui ont accompagné la mort de l’Afro-Américain George Floyd, se sont greffées toutes les rancœurs et toutes les tensions du pays, après la pandémie de la Covid-19, qui a fait  100 000 morts et donné lieu à de nombreuses polémiques entre États.

En pleine campagne électorale, il est clair que les démocrates tentent de surfer sur la vague d’indignation qui s’empare du peuple américain, afin de déstabiliser le camp républicain.

Un jeu dangereux pour les adversaires de Trump, car la violence et les destructions pourraient vite retourner l’opinion, réclamant un retour au calme et à la sécurité.

Qui peut tolérer les immeubles calcinés, les magasins pillés et les véhicules incendiés ? Qui peut tolérer la mise à sac des magasins, des banques, des restaurants ? Qui peut tolérer l’attaque des commissariats et les tentatives de lynchage de policiers ?

Certains policiers se sont joints aux manifestants pacifiques, mais c’est surtout la violence qui domine à travers le pays.

Et attention ! Les policiers américains ne sont pas les policiers français paralysés par l’IGPN. Pas de fantaisies superflues avec un flic, noir ou blanc !

https://tvs24.ru/pub/watch/1887/emeutes-etats-unis/

Tout ceci n’a plus rien à voir avec la mort d’un Noir victime d’une bavure policière. La victimisation de la communauté noire, éternelle martyre de l’Histoire de l’Amérique, ne doit pas être prétexte à tout détruire.

Côté médias français on présente les pillards, les casseurs et  les incendiaires sous un jour sympathique, on accable Trump et on  nous rabâche que le Président américain s’est « réfugié » dans son bunker, comme la bête traquée aux abois. Grotesque.

En fait, il n’y a passé qu’une  heure pour respecter la procédure en vigueur à la Maison Blanche. Ces gauchistes anti-Trump devraient se souvenir qu’en décembre 2018, c’est Macron qui était terré dans son bunker élyséen, protégé par 600 policiers et gendarmes face aux Gilets jaunes…

Cela dit, la situation est grave et  devient du ressort de l’armée, là où la police est  impuissante à rétablir l’ordre.

Ce ne sont plus les violences qui accompagnent localement une bavure policière, mais un embrasement généralisé qui pourrait bien se transformer en guerre culturelle.

La gauche américaine peut être satisfaite. Son discours de victimisation de la communauté noire a porté ses fruits. Durant des décennies elle a semé les germes d’une guerre civile et on assiste à la naissance des premières pousses.

En France, nous connaîtrons nous aussi cet embrasement de la nation. Gérard Collomb n’a rien d’un devin. Il a parfaitement compris que dans nos banlieues, tous les voyants sont au rouge.

Il n’y aura jamais de société multiculturelle paradisiaque. Le mondialisme et le multiculturalisme ne sont qu’un passeport  pour des lendemains tragiques, qui aboutiront à la destruction de la nation.

Etats-Unis : de nombreuses scènes d’agressions contre des Blancs

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

La chanson du jour, Thrill Me – Simply Red

Attention pépite ! Ce morceau est incroyable. Si vous aimez danser, bouger vous évader alors cette chanson est faite pour vous. Tout est excellent : le thème musical, le chanteur, la basse, le saxo etc….Un morceau magique je vous dis !

Manifestation de clandestins : où sont le préfet Lallement et Christophe Castaner ?

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Boulevard Voltaire

Comment pouvons-nous permettre à des sans-papiers de se rassembler, de narguer les forces de l’ordre et nos autorités ? J’ai honte mais je garde espoir car la France ne mourra jamais…

Le jeudi 28 mai, le Premier ministre, Édouard Philippe, annonce la reconduction des mesures concernant l’état d’urgence sanitaire, notamment la règle interdisant les rassemblements de plus de dix personnes. En effet, au grand dam de beaucoup d’associations, aucun assouplissement des conditions de rassemblement sur la voie publique n’est autorisé et cette règle est reconduite jusqu’au 21 juin sur l’ensemble du territoire national. Ce samedi 30 mai, pourtant, la France entière a pu constater, suite aux appels de diverses associations, que plus de 5.000 personnes se sont rassemblées à Paris afin de manifester pour réclamer la régularisation des sans-papiers, et ce, malgré cette interdiction.

Oui vous avez bien lu… en France, malgré plus de 28.000 morts du Covid-19, des associations bravent l’interdiction de regroupement pour manifester afin de réclamer la régularisation des sans-papiers.

À ce niveau, en Île-de-France, ce n’est pas aux associations qu’il faut réclamer des comptes mais au préfet de police de Paris, lui si prompt à casser du gilet jaune ou du manifestant anti-loi retraite, lui, Didier Lallement, roulant des mécaniques devant les médias pour montrer son intransigeance. Où était-il, le 30 mai ?

Peut-être que si ce rassemblement avait été réclamé, par exemple, par des conservateurs pour s’opposer à la PMA sans père aurait-on eu l’occasion de voir en action notre « Commandante » !

Que dire de Christophe Castaner, cet intermittent du spectacle pathétique, un jour ministre avec un portefeuille dont il n’est pas certain d’en maîtriser les contours, un autre jour artiste noctambule, l’autre jour laudateur de la Macronie, chantre des vertus de l’échec ?

On est bien loin du temps des Pasqua et Pandraud, quand on avait des ministres, de vrais ministres, place Beauvau.

Comment pouvons-nous permettre à des personnes sans papiers, c’est-à-dire à des clandestins, autrement dit à des contrevenants à la loi, de se rassembler, de manifester en toute impunité ? Ce n’est pas seulement les forces de l’ordre, les autorités, qu’ils narguent, mais les Français à qui l’on a dit de se tenir bien tranquilles chez eux pendant plus de deux mois. C’est la France qu’ils narguent.