I-MEDIA : Excellente émission à suivre toutes les fin de semaines.

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Chaque semaine, Rutube.fr met en avant l’excellente émission de TVL, I_MEDIA.

A suivie ICI : http://rutube.fr/articles-de-fond/

02:15 L’image de la semaine

Même confiné, Jean-Pierre Pernault reste incisif quant à la responsabilité du gouvernement dans la crise que nous traversons.

04:35 Les médias complices de la haine anti-policiers ?

Alors qu’un attentat islamiste a failli coûter la vie à deux policiers, les médias ont comme d’habitude traité a minima le drame. Dans cette émission, nous nous interrogerons sur le rôle de ces médias dans la montée de la haine anti-policiers dans les banlieues.

22:34 Revue de presse

Sophia Aram qui insulte une partie des contribuables qui la rémunèrent…
Des décodeurs qui admettent leurs erreurs sur l’efficacité des masques…
Dans ce I-Média, nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine.

32:54 Déconfinement : la bouffée d’air frais des médias alternatifs

Après le discours d’Edouard Philippe sur le déconfinement, les médias dominants semblaient tous à peu près convaincus malgré le flou général. Heureusement, la presse alternative est là pour jouer son rôle de contre-pouvoir.

Guillaume Bernard : « Édouard Philippe nous annonce des mesures liberticides qui sont le résultat d’une incurie de l’État-providence ! »

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Boulevard Voltaire

Guillaume Bernard réagit au discours d’Édouard Philippe exposant les conditions du déconfinement à partir du 11 mai : distribution de masques, écoles, réouverture de commerces et reprise de l’activité économique. N’ont pas été évoquées : les élections municipales…

Pendant une heure, Édouard Philippe a prononcé un discours devant 75 députés. Ce discours était très attendu puisqu’il devait acter le début du déconfinement à partir du 11 mai. On attendait un discours clair. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce discours a été assez flou.
Qu’avez-vous pensé de la prestation du locataire de Matignon ?

Dans un premier temps, il a cherché à ouvrir le parapluie. Il a collectivisé la responsabilité avec les parlementaires en leur disant qu’ils allaient se prononcer sur la question et en annonçant que toutes les mesures seraient prises avec les collectivités territoriales et avec les partenaires sociaux. Une certaine panique a été à l’origine des mesures qui ont été prises. Par conséquent, la crise qui s’annonce va être extrêmement dure. On peut tabler sur le fait que l’Exécutif dans sa globalité cherche à mettre tout le monde dans le même panier et à mouiller le maximum de personnes. L’étape d’après sera peut-être le gouvernement d’union nationale. On verra bien s’ils le font.
Il a en premier lieu essayé de dire qu’ils ne pouvaient pas faire autrement. Les scientifiques ayant eux-mêmes varié dans leurs positions, il a dit que cela expliquait la variation des mesures prises et les injonctions contradictoires.
Cela me paraît extrêmement scandaleux et je pèse mes mots. La gouvernance qui veut se justifier par la science, l’élimination du politique et des choix politiques, sous prétexte qu’une mesure s’impose de manière rationnelle aboutit à de l’à peu près et à vouloir mettre tout le monde dans le même panier.

Dans ce flou, on a pu néanmoins trouver quelques débuts d’explication ou d’annonce. Édouard Philippe nous assure qu’il y aura assez de masques pour tout le monde. Néanmoins, il incite les Français à fabriquer des masques en tissus. On ne sait toujours pas où est passé le stock stratégique…

Depuis le début, nous sommes dans les injonctions contradictoires et dans des informations doctement données, mais totalement imprécises. Nous n’avons aucune possibilité de vérifier ou de comprendre la létalité réelle de ce virus, puisqu’on ne sait évidemment pas combien de personnes  ont été infectées sur le territoire national. Le fait de parler de manière ferme ne veut pas dire que les mesures prises sont claires.
Il y a une certaine logique à affirmer la progressivité du déconfinement et la différence de traitement entre les territoires, mais cela me paraît parfaitement impraticable. Comment voulez-vous que les Français s’y retrouvent s’ils ont choisi une école privée sous ou hors contrat pour leurs enfants qui se situe dans le département limitrophe ou pour un artisan qui a un chantier à plus de 100 km de chez lui ?
En apparence tout paraît logique, mais en réalité c’est de l’à peu près permanent.

On ne sait toujours pas si le premier tour des élections municipales compte ou s’il faudra le recommencer. Le Premier ministre s’est montré muet à ce sujet, alors qu’il a parlé du sport professionnel. On sait notamment que la ligue 1 et la ligue 2 vont s’arrêter et que les résultats à ce jour compteront comme résultats définitifs.

Les intérêts financiers du sport professionnel sont sans doute plus importants pour le Premier ministre que la vie démocratique. Vous connaissez ma position. Je pense que ces élections municipales vont vraisemblablement devoir être entièrement réorganisées, peut-être même le premier tour. Il est peu vraisemblable que le second tour sera organisé fin juin, comme cela avait été annoncé au départ.
Dans les mesures égrainées par le Premier ministre, on voit toute la hiérarchie faite dans l’idéologie de l’actuel régime. Il nous dit que les parcs et les jardins sont absolument nécessaires pour l’équilibre des personnes. En revanche, la pratique de la religion n’est pas importante. Les messes sont toujours prohibées jusqu’au 2 juin. D’autres choses sont complètement incohérentes. On nous dit qu’il va y avoir 15 élèves par classe. En revanche, 10 personnes maximum seront autorisées dans des rassemblements, y compris dans des lieux privés. Que cela veut-il dire si on considère les chapelles privées ? On va faire des contrôles à l’entrée et à la sortie des chapelles privées pour empêcher que des messes ne soient dites ou vérifier qu’il y a moins de 10 personnes, alors qu’il y aura 15 élèves dans les classes…
Sincèrement, j’avoue qu’au début j’étais très circonspect de la léthargie de l’Exécutif, mais là les mesures prises, drastiques et liberticides, me paraissent le résultat d’une impression et une incurie de l’État providence qui sont extrêmement dommageables à l’ensemble du bien commun. Le bien commun n’est pas uniquement l’intérêt général ou l’intérêt des parties, mais la combinaison des deux. Dans le bien commun, il y a le bien commun temporel, les activités économiques et sociales, mais aussi le bien commun spirituel. Cela est passé totalement inaperçu dans le discours du Premier ministre. Pour lui, la vie religieuse n’est dans le fond qu’un aspect tout à fait subalterne de la vie sociale.

On a l’impression que le véritable déconfinement n’interviendra que le 2 juin plutôt que le 11 mai.

Il a pris des précautions pour annoncer que, dans le fond, ce ne serait peut-être pas le 11 mai, pas partout et de manière progressive. On n’a absolument pas de date réelle de déconfinement pour l’ensemble du territoire. Il y a un certain nombre d’activités, notamment les activités culturelles, le Puy du Fou en particulier, qui se retrouvent en grande partie ruinée. Le Puy du Fou persistera, mais il est certain que toutes les activités culturelles pendant cet été seront ruinées par l’incurie de l’État.

Eric Zemmour agressé dans la rue : j’attends la solidarité des journaleux !

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Riposte Laïque

Dans les rues de Paris, pendant qu’il faisait ses courses, Eric Zemmour a été reconnu par une racaille, agressé verbalement et menacé. Une haine contre ce journaliste savamment entretenu par nombre de ses confrères, qui ne lui pardonnent pas ses prises de position, son courage et sa grande liberté de parole. Cette fois, l’agression ne fut que verbale, mais qu’en sera-t-il la prochaine fois ? On remarque que dès qu’un homme politique de gauche, ou un journaliste, est malmené, c’est l’emballement médiatique durant 48 heures. Alors que, ce qui arrive trop souvent, quand un leader patriote, ou un Eric Zemmour, est insulté, menacé ou frappé, un silence complice couvre cet acte. Question : les journalistes et leurs syndicats, qui militent ouvertement pour l’exclusion d’Eric des chaînes de télévision, lui apporteront-ils le moindre soutien ?

« Taper du flic », « Palestine » , Daesh : les explications glaçantes de l’assaillant de Colombes

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A l’oral, le discours de Youssef T. est glaçant, exprimé clairement et jugé « très cohérent » par les enquêteurs. Acceptant déjà l’idée d’être incarcéré à vie puisque, dit-il, « Allah m’a choisi », il voulait, selon sa propre expression, « taper du flic » au cours d’une attaque à la voiture-bélier. Avant de nuancer ses propos au cours des auditions et suggérer qu’il voulait surtout les blesser. (…)

En toile de fond, le jeune homme s’est forgé de longue date une forte conviction pro-palestinienne. En juillet 2014, par exemple, dans le contexte de la guerre de Gaza, il aurait participé à l’une des manifestations organisées dans les rues de Paris. A cette occasion, des drapeaux de l’Etat islamique étaient apparus dans le cortège. Ces dernières semaines, Youssef T. explique avoir vu et revu, « pendant le confinement », précise-t-il, des vidéos d’enfants de Gaza. Une manière de justifier la montée de sa colère. Et son passage à l’acte lundi après-midi, au volant de sa BMW noire. « J’entendais des voix depuis quelques semaines, c’était l’esprit de la Palestine », a-t-il expliqué au cours de l’une de ses auditions. L’expertise psychiatrique qui s’est tenue mardi a conclu à l’absence d’altération ou d’abolition de son discernement.

www.leparisien.fr

La chanson du jour : compil du mois d’avril.

Un mois déjà que la chanson du jour a été lancée! Petits veinards voici la compil du mois d’Avril….bonne écoute 🙂

Univers dystopiques: notre futur est-il déjà écrit?

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Sputnik

Les auteurs de dystopie ont dessiné nos pires futurs, écologique, sanitaire, sociaux ou militaire. Plus que l’aspect prophétique, cette effervescence est le reflet des préoccupations ou des fléaux de leur temps. Nul doute que le masque restera le symbole de l’épreuve subie par nos sociétés frappées par la pandémie. Tour d’horizon.

Toute une branche de la culture populaire s’est emparée du sujet des catastrophes nucléaires, biologiques, chimiques et cybernétiques. Sur papier ou sur écran, les œuvres ne manquent guère pour imaginer la survenance de celles-ci et de leurs conséquences. Certaines créations ne manquent pas d’intérêt au regard des circonstances.

Si le public francophone cite immanquablement le roman d’Albert Camus, La Peste, le monde anglophone aurait tendance à plutôt mentionner celui de Jack London, La Peste écarlate. Si le premier est une description plus proche du tableau psychologique en temps de pandémie, le second s’emploie à relater comment une société évoluée peut rapidement se désagréger par la survenance d’une catastrophe impromptue, ensevelissant et cantonnant le monde d’hier dans les souvenirs de quelques érudits isolés et rarement écoutés.

Cinématographiquement, les exemples pullulent et le meilleur côtoie le pire. Retenons-en deux: un britannique et un français. 28 jours plus tard –et sa suite, 28 semaines plus tard–, du réalisateur Dany Boyle, est devenu un classique du cinéma fantastique par son esthétique… et son réalisme. Le déclenchement de l’épidémie est par ailleurs très symptomatique et fort peu politiquement correct: un commando antispéciste s’introduit dans un laboratoire d’analyses sur des primates, et c’est en voulant les libérer que l’un des activistes se fait mordre, provoquant le début d’une infection non maîtrisée. Les scènes de Londres désertée sont restées dans les mémoires.

Pars vite et reviens tard, de Régis Wargnier est plus intimiste, moins spectaculaire, porté sur le déroulement d’une enquête plongeant dans un Paris menacé par le retour de la peste. Un épisode avéré dans l’histoire récente, puisqu’en 1920, une telle épidémie se déclara dans la capitale française et sa banlieue immédiate.

Elle fut masquée par le gouvernement français sous la dénomination de «maladie n° 9» afin de ne pas affoler la population déjà ébranlée par la «grippe espagnole» de 1918-1919. Le commissaire Adamsberg va être confronté à la fois au risque de propagation de la maladie et à un prophète aux intentions floues.

La résilience des populations au prix de la dégénérescence

Les histoires post-apocalyptiques se concentrent souvent sur la résilience –au prix souvent de la dégénérescence– de poches d’humanité. Comme dans le mythique Fallout, encensé par les amateurs de jeux vidéo, lequel en ses différents opus a planté un univers tendant entre le morbide et le comique, avec quelques réminiscences du monde d’avant visibles au sein d’épars abris antiatomiques. Citons encore la très immersive simulation de survie S.T.A.L.K.E.R. (inspirée par le film éponyme d’Andreï Tarkovski) développée par le studio ukrainien GCS Game World. Le jeu recrée tout un écosystème de survie dans un Tchernobyl alternatif crédible, où la chasse aux artefacts et la quête du Monolithe opposent factions et loups solitaires, sur fond d’orages radioactifs sporadiques. Cette trilogie a été encensée par la critique comme l’un des plus saisissants univers virtuels jamais créés, notamment grâce aux interactions poussées entre les personnages.

Souvent, ces œuvres sont assez peu disertes sur l’origine du monde en déshérence où évoluent les protagonistes, préférant s’atteler aux ressorts psychosociologiques des populations résilientes. C’est le cas du trop méconnu long-métrage Les jours, du réalisateur allemand Lars Kraume, qui répertorie les inquiétudes contemporaines: montée de l’instabilité sociale et des crises internationales).

Il est pourtant d’autres univers post-apocalyptiques plus chatoyants, du moins en apparence. C’est le cas de deux œuvres: Globalia, du français Jean-Christophe Rufin, et Hunger Games, de l’Américaine Suzanne Collins. Ces deux romans renforcent, chacun à leur façon, le trait déjà visible de plusieurs sociétés occidentales, en opposant une périphérie paupérisée, accablée fiscalement, militairement, technologiquement et symboliquement afin d’assurer la prospérité d’opulentes métropoles. Une félicité factice, dont le succès repose sur la bonne conscience des citoyens (par le divertissement offert, voire imposé et l’épuration de l’information) et la maîtrise d’espaces territoriaux considérés comme primitifs, donc hostiles, mais essentiels pour l’approvisionnement en ressources alimentaires et humaines. Tant Globalia qu’Hunger Games sont des réflexions profondes sur le contrôle des populations, sur la gestion de l’information et sur le rapport métropole-périphérie cher au géographe Christophe Guilluy.

Dans un style un peu plus social, mais au propos identique, la série Trepalium (mot latin pour désigner à la fois la souffrance et le travail), des scénaristes Antarès Bassis et de Sophie Hiet, campe une ville fortifiée qui regroupe uniquement les individus bénéficiant d’une activité rémunérée et d’un mur pour les séparer des hordes d’exclus. Le système d’insertion de quelques exclus au sein de la métropole permet à ces nouveaux élus de se rendre compte que la société perçue comme idyllique à l’extérieur est en réalité profondément tyrannique à l’intérieur.

La symbolique du masque

Dans le récit Metro 2033 (porté plus tard sur PC), de l’auteur russe à succès Dimitri Gloukhovski, le port du masque est omniprésent dès lors qu’il est question de remonter à la surface pour les populations confinées dans les stations de métro de Moscou. Car depuis une guerre nucléaire, le monde extérieur est extrêmement nocif à cause des radiations comme de la faune ayant subi d’horribles mutations ou porteurs de germes bactériologiques. L’ouvrage transpire de cette ambiance de méfiance réciproque entre les clans de survivants regroupés dans les artères du réseau métropolitain, ainsi que de cette obligation de se protéger de la menace invisible du dehors, où chaque déplacement sans combinaison équivaut à une létalité quasi certaine.

Cette symbolique du masque nous amène à la bande dessinée V pour Vendetta, du Britannique Alan Moore, portée à l’écran en 2005. Elle se déroule dans un futur dystopique, où suite à une catastrophe nucléaire, le pouvoir médiatico-politique dans les îles Britanniques se maintient au prix de l’abrogation de toutes les libertés fondamentales. Une situation qui va être bouleversée par l’immixtion d’un homme providentiel, affublé d’un masque à l’effigie du comploteur Guy Fawkes (mort en 1606 pour avoir tenté de dynamiter le parlement de Londres), dont les actions et apparitions sèmeront les graines de la rébellion, avant de former une armée de citoyens révoltés, portant à leur tour des masques devenus les symboles de leur libération.

Et qui sait, peut-être au sortir de cette épreuve épidémiologique, disposerons-nous de créations dignes du Décaméron, rédigé en 1348 par l’humaniste Giovanni Boccaccio en plein épisode de peste?

En pleine crise sécuritaire, Nicole Belloubet libère 10 500 prisonniers !

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Riposte Laïque

Christiane Taubira déjà en son temps avait déjà été la championne des prisons, à tel point que certains auraient bien aimé la voir pendue à un lampadaire.

Ancienne militante indépendantiste en Guyane, rien ne la préparait à être ministre de la Justice de 2012 à 2016, car elle avait surtout un DEA d’économie, sans doute pour l’aider à compter les libérations de détenus sous son règne  ? Car son but était de vider les prisons. Plus de récidive, plus de prison pour des peines inférieures à deux années. Refus de construire de nouvelles prisons. Etc.

En tout cas les syndicats de police se sont réjouis de sa démission car son laxisme, sa manière de saper l’autorité des forces de l’ordre, étaient emblématiques d’une idéologie de la démission. Et de la soumission à un autre ordre que le nôtre.

Le bilan de Christiane Taubira est très bien résumé ici :

https://www.institutpourlajustice.org/medias/bilan-de-christiane-taubira/

Mais voilà que Christiane Taubira est battue dans son triste record par Nicole Belloubet elle-même. Ce n’est pas une surprise, on s’y attendait dès le début de ses actions nuisibles. Reste à savoir ce qu’on fera de Belloubet à l’heure des comptes, mais n’anticipons pas.

Nicole Belloubet aime tellement les prisonniers qu’elle les choie. Après des baisodromes, elle leur a donné des portables. La vie de prison devient une vie de château ou presque. Et maintenant, elle les libère en masses compactes.

Car depuis le 16 mars, il faut avouer que la Belloubête fait très fort. Elle a décidé qu’il fallait libérer les prisonniers pour… leur éviter le Coronavirus. Nous, nous sommes confinés, mais eux sont lâchés dans la nature afin de recommencer immédiatement leurs criminelles actions contre nous.

Et c’est ce qu’elle fait. La population carcérale aurait diminué depuis le 16 mars de 10 500 personnes, « surtout en raison de la diminution de la délinquance due au confinement » assure sans rire Belloubet.

http://www.fdesouche.com/1369161-coronavirus-en-prison-le-taux-doccupation-tombe-en-dessous-de-100-annonce-belloubet

Diminution de la délinquance alors qu’au contraire elle semble exploser ? Les journaux sont remplis d’énumérations de faits de délinquance mais on prétend qu’elle baisse. Viols, vols, cambriolages, coups de couteaux à foison, voitures béliers, incendies de voitures, tel est notre lot quotidien. « Ils » ont même attaqué un hélicoptère de la police en vol !…

Et cette prétendue diminution de la criminalité serait en raison du respect du confinement par les populations à risque de délinquance, alors qu’on sait au contraire que ces populations refusent de se confiner ? Alors qu’on a demandé à la police de se tenir à l’écart « pour ne pas les provoquer » et tout simplement de ne pas leur demander de se confiner  ?

Alors que la police se fait salement agresser tous les jours par des malfrats de plus en plus violents et sans aucune forme de morale ? Des agresseurs prêts à tout et qui continuent à démolir même des gens déjà sans connaissance et tombés à terre.

Mais il y aurait moins de délinquance ?… Qui peut le croire ? Les chiffres officiels ne sont pas encore disponibles mais on sent bien qu’il s’agit là d’un énorme mensonge de plus de ce gouvernement islamophile et prêt à tout pour ses protégés. Car on le sait, l’islam peuple majoritairement nos prisons.

Non, la vérité c’est que Nicole Belloubet a purement et simplement libéré 10 500 prisonniers.

Fdesouche a accompli un travail remarquable de recensement des libérés récents.

http://www.fdesouche.com/1369215-coronavirus-liberes-de-prison-pour-raison-sanitaire-ils-recidivent-et-y-retournent-liste-non-exhaustive

 Dans la Loire, un homme de 49 ans libéré le 31 mars est retourné en prison trois semaines après. Ivre, il a fait l’objet d’un contrôle. Il n’avait pas d’attestation, pour la seconde fois. Il a craché sur les policiers, les a menacés de leur donner le VIH.

À Lyon, un homme libéré le 10 avril a eu plusieurs altercations. Interpellé, il a craché sur la police et l’a insultée. Il est retourné en prison.

Toujours dans la Loire, un individu n’a pas respecté le confinement et il a pris une voiture, sans avoir le permis. À peu près le même scénario à Ploërmel, où le libéré ivre a battu sa famille, blessé un policier, et en Charente où sans doute pour améliorer son cas, un individu a brandi une machette en direction de la police.

Ce ne sont que quelques exemples. Qu’on ne nous dise pas que ce sont tous des erreurs judiciaires, des Jean Valjean.

Ne nous inquiétons pas : on les retrouvera tous et un à un, au fur et à mesure de leurs nouvelles actions criminelles qui ne manqueront pas de se tourner contre de paisibles Français vaquant honnêtement à leurs occupations et que Belloubet a en principe l’obligation de protéger. Obligation à laquelle elle se donne un malin plaisir de renoncer jour après jour.

Il y a plus grave : cent-trente détenus radicalisés auraient profité d’une libération en raison du Coronavirus. Ils sont maintenant lâchés dans la nature et certainement occupés à préparer des attentats mortels. Mais pour Belloubet tout va bien.

Non seulement elle renonce à nous protéger, mais jour après jour elle nous met en grave danger d’être sérieusement agressés par des criminels dont la place est en prison en raison de leur dangerosité, et nulle part ailleurs.

Nicole Belloubet est une nuisible. Qui l’arrêtera et quand ? Cela ne peut pas durer. Les prisonniers ne peuvent plus quitter en rangs serrés les prisons pour recommencer instantanément leurs nuisances.

Aucun ministre de la Justice, à ce jour, n’a été aussi délibérément nuisible à nos concitoyens que Nicole Belloubet. Elle trahit tous ses devoirs, ce qui est sa raison d’être. Elle trahit la France.

La DGSE atterrée par le niveau de certains de ses candidats : pour ceux qui ont présenté l’option « Arabe littéral », le jury a décidé de ne retenir personne

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Dans son rapport, le jury estime que le niveau global des candidats peut être qualifié de « moyen », alors que nombre d’entre eux possèdent pourtant un Master 2. Mais ça se gâte particulièrement pour ceux qui ont présenté les options « Rédaction, administration générale » ou « Arabe littéral », dont le niveau est qualifié de « très en deçà du niveau attendu ». Et cela ne s’arrête pas là, puisque pour ceux qui ont présenté l’option « Arabe littéral », le jury a tout simplement décidé de ne retenir aucun candidat, alors que deux postes étaient pourtant ouverts. « Aucun d’entre eux n’a démontré avoir une connaissance suffisante de la DGSE et de ses missions pour pouvoir se projeter, avec conviction, dans un poste correspondant à cette spécialité », tranche le rapport.

www.vice.com

L’OMS explique maintenant que la Suède a eu raison de ne pas confiner

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Démocratie Participative

The New York Post :

L’Organisation mondiale de la santé a salué la Suède comme un « modèle » dans la lutte contre le coronavirus, alors que les pays lèvent les mesures de confinement – après le refus controversé de la nation d’imposer des restrictions.

Le Dr Mike Ryan, le principal expert de l’OMS en matière d’urgences, a déclaré mercredi qu’il y avait des « leçons à tirer » de la nation scandinave, qui s’est largement appuyée sur les citoyens pour s’autoréguler.

Ryan est le type qui trouvait que le confinement actuel était trop laxiste et qui appelait à arrêter les gens dans leur famille.

« Je pense qu’il existe une perception selon laquelle la Suède n’a pas mis en place de mesures de contrôle et a simplement laissé la maladie se propager », a déclaré le Dr Ryan aux journalistes. « Rien ne peut être plus éloigné de la vérité. »

M. Ryan a noté qu’au lieu de verrouiller les établissements, le pays a « mis en place une politique publique très forte autour de la distanciation sociale, autour de la prise en charge et de la protection des personnes dans les établissements de soins de longue durée ».

« Ce qu’elle a fait différemment, c’est qu’elle s’est beaucoup appuyée sur sa relation avec ses citoyens et sur la capacité et la volonté de ces derniers de mettre en œuvre l’autodétermination et l’autorégulation », a déclaré M. Ryan. « En ce sens, elle a mis en œuvre une politique publique grâce à ce partenariat avec la population ».

Il a déclaré que le pays avait également intensifié les tests et disposait de capacités adéquates dans les hôpitaux pour faire face à toute épidémie.

« Je pense que si nous voulons atteindre une nouvelle normalité, la Suède représente un modèle si nous voulons revenir à une société dans laquelle nous n’avons pas d’enfermement« , a déclaré M. Ryan.

C’est ahurissant. Tout simplement ahurissant.

Il s’agit de la même organisation (l’OMS donc) qui menaçait la Suède il y a seulement deux semaines parce qu’elle refusait d’appliquer ses consignes.

CNN :

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) est sceptique quant à l’approche de la Suède. Constatant une nouvelle poussée des infections dans le pays, l’OMS a déclaré mercredi à CNN qu’il est « impératif » que la Suède « renforce les mesures pour contrôler la propagation du virus, préparer et accroître la capacité du système de santé à faire face, assurer l’éloignement physique et communiquer le pourquoi et le comment de toutes les mesures à la population ».

Maintenant, l’OMS explique que la Suède a fait exactement ce qu’il fallait. A savoir, en pratique, de ne pas suivre les ordres de l’OMS.

Mais tout ça commence à se fissurer parce que les millions de morts annoncés ne se sont pas matérialisés et que c’est simplement une grosse grippe.

A mesure que les gens comprennent que cette histoire absurde d’apocalypse virale n’a aucun début de commencement, ils se demandent qui les a plongés dans la plus grande dépression économique de l’histoire pour éviter cette menace imaginaire.

[…]

Ces charlatans font donc du rétropédalage pour sauver leurs têtes. Donnez-leur encore une semaine et ils publieront des communiqués accusateurs contre les gouvernements qui ont mis en place ce confinement.

Le Système va rapidement devoir trouver un second souffle car le flan est en train de retomber très vite.

Oui, les hôpitaux ont bien procédé au «tri» des patients

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Sputnik

Une semaine après de premières révélations sur des recommandations des autorités sanitaires de «limiter fortement» l’admission en réanimation des «personnes les plus fragiles», le Canard enchaîné revient à la charge après le démenti du ministère. Le document en question existe bel et bien et Sputnik l’a analysé: il laisse peu de place au doute.

«Dans un hôpital public d’Île-de-France –des documents en possession du “Canard” en attestent–, aucun patient de plus de 70 ans n’a été admis en réa durant les six jours les plus critiques de la crise. Un “tri” que personne ne semble prêt à assumer aujourd’hui…»

Le constat dressé par le Canard enchaîné est sans appel. Une semaine après ses révélations concernant l’existence d’une «circulaire» en date du 19 mars qui «suggérait de limiter fortement l’admission en réanimation des personnes les plus fragiles», le palmipède en remet une couche dans son édition du 29 avril, en réponse au démenti du ministère de la Santé.

«Il n’y a pas de circulaire concernant la prise en charge des résidents d’Ehpad publiée à cette date. Nous ne savons pas de quel document il est question», répondait au Figaro le ministère de la Santé, dans un article paru le 23 avril.

Olivier Véran et son administration espéraient-ils s’en tirer à si bon compte? La veille de la publication cette réaction officielle dans les colonnes du Figaro, l’hebdomadaire satirique s’interrogeait quant à l’impact de cette fameuse «circulaire» sur une possible «aggravation du bilan de l’épidémie pour les patients les plus âgés».

Chiffres de l’Assistance publique de Paris à l’appui, l’auteur du papier soulignait ainsi qu’en une quinzaine de jours– à compter du 21 mars –, la part des patients de plus de 75 ans et de plus de 80 ans dans les services de réanimation avait fondu, passant respectivement de 19% à 7% et de 9% à 2%, alors qu’au même moment, l’épidémie «a explosé dans ces tranches d’âges élevées.»

«Son cabinet [d’Olivier Véran, ndlr.] joue sur les mots. Le Palmipède a improprement qualifié de circulaire un texte de recommandations régionales», répond cette semaine le «Canard», qui cette fois-ci, lâche les références exactes du fameux document, publié par l’Agence Régionale de Santé (ARS) d’Île-de-France «avec le visa du ministère, évidemment».

«Échelle de fragilité clinique»

Fort de ces informations, ce document disponible en ligne, qui «s’adresse particulièrement aux médecins», vise à apporter «un soutien conceptuel» aux équipes soignantes «sursollicitées» confrontées –dans le «contexte d’exception» d’une crise sanitaire où «les ressources humaines, thérapeutiques et matérielles pourraient être ou devenir immédiatement limitées»– à «des choix difficiles et des priorisations dans l’urgence concernant l’accès à la réanimation» et qui «ne sont pas nécessairement habituées à la démarche réflexive des limitations des traitements.»

Six puces détaillent les «principes d’une décision d’admission en unité de soins critiques» [services de soins intensifs, de réanimation, ndlr]. Le document commence par la collégialité de la procédure, «définie par voie réglementaire au décours de la loi Clayes-Leonetti», et rappelle «la garantie d’un accompagnement et de soins pour tous, respectueux de la personne et de sa dignité». Le «respect des volontés et valeurs» du patient, «l’évaluation du nombre de défaillances d’organes au moment de la prise de décision», ainsi que la «prise en compte de l’état antérieur» de ce dernier figurent parmi les critères énumérés.

Afin d’éclairer les médecins sur l’évaluation de ce point particulier, le document de l’ARS suggère «au minimum» la prise en compte des comorbidités, de l’état des fonctions cognitives du patient, mais surtout «de son âge (à prendre particulièrement en compte pour les patients COVID)» et de sa «fragilité». À cette fin, il reprend l’«échelle de fragilité clinique» d’une étude canadienne sur la santé du Geriatric Medicine Research de l’université de Dalhousie (Halifax).

Silhouettes de personnes voûtées équipées de canne ou de déambulateur à l’appui, cette «échelle» illustrée classe les individus en neuf catégories, allant des «très en forme», à savoir des personnes «actives et motivées» à celles en «phase terminale», en passant par le stade «vulnérable», qui concerne les personnes non dépendantes, mais qui «se plaignent souvent d’être au ralenti ou fatiguées durant la journée», ainsi que les «très sévèrement fragiles» qui «habituellement, ne se remettraient pas même d’une maladie bénigne.» À partir du stade 5, tous sont dépeints comme étant des individus plus ou moins «fragiles».

«Démarche réflexive des limitations des traitements»

Le document canadien repris par l’ARS dresse un récapitulatif complémentaire, celui des «scores de fragilité» concernant les patients souffrant de troubles cognitifs. «Démence légère» pour ceux qui «oublient des détails d’un évènement récent» sans avoir oublié l’évènement lui-même, «modérée» pour une mémoire à court terme «très altérée» et un troisième et dernier niveau, qualifié de «sévère» pour les personnes nécessitant une aide pour effectuer leurs soins personnels. Un panel d’éléments censé aider les soignants à prendre leur décision d’accepter ou non de patients d’un certain âge en réanimation, dans le cas où ils ne refuseraient pas d’eux-mêmes d’y rentrer ou si l’absence de signe de gravité de la maladie justifierait un tel refus.

«Une telle admission risquerait aussi de priver un autre patient d’une prise en charge en réanimation, alors qu’elle/il aurait plus de chance d’en bénéficier. Ainsi, nous considérons licite de ne pas admettre un patient en réanimation dès lors qu’il s’agit d’une obstination déraisonnable, y compris si une place de réanimation est disponible», souligne le document de l’ARS d’Île-de-France.

Pour ces patients refoulés des services de soins intensifs, le document laisse peu de doute sur leur sort: «Chez ces patients non admis en soins critiques, les soins ne sont pas interrompus, mais s’intègrent dans le cadre d’un accompagnement en collaboration avec les spécialistes d’une telle prise en charge palliative afin d’assurer une absence de souffrance et une fin de vie digne et apaisée, en présence de leurs proches», développe la note.

En somme, les malades sont mis sur une voie de garage pour laquelle la mort semble être la seule issue envisagée.

«Un “tri” que personne ne semble prêt à assumer aujourd’hui»

Des malades refusés en réanimation pour lesquels un décret publié le 29 mars autorisait jusqu’à la mi-avril le recours au Rivotril (un puissant anxiolytique habituellement utilisé dans le traitement de l’épilepsie) afin de prodiguer des soins palliatifs. D’ailleurs, le tableau méthodologique concluant la note de l’ARS, qui évoque la nécessité pour les familles «d’anticiper» avec les médecins un éventuel recours à des soins palliatifs pour leurs proches en Ephad et en USLD (unités de soins de longue durée), rappelle ceux des fiches de «recommandations» adressées au personnel soignant vers lesquelles renvoyait le fameux décret du 29 mars.

Document qui fut dénoncé en son temps par plusieurs députés, l’un d’eux fustigeant un «passeport pour la mort douce», un autre s’interrogeant: «ne risque-t-on pas de passer de la sélection des patients à une euthanasie massive qui ne dit pas son nom?»