Macron refuse de protéger les Français en fermant nos frontières !

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Riposte Laïque

On ne soulignera jamais assez l’obstination criminelle d’Emmanuel Macron à ne pas fermer nos frontières.

L’Allemagne, l’Italie et bien d’autres contrôlent leurs frontières terrestres. Mais Macron s’y refuse. Son inaction aura des conséquents tragiques sur la santé des Français.

Ennemi des nations et du repli identitaire, Macron applique son idéologie mondialiste à la crise sanitaire, sans comprendre que le pays court à la catastrophe. Comment peut-on dire que ce monsieur est intelligent, alors que depuis trois ans il mène le pays au chaos ? On entend des propos délirants sur ce virus.

C’est d’abord un responsable de la Croix-Rouge qui nous explique que le virus étant déjà présent à l’intérieur du pays, la fermeture des frontières ne sert plus à rien.

C’est ensuite Olivier Véran qui nous dit « On ne fermera pas les frontières car ça n’aurait pas de sens ».

C’est  encore Sibeth Ndiaye qui affirme « Les frontières physiques n’ont pas de sens pour un virus ».

Et c’est enfin Emmanuel Macron qui nous dit que « Le virus n’a pas de passeport ».

Difficile de faire pire en matière d’incohérence et d’irresponsabilité ! Ce chapelet d’affirmations stupides est tout simplement ahurissant.

Car ce virus ne flotte pas dans l’air et ne traverse pas les frontières porté par le vent. Il se déplace avec les personnes contaminées et se propage par contact.

Ce virus a donc bien un passeport, c’est le même que celui de la personne contaminée qui l’abrite !

Si Emmanuel Macron avait instauré des contrôles aux frontières, ainsi que dans les aéroports, la France ne serait pas le deuxième pays le plus contaminé d’Europe après l’Italie.

Le virus, nous l’avons largement importé et l’importons chaque jour.

Or, toute personne infectée contamine trois sujets sains.

Par conséquent, ce virus ne peut être freiné que par les contrôles aux frontières, la limitation des déplacements et des rassemblements, le confinement des personnes à risque et la mise en quarantaine des zones infectées. Les simples mesures d’hygiène ne suffiront pas.

Tout retard dans la prise de décision sera fatal à des centaines de personnes, voire des milliers.

Pour Samuel Alizon, chercheur au CNRS et spécialiste des maladies infectieuses, il faut à tout prix diviser le taux de contagion pour qu’il soit  inférieur à 1.

Actuellement, chaque porteur du virus contamine 3 personnes. Il faut faire chuter ce taux à 0,5 pour stopper l’épidémie.

Seules les mesures de confinement sévères permettent  d’atteindre cet objectif.

Mais Emmanuel Macron s’y refuse. Parmi les milliers de voyageurs qui franchissent nos frontières et débarquent dans nos aéroports, combien sont porteurs du virus ?

Est-ce parce que nous manquons de caméras thermiques dans nos aéroports, ou de thermomètres électroniques que nous ne contrôlons personne ? On s’interroge !

Toujours est-il qu’en ce moment, des milliers de porteurs sains sont en train de contaminer trois fois plus de personnes.

L’épidémiologiste Antone Flahaut réclame des mesures fortes, immédiates et durables jusqu’à l’été. Si la Chine et la Corée du Sud ont su limiter l’expansion du virus, c’est en agissant vite et fort dès le début de l’épidémie.

L’Italie a agi trop tard et la France suit le même chemin. C’est irresponsable.

Pour avoir refusé d’agir à temps, Macron va mener notre système de santé à l’explosion. Avec 600 cas de plus hier, sans doute 700 de plus ce soir, nos hôpitaux vont être saturés dans quelques jours ou semaines.

La France dispose de 6 lits d’hôpitaux pour 1 000 habitants, contre 8 en Allemagne, 12 en Corée du Sud et 13 au Japon.

L’Italie n’en a que 3,2 et connaît une situation dramatique.

Pour la France, c’est le calme avant la tempête. Or, « la réanimation est le nerf de la guerre ». « Le nombre de victimes va dépendre de la capacité de nos services de ranimation à faire face », dit un médecin. Avec nos 12 000 lits déjà occupés, le pic de l’épidémie pourrait se traduire par un désastre sanitaire. Car tout va s’accélérer.

Un médecin urgentiste de l’hôpital Lariboisière déclare :

« Notre structure est conçue pour accueillir 160 patients par jour, nous en recevons déjà entre 260 et 300. Il nous manque huit médecins, nous sommes déjà en saturation au quotidien ».

Il serait temps d’écouter les médecins en première ligne et aussi nos amis italiens, notamment cette médecin urgentiste totalement épuisée :

« Nous sommes au bout de nos forces, tant physiques que mentales, aidez-nous ! »

Nos personnels soignants, admirables de dévouement, savent ce qui les attend… Et qu’ils ne comptent surtout pas sur le pouvoir politique. Celui-ci reste les bras ballants, attendant le désastre pour ouvrir enfin les yeux.

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