Coronavirus : la situation va rapidement dégénérer en terme de victimes

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Riposte Laïque

Pour comprendre la gravité du Coronavirus, je vous renvoie à mon précédent article Coronavirus : attention, ceci n’est pas la grippe !

Deux articles confirment ce que j’ai republié hier : un article écrit par des médecins « La Covid-19 est un réel danger ! », deux scientifiques font le point sur le coronavirus SARS-CoV-2.

Et un article de Libé paru aujourd’hui :  Le coronavirus n’est pas une grippette, qui reprend une étude chinoise paru le 28 février. Ouf ! Il était temps !

Et puisque des images valent parfois mieux que de longs textes, vous pouvez aussi visionner ces deux films éloquents qui sont en fait deux collections, d’une heure chacun, de plein de vidéos prises en Chine et en Iran et partagées sur les réseaux sociaux par des gens qui ont parfois payé ces révélations-chocs de leur vie :

CORONA-unMaskeD 1

et

CORONA-unMaskeD 2

Merci à marie.lone et phil93 pour les liens partagés.

Iran : Comme en Chine, des passants s’effondrent au milieu de la rue ou des quais de métro, pris de spasmes. 

La situation va rapidement dégénérer en terme de victimes

Le paragraphe qui va suivre concerne particulièrement la situation suisse mais je pense qu’on peut extrapoler le raisonnement à ce qui s’est passé en Italie et à ce qui est en train de se passer en France et dans beaucoup de pays d’Europe et du monde.

L’auteur en est l’administrateur de Coronavirus Info LIVE (@coronalive) qui est une chaîne Telegram sur l’évolution du virus SRAS-Cov2 ou Covid19 ou Coronavirus de Wuhan tenu par un médecin ayant des contacts un peu partout sur la planète. Je l’avais cité dans mon article précédent cité plus haut. (Sauvegarde de l’ensemble de sa chaîne sur mon blog : ici).

Ce médecin publie des infos à la fois accessibles par tout le monde sur internet (journaux, forums, réseaux sociaux, sites officiels) mais aussi des exclusivités divulguées par des contacts en interne (OMS, différents docteurs et services dans le monde).

Il faut lire attentivement ce texte pour comprendre à quel point la politique sanitaire menée par Macron est criminelle et à quel point il doit d’ores et déjà être considéré comme potentiellement responsable de centaines voire de milliers de morts directs en France, plus tous les morts indirects dus au pourrissement économique et social de la situation et aux troubles qui en résulteront.

Tous les ingrédients sont présents pour un débordement grave du système de santé

« Plus de 530 cas en Suisse, pas encore annoncés officiellement.

Gardez en tête que ce n’est que les symptômes « sévères ». La situation va rapidement dégénérer en terme de victimes… le fait de ne plus tester à grande échelle va grandement amplifier la propagation dans les 10 prochains jours.

Il y a des tensions à l’interne en Suisse entre les différents services et ce choix est vivement critiqué par certaines personnes.

Pour faire simple :

Il y a deux « écoles » qui s’affrontent en Suisse. L’école sécuritaire et l’école médicale. L’école sécuritaire regroupe des services de protection de la sécurité nationale, et l’école sanitaire/médicale regroupe des médecins et le système de santé.

Les personnes en charge de la sécurité du territoire ont préparé des mesures importantes ; des gens de la protection civile et autres ont reçu des informations pour se tenir prêts à intervenir et apporter du soutien si nécessaire. Ces gens sont convaincus que la situation va dégénérer et se préparent au pire.

De l’autre côté, il y a les gens en charge de la santé, des hôpitaux, etc. ; et ces gens ont vite été débordés ces derniers jours par des cas de pneumonies, incapables de tester tout le monde, n’ayant pas assez de lits, etc. Donc ils ont fait remonter l’info et la décision d’arrêter de tester les cas sans symptômes sévères a été prise.

Il y a donc un affrontement d’idées.

D’un côté, ceux qui pensent à la sécurité de la nation, de l’autre, ceux qui pensent au bien-être des malades.

Le problème, c’est que penser au bien-être des malades est une bonne chose, mais la décision qui en découle est une fausse bonne idée. À court terme, ça va dégager les services qui auront moins de cas à tester et davantage de lits disponibles.

À moyen terme, malheureusement, ça envoie un message à la population qu’il n’y a pas raison de s’inquiéter ; mais c’est faux. C’est tout sauf le cas. Les services de santé s’en rendront compte bientôt ; ils ont pris une très mauvaise décision.

Les nombres de cas vont exploser à la hausse, car les gens auront un faux sentiment de sécurité, et cela deviendra très vite ingérable pour le corps médical qui appellera à l’aide ; et c’est là que les personnes dont le but est de protéger la sécurité de la nation entreront en jeu, trop tard, malgré elles et après avoir averti que cela allait dégénérer.

Le problème, c’est que le politique est trop préoccupé par ce qu’on va penser de lui les 10 prochains jours ; et pas assez préoccupé par ce qu’on va penser de lui dans 6 mois.

Tous les ingrédients sont présents pour un débordement grave du système de santé en Suisse ; alors même que le système de santé est sûr qu’il vient de prendre la décision qui allait empêcher le débordement. Il l’apprendra à ses dépens. »

La capacité du système de santé (ligne en pointillé) va être dépassée complètement par l’accroissement exponentiel et rapide du nombre de cas – 20 % – nécessitant une hospitalisation et une assistance respiratoire (courbe rouge).

Accroissement trop rapide dû à… l’absence quasi totale de mesures drastiques pour empêcher l’épidémie de se propager puisque, dixit Buzyn, ex-ministre de la Santé, on ne peut pas empêcher le virus de traverser les frontières.

franceinfo@franceinfo

“On voit bien la difficulté dans un monde comme le nôtre de fermer les frontières, ce n’est en réalité pas possible”, explique la ministre de la Santé Agnès Buzyn25820:35 – 24 janv. 2020Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité783 personnes parlent à ce sujet

Si l’épidémie avait été contenue par des contrôles aux frontières, des fermetures d’établissement ou des interdictions de réunion plus systématiques basées sur les connaissances qui étaient disponibles dès les mois de janvier-février, les cas nécessitant une prise en charge (courbe en bleu) n’auraient pas excédé les capacités du système de santé et il n’y aurait pas eu plus de morts que nécessaire.

N’oublions pas non plus que l’Iran vient de libérer 70 000 prisonniers suite à l’épidémie de Coronavirus et la Turquie a aussi libéré 26 000 prisonniers qui se dirigent tous à l’heure actuelle vers l’Europe.

Avec Macron, nous sommes bien En Marche vers… le chaos.

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