50 % des Français prêts à collaborer avec l’envahisseur

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Publié le 7 février 2020  (Riposte Laïque)

Mila. Encore Mila.
Quand des salopards ne demandent pas son exécution rapide – l’hypothèse n’est pas à écarter pour les mois ou les années à venir si l’on se souvient qu’il leur a fallu neuf ans pour passer à l’acte et décimer la rédaction de Charlie Hebdo – ils glissent des « mais » à profusion.

Parmi ceux-ci, le « mais » qui appuie sur les propos trop ceci, trop cela de Mila.
« Bien sûr, disent-ils, la bouche en cul de Mahomet, la loi n’interdit pas de blasphémer, mais rien n’empêche de le faire poliment. »

Il est certain que si Mila avait répondu aux insultes du lourd dragueur rebeu qui l’a insultée sur les réseaux sociaux par « Mon cher Momo, ton islam c’est du résidu métabolique de primate hominidé », avant que l’autre ne comprenne, il y a longtemps que nous serions passés à autre chose.

Mais Mila a été claire, facilement compréhensible : « Votre religion, c’est de la merde, votre Dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci, au revoir ».

Et c’est cela qui chagrine les islamo-compatibles, tous ces politicards, ces journaleux, ces juges, ces vedettes du showbiz, les Nabila et Hanouna (même ces deux-là ont compris les mots de Mila).

Le sondage Ifop-Charlie Hebdo publié le 4 février nous ramène quatre-vingts ans en arrière. La peur fait raser les murs aux Français qui craignent d’être pris pour cible. Ils se taisent pendant que les « zélites » collaborent allègrement.

50 % des Français – les lois Pleven, Gayssot, Taubira et bientôt Avia la cannibale-taxi nous le démontrent – sont peu attachés à la liberté d’expression et ne se battront pas pour la liberté de conscience.

Ils serrent les fesses, ferment leur trou du cul en espérant qu’aucun serviteur d’Allah viendra y introduire le canon d’une kalachnikov.
Ils sont très tolérants… envers les assassins.
Si ça peut permettre de rester en vie, certains apprennent peut-être quelques prières muzz au cas où.

50 % des Français sont amour et paix envers les manipulateurs, envers les victimes autoproclamées de l’islamophobie. « Brûler une église, c’est pas grave, mais une tranche de saucisson devant une mosquée… C’est aller trop loin. »
Ils sont résignés. « Ils ne repartiront plus, faut faire avec eux. »

La cohabitation avec les envahisseurs et encore moins leur assimilation ne sont pas à l’ordre du jour. C’était possible tant qu’ils étaient un petit nombre. Maintenant qu’ils règnent sur plus de 150 quartiers en France, bientôt sur des villes entières où la distinction entre le religieux et le temporel disparaîtra, pour 50 % des Français, la servitude volontaire est préférable à risquer de se faire égorger, écraser, lapider, fusiller.

La soumission plutôt que la révolte, subir les insultes plutôt que faire face.
Acheter sa tranquillité en regardant ailleurs, en vaquant à ses occupations quotidiennes sans amorcer une réflexion sur la situation du pays.

Plus question de « Je suis Mila ».

Dans cette ambiance, les dirigeants politiques sont dignes de partir dans les citernes des vidangeurs de fosses septiques.
Poltrons, couards jusqu’à faire sous eux – toujours une histoire de merde – ils viennent durant l’affaire Mila de se soumettre en masse.
Houellebecq, une fois encore a vu juste.

Après Mila, qui osera encore blasphémer contre l’islam ?
Quand les 50 % de Français qui s’opposent encore au délit de blasphème changeront-ils de camp ?
Quand chanteront-ils en chœur à 100 % avec Abdallah Zekri, délégué général du CFCM, que ceux qui insultent la religion la plus con du monde ont ce qu’ils méritaient parce que « qui sème le vent récolte la tempête » ?

Les islamistes se renforcent de jour en jour. Partout la République bat en retraite : refus de surveiller les frontières, école renonçant à la laïcité, droits de séjour accordés à gogo (quand ce ne sont pas des tueurs syriens entrant comme étudiants Erasmus), permis de construire des mosquées, recrutement peu regardant dans l’armée et la police…

Nous vivons des heures noires – aussi noires que le drapeau de l’État islamique.
Pourtant le combat continue.
Parions que demain, si nous gagnons notre combat contre l’islam, une majorité de Français se dira résistante de la première heure à l’emprise théocratique musulmane, comme en 1945, 99 % de la population prétendait avoir résisté au nazisme.

Parfois c’est aussi ça, la France.

Marcus Graven

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