Les racailles peuvent chier dans les piscines privées, en toute impunité

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Publié le 17 juillet 2019 – par Gérard Brazon

Avec les beaux jours, la mode des squats de piscines privées revient dans l’agglomération toulousaine. « Revient à la mode » dit ce journaliste comme si c’était des jupes courtes, des pantalons larges, etc. La presse ne cessera pas de m’étonner d’utiliser un discours qui fleure bon la négation des réalités !

De quoi s’agit-il ? Simplement de racailles qui estiment que chier dans les piscines privées est un passe-temps comme un autre ! Les pauvres petits, ils n’ont pas de piscines, pas de toilettes, pas de chance, pas de travail, pas de formation, pas de cerveaux tout simplement… (Source)

Ces petites ordures ne se contentent pas d’envahir les propriétés, les jardins, mais ils ont décidé que chier dans une piscine était un droit !

La bande a forcé le local de la piscine avant de le dégrader et de s’amuser avec le mobilier du jardin, jusqu’à déféquer dans la piscine. Surpris par le propriétaire, les forces de l’ordre ont procédé à leur interpellation. Après avoir reconnu les faits, ils devraient être convoqués devant le juge des enfants. Autrement dit, pas même le nettoyage de la piscine ni le remplacement de l’eau au frais des parents !

D’autres vont jusqu’à s’inviter au bord de l’eau en présence des propriétaires, qui, intimidés, restent pétrifiés. Goûter le mot « intimidés » que le journaliste associe à « pétrifiés » ! Que se serait-il passé si l’un des propriétaires avait sorti le fusil de chasse, démoli la gueule d’un branleur, voire lui aurait fait boire la tasse ? Qu’aurait dit le journaliste ? 

Pourquoi ces ordures se gêneraient-ils, d’ailleurs, puisqu’ils ne risquent rien  !

Aucun risque encouru lors de la destruction des points d’eau des pompiers.

Aucun risque non plus, ou si peu, pour des viols collectifs, des vols en bande, des saccages d’écoles, des coups de couteaux dans le dos, ou à la gorge.

Rien non plus sur les trafics de drogue, la terreur dans les cités, car les autorités n’ont qu’une seule obsession, « la paix sociale », le « calme dans les cités », le « pas de vagues » dans les transports en commun, etc.

La justice regarde ailleurs, mais condamne le franchouillard qui a eu le tort de répondre, de se défendre, de soutenir la veuve, de protester contre des marques d’irrespect envers sa femme, sa fille, etc. Mais point trop n’en faut tout de même quand Patrick Jardin se voit qualifier de fasciste parce qu’il n’a pas digéré la mort de sa fille au Bataclan !

Alors, reste la suite du feuilleton des Gilets jaunes où la justice a su se montrer sévère en condamnant des femmes et des hommes considérés par le pouvoir politique macronien comme des fascistes, de dangereux terroristes, tandis que pour les supporters algériens ils auront été considérés comme de joyeux fêtards ravis que « leur équipe nationale » gagne !

La différence pour les commerçants ? Aucune, les effets ont été les mêmes ! Pour les uns, les gauchistes des Black Blocs et autres Antifas cassaient de la vitrine sans risque et roulaient pour Castaner.

Pour les autres, ils alimentaient les réseaux souterrains des cités !

Tout va bien en France, le pouvoir est la risée du monde entier ! Tous comprennent que la France est en ébullition, sauf l’inénarrable Mélenchon qui tire sur le convoi mortuaire du baron de Rugy, qui le pauvre, la main sur le cœur, déclarait qu’il se forçait à manger du homard, à boire du champagne pour la bonne cause, avec des journalistes de RTL, LCI, Radio-France, etc., tous acquis à la cause macronienne mais en toute indépendance bien sûr ! Juré, craché…

Que déclare la Méluche dans un tweet : De Rugy démissionne. Mais l’éborgneur Castaner est toujours là et l’embastilleuse Belloubet aussi. (…)

Il est vrai que lui, en 40 ans de carrière, de postes clefs, de ministères, il n’a jamais mangé de homard, ni bu de champagne aux frais des contribuables !  Juré, craché…

Ainsi va la vie politique en France, où les navets succèdent aux carottes, où les patates de Français restent toujours les mêmes à rissoler dans la casserole de cuisiniers véreux !  

Ainsi va la politique qui, d’élections en élections, voit se dérouler le même et sempiternel scénario,  qui se répète en permanence, où les mêmes patates reconduisent les mêmes cuisiniers !

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