Sibeth Ndiaye veut nous apprendre « l’art d’être français »

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Publié le 30 avril 2019 – par Gérard Brazon– Riposte Laique

Nous avons connu Emmanuel Macron en tant que ministre des Finances, et nous ignorions à l’époque que son art premier était d’entuber ses amis politiques, à commencer par celui qui lui a ouvert la porte du gouvernement avec l’aimable complicité de Jacques Attali et de ses amis de la finance ! Son art à lui, c’était l’esbroufe, le théâtre, et les femmes âgées, disent les mauvaises langues !

L’art français ? Il ne l’a jamais vu ! L’histoire française ? Une longue litanie de crimes de guerre et contre l’humanité ! Ses amis politiques ? Des sans-grades, des incompétents, des vendus le plus souvent, comme Bruno Le Maire, des compromis aussi, et des petites perles noires comme cette Sibeth Ndiaye à peine naturalisée française, qui se targue de donner des leçons de maintien à ces franchouillards de souche, comme dirait Bernard Henri Lévy.

Quand je regarde tout le personnel politique au service d’Emmanuel Macron, je suis envahi par un immense vertige car on pense toujours que nous avons, à un moment, touché le fond de la piscine, et à chaque fois, je suis surpris de constater que ce n’est pas encore le cas ! Bon sang, ce n’est pas possible tout de même, il doit y avoir un fond, et donc à un moment, d’un coup de pied, je vais pouvoir remonter à la surface !

Combien de ces jeunes immigrés qui, hier encore, vivaient dans un pays en Afrique et songeaient à immigrer dans cette terre des « droits de l’homme » pour y trouver le bonheur sinon une vie plus confortable ! C’est le discours que l’on a entendu depuis plus de dix ans ! Aujourd’hui, certains d’entre eux sont à l’Assemblée nationale, d’autres au gouvernement ! Ils sont français depuis quelques années et décident pour ceux dont les ancêtres ont trimé la terre pendant des siècles, ont labouré, semé, et récolté pour que justement, la nation France, pour laquelle ils avaient du respect, trouve dans ces récoltes de quoi nourrir son peuple !  

L’art français dont parle Sibeth Ndiaye c’est la sueur, c’est le sang des travailleurs de la terre et des usines, c’est le génie des inventeurs, celui des chercheurs et des savants. C’est aussi le talent des artistes, et des femmes et des hommes modestes mais doués de talents géniaux !

Que sait-elle de l’art français, elle qui est fille issue d’une bourgeoisie sénégalaise musulmane, et dont les enfants ne portent pas de prénoms français ? Idem pour la triste et pénible Danielle Obono devenu gauchiste et anti-France. Elles sont combien ces femmes issues de l’immigration récente comme Rokhaya Diallo et autres Houria Bouteldja ?

Que savent-elles, ces femmes venues d’ailleurs, des anciennes colonies et qui ne connaissent quasiment rien de la France, sinon la colonisation qui a donné à leurs familles la chance de ne pas finir comme ces gamines mariées de force, à un plus vieux, et de porter des seaux d’eau pour alimenter les champs appartenant à la tribu, ou à leurs hommes ? Certains commentaires me diront que je suis dans le cliché ! Je ne le crois pas pour l’avoir vu de près !

Nous savons la valeur travail de nos ancêtres, ce qu’ils nous ont apporté de richesses, nous connaissons leur courage dans les combats d’hier et d’avant-hier, ainsi que leur dévouement. Nous savons aussi que ces femmes et ces hommes, venus d’ailleurs, venus de territoires lointains, de tribus qui, il faut bien le dire, pratiquaient ouvertement l’esclavagisme, alors qu’ils en étaient également victimes à travers la traite arabo-musulmane, prétendent désormais nous donner des leçons de maintien, d’art de vivre, de leçons de francitude et de courage.

Certains Africains vivant en France, organisés en associations, souhaitent que l’on démonte les statues de nos grands hommes, de nos rois et empereurs qui leur déplaisent, au nom de je ne sais quelles fadaises. Ils veulent que nous renoncions à notre histoire millénaire, à notre culture, à nos croyances ancestrales. Est-ce parce qu’ils n’en ont plus eux-mêmes ?

Ils veulent nous réduire à ce qu’ils sont, à des déracinés, à des plantes venues d’ailleurs et ils voudraient nous coloniser à l’aide de la culpabilisation et de la repentance !

Nous arracher nos racines pour tenter d’y planter les leurs !

Nous remplacer en quelque sorte, comme diraitRenaud Camus à qui je donne raison dans son juste et épouvantable diagnostic !

Tout cela sous le regard bienveillant de la finance et des esclavagistes modernes qui paient le migrant 1,50 € de l’heure, comme en Allemagne  !

Je n’ai aucune haine envers ces gens-là ! Aucune rancune pour ces déplacés, ces fils d’immigrés, ces déracinés, mais qu’ils sachent bien qu’en tant que Français, dont les racines viennent de la Sarthe et remontent à 1632 au minimum, je n’ai aucunement l’intention de me laisser déraciner facilement, aucune volonté de me faire évacuer de ma terre de France, et encore moins de les laisser se prendre pour des Sarthois de souche, des Charentais, des Corses, des Basques, des Bretons, des Alsaciens, des Limousins, des Auvergnats, des Provençaux, des Antillais, etc.

Qu’ils soient devenus des « Français de papier » par la grâce du politi-chien au pouvoir n’en fera jamais des Français de souche de ma terre de France ! Qu’ils prouvent qu’ils aiment la France, et se donnent à elle comme ont su le faire les Polonais, les Italiens, les Espagnols, les harkis, les Portugais, etc. À cette époque, point de gratuité, nulles aides sociales, aucune prime à l’immigré ! Il fallait travailler, et dur le plus souvent !

Français est une dénomination qui est devenue bien trop facile. Elle est un abus de langage au vu de ceux qui le sont devenus par soucis du gain et des aides sociales ! Il est regrettable que ce genre de Français soit désormais, trop souvent aux commandes, dans les rouages du pouvoir, au nom de la discrimination positive, pour faire moderne, pour faire équipe de foot à la page !

À ce titre, je regrette cette France qui avait le droit de choisir, parmi ses enfants issus de l’adoption, ceux qui sollicitaient leur volonté de devenir français à part entière, et qui avaient prouvé par le travail, par le sang, leur amour pour la France ! 

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