Belattar et Macron, unis par la haine de la France et le mépris des Français

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Publié le 10 octobre 2018 – par Martin Moisan (Dans Riposte Laïque)

Yassine Belattar a de plus en plus une sale gueule, au fur et à mesure que les années passent. Toute sa haine, sa laideur, sa noirceur, se reflètent sur son visage. C’est cet homme, qui nous hait, que Macron a osé nommer membre du Conseil présidentiel des villes, excusez du peu. Autrement dit, la France va solliciter son avis sur les banlieues.

Ce mec vient pourtant ouvertement de sommer notre pays, et son prochain ministre de l’Intérieur (nous en sommes à dix jours de vacance, après le départ de Gérard Collomb) de se plier aux règles des banlieues, en menaçant ouvertement la France de représailles dans le cas contraire.

Il a parlé d’apartheid, rien de moins, pour protéger son copain le rappeur islamiste qui voulait pendre les Blancs.

Il a insulté grossièrement Éric Zemmour sur les plateaux de télévision, faisant glousser d’aise les journalistes présents.

Il menace de procès quiconque ose lui rappeler quelques vérités, comme l’avocat Gilles-William Goldnadel ou Valeurs Actuelles.

Il a même reproché aux Grandes Gueules d’être responsables de la montée du racisme (contre les musulmans, bien sûr), ce à quoi Marschall a piteusement répondu qu’il avait toujours défendu l’islam et, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, qu’ils avaient fait l’émission dans la mosquée de Bordeaux chez Tareq Oubrou.

Il s’est permis de harceler Albert Chennouf-Meyer, le père d’une des victimes de Merah, qui lui ne défend pas l’islam en prétendant combattre l’islamisme.

Il a été placé en garde à vue pendant quelques heures, le 20 février dernier, aux Mureaux, lors de la visite d’Emmanuel Macron dans cette ville, après avoir insulté des policiers qu’il aurait qualifiés « d’abrutis » et de « bons à rien », ces policiers l’ayant empêché de rejoindre le cortège présidentiel dès lors qu’il se présentait sans invitation.

Les Mureaux : l’humoriste Yassine Belattar en garde à vue – Le Point

Yassine Belattar est également accusé d’avoir menacé d’égorger le journaliste Alexandre Devecchio et sa compagne après avoir traité le journaliste « d’islamophobe » et de « fils de pute ».

Et, cerise sur le gâteau, c’est lui qui présentait, en 2015, le gala du CCIF, dont on connaît les liens avec les Frères Musulmans, et qui ne cache plus sa volonté de transformer la France en terre d’islam.

Précisons qu’il vient des valises du Parti socialiste, qu’il avait voté Royal en 2007, Hollande en 2012 et s’est vendu à son « frère » Macron dont il se vante d’avoir eu le soutien lors d’une polémique que ce charlot avait provoquée avec le journal Marianne.

Parlant de sa pratique religieuse, il affiche clairement la couleur : « Il n’y a pas de modération dans la religion : on est musulman ou on ne l’est pas. »

C’est cet islamiste que Macron a nommé membre du Conseil présidentiel sur les villes. Décidément, Macron, qui passe son temps à insulter les Français des classes populaires, paraît avoir un faible pour les trafiquants noirs et les musulmans haineux qui insultent, eux aussi, la France, la France et les Français. Se souvenir de la manière dont Benalla parlait aux policiers français, à l’Elysée, se sachant protéger par celui que Jean Sobieski a surnommé Choupinet.

C’est cet islamiste que les journalistes invitent fréquemment sur les plateaux de télévision.

C’est cet islamiste que l’institution judiciaire protège. Si nous avions une justice digne de ce nom, suite à ses menaces contre la France, il aurait dû être déféré dans le bureau d’un procureur de la République et être mis en examen, voire incarcéré immédiatement, pour incitation à la haine et appel à l’émeute. Mais c’est beaucoup plus facile de s’en prendre aux Identitaires.

Comment ne pas remarquer la similitude, et la complémentarité, des insultes de Macron vis-à-vis de la France, de ses piliers, de son Histoire et de ses couches populaires.

Depuis l’Algérie, il a accusé notre pays d’avoir commis des crimes contre l’humanité, relayant la version du FLN algérien, alors que dans la réalité, en période de guerre, ce sont les indépendantistes islamistes qui ont commis le plus d’actes de sauvagerie, dans des conditions qui confirment la barbarie de cette mouvance.

Continuant, dans ce registre, à cracher sur l’armée française, il a honoré le traître communiste Audin, responsable de la mort de nombre de Français et complice du FLN.

Puis, depuis l’Angleterre, il a osé nier la réalité de la culture française.

Au Danemark, il a dénoncé ces « Gaulois réfractaires aux réformes ».

En Roumanie, il a rappelé que les Français détestaient les réformes.

En Grèce, il a affirmé qu’il ne céderait rien aux « fainéants et aux hypocrites ».

À la tribune de l’Onu, il a osé dire que la France avait fait « beaucoup de mal ».

En France, à l’occasion de différents déplacements, il a qualifié des Français « d’illettrés », « d’alcooliques » et de « fainéants ».

Jamais un chef d’État, dans l’Histoire de France mais aussi dans le monde, n’a, en si peu de temps, autant sali son pays et ses compatriotes et, qui plus est, depuis l’étranger.

Macron n’est pas un Français de cœur, c’est un citoyen du monde. Son projet politique est de supprimer les frontières, de gommer les identités des peuples et d’imposer un vivre-ensemble suicidaire pour notre civilisation. Il interdit aux Français de défendre leur culture, leur mode de vie et accorde toutes les dérogations aux autres minorités, musulmans en tête. C’est un traître dont le pays devra se débarrasser et qu’il faudra juger.

Belattar est pourtant né à Conflans-Sainte-Honorine, la ville de Rocard, où les socialistes lui ont tout accordé. Il se dit un enfant de la République. Mais c’est d’abord et surtout un enfant de l’islam, un ennemi de la France et de notre modèle laïque, et un copain de Macron. Qui se ressemble s’assemble.

Il fait partie de ces milliers de musulmans, même nés en France, même de nationalité française, qu’il faudra expulser hors de notre pays et envoyer dans un des cinquante-sept pays musulmans que compte le monde.

Sans le moindre état d’âme, tout simplement parce que, quand on a la gangrène, si on n’ampute pas, on meurt.

Donc, pour sauver la France, il faudra la débarrasser de tous les Belattar et de tous les Macron qui la pourrissent et lui crachent dessus matin, midi et soir. Les juger, les virer, les exiler, les chasser, mais ne plus les voir, ne plus les entendre.

Cela s’appelle le Grand nettoyage, et moi je n’attends que cela.

Martin Moisan (dans Riposte Laïque)





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