La bombe démographique qui va tuer la France : les vrais chiffres

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La bombe démographique n’est pas seulement en Afrique, continent qui a vu sa population quadrupler depuis l’indépendance, ou en Algérie, dont la population a été multipliée par cinq depuis 1962.

En 2017, 28 % des naissances sont issues d’au moins 1 parent né hors UE ! (INSEE)

La bombe démographique se trouve aussi en France, non pas par l’explosion des naissances, qui tournent autour de 800 000 depuis des années, mais par le changement de population qui s’opère peu à peu.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381382
Et télécharger ensuite le document détaillé de 1998 à 2017.

En 1998, il y a eu 767 906 naissances en France.

Dont 590 160 issues de 2 parents nés en France et 144 607 naissances avec au moins 1 parent né hors UE.

En 2017, il y a eu 769 553 naissances.

Dont 527 120 issues de 2 parents nés en France et 213 553 naissances avec au moins 1 parent né hors UE.

Ce qui signifie qu’en 20 ans, la part des naissances issues de 2 parents nés en France, a diminué de 11 %.

Tandis que la part des naissances dont au moins 1 parent est né hors UE a augmenté de 47 %.

Mais ces chiffres ne reflètent qu’en partie l’explosion de l’immigration depuis le regroupement familial en 1975.

Car l’INSEE ne comptabilise les immigrés et les descendants d’immigrés que sur 2 générations.

Donc, tout descendant d’immigrés, mais dont les parents sont nés en France, est comptabilisé comme Français de souche et non pas comme descendant d’immigrés.

La part des naissances dont au moins 1 parent est né à l’étranger hors UE est de 28 % en 2017.

Mais pour avoir une idée exacte des naissances d’origine immigrée au sens large, avec au moins un parent originaire d’un pays hors UE, il n’existe qu’un seul moyen :

Prendre en compte les chiffres de dépistage de la drépanocytose, maladie génétique qui ne touche quasi exclusivement que les populations extra-européennes.

Les immigrationnistes peuvent bêler au racisme dès qu’on utilise cette donnée, mais si les statistiques ethniques étaient autorisées comme dans la plupart des pays occidentaux, l’INSEE pourrait faire son travail d’information.

Avec Internet, il est toujours possible de contourner l’omerta sur l’immigration de masse. Enfin, pour l’instant…

Tout citoyen a le droit d’être informé de l’évolution démographique de son pays, du moins dans une démocratie digne de ce nom où le mot liberté a encore un sens !

La dernière mise à jour date de 2016. Mais ces statistiques vont disparaître.

http://www.fdesouche.com/906357-drepanocytose-la-carte-du-grand-remplacement-mise-a-jour-chiffres-2016#

En 2016, 39,39 % des bébés nés en métropole ont subi les tests de dépistage de la maladie. Les chiffres explosent d’année en année.

En 2017, on dépasse donc les 40 %.

En résumé, en 2017, sur 769 553 naissances, on sait que 28 % sont issues d’au moins 1 parent né hors UE.

Et 40 % sont issues d’au moins 1 parent d’origine immigrée hors UE (qu’il soit né en France ou hors UE).

À ces 40 %, il convient d’ajouter l’immigration extra-européenne que l’INSEE ne chiffre jamais, se contentant d’un solde migratoire complètement trompeur, puisqu’il comptabilise aussi les expatriés français, actifs ou retraités, afin de minimiser la part des arrivées extra-européennes qui sont en augmentation.

On sait que le nombre de visas de séjour explose.

Il est de 262 000 en 2017, soit une augmentation de 13,7 % sur un an.

Chiffre auquel il faut ajouter les clandestins. 100 migrants arrivent chaque jour à Paris. Combien en France ? 300 ? 500 par jour ?

La France a accueilli 25 000 mineurs isolés en 2017. On en attend 35 000 en 2018.

Le Grand Remplacement est bien une réalité.

Rappelons qu’avec un taux de fécondité tombé à 1,6 enfant par femme chez les natives, la population de souche diminue de 20 % à chaque génération.

Chez les femmes immigrées, le taux de fécondité remonte avec l’arrivée des Africaines particulièrement prolifiques.

Avec un taux de fécondité de 3,6 enfants par femme, la population d’origine extra-européenne augmente de 80 % à chaque génération.

Quand la génération du baby-boom aura entièrement disparu, celle qui forme les gros bataillons de retraités, la France ne sera plus très loin du basculement.

Rappelons aussi qu’en Europe, il y a eu davantage de décès que de naissances et que la population n’a pu augmenter que par l’immigration.

https://www.la-croix.com/Monde/Europe/Sans-apport-migratoire-population-europeenne-aurait-perdu-1-million-dhabitants-2017-2018-07-12-1200954638

http://www.fdesouche.com/1016161-est-il-vrai-quen-europe-lintegralite-de-la-croissance-demographique-est-due-a-limmigration

Pas besoin d’être devin pour comprendre qu’à ce niveau d’immigration, l’intégration est devenue mission impossible.

Dans trente ans, les minorités extra-européennes seront devenues majoritaires avec les bouleversements qu’on imagine.

Un enfant sur cinq naît de parents musulmans. Un chiffre multiplié par 4 depuis le regroupement familial.

La France de nos ancêtres les Gaulois a fini d’exister.

C’est un désastre qui se prépare pour les générations futures. Mais quand un peuple vote depuis 40 ans pour les mêmes immigrationnistes, il n’est pas à plaindre, il est complice et artisan de sa propre disparition.

Quand les Hongrois se battent et refusent de disparaître en fermant leurs frontières, les Français en redemandent et continuent de creuser leur tombe.

On ne peut pas empêcher tout un peuple de se suicider.

Jacques Guillemain (dans Riposte laïque)





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