Football : si cela continue, dans 10 ans, il ne restera plus un Blanc chez les Bleus

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Publié le 14 juillet 2018 – par Paul Le Poulpe : “Riposte laïque”

C’est curieux, il y a 20 ans, quand l’équipe de France a été sacrée championne du monde, les antiracistes, ceux qui viennent de réussir à faire supprimer le mot « race » de la constitution, à la demande du président de la Licra, Mario Stasi (cela ne s’invente pas) n’avaient à la bouche que le mot Black-Blanc-Beur, qui devait remplacer Bleu-Blanc-Rouge, jugé trop Gaulois.

Pourtant, lorsque le coup d’envoi de la finale avait été donné, il y avait sur le terrain 7 Gaulois, 2 originaires d’Afrique noire (Desailly et Thuram), un Kanak (Karembeu) et Zidane, originaire d’Afrique du Nord. Cette équipe était donc majoritairement gauloise, quoi qu’en disent les adeptes du multiculturalisme.

20 ans plus tard, les choses ont bien changé. Sur les 23 Bleus retenus par Deschamps, 16 ont des racines africaines très visibles, ce que ne manquent pas de relever les journaux africains, mais aussi les suppôts de l’invasion migratoire comme Le Courrier International, Le Monde ou Libération. Et pourtant, ce fait est dissimulé, car le Onze titulaire ne réflète pas la marginalisation des Gaulois. En effet, cinq joueurs français de souche sont titulaires de l’équipe type, complétée par deux métis et quatre Africains noirs. Au début de la compétition, il ne devait y en avoir que trois, mais les latéraux, Pavard et Hernandez, ont su gagner leur place au détriment de Sidibé et de Mendy, ce qui a changé le visuel de l’équipe.

Chose étonnante, alors que les antiracistes stigmatisaient ceux qui, comme Jean-Marie Le Pen ou Alain Finkielkraut, osaient évoquer le fait que cette équipe de France ne ressemblait pas au pays pour lequel elle jouait, cela devient, à présent, un argument de fierté repris par tous ceux qui expliquent que parler de la couleur des gens, c’est être raciste.

Chose étonnante encore, les footballeurs noirs, qui se disent en permanence victimes du racisme, sont les seuls qui parlent de la couleur de peau des Blancs, comme si cela était une obsession. Nul n’a oublié le témoignage de Christophe Dugarry, rappelant à « l’antiraciste Thuram » que, dans les vestiaires, au soir de la victoire de 1998, celui-ci appelait « les Blacks » à faire une photo ensemble, se faisant sermonner ensuite par Franck Leboeuf, qui lui avait demandé quelle serait sa réaction si lui demandait aux Blancs de faire une photo ensemble.

C’est également le Guyanais Bernard Lama qui, dans un livre, qualifie son rival de 1998 dans les buts, Fabien Barthez, de « Blanc ». Imaginez ce dernier qualifier lui aussi le gardien de but du PSG de l’époque de « noir »…

Chose étonnante encore, tous les antiracistes professionnels, qui hurlent parce qu’il n’y aurait pas assez de diversité dans les instances élues (sans réfléchir à l’apport des élus de la diversité, qui, trop souvent, utilisent leur mandat pour reproduire des pratiques claniques), n’ont rien à redire sur la sur-représentation de la diversité dans cette équipe de France.

Par ailleurs, le football est un magnifique résumé du Grand Remplacement qui se met en place. En 1998, les Gaulois étaient majoritaires. En 2018, ils sont devenus minoritaires. Il suffit de regarder la liste qu’a retenue le sélectionneur des Espoirs français Bernard Diomède (antillais) pour comprendre que, dans dix ans, il n’y aura plus aucun Blanc en équipe de France ! Cela provoquera sans doute chez Rokhaya Diallo et Houria Bouteldja l’orgasme de leur vie !

http://www.fdesouche.com/1040735-equipe-de-france-la-liste-des-u19-joueurs-espoirs-pour-leuro-2018-de-football

Cette sélection, qui devrait poser des questions à l’ensemble de la classe politique, n’est que la conséquence de la politique des centres de formation des grands clubs professionnels français : de l’Africain, de l’Africain, de l’Africain. Ce que confirmait l’ineffable Guy Roux, invité par Macron à Moscou, quand il entraînait Auxerre : 80 % d’Afrique noire, 10 % d’Afrique du Nord et 10 % de Gaulois ! Et cela donne cette sélection de Bernard Diomède, par ailleurs ancien Auxerrois. Et là, les anti-colonialistes se taisent, sur ce véritable pillage des forces vives d’un Continent. Faut-il rappeler que, à cause de ces critères, les clubs français sont passés à côté d’un Griezmann, d’un Valbuena, et de combien d’autres « petits blancs », jugés pas assez costauds pour devenir professionnels ? Et faut-il rappeler que quand un courageux Directeur Technique National français voulut remettre en cause cette politique des « Gros blacks » dans les centres de formation, et évoqua la double nationalité de nombre de ces joueurs, qui, ensuite, choisissaient leur pays d’origine, la crapule Plenel et le faux anti-raciste Thuram le qualifia de raciste, et que l’ensemble de la presse le lyncha, ainsi que Laurent Blanc, accusé d’avoir prêté une oreille complaisante à ces propos.

La suite, on la connaît, et si cela continue ainsi, Griezmann, Giroud, Lloris, Pavard et Hernandez auront été les derniers des Mohicans !

Et cela ne dérangera certainement pas les élites de ce pays, qui ont décidé que les nôtres devaient disparaître.

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